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santé et médecine - Page 259

  • Emmanuel Macron, chef d’une guerre… de communication

    Emmanuel Macron, chef d’une guerre… de communication

    La France a déjà perdu la guerre de l’efficacité contre la contagion du coronavirus :

    • absence de masques, de gels hydro-alcooliques, pour toutes les personnes en contact professionnel avec beaucoup de monde (personnels soignants bien sûr, forces de l’ordre, personnels des magasins…) comme pour l’ensemble de la population ;
    • incapacité logistique et règlementaire à faire fabriquer, acheter, protéger et livrer ces produits manquants ;
    • incapacité à déployer des tests de dépistage en nombre.

    Il ne reste donc plus que les moyens de rattrapage, beaucoup plus onéreux. D’abord pour la richesse de la nation (confinement généralisé), ensuite pour toutes les personnes engagées d’abord dans les soins apportés aux malades, enfin –quand on y réfléchit- à d’incompréhensibles suppressions de liberté (on laisse les lieux de culte ouverts, limités à 20 personnes, mais on n’a pas le droit d’y célébrer de messes en public en respectant les précautions élémentaires et d’ailleurs le formulaire d’attestation de déplacement dérogatoire ne prévoit pas le cas du culte !).

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  • Le difficile confinement des « quartiers » : analyse médiatique

    Depuis mardi 17 mars 2020, les déplacements sont strictement réglementés en France. En tout et pour tout, 5 motifs de déplacement sont tolérés. Le décret les instituant écarte toute autre possibilité, ainsi que toute possibilité de regroupement. Si dès le 17 mars, la contravention pour non-respect de ces dispositions était majorée, il en faudra plus pour intimider une partie de la population.
    Nous revenons sur le traitement médiatique de la violation délibérée et assumée de ces règles, qui, conjuguée à la persistance d’une délinquance de droit commun, aboutit à mettre en danger de nombreuses personnes, dans un point de situation arrêté le 21 mars.

    Les faits divers

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  • En pleine crise du coronavirus : vers l’élargissement de l’Union européenne

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    Alors que la France et le monde sont confrontés à une crise sanitaire sans précédent qui a obligé le confinement de trois milliards de personnes et qui tue chaque jour, nos dirigeants français et européens poursuivent le chemin, jamais remis en cause, d’une mondialisation et d’un élargissement de l’Union européenne.

    Peu importe à nos élites bruxelloises qui, à la manière d’une inconsistante Ursula von der Leyen (dont la mesure la plus significative pour lutter contre le Covid-19 fut une vidéo d’elle expliquant comment bien se laver les mains), continuent leur folle politique d’expansion d’une Union européenne dont les failles éclatent au grand jour à l’aune de cette crise.

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  • I-média n°291 – Coronavirus : la faillite du gouvernement

    02:20 L’image de la semaine

    Michel Cymès continue, mine de rien, à pontifier sur les plateaux télé malgré ses graves erreurs quant à la dangerosité du Coronavirus.

    04:13 Coronavirus. La faillite du gouvernement

    Les médias ne savent pas sur quel pied danser face aux incroyables loupés gouvernementaux. Les journalistes semblent même de plus en plus agacés…

    23:13 Revue de presse

    Dans la revue de presse de la semaine, nous verrons que les médias s’intéressent peu à l’arrivée possible de l’Albanie dans l’UE et qu’ils s’intéressent encore moins aux attaques de migrants à la frontière entre la Turquie et la Grèce…

    28:58 Chloroquine : grand Raoult médiatique

    Enfin, nous nous intéresserons au débat médiatique le plus brûlant du moment : faut-il faire confiance au druide Raoult et boire sa potion magique ? Dans ce I-Média n°291, nous tenterons d’apporter quelques éléments d’éclairage…

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n291-coronavirus-la-faillite-du-gouvernement

  • Coronavirus – Michel Onfray : “Le gouvernement a choisi la pire stratégie”

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    Michel Onfray a donné son avis sur le début de la crise : « pas de stratégie, c’est la stratégie libérale, laissez faire, laissez passer, pas de frontières »

    Découvrez cet extrait tiré de l’émission “L’Heure des Pros 2” (CNews) du 23 mars 2020.

    https://fr.novopress.info/217232/coronavirus-michel-onfray-le-gouvernement-a-choisi-la-pire-strategie/

  • Une crise pour rien ?

