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santé et médecine - Page 204

  • Ce que les statistiques occultent : l'avortement multiplie les risques de cancer du sein

    À seulement regarder autour de nous, dans notre entourage le plus proche, une véritable hécatombe a depuis une décennie éclairci nos rangs. Barrant en filigrane l'horizon des 55 à 65 ans. Tout ce que ce pays porte d'organismes spécialisés dans la lutte contre le cancer, la puissante corporation pharmaco-médico-chirurgicale, les observatoires, les instituts de veille, les offices de comparaisons statistiques, les laboratoires, les départements ultra-pointus des hôpitaux ultra-modernes, depuis des années clament que le pire est derrière nous et que grâce aux nouvelles techniques, aux nouveaux matériels, aux nouvelles molécules, aux nouvelles recherches, aux nouveaux protocoles, la victoire sur le cancer est à portée de main.

    Pourtant voici une information qui jette quelques doutes. Le 13 décembre 2007, Time révélait les conclusions auxquelles était parvenue une équipe de chercheurs du réputé centre anticancéreux M.D. Anderson de Houston, menée par le Dr Donald Berry, responsable du département des Biostatistiques et des Mathématiques Appliquées. Alors que depuis plus de vingt-cinq ans la chimiothérapie à haute dose suivie, après chirurgie mammaire, par une transplantation de cellules souches destinées â reconstruire le système immunitaire détruit, représentait le nec plus ultra de la cancérologie du sein, ce protocole, erroné, n'aurait offert de rémission à personne. Un symposium international sur le cancer du sein qui se tenait à San Antonio, toujours au Texas, l'aura catégoriquement démontré. Pour le Dr Larry Norton, du Centre anti-cancer Sloan-KetteIing de New York, « ce rapport devrait définitivement refermer la porte sur de tels traitements ». Et tant pis pour les plus de 20 000 femmes ainsi "soignées" qui, rien qu'aux États-Unis, sont finalement mortes empoisonnées par leur chimiothérapie.

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  • Le Covid-19 : les droits nationaux et la Cour de Karlsruhe, par François Schwerer.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    Une institution nationale vient de rappeler aux technocrates de l’Union européenne qu’il n’existe pas de super-État fédéral, et que la BCE ne doit pas être un instrument politique.

    Le 5 mai 2020, la Cour constitutionnelle de Karlsruhe a estimé que la Bundesbank devrait, dans les trois mois, cesser d’acheter des emprunts d’États de la zone euro pour le compte de la BCE si cette dernière ne prouvait pas que ces achats étaient justifiés. C’est la première fois de l’Histoire qu’une cour constitutionnelle d’un pays membre de l’UE a jugé que les actions et les décisions d’une institution européenne ont outrepassé les compétences qui lui ont été attribuées en vertu des traités.

    La Constitution, garante de l’ordre juridique des pays membres

    La cour de Karlsruhe, contrairement à toutes les juridictions françaises qui ont fini par accepter la soumission du droit français au droit européen, estime que c’est la loi fondamentale allemande qui fondamentalement reste la norme juridique souveraine. En France, lorsqu’une décision d’une institution européenne vient heurter le droit fondamental, le Gouvernement s’empresse de plier ce dernier aux « avancées européennes », sans consulter le peuple, mais en réunissant le Parlement en Congrès. En privant ainsi le peuple de sa faculté de s’exprimer, il contribue à discréditer un peu plus chaque fois la vie politique aux yeux des citoyens.

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  • La crise post-confinement sera terrible

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    Durant la  sanitaire, les entreprises françaises ont, jusque-là, limité la casse, du fait du chômage partiel pour 12,8 millions de salariés, du report de charge et des prêts garantis par l’État. Mais ces dispositifs d’aide vont peu à peu prendre fin, l’économie française va sortir du coma dans lequel elle a été artificiellement plongée. Les patrons ne pourront bientôt compter que sur les seuls revenus générés par leur activité pour payer leurs employés et leurs charges. Or, la production reprend lentement, mais ce réveil est freiné par les indispensables mesures sanitaires. La productivité va s’effondrer et pour un long moment.

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  • La chloroquine, bête noire des “élites”, par Ivan Rioufol

    La chloroquine serait-elle populiste ? La question est absurde. Mais elle ne l‘est guère plus que la guerre de tranchées qui s’est installée entre les pro et anti-Raoult, ce professeur marseillais qui prescrit l’hydroxychloroquine pour lutter contre le Covid-19 (mon blog du 27 avril). Lundi, Donald Trump a annoncé qu’il prenait lui-même, préventivement, ce médicament désormais au cœur d’une polémique entre réalistes et idéalistes. Le président des Etats-Unis a expliqué : “J’ai reçu beaucoup de courrier disant que ça semblait avoir un impact positif. Peut-être que oui, peut-être que non. Mais même si ce n’est pas le cas, vous n’allez pas tomber malade ou mourir“.

