Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé et médecine - Page 258

  • La Petite Histoire – La grande pandémie : 50 millions de morts

    De mars 1918 à mai 1919, une pandémie sans précédent déferle sur l’Amérique du Nord, l’Europe, puis le monde. Familièrement appelé « grippe espagnole », le virus touche alors près d’un milliard de personne et en tue, au minimum, 50 millions. En pleine Grande Guerre, l’Europe fragilisée est rapidement plongée dans l’effroi, et des mesures radicales sont mises en place… bien trop tard. Peut-on comparer cette situation avec l’épidémie actuelle de coronavirus (Covid-19) ? Beaucoup de similitudes existent entre ces deux fléaux qu’un siècle sépare pourtant. Retour sur la plus grande pandémie du XXe siècle, et sur les leçons qu’elle nous lègue.


    Le Figaro : Peut-on comparer le coronavirus et la grippe espagnole?

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-la-grande-pandemie-50-millions-de-morts

  • Non, le gouvernement n’enverra pas les profs ramasser les fraises !

    2019-01-23-09-51-14-1200x679-1-845x475.jpg

    Enfin une bonne nouvelle ! Pas pour tout le monde, certes, mais c’est déjà ça. Une nouvelle qui devrait ravir les profs qui n’arrêtent pas de se plaindre : c’est simple, depuis que j’ai l’âge de raison, je les ai toujours entendus se plaindre. Allez savoir pourquoi ! Et c’est  qui s’est chargée d’annoncer la bonne nouvelle en ce 25 mars. On a les annonciations qu’on mérite. Je la cite : « Nous n’entendons pas demander à un enseignant qui aujourd’hui ne travaille pas de traverser la France pour aller récolter les fraises. »

    Déjà (ouvrons la parenthèse), le « nous n’entendons pas ». Un petit côté « l’État, c’est nous » qui vous dit tout de suite que là, on n’est pas n’importe où, qu’on n’assiste pas au rapport moral de l’association des boulistes de Caboulasse-de-Mildiou. Fermons la parenthèse. Eh puis, tiens, ouvrons une deuxième parenthèse : paraît que les profs télétravaillent ? On ne lui a pas dit, à Sibeth ? Jean-Michel, fais quelque chose ! Fermeture de la deuxième parenthèse.

    Lire la suite

  • Ça n'arrive qu'aux autres

    6a00d8341c715453ef025d9b404357200c-320wiDifficile, entendant le discours de Mulhouse de ce 25 mars, de demeurer stoïque, figé au garde à vous, le petit doigt sur la couture du pantalon, un moment interminable. On restera sans doute civique, le temps de la crise. On accepte la discipline car, dans une pareille période, on doit suivre les consignes des autorités. Cela fonctionnera pour peut-être 90 % d'entre nous, car au moins 10 % des habitants de l'Hexagone s'y refusent déjà. Les princes qui nous gouvernent craignent, ou plutôt savent, que notre obéissance ne durera pas bien longtemps.

    Si l'on en croit le quotidien Le Monde "le sommet de l’État redoute de devoir rendre des comptes".[1]

    À Beyrouth, ce 19 mars dans un pays déchiré à la fois par un affrontement culturel séculaire et par une crise financière majeure, le pouvoir était "accusé de tirer profit du coronavirus pour intimider les protestataires".[2]

    Lire la suite

  • Marine Le Pen (RN) sur le confinement des quartiers sensibles: « Il est acquis que, dans certains nombre de quartiers, la loi française n’existe pas » (Vidéo)

    Marine Le Pen s’attaque de front au gouvernement qui a menti sur les masques et les tests. Extrait tiré de la chaîne Youtube de Sud Radio.

    https://www.tvlibertes.com/actus/marine-le-pen-rn-sur-le-confinement-des-banlieues-il-est-acquis-que-dans-certains-quartiers-la-loi-francaise-nexiste-pas-video

  • Armées françaises comme hôpital public : mensonges et faillite d’Etat ?

    Armées françaises comme hôpital public : mensonges et faillite d’Etat ?

    Les connaisseurs du milieu militaire ne peuvent que sourire (avec tristesse) devant la communication outrancière et surtout exagérée sur le rôle des armées françaises dans la crise COVID 19 que traverse la France aujourd’hui. Cette communication est exagérée dans un seul et unique but : redorer l’image du pitoyable président Macron qui, non content d’avoir été imprévoyant,  cherche à être comparé à Clémenceau dans les tranchées.

