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santé et médecine - Page 205

  • Philippe Douste-Blazy dénonce l’étude anti-chloroquine et lance un (énorme) pavé dans la mare !

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    Olivier Piacentini Boulevard Voltaire cliquez là

    Récemment, une étude publiée par la revue scientifique The lancet a conclu à l’inefficacité du traitement à la chloroquine du professeur Raoult, voire à sa nocivité. Outre la réputation de la revue, le test porte sur 96.000 patients, ce qui apporte une crédibilité à ses résultats. Immédiatement, les médias ont répercuté ces résultats à grand renfort de publicité. Olivier Véran a saisi le Haut Conseil de la santé publique afin de revoir les conditions de prescription de ce médicament, assouplies il y a quelques semaines.

    Interrogé sur BFM TV, Douste-Blazy a violemment critiqué cette étude, dont les résultats seraient biaisés. En effet, sur le groupe testé à la chloroquine, 20 % des personnes seraient atteintes de graves affections respiratoires, explique-t-il, contre seulement 7 % dans le groupe de contrôle… Un déséquilibre qui, évidemment, gonfle artificiellement la mortalité du groupe chloroquine. Et Douste-Blazy affirme avoir lu en détail les conditions de l’étude. « Si vous donnez de la chloroquine à des mourants, c’est sûr qu’ils vont mourir », a ajouté l’ancien ministre.

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  • Le progressisme est l’ennemi du peuple !

    Quand une nation affronte une guerre, un ennemi, la solidarité « mécanique », selon Durkheim, s’affirme, et le nombre des suicides diminue. La crise économique qui disloque une société entre ceux qui bénéficient d’un emploi garanti et les autres n’a pas le même effet. L’expérience d’une crise sanitaire doublée d’une crise économique ne peut évidemment être identifiée à une guerre. Le danger vital d’abord, social ensuite, conduira les membres d’une nation à juger leurs dirigeants selon l’efficacité des moyens employés pour les surmonter l’un et l’autre. Il y aura donc un soutien plus ferme de ceux dont l’action sera jugée positive. Il n’y aura pas d’union nationale.

    C’est ainsi que Mme Merkel a bénéficié des bons résultats allemands face au Covid-19, qui font oublier son aveuglement sur le risque migratoire. La situation est très différente en France, car l’épreuve, mal « gérée », loin de favoriser l’unanimité a renforcé un clivage mondial vécu avec plus d’intensité dans notre pays.

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  • Déconfinement: les règles pour les vacances d’été devraient être dévoilées par le gouvernement « dans la semaine »

    Le gouvernement devrait donner des précisions sur la seconde phase du déconfinement qui débutera le 2 juin, et notamment sur l’organisation des vacances, la semaine prochaine, a annoncé ce dimanche le ministre de la Transition écologique Elisabeth Borne, indiquant notamment que « Chacun peut commencer à réserver ses vacances. On annoncera les nouvelles règles dans le courant de la semaine ».

    « Dès maintenant, on peut réserver ses vacances pour le mois de juillet, pour le mois d’août. Pour le mois de juin, on précisera des choses dans le courant de la semaine », a poursuivi Elisabeth Borne. « On n’invite absolument pas les Français à réserver leurs vacances à l’étranger. Cette année l’idée est plutôt de passer ses vacances en France », a ajouté le ministre, alors que l’Italie et l’Espagne ont annoncé la réouverture prochaine de leurs frontières.

    20 Minutes

    https://www.tvlibertes.com/actus/deconfinement-les-regles-pour-les-vacances-dete-devraient-etre-devoilees-par-le-gouvernement-dans-la-semaine

  • Dépôts de bilan : l’hécatombe ne fait que commencer

    de l’essayiste Olivier Piacentini (ses livres ici) :

    « En quelques jours, les annonces des dépôts de bilan, licenciements et fermetures d’usines ont plu dans les médias. Naf Naf et Alinea ont d’ores et déjà déposé le bilan, Conforama devrait suivre dans les jours qui viennent. Comme André, la Halle, 5 à sec et hélas, bien d’autres. Redressements judiciaires, plans de sauvegarde, ces dernières essaieront de survivre, mais ne pourront résister qu’en réduisant le nombre de magasins et les effectifs…

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  • VINCENT LAPIERRE DÉMONTE « L'ANALYSE » DE SORAL SUR LE CORONAVIRUS (et le reste !)

