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santé et médecine - Page 268

  • L'incompatibilité entre la médecine et le capitalisme

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    Ex: http://www.europesolidaire.eu

    Ceci avait été précédemment affirmé par quelques médecins généralistes ayant peine à survivre avec les revenus que leur impose la "réforme" du système de santé voulue par Emmanuel Macron

    Les évènements actuels le démontrent amplement

    Le gouvernement chinois avait été accusé dans le monde occidental de dissimuler les premiers épisodes de Covid-19 apparus à Wuhan. Cependant le 29 février 2020, la communauté scientifique mondiale était informée par les chercheurs et médecins chinois de la situation de l'épidémie en Chine ainsi que de premières analyses concernant le virus, sa propagation et de son degré de pathogénie. Ceci a été fait sans respecter les règles convenues en matière de communication scientifique, afin de gagner du temps vu l'urgence – ce qui leur a été immédiatement reproché par des « experts » auto-institués.

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  • La principale victime du coronavirus ? 30 ans d’idéologie dominante…

    Rues vides, bars et restaurants fermés, usines à l’arrêt au point de faire basculer le pays dans la récession, Bruno Le Maire annonçant une croissance à -1% pour 2020 (même causes mêmes effets pour la zone euro)… Il y a pourtant des tonnes d’enseignements à tirer sur cette crise sanitaire qui va créer une crise économique dont les conséquences risquent d’être pires que celles de 2008.

    Tout d’abord d’un point de vue sanitaire, cette crise est le symbole de la faillite totale des politiques menées depuis des décennies.

    Notre pays vieillit, chose prévisible depuis des années, et une épidémie qui ne nécessite l’hospitalisation que de 5% des personnes touchées par le virus met nos hôpitaux en surtension au point de devoir mobiliser un hôpital militaire en Alsace. Un seul chiffre explique la submersion de nos hôpitaux par les malades : nous avons supprimé 100 000 lits d’hôpital sur les 20 dernières années. Première faillite de l’idéologie dominante de ces dernières années.

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  • Et maintenant la fin de la CEDH

    Et maintenant la fin de la CEDH

    L’ECLJ nous informait récemment que, par une double décision rendue publique jeudi 12 mars, 3 juges de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) ont privé les sages-femmes européennes de la garantie de leur droit à l’objection de conscience face à l’avortement. Cette décision peut s’appliquer, par extension, à toute la profession médicale.

    L’ECLJ est notamment l’auteur d’un rapport sur les relations existant entre plusieurs juges de la Cour européenne des droits de l’homme et des ONG actives devant cette Cour. Rapport explosif qui n’a pas provoqué la crise judiciaire que nous serions en droit d’attendre.

    Mais c’est le coronavirus qui semble avoir la peau de la CEDH. La Lettonie, la Roumanie, la Moldavie et l’Arménie viennent d’activer l’article de la Convention européenne des droits de l’Homme qui permet d’y déroger en état d’urgence et d’autres pourraient suivre. Ces quatre Etats membres du Conseil de l’Europe (sur 47) ont “officiellement notifié” ces derniers jours se trouver en état d’urgence et activer la dérogation prévue par l’article 15 de la Convention. La France n’a à ce jour pas notifié de dérogation au secrétaire général du Conseil de l’Europe.

    L’article 15 prévoit qu'”en cas de guerre ou en cas d’autre danger public menaçant la vie de la nation”, un Etat membre

    “peut prendre des mesures dérogeant aux obligations prévues par la CEDH, dans la stricte mesure où la situation l’exige et à la condition que ces mesures ne soient pas en contradiction avec les autres obligations découlant du droit international”.

