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santé et médecine - Page 205

  • Les Français feraient plus confiance à Didier Raoult qu’à Olivier Véran pour améliorer la crise sanitaire, selon un sondage (YouGov)

    Selon un sondage YouGov pour Capital, les Français feraient davantage confiance au professeur Didier Raoult qu’au ministre de la Santé, Olivier Véran, pour améliorer la crise sanitaire liée au Covid-19 en France. Lorsqu’on leur demande : « Faites-vous plus confiance au professeur Didier Raoult ou au ministre de la Santé Olivier Véran ? », 30% des Français disent lui accorder davantage de crédit qu’à Olivier Véran face à l’épidémie de coronavirus, contre 20% pour le ministre de la Santé. Cependant, plus d’un sondé sur trois n’accorderait sa confiance ni l’un ni à l’autre et 15% de personnes interrogées ont déclaré ne pas savoir répondre à cette question.

    La Provence

    https://www.tvlibertes.com/actus/les-francais-feraient-plus-confiance-a-didier-raoult-qua-olivier-veran-pour-ameliorer-la-crise-sanitaire-selon-un-sondage-yougov

  • Raoult, ou le territoire victime de la carte !, par Christian Vanneste.

    Pour un habitant du nord de la France, l’aphorisme célèbre d’Alfred Korzybski, « la carte n’est pas le territoire » prend tout son sens. La dénomination dont on a affublé sa grande région, essentiellement plate, et dénuée de la moindre identité réelle, qui s’étend de la proximité parisienne jusqu’à la frontière belge, est grotesque. Aucune montagne n’y a arrêté le flux des invasions, mais lorsqu’on quitte le territoire pour regarder la carte, effectivement Lille, la capitale régionale, à une grosse dizaine de kilomètres de la Belgique, se trouve tout en haut. Personne, toutefois, n’aurait eu la malencontreuse idée d’appeler l’une des régions méridionales, « les bas de France ».

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  • Macron, Bill Gates avait prévu lui une pandémie du genre coronavirus COVID-19

  • Ceux qui discutent du « monde d’après » et ceux qui le font

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    Par Eric Le Boucher

    Le débat politique sur le « monde d’après » s’enlise dans des propositions qui nous feraient plutôt retourner vingt ou trente ans en arrière.  Sur le terrain des entreprises en revanche, la prise de conscience que l’environnement et la dimension sociale sont incontournables, devient de plus en plus forte, en tout cas en Europe.

    Est né un sentiment qu’il faudrait « profiter du coronavirus » pour changer ce qui ne va pas. Mais surplombe d’abord une volonté générale de reprendre le cours normal de son existence. L’hésitation des individus entre innovation et protection s’agrège nationalement et le résultat penche nettement en faveur de la seconde. On assiste à des changements, le manger local, mais surtout à un grand conservatisme comme le reflète l’épargne des ménages. Changeons ?  Attendons.

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  • "PAS DE RUPTURE DE MASQUES" ? DÉMÊLONS LE VRAI DU FAUX...

  • Quelle pilule avaler ? Le docteur Raoult sème la zizanie

    Les experts sont épatants : ils nous offrent un incroyable spectacle, une sorte de match de tennis, où chaque jour, nous croyons assister à la balle de match. Mais au dernier moment, le joueur en difficulté, d’un fulgurant revers, remporte le set, et relance la partie. Il y a trois jours, le professeur Raoult était acculé en fond de cours : The Lancet, la revue médicale britannique, dévoilait les résultats d’une enquête qui mettait en garde contre l’hydroxychloroquine, en tant que remède contre le COVID-19. Mais le professeur ne s’en laisse pas compter, et riposte.

    Didier Raoult, le chercheur non conformiste de l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille, considère l’étude du Lancet comme « foireuse ». Elle a été réalisée « par des gens qui n’ont pas vu de patients », s’indigne-t-il. Elle a néanmoins été menée à partir des dossiers de 15 000 malades du COVID-19. C’est la seule étude à ce jour ayant porté sur un aussi grand échantillon. Son rédacteur est catégorique : la preuve statistique est désormais faite que la chloroquine ne guérit pas du COVID-19, mais augmente même les risques de mortalité. Dès lundi, l’OMS suspendait les essais cliniques en cours sur des malades du COVID-19.