    Depuis quelques jours, il est de bon ton d’affirmer ou d’espérer que, après cette crise, rien ne sera plus comme avant, et nombre d’articles évoquent cette possibilité, cette « bonne nouvelle » que je suis le premier à souhaiter. Le discours du président lui-même n’appelait-il pas à changer les choses, à en finir avec l’illimitation de la mondialisation ? En tout cas, il est bien certain que cette période étrange fournit nombre d’arguments crédibles et solides aux partisans d’un retour au local et d’une certaine distanciation du mondial lointain : retrouvons le sens du proche et des prochains, cela paraît désormais plus prudent et, surtout, nécessaire.

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  • La Petite Histoire – La grande pandémie : 50 millions de morts

    De mars 1918 à mai 1919, une pandémie sans précédent déferle sur l’Amérique du Nord, l’Europe, puis le monde. Familièrement appelé « grippe espagnole », le virus touche alors près d’un milliard de personne et en tue, au minimum, 50 millions. En pleine Grande Guerre, l’Europe fragilisée est rapidement plongée dans l’effroi, et des mesures radicales sont mises en place… bien trop tard. Peut-on comparer cette situation avec l’épidémie actuelle de coronavirus (Covid-19) ? Beaucoup de similitudes existent entre ces deux fléaux qu’un siècle sépare pourtant. Retour sur la plus grande pandémie du XXe siècle, et sur les leçons qu’elle nous lègue.


    Le Figaro : Peut-on comparer le coronavirus et la grippe espagnole?

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-la-grande-pandemie-50-millions-de-morts

  • Non, le gouvernement n’enverra pas les profs ramasser les fraises !

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    Enfin une bonne nouvelle ! Pas pour tout le monde, certes, mais c’est déjà ça. Une nouvelle qui devrait ravir les profs qui n’arrêtent pas de se plaindre : c’est simple, depuis que j’ai l’âge de raison, je les ai toujours entendus se plaindre. Allez savoir pourquoi ! Et c’est  qui s’est chargée d’annoncer la bonne nouvelle en ce 25 mars. On a les annonciations qu’on mérite. Je la cite : « Nous n’entendons pas demander à un enseignant qui aujourd’hui ne travaille pas de traverser la France pour aller récolter les fraises. »

    Déjà (ouvrons la parenthèse), le « nous n’entendons pas ». Un petit côté « l’État, c’est nous » qui vous dit tout de suite que là, on n’est pas n’importe où, qu’on n’assiste pas au rapport moral de l’association des boulistes de Caboulasse-de-Mildiou. Fermons la parenthèse. Eh puis, tiens, ouvrons une deuxième parenthèse : paraît que les profs télétravaillent ? On ne lui a pas dit, à Sibeth ? Jean-Michel, fais quelque chose ! Fermeture de la deuxième parenthèse.

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  • Ça n'arrive qu'aux autres

    6a00d8341c715453ef025d9b404357200c-320wiDifficile, entendant le discours de Mulhouse de ce 25 mars, de demeurer stoïque, figé au garde à vous, le petit doigt sur la couture du pantalon, un moment interminable. On restera sans doute civique, le temps de la crise. On accepte la discipline car, dans une pareille période, on doit suivre les consignes des autorités. Cela fonctionnera pour peut-être 90 % d'entre nous, car au moins 10 % des habitants de l'Hexagone s'y refusent déjà. Les princes qui nous gouvernent craignent, ou plutôt savent, que notre obéissance ne durera pas bien longtemps.

    Si l'on en croit le quotidien Le Monde "le sommet de l’État redoute de devoir rendre des comptes".[1]

    À Beyrouth, ce 19 mars dans un pays déchiré à la fois par un affrontement culturel séculaire et par une crise financière majeure, le pouvoir était "accusé de tirer profit du coronavirus pour intimider les protestataires".[2]

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