    https://www.lesalonbeige.fr/et-maintenant-la-fin-de-la-cedh/

  • Les « quartiers ethniques » se fichent du confinement

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    Paul Vermeulen

    Pour les autorités, le confinement est le meilleur moyen pour limiter la violence du pic de l’épidémie ainsi que l’engorgement des hôpi- taux et le nombre de décès. Un anesthésiste réanimateur de la Pitié Salpêtrière déclarait mardi soir sur LCI que la France peut gérer 6 000 malades en réanimation, jusqu’à 12 000 en bloquant tous les hôpitaux. Il précisait aussi qu’en cas d’échec du confinement, l’estimation serait de 100000 à 150 000 malades devant être mis en réanimation. Commentaire : « Ça, on ne sait pas faire. On entre tous dans un autre monde, là. »

    « Tous » ? Pas sûr, à voir ce qui remonte déjà des ban- lieues et de certains quartiers. Qui pense que le confine- ment va être respecté dans ces endroits ? Mercredi 18 mars en soirée, une fois n’est pas coutume, les médias officiels montraient des images de quartiers pari- siens dont les populations ne respectent rien. Ce sont les mêmes que d’habitude : les territoires perdus de la République, où la sécession évoquée par François Hollande puis par l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, le jour de sa démission, est déjà effective.

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  • Coronavirus : Agnès Buzyn savait dès janvier, Macron n’a rien fait #MacronDestitution

  • Il faudra réussir l’atterrissage après la crise et en tirer des leçons

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    Le monde de demain sera-t-il celui d’hier, voire d’avant-hier ? En tout cas, ni le progressisme, ni l’européisme, ni le mondialisme ne font plus recette, car le Covid-19 les a contaminés. Ceux qui marchaient vers un avenir radieux se sentent fiévreux et affaiblis, affaiblis dans leurs certitudes et dans leur arrogance. Depuis quelques jours, les mots d’ordre se sont inversés. Le renversement le plus fort est celui de la préférence que les belles âmes, le pape en particulier, avaient manifestée en faveur des ponts et au détriment des murs. Par une incroyable ironie de l’Histoire, on voit celle-ci nous offrir une séquence qui commence par l’effondrement du mur de Berlin et la fin de la séquestration des peuples par les dictatures communistes, et qui se termine sans doute en ce moment même avec le rétablissement des frontières.

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  • Crise du covid-19 : quels impacts potentiels sur le système économique mondial ?, par le Cercle Jean Bodin (Lyon).

    La crise sanitaire internationale induite par la pandémie du covid-19 donnera lieu à une crise économique et financière majeure. Cette analyse n’aura pas pour objectif de faire l’inventaire statistique de la récession économique internationale ; sur ce point, chacun pourra se documenter en sources de presse diverses sur l’état des économies nationales impactées par le covid-19. La chute constante des cours boursiers mondiaux en est l’un des témoins immédiats.
    L’objectif de cette analyse sera de se projeter sous un angle « méta-économique » et de réfléchir aux conséquences de fond que pourrait – devrait-on plutôt dire « devrait » - engendrer la crise du coronavirus sur la logique du système économique mondial, de son architecture. Comme toute crise, celle du covid-19 se traduira par des continuités. Cependant, elle pourra aussi donner aussi lieu à des ruptures majeures dans la manière de considérer la logique fondamentale du système économique international.

    ÉLÉMENTS PRÉLIMINAIRES - Quelle est l’architecture actuelle du système économique international ?

    Le système économique mondial repose sur plusieurs paramètres structurants, dont certains seront énumérés ci-après.
    1. Un étalon monétaire qui est lui-même une monnaie, à savoir le dollar ; ce dernier repose à son tour sur au moins deux piliers que sont, d’une part, la puissance militaire américaine comme garantie financière du référentiel états-unien, ainsi que le cours du baril de pétrole (qui, quant à lui, engage une multitude d’Etats exportateurs et importateurs de pétrole) ;
    2. Un système d’économie intégré à l’échelle mondiale, répondant du principe de la division internationale du travail (DIT), ainsi que de la libre circulation (bien que relative) des marchandises et des hommes ; ce dernier, d’inspiration économique libérale, pose que chacune des puissances économiques du monde se positionne sur le marché économique international en fonction de ses avantages comparatifs optimaux. C’est ce qui conduit certains pays, voire certaines régions, à se positionner comme les « usines du monde » - en proposant une main d’œuvre à bas coût et des standards sociaux et environnementaux très réduits – et d’autres à se structurer autour de l’économie de service, dont la valeur ajoutée intellectuelle et innovante justifie des coûts de vente plus élevés (c’est le cas des pays très développés) ;

