Partout, la courbe est la même : l’épidémie de Covid-19 est en phase descendante. La “deuxième vague”, prédite par certains, n’est actuellement pas observable. Aucune raison ne s’oppose plus à la levée des derniers interdits imposés par le gouvernement. Les jardins, les cafés, les restaurants, les théâtres, les cinémas doivent rouvrir. Les Français doivent pouvoir se rendre où ils veulent, en se délivrant de cette laisse des 100 km imposée comme une punition. Surtout, les citoyens doivent urgemment s’émanciper de l’emprise étatique qui les a déresponsabilisés, à force d’être traités comme des enfants incapables. Trois-quarts des salariés ont été pris en charge par l’Etat. On en serait presque à remercier à plat ventre le premier ministre de la grande bonté qu’il aurait à ouvrir la cage.
santé et médecine - Page 205
-
Le gourdin sanitaire, pour masquer les mensonges d’Etat, par Ivan Rioufol
-
Plan de relance de l'UE : qui paye commande !
L'avis de Jean-François TouzéL'annonce faite mercredi par la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen (NDLR : photo ci-dessus) de la mise en oeuvre d'un plan de relance communautaire destiné à mutualiser les dettes engagées par les pays membres pour faire face aux conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire du COVID-19, plan de 750 milliards d'euros, soit 250 de plus que ce que proposaient Macron et Merkel la semaine dernière, constitue un pas de plus sur la voie du fédéralisme et de l'effacement des Nations au profit de la technostructure mondialisée bruxelloise.C'est une très mauvaise nouvelle pour les peuples européens et en particulier pour la France.D'abord parceque ces sommes vertigineuses empruntées directement par l'UE en bénéficiant des taux actuels, faibles, voire négatifs, devront un jour être remboursées. Elles le seront par les États non pas en fonction de ce qu'ils auront reçu, mais par rapport à leur PIB. À ce jeu, la France sera nécessairement confrontée à une perte sèche qui pèsera lourdement sur les contribuables le moment venu.Ensuite parce que, ce faisant, la Commission renforce son pouvoir. Qui paye, commande. Comme ce fut le cas il y a dix ans avec la Grèce, l'UE disposant des fonds et des leviers de leurs distribution, sera à la fois arbitre et acteur principal, pesant sur les orientations, intervenant et décidant des budgets nationaux, imposant ses choix politiques et ses lois d'austérité.Une Europe nouvelle, puissante, identitaire et libérée des tutelles intercontinentales, est pour nous, nationalistes, qui ne ne nous reconnaissons pas dans le souverainisme moisi, un objectif majeur, mais encore lointain. Sa construction ne se fera que par les victoires politiques des mouvements nationaux au sein de chaque Etat, victoires qui ouvriront alors la voie à des changements de paradigmes permettant des transferts structurels librement consentis. Nous n'y sommes pas.Le fédéralisme globaliste, antagoniste à toutes nos aspirations et négateur des volontés des peuples européens, vient malheureusement, quant à lui, de marquer un point décisif. -
Coronavirus : le déclin du courage, par Jean-Yves Le Gallou
C’est la peur qui a inspiré nos dirigeants. Peur de s’éloigner de la doxa idéologique. Peur de s’écarter du conformisme managérial.
30 000 morts en France à la fin du premier épisode épidémique (fin mai), c’est plus qu’une grippe saisonnière tuant 10 000 à 15 000 personnes. Ce n’est pas non plus une grande peste : si le coronavirus infectait la moitié des Français, avec un taux de létalité de 0, 5%, il tuerait 150 000 personnes : une surmortalité annuelle de 25 %, socialement difficilement acceptable, mais sans commune mesure avec les épidémies des temps anciens anéantissant la moitié d’une population.
Le respect des procédures, maladie sénile des bureaucrates
Pourtant le coronavirus a été un formidable révélateur du manque de courage de nos élites politiques et administratives. Incapables de décider à temps. Incapables de prendre leurs responsabilités. Soumis à ses dogmes et emberlificoté dans les règles de Schengen, le gouvernement a refusé de fermer les frontières. Quant aux Français qui manquent de masques et de tests, qu’ils soient rassurés : les normes AFNOR, les procédures ISO, les exigences « qualité », et le code des marchés publics ont été respectés ! « L’action, jeu divin du héros », disait le général de Gaulle. « Le respect des procédures, maladie sénile des bureaucrates ! », pourrait-on dire de la Ve République finissante.
