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santé et médecine - Page 264

  • Et maintenant la fin de la CEDH

    Et maintenant la fin de la CEDH

    L’ECLJ nous informait récemment que, par une double décision rendue publique jeudi 12 mars, 3 juges de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) ont privé les sages-femmes européennes de la garantie de leur droit à l’objection de conscience face à l’avortement. Cette décision peut s’appliquer, par extension, à toute la profession médicale.

    L’ECLJ est notamment l’auteur d’un rapport sur les relations existant entre plusieurs juges de la Cour européenne des droits de l’homme et des ONG actives devant cette Cour. Rapport explosif qui n’a pas provoqué la crise judiciaire que nous serions en droit d’attendre.

    Mais c’est le coronavirus qui semble avoir la peau de la CEDH. La Lettonie, la Roumanie, la Moldavie et l’Arménie viennent d’activer l’article de la Convention européenne des droits de l’Homme qui permet d’y déroger en état d’urgence et d’autres pourraient suivre. Ces quatre Etats membres du Conseil de l’Europe (sur 47) ont “officiellement notifié” ces derniers jours se trouver en état d’urgence et activer la dérogation prévue par l’article 15 de la Convention. La France n’a à ce jour pas notifié de dérogation au secrétaire général du Conseil de l’Europe.

    L’article 15 prévoit qu'”en cas de guerre ou en cas d’autre danger public menaçant la vie de la nation”, un Etat membre

    “peut prendre des mesures dérogeant aux obligations prévues par la CEDH, dans la stricte mesure où la situation l’exige et à la condition que ces mesures ne soient pas en contradiction avec les autres obligations découlant du droit international”.

    https://www.lesalonbeige.fr/et-maintenant-la-fin-de-la-cedh/

  • Les « quartiers ethniques » se fichent du confinement

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    Paul Vermeulen

    Pour les autorités, le confinement est le meilleur moyen pour limiter la violence du pic de l’épidémie ainsi que l’engorgement des hôpi- taux et le nombre de décès. Un anesthésiste réanimateur de la Pitié Salpêtrière déclarait mardi soir sur LCI que la France peut gérer 6 000 malades en réanimation, jusqu’à 12 000 en bloquant tous les hôpitaux. Il précisait aussi qu’en cas d’échec du confinement, l’estimation serait de 100000 à 150 000 malades devant être mis en réanimation. Commentaire : « Ça, on ne sait pas faire. On entre tous dans un autre monde, là. »

    « Tous » ? Pas sûr, à voir ce qui remonte déjà des ban- lieues et de certains quartiers. Qui pense que le confine- ment va être respecté dans ces endroits ? Mercredi 18 mars en soirée, une fois n’est pas coutume, les médias officiels montraient des images de quartiers pari- siens dont les populations ne respectent rien. Ce sont les mêmes que d’habitude : les territoires perdus de la République, où la sécession évoquée par François Hollande puis par l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, le jour de sa démission, est déjà effective.

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  • Coronavirus : Agnès Buzyn savait dès janvier, Macron n’a rien fait #MacronDestitution

  • Il faudra réussir l’atterrissage après la crise et en tirer des leçons

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    Le monde de demain sera-t-il celui d’hier, voire d’avant-hier ? En tout cas, ni le progressisme, ni l’européisme, ni le mondialisme ne font plus recette, car le Covid-19 les a contaminés. Ceux qui marchaient vers un avenir radieux se sentent fiévreux et affaiblis, affaiblis dans leurs certitudes et dans leur arrogance. Depuis quelques jours, les mots d’ordre se sont inversés. Le renversement le plus fort est celui de la préférence que les belles âmes, le pape en particulier, avaient manifestée en faveur des ponts et au détriment des murs. Par une incroyable ironie de l’Histoire, on voit celle-ci nous offrir une séquence qui commence par l’effondrement du mur de Berlin et la fin de la séquestration des peuples par les dictatures communistes, et qui se termine sans doute en ce moment même avec le rétablissement des frontières.

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  • Crise du covid-19 : quels impacts potentiels sur le système économique mondial ?, par le Cercle Jean Bodin (Lyon).

