L'avocat des professionnels de Santé Fabrice Di Vizio répond clairement face aux mensonges du gouvernement !
A propos de Laurent Nuñez, il s'énerve et va encore plus loin en déclarant : "Lui il faut le frapper à un moment donné !"
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
L'avocat des professionnels de Santé Fabrice Di Vizio répond clairement face aux mensonges du gouvernement !
A propos de Laurent Nuñez, il s'énerve et va encore plus loin en déclarant : "Lui il faut le frapper à un moment donné !"
A la faveur de la guéguerre entre le ministère de la Santé et le Pr Raoult, que nous suivons avec passion depuis quelques jours, je découvre (grâce à un lecteur du SB: décidément l’intelligence collective, ça existe vraiment!) le blogue Anthropo-logique animé par Jean-Dominique Michel, qui se définit comme “anthropologue de la santé”. Ce dernier vient de mettre en ligne un passionnant article intitulé: “Hydroxychloroquine: comment la mauvaise science est devenue une religion“. J’y lis ceci:
Ce que le public ignore, lui qui fait un peu naïvement confiance aux « scientifiques », c’est que la recherche médicale est en crise systémique depuis plus de 15 ans. A l’époque, John Ioannidis, un médecin né à New York, passé ensuite par les Universités d’Athènes et Ioannina (Grèce) puis Harvard, avait lancé un sacré pavé dans la mare sous la forme d’un article intitulé « Why Most Published Research Findings Are False » (“Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux.”). […] Dix ans plus tard, la société californienne Amgen (leader mondial de l’industrie des biotechnologies médicales) lança une montagne dans la mare en révélant avoir essayé de répliquer les résultats de 47 de 53 articles “phares” fondant les principaux protocoles alors utilisés contre le cancer. […] On comprend comment tout la fiabilité d’un résultat de recherche implique sa reproductibilité. Le « test » de Amgen, publié en 2016 dans le prestigieuse revue « Science » fit désordre : des 53 expériences reproduites, les chercheurs ne purent retrouver les mêmes résultats que pour… 7 d’entre elles !
C’est une histoire de fou. Une histoire française. Voici un éminent spécialiste, Didier Raoult, expert mondial en maladies infectieuses et tropicales, obligé de se battre pour se faire entendre des autorités de son pays. En revanche, les travaux de ce grand chercheur, qui exerce à Marseille, ont déjà réussi à convaincre Donald Trump de l’efficacité de la chloroquine (antipaludéen) dans le traitement du coronavirus Covid-19. “Nous allons pouvoir rendre ce médicament disponible quasi-immédiatement“, a déclaré le président américain vendredi. Pour sa part, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a assuré dimanche vouloir le tester davantage.
Face à la crise sanitaire engendrée par l’épidémie de coronavirus, le ministère du Travail a annoncé mardi 24 mars que le gouvernement allait permettre de déroger à la durée du travail dans certains secteurs jusque 60 heures sur une semaine, contre 48 heures actuellement, et 46 heures contre 44 heures en moyenne sur une période de 12 semaines.
Ces modifications pourront s’appliquer dans les secteurs de l’énergie, des télécoms, de la logistique, des transports ou encore de l’agroalimentaire, a précisé l’entourage du ministre du Travail Muriel Pénicaud. Ces heures additionnelles de travail devraient être payées en « heures supplémentaires » et le temps de repos devrait être respecté, selon la même source.
Pourquoi le ponte Didier Raoult a-t-il eu tant de mal à faire accepter l’idée d’un test à grande échelle de l’hydroxychloroquine contre le coronavirus? Non seulement le spécialiste s’est jusque-là heurté à un scepticisme systématique, mais il ressort aussi qu’il a longtemps été en conflit avec Yves Lévy, époux d’Agnès Buzyn.
«Il ne faut plus tarder mais agir», martèle-t-il. Ce lundi 23 mars, une très longue file d’attente s’est formée devant l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée de Marseille (IHU). Les patients potentiels, dont certains sont décrits comme fébriles, masqués et gantés, peuvent y être testés et bénéficier du traitement par hydroxychloroquine associée à un antibiotique.
Pourquoi cette molécule a-t-elle eu tant de mal à émerger et à être reconnue comme piste très prometteuse contre le coronavirus?
Les réseaux sociaux, puis certains médias, se sont mis à creuser la question. Résultat: il semble bien que cet antipaludéen (également utilisé contre la maladie du lupus) bon marché, utilisé depuis des décennies, et facile à produire ait été victime d’un tir de barrage à la fois médiatique et politique, et peut-être même d’inimitiés.
