Qu’il s’agisse de contrats militaires ou de nucléaire civil, la France n’a pas la cote.
Après la Pologne qui a signé un contrat de cinq milliards de dollars pour l’achat de 250 chars Abrams pour un montant de cinq milliards de dollars, après l’Allemagne choisissant le F-35 américain au détriment de l’avion de chasse européen développé par Dassault, c’est à nouveau la Pologne qui fait parler d’elle en choisissant le groupe américain Westinghouse pour construire sa première centrale nucléaire, face aux offres concurrentes du Français EDF et du Sud-Coréen KHNP. Dans un monde déstabilisé par le conflit russo-ukrainien, il faut lire en filigrane de cette décision trois messages clés.