    La crise sanitaire internationale induite par la pandémie du covid-19 donnera lieu à une crise économique et financière majeure. Cette analyse n’aura pas pour objectif de faire l’inventaire statistique de la récession économique internationale ; sur ce point, chacun pourra se documenter en sources de presse diverses sur l’état des économies nationales impactées par le covid-19. La chute constante des cours boursiers mondiaux en est l’un des témoins immédiats.
    L’objectif de cette analyse sera de se projeter sous un angle « méta-économique » et de réfléchir aux conséquences de fond que pourrait – devrait-on plutôt dire « devrait » - engendrer la crise du coronavirus sur la logique du système économique mondial, de son architecture. Comme toute crise, celle du covid-19 se traduira par des continuités. Cependant, elle pourra aussi donner aussi lieu à des ruptures majeures dans la manière de considérer la logique fondamentale du système économique international.

    ÉLÉMENTS PRÉLIMINAIRES - Quelle est l’architecture actuelle du système économique international ?

    Le système économique mondial repose sur plusieurs paramètres structurants, dont certains seront énumérés ci-après.
    1. Un étalon monétaire qui est lui-même une monnaie, à savoir le dollar ; ce dernier repose à son tour sur au moins deux piliers que sont, d’une part, la puissance militaire américaine comme garantie financière du référentiel états-unien, ainsi que le cours du baril de pétrole (qui, quant à lui, engage une multitude d’Etats exportateurs et importateurs de pétrole) ;
    2. Un système d’économie intégré à l’échelle mondiale, répondant du principe de la division internationale du travail (DIT), ainsi que de la libre circulation (bien que relative) des marchandises et des hommes ; ce dernier, d’inspiration économique libérale, pose que chacune des puissances économiques du monde se positionne sur le marché économique international en fonction de ses avantages comparatifs optimaux. C’est ce qui conduit certains pays, voire certaines régions, à se positionner comme les « usines du monde » - en proposant une main d’œuvre à bas coût et des standards sociaux et environnementaux très réduits – et d’autres à se structurer autour de l’économie de service, dont la valeur ajoutée intellectuelle et innovante justifie des coûts de vente plus élevés (c’est le cas des pays très développés) ;

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  • Orgueil de l’homme moderne

    « On n’est plus au Moyen-Âge ! » c’est ce que l’on entend quelquefois émettre par d’orgueilleux ignares persuadés que civilisationnellement notre temps est bien supérieur à celui de Saint Louis, de Saint Thomas d’Aquin et des bâtisseurs de Notre-Dame, assimilé à une période obscurantiste et barbare. Comme si, pour ce qui est de la barbarie, notre monde n’en avait pas atteint les sommets ! Et voici que, malgré toutes les avancées des sciences et des recherches dans tant de domaines, un méchant virus, se propageant sur tous les continents, vient donner une grande gifle à l’orgueil de l’homme moderne.

    En première analyse, les dégâts meurtriers du corona ne semblent pas être dans l’ordre de la rançon du progrès comme l’explosion de Fukushima ou nombre de maladies. Néanmoins, d’ores et déjà, bien des questions se posent sur l’irruption de ce virus.

    L’explication par le fait que des animaux vendus sur les marchés chinois, ou encore d’autres espèces, en aient été porteurs et transmetteurs, n’est qu’une hypothèse. Peut-être trop commode. Non, la pandémie ne vient pas forcément du gentil panda. Je n’ai pas été sans noter que le dictateur Xi Jinping, honoré comme un Mao vivant, a émis quelques curieuses phrases sur la nécessité de renforcer la sécurité et la surveillance des laboratoires de recherche bactériologique. Ces laboratoires sont souvent militaires. Cela n’induit pas nécessairement que le méchant corona se serait échappé de l’un d’entre eux.

    Mais à voir les ravages déjà causés par le corona, on ne peut qu’être effrayé par ceux qu’engendreraient quelques autres virus cultivés dans les centres de fabrications de ce que l’on désigne dans le langage militaire comme des « A.B.C » (Armes bactériologiques et chimiques). Aussi terrifiantes par leurs effets que les bombes nucléaires, elles constituent les gisements les plus exterminateurs pour les terrorismes et d’emploi plus facile.

    Comme on le voit, en effet on n’arrête pas le progrès…

    http://www.bernard-antony.com/2020/03/orgueil-de-lhomme-moderne.html

  • Sur C News, Charlotte d'Ornellas corrige Gérard Leclerc sur les frontières (Coronavirus).

