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santé et médecine - Page 263

  • 4 000 morts par semaine !

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    Pieter Kerstens

    C’est le nombre de décès, en France, dus à la grippe hivernale en décembre 1969 et janvier 1970. Qui s’en souvient ? Et à cette époque (au Moyen-Age ?) ni les médias, ni les politiques n’en ont fait toute une tragédie. Pourtant, après mai 1968, on vivait « une époque formidable » et il était « interdit d’interdire ».

    Autres temps, autres mœurs.

    Bien évidemment les sociétés occidentales ont évolué et les progrès scientifiques, surtout dans le domaine médical, ont permis d’allonger la durée de vie de plus de quinze années ces cinq dernières décennies, ce qui nous amène par conséquent à revoir fondamentalement le système des retraites et la totalité des financements liés à la Sécurité Sociale, sous peine de sa faillite.

    Parallèlement le comportement des individus, tant moral que matériel, encouragé par les gouvernements successifs a conduit la population à « jouir sans entrave » et pour chacun à estimer qu’il n’avait que des droits et plus aucun devoir, sans se soucier de l’intérêt général ni du bien commun. Les valeurs traditionnelles qui ont fait la grandeur de l’Europe au travers des siècles et par-delà des mers n’ont plus été enseignées dans les écoles depuis fort longtemps : Honneur, Abnégation, Courage, Travail, Fraternité, Famille, Fidélité, Conviction, tout cela a été envoyé au rencard.

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  • Libération de détenus : révélation de l’incompétence…

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    Comme toujours au cœur des catastrophes, et celle que nous vivons mérite ce qualificatif, les pouvoirs publics révèlent leur (in)capacité à faire face à la crise. Le confinement auquel nous sommes contraints, sans doute à raison mais bien tardivement, démontren s’il en était besoinn que nous ne sommes pas gouvernés mais tout au plus administrés.

    Chacun connaît l’état des prisons françaises, dont on a parlé ici. Suroccupées, gangrenées par l’islamisme des cités, foyers de violence extrême, elles présentent un risque majeur en cas de contamination. Les quelques mesures prises jusque-là relèvent du bon sens, comme la suppression des parloirs, mais sont gravement insuffisantes puisque les Français ont découvert que les surveillants étaient dépourvus de masques, à l’instar des policiers et gendarmes.

    Mais on apprend par la presse que le ministre de la Justice entend libérer par anticipation plus de 5.000 détenus pour désengorger les prisons. Un tel sommet d’irresponsabilité laisse pantois.

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  • Effets d’annonce, bobards et complotisme : le coronavirus et les Fake News

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    Bernard Plouvier

    Les pandémies ont souvent donné lieu à des rumeurs. Lors de la Grande Peste du XIVe siècle, on a accusé les lépreux (alors très nombreux en Europe, par importation d’Afrique et du Proche-Orient), les sorciers & sorcières et, parfois, des Juifs d’empoisonner l’eau et les aliments. On a brûlé, pendu, passé par le fer. De nos jours, on se contente du lynchage médiatique.

    En 1918, la pandémie était appelée « Grippe espagnole » et cette soi-disant origine ibérique était une Fake New. Mais, lors des tractations de Paris pour établir le soi-disant Traité de Paix, on inventa un autre bobard : « La grippe de 1918 est bien partie de l’Est, ayant eu son premier foyer en Allemagne, où l’on s’était efforcé de tenir la chose secrète » (in Le Concours médical du 20 avril 1919)… le vaincu, tenu pour unique responsable du déclenchement de la guerre, devait l’être aussi de la propagation de l’épidémie meurtrière !

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  • Marine Le Pen : « l’Union européenne, premier mort du coronavirus »

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    La présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, a affirmé mardi que l’Union européenne était “le premier mort du coronavirus”, en raison de “son incapacité totale à apporter la moindre solidarité” à ses membres, touchés par la pandémie, sur RT.

    “L’union Européenne, premier mort du coronavirus !”, a affirmé Mme Le Pen, parce qu’elle a “démontré son incapacité totale à apporter la moindre réaction, la moindre solidarité, la moindre aide”, à ses pays membres.

    “Même pire, elle a donné des instructions, qui étaient des instructions mortelles”, en conseillant “vivement aux nations européennes de ne pas limiter la circulation des personnes”, a-t-elle ajouté.

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  • La confiance c'est fini. Depuis le début on nous ment !

    L'avocat des professionnels de Santé Fabrice Di Vizio répond clairement face aux mensonges du gouvernement !

    A propos de Laurent Nuñez, il s'énerve et va encore plus loin en déclarant : "Lui il faut le frapper à un moment donné !"

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  • Et si le coronavirus remettait en cause les principes mêmes de la recherche médicale ?

    Et si le coronavirus remettait en cause les principes mêmes de la recherche médicale?

