Bernard Antony a eu le courage la non-intervention (solennelle) du président de la République hier :
Ce qu’il a dit sur le déconfinement ne mérite pas beaucoup de lignes sur ce blog.
Passons sur son autosatistaction pour ce qu’il en fut de la gestion de la pandémie du coronavirus.
Ce n’est pas « demain la veille » que l’on aura une remise en cause sérieuse de la perversion idéologique et financiariste du libéralisme mondialiste qui nous a, entre autres dégâts, placé dans une telle dépendance de la production médicamenteuse chinoise.
Et pour ce qu’il en est de ce qu’il appelle « l’Europe », pas l’ombre d’une esquisse de volonté de remise en cause du gros mammouth de l’eurocratie totalitaire bruxelloise. L’Union Européenne est trop au service de l’impérialisme idéologique LGBT pour qu’un Macron ose en critiquer l’inversion radicale des valeurs déterminant sa politique.
Et d’ailleurs, cette inversion est pour l’essentiel celle qu’il partage; comme on a pu le constater par ces maintes photos très significatives qu’il a sciemment voulu faire largement circuler, telles celles prises à l’Elysée un soir de la dite « fête de la musique ».
Sur la dialectique révolutionnaire racialiste de la société française en particulier, ce n’est évidemment pas de lui que l’on pouvait attendre qu’il en vienne à constater que, selon notre formule, aujourd’hui si répercutée, « l’antiracisme est un racisme en sens contraire ».