  • La loi « urgence coronavirus » va revenir sur certains acquis sociaux, comme les congés payés ou les 35 heures, et ce sans date limite prévue

    Selon le journal Marianne, le gouvernement a réaffirmé devant le Sénat sa volonté de revenir sur certains acquis sociaux dans sa loi « urgence coronavirus », comme par exemple les congés payés ou les 35 heures. Des mesures qui devraient être « provisoires », sauf qu’aucune date limite n’est prévue dans le texte.

    Les congés payés revus à la baisse ?

    Le projet de loi dit d’adaptation à la crise du coronavirus prévoit notamment la possibilité pour le gouvernement de prendre des ordonnances ayant valeur de droit dans le domaine du droit du travail, afin de « modifier les conditions d’acquisition de congés payés et permettre à tout employeur d’imposer ou de modifier unilatéralement les dates de prise d’une partie des congés payés, des jours de réduction du temps de travail« . A priori, il sera également possible de revoir à la baisse le nombre de congés payés acquis par mois, aujourd’hui de 2,5.

    La fin des 35h dans certains secteurs ?

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  • Le député Laetitia Avia, censeur d’internet, veut forcer son attachée parlementaire à enfreindre le confinement

    Laetitia Avia est ce député africain chargé d’organiser la censure complète d’internet pour le compte du Régime. Elle s’était auparavant fait connaître par un comportement frisant le cannibalisme.

    « Restez chez vous et recourez au télé-travail ». La consigne du gouvernement est plutôt claire.

    « Or, selon des informations de Libération mercredi, une élue ne donnerait pas vraiment l’exemple. Il s’agit de Laetitia Avia, députée LREM de Paris. Cette dernière insisterait pour que son attachée parlementaire, pourtant confinée dans sa maison secondaire dans le Gard, revienne dans la capitale.

    «Cette collègue est en vacances depuis le 7 mars dans le Gard et sa députée veut depuis lundi soir (soit après l’allocution d’Emmanuel Macron, ndlr) qu’elle rentre à Paris. Ce qu’elle a clairement refusé pour faire prévaloir sa santé. Cela n’a aucun sens», a déploré Laurence de Saint-Sernin, la secrétaire générale du syndicat Solidaires de l’Assemblée nationale, alertée mardi. Détail notable : l’attachée parlementaire est atteinte d’une maladie auto-immune, ce qui l’expose davantage au risque de contamination du coronavirus. Pour la secrétaire générale du syndicat Solidaires, Laetitia Avia «met en danger sa collaboratrice, prend le risque de propager l’épidémie et ignore les règles liées au confinement de la population». Selon Libération, la députée LREM aurait même proposé de demander au ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, de mettre des moyens en œuvre pour assurer le retour de son assistante. […] » (source Le Figaro)

    http://www.contre-info.com/le-depute-laetitia-avia-censeur-dinternet-veut-forcer-son-attachee-parlementaire-a-enfreindre-le-confinement#more-61560

  • Le coronavirus aura eu raison d’Erdogan et de l’invasion migratoire: la Turquie ferme ses frontières

    Rien en semblait pouvoir arrêter la crise migratoire déclenchée par la Turquie aux frontières de la Grèce et de la Bulgarie. Rien en semblait faire entendre raison au président turc qui veut être sultan, Receypt Erdogan. 

    Rien… sauf le coronavirus. Ce minuscule organisme, invisible à l’œil nu, aura eu la peau de la pression exercée sur l’Europe par Erdogan, expert ès-maître-chanteur pour faire plier l’Union Européenne à ses desiderata. La Turquie, pour se protéger contre l’épidémie du Covid-19, a annoncé le 18 mars dernier, la fermeture de ses frontières terrestres avec la Grèce et la Bulgarie dans le cadre de mesures prises pour limiter la propagation du coronavirus.

    Les points de passages avec ces deux pays seront fermés aux voyageurs à partir de mercredi à minuit a décrété le ministère de l’Intérieur turc. Plusieurs milliers de migrants sont massés à la frontière de la Grèce, qui résiste vaillamment à l’invasion, depuis le mois dernier pour essayer de gagner l’Europe. Et vont y rester.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/le-coronavirus-aura-eu-raison-derdogan-et-de-linvasion-migratoire-la-turquie-ferme-ses-frontieres/118878/