Par Sylvain Tesson
Le général Gallet avait commandé la lutte contre l’incendie de Notre-Dame. Il pourrait être chargé de diriger une cellule de crise au temps du virus. Dans les deux cas, lutte contre la propagation. On dit d’ailleurs : « confiner un feu ». Un plan blanc a été déclenché. Médecins, soignants et infirmiers se pressent aux postillons comme les pompiers aux flammes. Ils montent au front, vêtus de blanc. Ils ne décrochent pas. L’héroïsme n’a pas changé de défini- tion : sacrifice de soi. La nation se rend compte qu’elle dispose de ces corps qui acceptent de « sauver ou périr ». Nos sociétés sont bien outillées pour les catastrophes. Ainsi des époques. Dans l’histoire de France, il y a eu des temps bâtisseurs (XIIe siècle), conquérants (Premier Empire), artistiques (Belle Époque). À présent, nous sommes doués pour éteindre les brasiers. La dégradation de l’ordre ancien s’accompagne de l’augmentation des moyens d’urgence. Reconnaissons cela à la modernité : nous savons nous activer sur les décombres. Définition du progrès : amélioration des services de réparation du désastre.
Premier jour de confinement, deuxième de télétravail, puisque l’Éducation nationale a enfin décidé qu’il fallait arrêter de se réunir… Jeudi encore (même pas une semaine), le Président allait au théâtre et, dimanche, allait voter… Les premiers mails d’élèves arrivent, les plus connectés, les plus sérieux. On travaille. La poésie engagée. Le Printemps des poètes, qui a lieu, comme tous les ans, à cette période, a pour thème « le courage ». Tiens, un signe… Sous le patronage de Corneille : « Espère en ton courage, espère en ma promesse. »
On a aussi le temps de lire. Pascal, bien sûr : « Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose… » Finalement, les catholiques en carême devraient y voir un autre signe, dans cette retraite.
Le très sérieux Quotidien du Médecin citait dès le 26 février la chloroquine comme traitement efficace contre le coronavirus :
La chloroquine, bien connue en tant qu’antipaludique, a montré des signes d’efficacité contre les pneumonies induites par le coronavirus, selon une étude clinique chinoise publiée dans la revue « BioScience Trends » du 19 février (publication avancée).
Cette information avait déjà été annoncée le 17 février par le Conseil d’État chinois, mais elle a pris une tout autre ampleur en France depuis les déclarations du Pr Didier Raoult, directeur de l’Institut Méditerranée infection à Marseille, qui a relayé cette information. Didier Raoult s’est félicité de cette « extraordinaire nouvelle, pour ce traitement qui ne coûte rien ». L’essai clinique en question a été mené dans plus de dix hôpitaux chinois (à Wuhan, Pékin et Shanghai notamment) pour mesurer l’efficacité de la chloroquine sur le traitement de pneumonies associées au Covid-19. « Les résultats obtenus sur plus de 100 patients ont démontré que le phosphate de chloroquine était plus efficace que le traitement reçu par le groupe comparatif pour contenir l’évolution de la pneumonie, pour améliorer l’état des poumons, pour que le patient redevienne négatif au virus et pour raccourcir la durée de la maladie », précisent les auteurs, en ajoutant que l’innocuité du traitement était acceptable. Selon les chercheurs chinois, un traitement de 500 mg de chloroquine par jour pendant dix jours serait suffisant. Ils ajoutent que « la chloroquine est un médicament peu cher et sans danger, utilisé depuis plus de 70 ans ».
source: Le Salon Beige
La période du confinement forcé est propice à la lecture et à la réflexion, et ce sont des moyens utiles pour éviter de sombrer dans une forme d’hibernation intellectuelle facile mais, à plus ou moins long terme, fatale à l’intelligence et à la mesure. De nombreux éditorialistes poursuivent d’ailleurs leur activité, nourrissant le débat de plus ou moins bon grain, mais la lecture du Marianne de cette semaine apporte quelque réconfort au vieux royaliste que je suis, inquiet de voir certaines de ses prédictions anciennes se réaliser en direct mais soucieux de dépasser cet état pour avancer et lutter contre le fatalisme et la récidive. Il est d’ailleurs toujours surprenant de constater que derrière ce titre, qui pourrait nous déplaire au regard de ce qu’il symbolise, il se trouve parfois d’excellentes choses, pas si républicaines ou, du moins, pas si « républicanistes » que cela…
Loïk Le Floch-Prigent est notamment ex-PDG d’Elf-Aquitaine et de Gaz de France. Aujourd’hui, il accuse le gouvernement. Et l’accusation est grave. Il affirme que le gouvernement a refusé l’aide d’entreprises pour fabriquer d’urgence des respirateurs artificiels.