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  • Orgueil de l’homme moderne

    « On n’est plus au Moyen-Âge ! » c’est ce que l’on entend quelquefois émettre par d’orgueilleux ignares persuadés que civilisationnellement notre temps est bien supérieur à celui de Saint Louis, de Saint Thomas d’Aquin et des bâtisseurs de Notre-Dame, assimilé à une période obscurantiste et barbare. Comme si, pour ce qui est de la barbarie, notre monde n’en avait pas atteint les sommets ! Et voici que, malgré toutes les avancées des sciences et des recherches dans tant de domaines, un méchant virus, se propageant sur tous les continents, vient donner une grande gifle à l’orgueil de l’homme moderne.

    En première analyse, les dégâts meurtriers du corona ne semblent pas être dans l’ordre de la rançon du progrès comme l’explosion de Fukushima ou nombre de maladies. Néanmoins, d’ores et déjà, bien des questions se posent sur l’irruption de ce virus.

    L’explication par le fait que des animaux vendus sur les marchés chinois, ou encore d’autres espèces, en aient été porteurs et transmetteurs, n’est qu’une hypothèse. Peut-être trop commode. Non, la pandémie ne vient pas forcément du gentil panda. Je n’ai pas été sans noter que le dictateur Xi Jinping, honoré comme un Mao vivant, a émis quelques curieuses phrases sur la nécessité de renforcer la sécurité et la surveillance des laboratoires de recherche bactériologique. Ces laboratoires sont souvent militaires. Cela n’induit pas nécessairement que le méchant corona se serait échappé de l’un d’entre eux.

    Mais à voir les ravages déjà causés par le corona, on ne peut qu’être effrayé par ceux qu’engendreraient quelques autres virus cultivés dans les centres de fabrications de ce que l’on désigne dans le langage militaire comme des « A.B.C » (Armes bactériologiques et chimiques). Aussi terrifiantes par leurs effets que les bombes nucléaires, elles constituent les gisements les plus exterminateurs pour les terrorismes et d’emploi plus facile.

    Comme on le voit, en effet on n’arrête pas le progrès…

    http://www.bernard-antony.com/2020/03/orgueil-de-lhomme-moderne.html

  • Sur C News, Charlotte d'Ornellas corrige Gérard Leclerc sur les frontières (Coronavirus).

  • La loi « urgence coronavirus » va revenir sur certains acquis sociaux, comme les congés payés ou les 35 heures, et ce sans date limite prévue

    Selon le journal Marianne, le gouvernement a réaffirmé devant le Sénat sa volonté de revenir sur certains acquis sociaux dans sa loi « urgence coronavirus », comme par exemple les congés payés ou les 35 heures. Des mesures qui devraient être « provisoires », sauf qu’aucune date limite n’est prévue dans le texte.

    Les congés payés revus à la baisse ?

    Le projet de loi dit d’adaptation à la crise du coronavirus prévoit notamment la possibilité pour le gouvernement de prendre des ordonnances ayant valeur de droit dans le domaine du droit du travail, afin de « modifier les conditions d’acquisition de congés payés et permettre à tout employeur d’imposer ou de modifier unilatéralement les dates de prise d’une partie des congés payés, des jours de réduction du temps de travail« . A priori, il sera également possible de revoir à la baisse le nombre de congés payés acquis par mois, aujourd’hui de 2,5.

    La fin des 35h dans certains secteurs ?

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