    A la faveur de la guéguerre entre le ministère de la Santé et le Pr Raoult, que nous suivons avec passion depuis quelques jours, je découvre (grâce à un lecteur du SB: décidément l’intelligence collective, ça existe vraiment!) le blogue Anthropo-logique animé par Jean-Dominique Michel, qui se définit comme “anthropologue de la santé”. Ce dernier vient de mettre en ligne un passionnant article intitulé: “Hydroxychloroquine: comment la mauvaise science est devenue une religion“. J’y lis ceci:

    Ce que le public ignore, lui qui fait un peu naïvement confiance aux « scientifiques », c’est que la recherche médicale est en crise systémique depuis plus de 15 ans. A l’époque, John Ioannidis, un médecin né à New York, passé ensuite par les Universités d’Athènes et Ioannina (Grèce) puis Harvard, avait lancé un sacré pavé dans la mare sous la forme d’un article intitulé « Why Most Published Research Findings Are False » (“Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux.”). […] Dix ans plus tard, la société californienne Amgen (leader mondial de l’industrie des biotechnologies médicales) lança une montagne dans la mare en révélant avoir essayé de répliquer les résultats de 47 de 53 articles “phares” fondant les principaux protocoles alors utilisés contre le cancer. […] On comprend comment tout la fiabilité d’un résultat de recherche implique sa reproductibilité. Le « test » de Amgen, publié en 2016 dans le prestigieuse revue « Science » fit désordre : des 53 expériences reproduites, les chercheurs ne purent retrouver les mêmes résultats que pour… 7 d’entre elles !

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  • Covid-19 : Marseille défie l’Etat jacobin, par Ivan Rioufol

    C’est une histoire de fou. Une histoire française. Voici un éminent spécialiste, Didier Raoult, expert mondial en maladies infectieuses et tropicales, obligé de se battre pour se faire entendre des autorités de son pays. En revanche, les travaux de ce grand chercheur, qui exerce à Marseille, ont déjà réussi à convaincre Donald Trump de l’efficacité de la chloroquine (antipaludéen) dans le traitement du coronavirus Covid-19. “Nous allons pouvoir rendre ce médicament disponible quasi-immédiatement“, a déclaré le président américain vendredi. Pour sa part, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a assuré dimanche vouloir le tester davantage.

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  • Coronavirus: le gouvernement va permettre de travailler jusqu’à 60 heures par semaine dans certains secteurs

    Face à la crise sanitaire engendrée par l’épidémie de coronavirus, le ministère du Travail a annoncé mardi 24 mars que le gouvernement allait permettre de déroger à la durée du travail dans certains secteurs jusque 60 heures sur une semaine, contre 48 heures actuellement, et 46 heures contre 44 heures en moyenne sur une période de 12 semaines.

    Ces modifications pourront s’appliquer dans les secteurs de l’énergie, des télécoms, de la logistique, des transports ou encore de l’agroalimentaire, a précisé l’entourage du ministre du Travail Muriel Pénicaud. Ces heures additionnelles de travail devraient être payées en « heures supplémentaires » et le temps de repos devrait être respecté, selon la même source.

    Huffington

  • « Nous avons perdu trop de temps » : «fake news» et chloroquine, à qui la faute ?

    Pourquoi le ponte Didier Raoult a-t-il eu tant de mal à faire accepter l’idée d’un test à grande échelle de l’hydroxychloroquine contre le coronavirus? Non seulement le spécialiste s’est jusque-là heurté à un scepticisme systématique, mais il ressort aussi qu’il a longtemps été en conflit avec Yves Lévy, époux d’Agnès Buzyn.

    «Il ne faut plus tarder mais agir», martèle-t-il. Ce lundi 23 mars, une très longue file d’attente s’est formée devant l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée de Marseille (IHU). Les patients potentiels, dont certains sont décrits comme fébriles, masqués et gantés, peuvent y être testés et bénéficier du traitement par hydroxychloroquine associée à un antibiotique.

    Pourquoi cette molécule a-t-elle eu tant de mal à émerger et à être reconnue comme piste très prometteuse contre le coronavirus?
    Les réseaux sociaux, puis certains médias, se sont mis à creuser la question. Résultat: il semble bien que cet antipaludéen (également utilisé contre la maladie du lupus) bon marché, utilisé depuis des décennies, et facile à produire ait été victime d’un tir de barrage à la fois médiatique et politique, et peut-être même d’inimitiés.

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  • Que ferons-nous de cette épreuve ?

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    Par Sylvain Tesson

    Le général Gallet avait commandé la lutte contre l’incendie de Notre-Dame. Il pourrait être chargé de diriger une cellule de crise au temps du virus. Dans les deux cas, lutte contre la propagation. On dit d’ailleurs : « confiner un feu ». Un plan blanc a été déclenché. Médecins, soignants et infirmiers se pressent aux postillons comme les pompiers aux flammes. Ils montent au front, vêtus de blanc. Ils ne décrochent pas. L’héroïsme n’a pas changé de défini- tion : sacrifice de soi. La nation se rend compte qu’elle dispose de ces corps qui acceptent de « sauver ou périr ». Nos sociétés sont bien outillées pour les catastrophes. Ainsi des époques. Dans l’histoire de France, il y a eu des temps bâtisseurs (XIIe siècle), conquérants (Premier Empire), artistiques (Belle Époque). À présent, nous sommes doués pour éteindre les brasiers. La dégradation de l’ordre ancien s’accompagne de l’augmentation des moyens d’urgence. Reconnaissons cela à la modernité : nous savons nous activer sur les décombres. Définition du progrès : amélioration des services de réparation du désastre.

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