    Tout comme l’hôpital public, l’armée française n’a plus les moyens depuis longtemps pour faire face de manière massive à une telle crise. Bien sûr, la responsabilité doit être recherchée, au minimum chez les trois derniers présidents qui ont diminué de manière drastique les moyens régaliens pour les rendre “rentables” : Sarkozy, Hollande et Macron.

    Les hôpitaux militaires ne pèsent que 1% de l’hôpital public (lui-même déjà débordé et sans moyen). Il aura fallu 6 jours pour que cet hôpital militaire de campagne prenne en charge son premier patient et il ne possède que 30 lits en capacité de réanimation. Savez-vous que l’hôpital historique du Val de Grâce, qui a été fermé contre l’avis des spécialistes, est aujourd’hui à l’abandon et abrite une section sentinelle de 30 soldats ?

    Lire la suite sur le Salonbeige

  • Confinement – Ces Parisiens chez les ploucs…

    Les bobos des villes se sont carapatés chez les ploucs des champs. Une satire signée Isabelle Marchandier.

    Ils ont eu une journée top chrono pour fuir Paris et les grandes villes avant que l’épée de Damoclès du confinement ne les oblige à rester confinés chez eux. On les a vu prendre d’assaut les gares, les aéroports, les loueurs de voitures et faire la queue aux stations-services. Une sorte d’exode qui n’était pas sans rappeler celui de Juin 40.

    La grande évasion

    Les bobos des villes se sont carapatés chez les ploucs des champs. Ils ont trouvé refuge chez ceux dont ils méprisaient le mode de vie anti-écolo. Mais quelle ne fut pas leur galère pour quitter la capitale. Voyons concrètement ce qui s’est passé pour l’un d’entre eux. Prenons l’archétype de ce col blanc, écolo dans l’âme, filant à toute allure chaque matin sur sa trottinette électrique pour se rendre à la station F, le Q.G de la Tech made in France et des élites mondialisées. Mais voilà, ne connaissant pas les frontières, le virus made in China s’est exporté en Europe. Faisant fi des classes sociales et des tranches d’âges, il touche tout le monde. Devant l’ampleur de la crise sanitaire et l’impréparation des pouvoirs publics à la gérer, le citoyen de la start-up nation applique les injonctions du management agile : il s’adapte… et se barre.

    Lire la suite

  • La guerre pour sauver l'économie, et sauver l'économie pour sauver la France ? Oui, mais...

    Comme d'habitude, il faut tout écouter et nous ne relèverons ici que quelques points particulièrement significatifs.

    1) Zemmour a beau jeu - et bien raison - de déclarer "ridicule" la façon dont Macron parle de "guerre" : certains dans son entourage vont même jusqu'à le comparer à Clemenceau ! On touche le fond de l'absurde.

    2) Zemmour a encore raison lorsqu'il note que cette mobilisation demandée aux français pour sauver l'économie est "tellement contradictoire" avec le confinement et le "restez chez vous"...

    3) Mais surtout, Zemmour rappelle avec raison la grande différence entre l'esprit public patriotique de 1914 et l'esprit public d'aujourd'hui. Il suffit de lire les lettres des Poilus ("Je me bats pour la France", "Je crois en Dieu"...) : aujourd'hui, dit Zemmour, on a tellement démoli le patriotisme qu'il va être très dur d'envoyer les gens au combat économique. Ce "on" c'est le ministère de la des-éducation nationale, c'est le Système qui s'acharne depuis 1875 à démolir tout ce qui faisait l'homme ancien pour le remplacer par l'homme nouveau, sans Dieu et sans Roi, sans Racines et sans Traditions, sans Passé et qui déteste son Histoire parcequ'on la lui a raconté d'une façon mensongère...

    4) Et donc maintenant, on nous sort 25 ordonnances pour sauver l'économie (dit-on)  sinon c'est la ruine de la France ! La semaine pourra aller jusqu'à 60 heures, au lieu des 48 heures maximales d'aujourd'hui (seul point positif, ce sera peut-être la fin - enfin ! - des 35 heures)...; il faudra travailler 7 jours sur 7 (donc le Dimanche) : "on va nous demander Germinal !" s'exclame Zemmour. En 1914, les français ont répondu présent, on peut rester dubitatif pour aujourd'hui lorsque l'on voit l'état de l'esprit public, créé par le Système !