  • Splendeurs et misères de la gouvernance

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    La crise du coronavirus marquera, à plus d'un titre, l'histoire du monde. Peut-être moins en raison du nombre de morts que la pandémie aura provoqué qu'en raison de ce qu'elle aura révélé sur l'aveuglement des gouvernants et la docilité des gouvernés. Que sait-on au juste de ce virus ? Malgré des médias mainstream abreuvant d'informations, le péquin moyen ne dispose de quasiment rien de précis et de fiable. Il est, par exemple, impossible de calculer le taux de létalité du virus puisque, faute de tests, on ignore le nombre de personnes infectées. Et pourtant, les tenants de la gouvernance ne cessent de justifier leurs décisions en brandissant l'argument d'autorité scientifique (la consultation d'un comité d'experts). Si cela a permis, un temps, d'étouffer le débat et d'essayer de Étire passer les esprits critiques pour des irresponsables, la cohérence du discours s'est assez rapidement fissurée quand sont apparues au grand jour les concurrences entre équipes de chercheurs laissant entrevoir des intérêts plus financiers que médicaux. S'il existe un traitement (qui n'est certes pas une panacée) à base de chloroquine associée à d'autres médicaments pour soigner les seuls malades, pourquoi certains veulent-ils (à tout prix...) un vaccin susceptible d'être imposé à toute l'humanité ?

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  • Les entrepreneurs face à la crise du coronavirus – LA PAROLE AU PEUPLE, ÉPISODE 4

  • Ecole, commerce, la marelle idiote du déconfinement balisé vous décourage d'apprendre et d'acheter

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    La France de Campagnol, chronique  de Christian Combaz sur TV Libertés cliquez ici


  • Ce que les statistiques occultent : l'avortement multiplie les risques de cancer du sein

    À seulement regarder autour de nous, dans notre entourage le plus proche, une véritable hécatombe a depuis une décennie éclairci nos rangs. Barrant en filigrane l'horizon des 55 à 65 ans. Tout ce que ce pays porte d'organismes spécialisés dans la lutte contre le cancer, la puissante corporation pharmaco-médico-chirurgicale, les observatoires, les instituts de veille, les offices de comparaisons statistiques, les laboratoires, les départements ultra-pointus des hôpitaux ultra-modernes, depuis des années clament que le pire est derrière nous et que grâce aux nouvelles techniques, aux nouveaux matériels, aux nouvelles molécules, aux nouvelles recherches, aux nouveaux protocoles, la victoire sur le cancer est à portée de main.

    Pourtant voici une information qui jette quelques doutes. Le 13 décembre 2007, Time révélait les conclusions auxquelles était parvenue une équipe de chercheurs du réputé centre anticancéreux M.D. Anderson de Houston, menée par le Dr Donald Berry, responsable du département des Biostatistiques et des Mathématiques Appliquées. Alors que depuis plus de vingt-cinq ans la chimiothérapie à haute dose suivie, après chirurgie mammaire, par une transplantation de cellules souches destinées â reconstruire le système immunitaire détruit, représentait le nec plus ultra de la cancérologie du sein, ce protocole, erroné, n'aurait offert de rémission à personne. Un symposium international sur le cancer du sein qui se tenait à San Antonio, toujours au Texas, l'aura catégoriquement démontré. Pour le Dr Larry Norton, du Centre anti-cancer Sloan-KetteIing de New York, « ce rapport devrait définitivement refermer la porte sur de tels traitements ». Et tant pis pour les plus de 20 000 femmes ainsi "soignées" qui, rien qu'aux États-Unis, sont finalement mortes empoisonnées par leur chimiothérapie.

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  • Le Covid-19 : les droits nationaux et la Cour de Karlsruhe, par François Schwerer.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    Une institution nationale vient de rappeler aux technocrates de l’Union européenne qu’il n’existe pas de super-État fédéral, et que la BCE ne doit pas être un instrument politique.

    Le 5 mai 2020, la Cour constitutionnelle de Karlsruhe a estimé que la Bundesbank devrait, dans les trois mois, cesser d’acheter des emprunts d’États de la zone euro pour le compte de la BCE si cette dernière ne prouvait pas que ces achats étaient justifiés. C’est la première fois de l’Histoire qu’une cour constitutionnelle d’un pays membre de l’UE a jugé que les actions et les décisions d’une institution européenne ont outrepassé les compétences qui lui ont été attribuées en vertu des traités.

    La Constitution, garante de l’ordre juridique des pays membres

    La cour de Karlsruhe, contrairement à toutes les juridictions françaises qui ont fini par accepter la soumission du droit français au droit européen, estime que c’est la loi fondamentale allemande qui fondamentalement reste la norme juridique souveraine. En France, lorsqu’une décision d’une institution européenne vient heurter le droit fondamental, le Gouvernement s’empresse de plier ce dernier aux « avancées européennes », sans consulter le peuple, mais en réunissant le Parlement en Congrès. En privant ainsi le peuple de sa faculté de s’exprimer, il contribue à discréditer un peu plus chaque fois la vie politique aux yeux des citoyens.

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