-
DÉCONFINEMENT : LES FAUTES DE L'ÉTAT
-
Virus : Il faudrait isoler l’Ile-de-France et laisser le reste du pays revenir à une vie normale
Chronique de Paysan Savoyard (n°233 – mai 2020)
A quelques jours de la date à laquelle s’amorcera le déconfinement, le nouveau point d’étape qu’il convient d’effectuer ne diffère guère des précédents. L’incertitude scientifique au sujet de ce nouveau virus reste presque aussi totale qu’il y a trois mois. De même on ne sait pas réellement à ce stade si, une fois l’épidémie passée, le virus s’apparentera par le nombre de ses victimes à la grippe espagnole de 1918 (50 millions de morts dans le monde) ou si le nombre total des décès restera finalement du même ordre de grandeur que pour les grippes saisonnières les plus sévères. Sur le plan politique et administratif les choses sont en revanche bien plus claires et une certitude s’impose d’ores et déjà : certains pays ont bien géré la crise. D’autres non, et la France est de ceux-là.
- Trois mois plus tard, nous sommes toujours en situation de pénurie
Plus de trois mois après l’arrivée du virus en France le pays reste en situation de pénurie. Les personnels de santé non hospitaliers (médecins de ville, Ehpad, dentistes, personnels paramédicaux) ne disposent toujours pas des moyens de se protéger, qu’il s’agisse des masques, des blouses ou des autres équipements de protection. Même à l’hôpital les moyens de protection paraissent insuffisants, au moins dans certains établissements : c’est ainsi que la femme d’un médecin hospitalier qui vient de mourir porte plainte aujourd’hui contre divers responsables politiques et administratifs, affirmant que son mari n’a pas disposé des équipements de protection nécessaires. Nous sommes toujours également confrontés à une pénurie de tests : par exemple le nombre de tests disponibles est insuffisant pour permettre des dépistages dans les Ehpad, obligeant ainsi à consigner dans leur chambre tous les pensionnaires y compris les personnes qui ne sont pas atteintes. Quant aux capacités hospitalières elles restent aux limites de la saturation dans la moitié des régions. De façon générale, cette crise a révélé que nous sommes désormais presque totalement dépendants de l’étranger, d’où nous importons tout, masques, blouses, tests, médicaments et autres appareils de réanimation…
-
Crise sanitaire : quand l’État grippe le pays de France
S’appuyant sur les chiffres de l’INSEE de la mortalité dans les régions métropolitaines, la comparaison, pour la période du 1er mars au 4 mai 2020 (constituant le faîte de la crise sanitaire) avec 2018 (année d’un épisode grippal prononcé), dissipera avantageusement les écrans de fumée statistiques insolemment médiatisés.
Car en dépit d’un confinement étonnamment tardif et sans commune mesure avec le modèle chinois, et malgré une circulation du virus sur notre sol depuis au moins novembre 2019 — accentuée par un brassage massif de population durant les fêtes de fin d’année propices aux transhumances —, on observe que la mortalité, dans six régions métropolitaines sur treize, a été en baisse ou n’a augmenté que faiblement par rapport à 2018 : Nouvelle-Aquitaine (-7,8 %), Bretagne (-7,4 %), Occitanie (-1,7 %), Normandie (-1,3 %), Pays de la Loire (+0,1 %), Corse (+2 %). Ces 6 régions abritent près de 22,7 millions d’habitants, soit 35 % de la population métropolitaine française (65 millions).
-
Bas les masques
Action réalisée devant la préfecture du Var pour dénoncer la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement.
Source: Academia Christiana
-
Test Covid : le président tanzanien pense qu’il se passe des choses étranges
-
Le Journal de TV Libertés du mardi 26 mai 2020
-
Eric Zemmour : « En France, l’hôpital est victime de l’invasion des étrangers qui viennent s’y faire soigner »
26/05/2020 – EUROPE (NOVOpress)
Eric Zemmour : « En France, l’hôpital est victime de l’invasion des étrangers qui viennent s’y faire soigner »Extrait de l’émission Face à l’info du 25 mai 2020.