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/03/26/zemmour-6223769.html

  • Et maintenant, la révolte des médecins!

    Et maintenant, la révolte des médecins!

    L’excellent Gérard Maudrux, urologue qui s’était fait connaître pour son franc-parler lorsqu’il présidait la caisse de retraite des médecins de France, vient de publier un article (circonstancié, mais au vitriol) contre le gouvernement sur la désastreuse gestion du fameux dossier de la chloroquine:

    Les choses bougeaient enfin, grâce à l’opinion publique, mais le gouvernement agit toujours pour que les Français ne disposent pas du Plaquenil. Nous sommes dirigés par des irresponsables, voire des criminels.

    Le gouvernement rassure les Français : « Oui nous nous intéressons au Plaquenil, oui c’est en cours, et il fait partie de nos protocoles expérimentaux avec d’autres médicaments ». Il oublie au passage de dire qu’il avait refusé au départ de le faire, et qu’il ne l’a fait que sous la pression de l’opinion publique : blogs, journaux, et surtout du Pr Raoult qui leur a dit « vos protocoles scientifiques, je m’assieds dessus, je prends mes responsabilités, avec votre accord ou non, je traite mes patients avec. » Tous les médecins de France veulent aussi prendre leurs responsabilités.

    Lire la suite

  • 4 000 morts par semaine !

    7800150156_des-personnes-masquees-pour-se-proteger-du-coronavirus-illustration.jpg

    Pieter Kerstens

    C’est le nombre de décès, en France, dus à la grippe hivernale en décembre 1969 et janvier 1970. Qui s’en souvient ? Et à cette époque (au Moyen-Age ?) ni les médias, ni les politiques n’en ont fait toute une tragédie. Pourtant, après mai 1968, on vivait « une époque formidable » et il était « interdit d’interdire ».

    Autres temps, autres mœurs.

    Bien évidemment les sociétés occidentales ont évolué et les progrès scientifiques, surtout dans le domaine médical, ont permis d’allonger la durée de vie de plus de quinze années ces cinq dernières décennies, ce qui nous amène par conséquent à revoir fondamentalement le système des retraites et la totalité des financements liés à la Sécurité Sociale, sous peine de sa faillite.

    Parallèlement le comportement des individus, tant moral que matériel, encouragé par les gouvernements successifs a conduit la population à « jouir sans entrave » et pour chacun à estimer qu’il n’avait que des droits et plus aucun devoir, sans se soucier de l’intérêt général ni du bien commun. Les valeurs traditionnelles qui ont fait la grandeur de l’Europe au travers des siècles et par-delà des mers n’ont plus été enseignées dans les écoles depuis fort longtemps : Honneur, Abnégation, Courage, Travail, Fraternité, Famille, Fidélité, Conviction, tout cela a été envoyé au rencard.

    Lire la suite

  • Libération de détenus : révélation de l’incompétence…

    446px-nicole_belloubet_ministre_de_la_justice_cropped-446x475.jpg

    Comme toujours au cœur des catastrophes, et celle que nous vivons mérite ce qualificatif, les pouvoirs publics révèlent leur (in)capacité à faire face à la crise. Le confinement auquel nous sommes contraints, sans doute à raison mais bien tardivement, démontren s’il en était besoinn que nous ne sommes pas gouvernés mais tout au plus administrés.

    Chacun connaît l’état des prisons françaises, dont on a parlé ici. Suroccupées, gangrenées par l’islamisme des cités, foyers de violence extrême, elles présentent un risque majeur en cas de contamination. Les quelques mesures prises jusque-là relèvent du bon sens, comme la suppression des parloirs, mais sont gravement insuffisantes puisque les Français ont découvert que les surveillants étaient dépourvus de masques, à l’instar des policiers et gendarmes.

    Mais on apprend par la presse que le ministre de la Justice entend libérer par anticipation plus de 5.000 détenus pour désengorger les prisons. Un tel sommet d’irresponsabilité laisse pantois.

    Lire la suite