Avec Gael Barbotin, conseiller régional d’Ile de France et vice président du parc naturel de la vallée de Chevreuse, Philippe Bilger (magistrat honoraire), Caroline Pilastre et Tom Connan.
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Sur Sud Radio, confinement / insécurité / prix des loyers : La région Île De France est elle à fuir ?
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COVID : Macron a-t-il vraiment tort de craindre une insurrection ?
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Le FMI prévoit que notre solvabilité soit liée à notre activité Internet. Et à notre vaccination ?
Dans un article de blog sur son site Web, le Fonds monétaire international (FMI) a proposé un système de notation du crédit social similaire à celui déjà utilisé par la Chine communiste et qui déterminerait l’éligibilité au crédit des gens en fonction de l’historique d’Internet. Ce qui fait notamment craindre qu’un tel système puisse être retourné contre quiconque s’oppose à la volonté des dirigeants financiers et mondialistes.
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Pour une fois que l’Institut Montaigne partage notre opinion sur l’abandon des territoires au profit des métropoles…
Ne boudons pas notre plaisir !
Deux approches différentes mais qui, toutes deux, portent sur les inégalités de développement des territoires, une question majeure dont la crise des « Gilets jaunes » a montré toute l’acuité. D’une part, le rapport de l’Institut Montaigne, cercle de pensée d’inspiration libérale, rendu public jeudi 11 mars, qui pourfend la concentration des richesses dans les métropoles. De l’autre, l’ouvrage de Laurent Davezies, expert des mécanismes du développement territorial, L’Etat a toujours soutenu ses territoires (112 pages, 11,80 euros), publié début mars au Seuil dans la collection « La République des idées ». A priori, leur analyse part d’un constat commun : celui d’une concentration économique et démographique en région parisienne et dans les métropoles. Mais pourtant les conclusions divergent.
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Louis XVIII face à la question sociale : quelles leçons en tirer ?
La toile est un champ de bataille et il n’est pas certain qu’il soit le meilleur vecteur du débat d’idées car, trop souvent, elle n’est que le lieu du lynchage, de l’invective et de la calomnie : cela en est souvent désespérant pour qui conçoit la « disputatio » politique comme un moyen de faire progresser ce qui paraît nécessaire pour le pays et ses populations, ou comme celui d’élever les hommes vers des causes honorables, par l’intelligence et la réflexion… Mais elle peut parfois permettre, entre gens de bonne volonté, d’évoquer quelques vérités et de les valoriser quand elles sont ignorées de l’éducation nationale comme des médias. Ainsi, sur la Révolution française et la question sociale, par exemple. Voici ci-dessous les extraits d’une réponse qu’il m’est arrivé de faire il y a quelques semaines sur un réseau social bien connu… (Le débat portait sur la condition ouvrière en France.)
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Si le coup de « farce » est possible.
Le billet coloré d’Amaury de Perros
Le 22 janvier 2021, un trouvère (certes, du genre pénible) publiait un billet dans France-Soir, dont nous reproduisons ici la partie la plus explosive : « De même, et si de besoin, il est du devoir de l’armée française pour assurer la sûreté du peuple français […] de procéder à la mise à pied des auteurs du coup d’État – c’est-à-dire de l’actuel gouvernement ; et ce, afin de rétablir le droit républicain. ».
Aux armes, baladins !
Plutôt bien tournée, cette diatribe relève davantage de l’inconscience et de la bêtise crasse (j’entends déjà des « même pas étonné… »). Nous sommes ici forts éloignés d’un Déroulède, d’un Rochefort ou d’un Maurras.
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Ce que personne ne dit dans les débats sur le revenu universel, par Clément Martin (Les Identitaires)
Le revenu universel consiste à verser à tous les membres d’une communauté nationale une allocation mensuelle.
Voici quelques uns de ses principes :
* d’un montant égal pour tous
* sans contrôle des ressources ou des besoins
* sur une base individuelle
* de façon inconditionnelle et sans exigence de contrepartie.Étonnamment, il est défendu pour des raisons différentes par la gauche… et la droite.
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Corporations et corporatisme. Des institutions féodales aux expériences modernes
Aujourd’hui connoté péjorativement, le mot corporatisme est employé pour désigner le fait de défendre les intérêts, les droits, d’une entreprise, d’un groupe. Mais qu’en est il réellement ? Cet ouvrage nous montre à quel point ce sens est réducteur. C’est en effet faire l’impasse sur ce qu’ont réellement été les corporations, le rôle qu’elles ont joué au sein de la société et le développement de la pensée corporatiste, véritable troisième voie entre marxisme et capitalisme. Autant d’éléments que Guillaume Travers s’attache à expliquer dans cet ouvrage.
Qu’ont été les corporations médiévales ? Le mouvement ouvrier a‑t-il récupéré des éléments de la pensée corporatiste ? Quelles leçons tirer des tentatives modernes de rétablissement des corporations ? Guillaume Travers s’attache à répondre à ces questions dans un ouvrage clair, précis et synthétique.
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Lidl : la face sombre du hard-discount
Arnaud Raffard de Brienne
Les récentes bousculades et piétinements dans les magasins Lidl prouvent, contre toute évidence, la pugnacité de nos concitoyens dès lors qu’il s’agit de lutter pour de nobles causes. En l’occurrence, pour bénéficier de prix particulièrement bas sur un robot de cuisine, le Monsieur Cuisine Connect que la chaîne de supermarchés Lidl avait décidé de déstocker avant une possible interdiction de vente imposée par voie judiciaire au motif d’une contrefaçon présumée au détriment d’un robot aux fonctions identiques de la société Vorwerk mais vendu près de quatre fois plus cher.
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Les corporations, solutions pour un nouveau localisme ?
Guillaume Travers propose une plongée fascinante dans un monde certes englouti, les corporations, mais dont l’esprit peut inspirer aujourd’hui encore des modèles alternatifs à la mondialisation libérale.
Que furent les organisations économiques et sociales précapitalistes en Europe ? Comment, pendant des siècles, avant l’âge des Lumières, des révolutions bourgeoises et industrielles, du culte du veau d’or et de l’individu-roi, se sont conçues et articulées libertés économiques, destins individuels et solidarités communautaires ? Comment les corporations et l’idée corporatiste, puisque ce sont d’elles qu’il s’agit, ont repris de la vigueur mais finalement échoué entre la fin du XIXe siècle et la seconde moitié du XXe ? C’est à toutes ces questions que répond l’économiste Guillaume Travers dans cette étude originale publiée à la Nouvelle Librairie : Corporations et corporatismes – Des institutions féodales aux expériences modernes.