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  • Pr. Froguel : “Je ne suis pas pro-Raoult mais l’étude publiée par The Lancet, c’est une merde”

    Pr. Froguel : “Je ne suis pas pro-Raoult mais l’étude publiée par The Lancet, c’est une merde”

    Et un nouveau sou dans la machine… avec le Professeur Froguel, médecin et chercheur français en endocrinologie, biologie moléculaire et génétique, actuellement professeur à l’Imperial College de Londres et à l’Université Lille 2 dans le domaine de la médecine de précision, du métabolisme et de la génomique, qui s’indigne du crédit accordé à l’étude publiée par la revue scientifique anglaise The Lancet concernant la possible dangerosité de l’hydroxychloroquine pour le traitement du Covid-19 :

    J’ai d’abord beaucoup hésité à réagir parce que je ne veux pas qu’on dise que je suis pro-Raoult. On ne peut rien dire : on est forcément soit pro, soit anti. Mais l’article de The Lancet pose de gros problèmesLes données sont trop bizarres, pas fiables. On ne sait même exactement d’où elles viennent comment ils se les sont procurées. Du coup, les conclusions ne peuvent pas être fiablesThe Guardian a bien vu tous ces problèmesCe papier est une merde en grande partie fabriquée par une firme inconnue qui voulait se faire de la pub. 

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  • Le gourdin sanitaire, pour masquer les mensonges d’Etat, par Ivan Rioufol

    Partout, la courbe est la même : l’épidémie de Covid-19 est en phase descendante. La “deuxième vague”, prédite par certains, n’est actuellement pas observable. Aucune raison ne s’oppose plus à la levée des derniers interdits imposés par le gouvernement. Les jardins, les cafés, les restaurants, les théâtres, les cinémas doivent rouvrir. Les Français doivent pouvoir se rendre où ils veulent, en se délivrant de cette laisse des 100 km imposée comme une punition. Surtout, les citoyens doivent urgemment s’émanciper de l’emprise étatique qui les a déresponsabilisés, à force d’être traités comme des enfants incapables. Trois-quarts des salariés ont été pris en charge par l’Etat. On en serait presque à remercier à plat ventre le premier ministre de la grande bonté qu’il aurait à ouvrir la cage.

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  • Plan de relance de l'UE : qui paye commande !

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    L'avis de Jean-François Touzé
    L'annonce faite mercredi par la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen (NDLR : photo ci-dessus) de la mise en oeuvre d'un plan de relance communautaire destiné à mutualiser les dettes engagées par les pays membres pour faire face aux conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire du COVID-19, plan de 750 milliards d'euros, soit 250 de plus que ce que proposaient Macron et Merkel la semaine dernière, constitue un pas de plus sur la voie du fédéralisme et de l'effacement des Nations au profit de la technostructure mondialisée  bruxelloise.
    C'est une très mauvaise nouvelle pour les peuples européens et en particulier pour la France.
    D'abord parceque ces sommes vertigineuses empruntées directement par l'UE en bénéficiant des taux actuels, faibles, voire négatifs, devront un jour être remboursées. Elles le seront par les États non pas en fonction de ce qu'ils auront reçu, mais par rapport à leur PIB. À ce jeu, la France sera nécessairement confrontée à une perte sèche qui pèsera lourdement sur les contribuables le moment venu.
    Ensuite parce que, ce faisant, la Commission renforce son pouvoir. Qui paye, commande. Comme ce fut le cas il y a dix ans avec la Grèce, l'UE disposant des fonds et des leviers de leurs distribution, sera à la fois arbitre et acteur principal, pesant sur les orientations, intervenant et décidant des budgets nationaux, imposant ses choix politiques et ses lois d'austérité.
    Une Europe nouvelle, puissante, identitaire et libérée des tutelles intercontinentales, est pour nous, nationalistes, qui ne ne nous reconnaissons pas dans le souverainisme  moisi, un objectif majeur, mais encore lointain. Sa construction ne se fera que par les victoires politiques des mouvements nationaux au sein de chaque Etat, victoires qui ouvriront alors la voie à des changements de paradigmes permettant des transferts structurels librement consentis. Nous n'y sommes pas.
    Le fédéralisme globaliste, antagoniste à toutes nos aspirations et négateur des volontés des peuples européens, vient malheureusement, quant à lui, de marquer un point décisif.