Yonathan Malet lance une application de commande et #livraison de repas à domicile pour aider les #restaurateurs. Misant sur le #local et la simplicité, Resto du Coin joue des coudes face aux géants du domaine, comme Uber Eats et #Deliveroo.
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Yonathan Malet lance une application de commande et #livraison de repas à domicile pour aider les #restaurateurs. Misant sur le #local et la simplicité, Resto du Coin joue des coudes face aux géants du domaine, comme Uber Eats et #Deliveroo.
L’actualité vous donne envie de vous pendre ? Attendez un peu. Il suffit d’un rien, parfois, pour vous redonner foi en l’humanité.
On le sait, la chaîne M6 s’est fait une spécialité du « divertissement populaire ». Et de populaire à populiste, il n’y a qu’un suffixe.
Difficile, il faut dire, d’attirer des foules enthousiastes sur les débats goûtés avec gourmandise par la petite élite de France Culture (« Si Babar faisait l’éloge de la colonisation ? »), du HuffPost (« Avoir ses règles quand on n’est pas une femme ») ou de Slate (définir les femmes comme « trous de devant » ou « propriétaires de vulves » n’est-il pas une façon « d’invisibiliser les femmes au nom de l’inclusion des personnes trans » ?). Amis du glamour et du romantisme, bonjour !
Après dix jours de polémique sur « l’islamo-gauchisme », tentative maladroite pour séduire l’électorat de droite, le ministre de l’Enseignement supérieur se rachète une bonne conduite auprès des social justice warriors en déclarant la guerre à la « précarité menstruelle ». Ainsi, 1500 distributeurs de protections hygiéniques devraient être installés dans les résidences universitaires, les Crous et les services de santé universitaires. Clin d’œil aux écologistes, les protections ont été présentées comme « respectueuses de l’environnement ». Frédérique Vidal satisfait ainsi une revendication récurrente des féministes de gauche.
Marion Maréchal, directrice de l’ISSEP, propose une réflexion sur le télétravail et ses conséquences sur nos relations sociales :
Nous sommes en train de vivre une mutation accélérée, pour ne pas dire forcée, de l’organisation sociale. Au prétexte de la crise sanitaire, et plus largement dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, les pouvoirs publics incitent très fortement, voire contraignent, à la généralisation du télétravail et du télé-enseignement. On nous promet des lendemains qui chantent : cette numérisation des rapports sociaux et professionnels permettrait de réduire l’impact carbone, de rendre le salarié plus autonome, de faire des économies, de réduire les inégalités, de redynamiser la « France périphérique ». L’enthousiasme paraît unanime.
En raison de la pandémie de Covid-19, le Salon de l’agriculture 2021 est annulé pour la première fois depuis sa création en 1964. Cette date a été choisie symboliquement par les agriculteurs de la Coordination rurale (deuxième syndicat agricole en France) pour mener une action de mobilisation afin de dénoncer le malaise du monde paysan. Une centaine d’agriculteurs en détresse se sont réunis à Paris sur la place des Invalides.
Une note envoyée le 17 février par le ministre délégué à la Citoyenneté, demandant aux préfets d’intensifier les opérations facilitant l’intégration des « étrangers primo-arrivants » et de réfugiés, suscite depuis le 26 février de nombreuses réactions parmi ses adversaires politiques.
Les comptes de l’assurance-chômage accusent de façon vertigineuse le coup de la récession qui frappe le pays depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Fin 2020, son déficit a plongé à – 17,4 milliards d’euros, selon les chiffres adoptés, mercredi 24 février, par le bureau de l’Unédic, l’association copilotée par les partenaires sociaux qui gèrent le dispositif.
Après avoir semé le désordre dans les rayons de plusieurs grandes surfaces, samedi 20 février, à Lamballe (Côtes-d’Armor), les agriculteurs continuent, ce mardi 23 février leurs actions pour dénoncer le manque de rémunération
de leurs produits.
Les Français se demandent souvent où passe leur pognon… Avec son ouvrage « URSSAF : un cancer français », l’avocat François Taquet donne quelques éléments de réponse. En effet, tous les ans dans le PME, 90% des contrôles opérés par les agents des URSSAF donnent lieu à un redressement. Et cela en vertu de lois de plus en plus incompréhensibles, de méthodes malhonnêtes et d’un pouvoir absolu : celui de sanctionner sans même passer devant le juge. Résultat, les Unions de recouvrement de la Sécurité sociale et des allocations familiales captent chaque année plus de 500 milliards d’euros, soit six fois les recettes de l’impôt sur le revenu. Pour François Taquet, les URSSAF se sont développées, tel un cancer, en échappant progressivement à tout contrôle…
https://www.tvlibertes.com/zoom-maitre-francois-taquet-urssaf-un-cancer-francais