Pour Eric Zemmour, « Pour faire la guerre il faut une industrie. Or le confinement est une première défaite. Si nous avions eu assez de tests, de lits, de masques, nous n’y serions pas contraints (…) Pourquoi nous avons perdu cette première bataille ? Parce que nous n’avons plus d’industrie. Nous avons cru pouvoir faire une politique de santé indépendante sans industrie indépendante ! ». (Face à l’info)
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Eric Zemmour au sujet du Covid-19 : « Il aurait fallu fermer les frontières immédiatement (…) Pour faire la guerre, il faut une industrie. Nous n’avons plus d’industrie »
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Les politiques financières bruxelloises, responsables du drame du coronavirus
Quel rapport entre la crise sanitaire liée au coronavirus et les politiques financières d’austérité bruxelloises ? Bien plus qu’il n’y paraît à première vue, un tel rapport que l’Union Européenne et tous les technocrates branchés, tenant le haut du pavé, que l’histoire jugera un jour coupables. Et responsables !
Que ce soit en France ou en Italie, Bruxelles est mis sur le ban des accusés non seulement par les empêcheurs de tourner en rond que sont les souverainistes tel Zemmour mais aussi par des médecins ou un journal bien ancré dans le système comme La Repubblica.
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Les larmes de Buzyn
Les derniers développements de la crise du coronavirus appellent, à eux seuls, beaucoup de remarques. À cet égard, le confinement imposé, pour des raisons parfaitement compréhensibles précisons-le, aura au moins le mérite de libérer et de stimuler notre réflexion.
L'observation des hommes incertains et cependant si péremptoires, qui font semblant de nous gouverner quand ils communiquent leurs consignes par les lucarnes télévisuelles prête à réhabiliter les cultures politiques incorrectes.
C'est d'un tel point de vue que l'on peut apprécier ainsi la nouvelle séquence des larmes de Mme Buzyn.
Une première salve d'aveux avait été publiée le 19 février par le journal Le Parisien, qui ne ressent plus le besoin de se prétendre libéré. Ils avaient déjà conduit votre chroniqueur à en souligner les contradictions et le ridicule. (1)
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L’Occident et le reste du monde : les Épidémies meurtrières
Bernard Plouvier
L’histoire de l’Europe fut et reste une suite d’invasions en provenance des autres continents. Mais ce fut aussi une histoire d’épidémies parfois très meurtrières en provenance « d’ailleurs » et cela reste le cas.
Les exemples d’épidémies de maladies bactériennes, prenant l’allure d’un cataclysme pour notre continent sont connus depuis l’Antiquité.
La peste (Yersinia pestis Orientalis et Occidentalis) a ravagé les rivages méditerranéens du 8e au 6e siècles avant J.-C., apportée de Perse d’où elle provenait d’Asie centrale (la dénomination de Y. pestis Occidentalis ne doit nullement faire croire à une origine « occidentale » de la première pandémie répertoriée !). La Grande Peste du milieu du XIVe siècle fut importée en Italie et en France par des navires provenant des rives de la Mer Noire, mais l’épidémie avait suivi la Route de la Soie. La 3e pandémie, débutée à la fin du XIXe siècle est venue à la fois d’Inde et de Hong Kong... il n’y a guère elle sévissait encore dans les zones rurales des USA.
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Confinement: environ 4100 contraventions ont été dressées au deuxième jour de confinement (Vidéo)
Mercredi 18 mars, deuxième jour de confinement, les Français ont reçu leurs premières contraventions pour non respect des règles de sécurité contre le coronavirus. Interrogé lors du JT de 20h sur TF1, le ministre de l’Intérieur Christophe castaner a annoncé que 4095 procès verbaux ont été dressés en France mercredi 18 mars, premier jour où les forces de l’ordre ont été autorisées à sanctionner : « En 24h, il y a eu 70.000 échanges avec les Français pour leur expliquer pourquoi ils étaient en infraction et depuis ce matin, nous avons commencé à dresser des procès-verbaux, près de 4095 procès-verbaux ont été dressés ». Toutefois, le premier flic de France est formel : Ce n’est pas « pour faire du chiffre”, assure-t-il.
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Et pendant ce temps-là, la racaille fait la loi dans les rues…
Elle bafoue publiquement et explicitement les lois françaises. Elle pille les magasins. Maintenant qu’Emmanuel Macron a découvert l’utilité des frontières contre l’épidémie, va-t-il découvrir que cela peut aussi servir à protéger un mode de vie pacifique et français en France ?
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Sur C News, Eric Zemmour : "Nous n'avons pas fermé les frontières, nous le payons".
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Les propos de Buzyn : irresponsables, scandaleux et criminels !
Olivier Piacentini
Voila donc Madame Buzyn qui met en cause le gouvernement, après avoir mis en cause la mairie de Paris.
Alors que la France s’apprête à vivre la pire épreuve qu’elle ait connu depuis l’après-guerre, alors que la mort rode dans nos villes, nos villages, alors que le peuple fait preuve d’esprit de sacrifice, de courage et de solidarité, voilà que ceux qui nous gouvernent, et sont censés nous guider dans cette terrible épreuve, s’écharpent en public. Et nous démontrent qu’à la différence des Français, ils n’ont aucune dignité, aucune retenue, mais aussi aucune vision réaliste des événements, aucune perspective sur la tragédie qui se noue.
Madame Buzyn s’est dite, dans un journal, effondrée au sortir de la campagne des municipales à Paris, à tel point qu’elle s’est mise à pleurer en rentrant chez elle de la soirée de dimanche : on n’a pas compris si c’est la situation du pays, ou la claque électorale qu’elle a essuyée, qui l’a mise dans cet état. Plus grave, Madame Buzyn a révélé avoir prévenu le gouvernement, dès le 11 janvier de la nécessité d’annuler les élections compte tenu de l’ampleur prévisible de l’épidémie.
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Covid-19: triste record pour l’Italie qui enregistre 475 décès en une journée
L’Italie a enregistré 4.207 nouveaux cas d’infection au Coronavirus ce jour et 475 nouveau décès. Plus de 35.700 italiens ont été touchés par le virus depuis le début de l’épidémie.
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Les déclarations d’Agnès Buzyn : mensonges et postures, ombre et clarté…
La France vit, depuis une semaine à peine, comme si, brusquement, au monde réel, habituel, s’était substituée une autre réalité. Il y avait une épidémie menaçante, et il y avait des élections municipales. Les aveux étonnants de l’ex-ministre de la Santé, Mme Buzyn, parus dans Le Monde de mardi, jettent à la fois une ombre sur le comportement de l’exécutif et de la clarté sur la chronologie de cette étrange période.