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  • On nous prend pour des cons. Quota pour la prime de 1 500 € pour les soignants, mais on pourra donner nos RTT !

    Ce gouvernement est une vaste blague à part Bruno le Maire et Edouard Philippe, le reste…

    Je vous passe les derniers propos pathétiques de mamamouchi 1er celui du palais qui a expliqué droit dans les yeux que « jamais notre pays n’a connu de pénurie de masques »… parfois il faut se pincer lorsque l’on entend ce genre d’imbécillité de la part du chef de l’Etat. Il y a de quoi frémir sur ce qui se passe dans leurs esprits alambiqués.

    Le summum nous sommes en train de l’atteindre avec cette histoire de prime de 1 500 euros pour les soignants !

    « Un quota envisagé pour la prime de 1 500 euros dans certains hôpitaux
    Versés sans distinction dans 40 départements, les 1 500 euros de la « prime Covid » maximale pourraient n’être attribués qu’à 40 % des effectifs dans 79 autres hôpitaux ».

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  • L’exemple chinois de reprise en main de la population pourrait être exportable, lui aussi…

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    « La stupidité est souvent sœur de la cupidité
    et, en la matière, les dirigeants ont montrés leur immense aptitude »

    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

    Après dix jours de déconfinement, peut-on déjà tirer des conclusions sur la gestion de la crise ?

    Rien qui n’ait été dit et redit et qui désormais ne fait plus de doute : nombre de gouvernements occidentaux, confrontés à l’épidémie, ont choisi de terroriser leurs populations ; la question est de savoir si eux-mêmes ont cédé à la peur – ce qui serait impardonnable pour des dirigeants sensés être maîtres de leur nerfs – ou s’ils ont décidé d’utiliser l’épidémie à leur avantage en orchestrant une panique injustifiée.

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  • La crise… et après ?

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    Le billet de Patrick Parment

    Il n’est nul besoin d’être grand clerc pour avancer que le Covid-19 laissera des traces tout à la fois politiques, économiques et sociales. L’Etat a adopté des plans financiers massifs d’aide aux entreprises, grandes et petites, sans qu’il soit possible d’en mesurer les effets exacts à court et moyen terme. Si l’on prend comme exemple Renault, où l’Etat vient d’injecter 5 Mds€ et que l’entreprise laisse entendre qu’elle fermera quatre usines en France, on a tout lieu de s’inquiéter. Les grands groupes ne vont -ils pas en profiter pour dégraisser, contraints ou forcés ?

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  • Des soignants de la Pitié-Salpêtrière à Macron : « On ne croit plus en vous ! »

  • Ce que révèle l’autopsie du « premier mort italien de la Covid-19 »

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    Il s’appelait Adriano Trevisan et habitait la commune de Vo, dans la province de Padoue en Vénétie.
    Ce fut selon la version officielle le premier mort de l’épidémie de Covid-19 en Italie, le 21 février de cette année, à l’âge de 78 ans.
    Une autopsie demandée par le parquet et effectuée ces jours derniers a montré qu’il souffrait déjà de graves troubles dégénératifs chroniques et que son décès ne serait donc pas relié directement au virus. Le site affaritaliani.it, qui s’était engagé dès le début pour lever l’interdiction des autopsies décidée par le gouvernement Conte, cite l'organe de réinformation La Bussola quotidiana, qui sous le titre « Les morts ne mentent pas » critique cette décision et estime par ailleurs que le traitement intensif par ventilation pratiqué dans les hôpitaux a augmenté le risque de décès par thrombose.

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  • Après le confinement, la submersion migratoire ?

    Le rétablissement progressif des déplacements internationaux risque d’entraîner un afflux massif de clandestins. Cette prévision n’émane pas de dangereux conspirationnistes mais d’organisations internationales « respectables ». Face à ce péril, le gouvernement français semble désarmé. Pire, son inaction rend possible la submersion migratoire du pays.

    Dans la période de l’après-confinement qui s’ouvre, le rétablissement progressif des transports aériens, maritimes et terrestres en Europe devrait être accueilli comme une bonne nouvelle. Pour au moins une raison, cela n’est pas le cas. Le retour à la normale risque en effet d’entraîner un afflux de clandestins en France. De nombreuses conditions sont réunies pour le rendre possible.

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