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social - Page 478

  • Yann Galut, une synthèse…

    Le 19e rapport annuel de la  Fondation Abbé Pierre, publié ce vendredi, est un indicateur parmi  d’autres des conséquences des politiques menées  par les différents gouvernements UMPS, et notamment de la poursuite à haut débit d’une immigration incontrôlée. Selon les données du logiciel Parifar -Programme d’analyse des flux et indicateurs statistiques d’activité- citées par Le Figaro  la semaine dernière, Manuel Valls arrive à faire pire dans ce domaine que MM. Sarkozy, Hortefeux et Guéant. Ainsi,  le nombre de clandestins renvoyés dans leur pays d’origine a encore baissé pour s’établir à une moyenne de 1750 expulsions mensuelles en 2013 sur le territoire métropolitain (- 23% en un an); les régularisations du statut des immigrés hors-la-loi, progressent a contrario fortement pour s’établir à environ 46.000 en 2013 (+28%). Parallèlement M. Valls s’était aussi félicité il ya quelques mois de la hausse de 14% (de juin 2012 à juillet 2013) du nombre des naturalisations…

     Une politique laxiste qui n’est pas pour rien dans les difficultés sociales et économiques rencontrées par nos compatriotes mais aussi par les immigrés déjà présents sur notre sol. Selon la Fondation Abbé Pierre, « 3,5 millions de personnes sont mal logées ou sans abri, et plus largement près de 10 millions sont concernées par la crise du logement ».Elle estime également que « plus d’1,7 million de ménages sont en attente d’un logement social, que 3,8 millions sont en situation de précarité énergétique (chiffres 2006), que 70.000 propriétaires sont en situation d’impayés (2006), et que plus de 91.000 ménages sont menacés d’expulsion (chiffres 2009-2011)».

     D’autre part,  selon une étude LH2 pour CA Com sur le pouvoir d’achat publiée hier, 31% des Français déclarent avoir des revenus insuffisants pour finir la fin du mois, en hausse de 8 points sur six mois. 63% se disent  inquiets de basculer un jour dans la précarité – dont 76% des ouvriers, 69% des salariés du privé et 69% des femmes…. Enfin près de huit français sur dix (78%) disent ressentir  l’augmentation de la pression fiscale.

     C’est dans ce climat que le député socialiste Yann Galut tente à son  niveau sa petite diversion politicienne en sortant un petit «Guide anti-FN». Rien de nouveau sous le soleil  dans cette tentative  de mettre en forme  les saillies anti patriotiques qui avaient meublé une partie de l’UDT du PS à La Rochelle fin août dernier.

     Cet opuscule que M. Galut a supervisé (?),  au vu de ce que ce dernier en laisse transparaître dans la presse, s’annonce comme un bel enfilage de poncifs, et de prévisions catastrophistes en cas d’application du programme du  FN, notamment dans le domaine économique. Peu importe que la voie euromondialiste suivie  par le  PS entraîne notre pays sur la voie d’une paupérisation accélérée et du déclin. Peu importe que l’alternative portée par l’opposition nationale  s’inspire des travaux d’économistes et de Prix Nobel éminents. Dans sa volonté de dresser un portrait apocalyptique, le PS ne s’embarrasse pas de détails. Nous savons aussi que ce type d’ouvrages n’a pour utilité que les annonces médiatiques dont il bénéficie puisque personne ne le lira au delà du cercle de quelques permanents  et adhérents  socialistes.

     Il est vrai que le Mouvement national est une obsession chez Yann Galut, fondateur en janvier  2013, avec le sénateur  Patricia Schillinger, d’un mini club au sein du Parti socialiste appelé la « Gauche Forte » (sic) .

     Ancien de SOS racisme, permanent un temps de la très trotskisante Fédération indépendante et démocratique lycéenne (Fidl) puis secrétaire général d’une Fédération internationale de SOS Racisme du même tonneau en 1992, M. Galut est prêt à bien des concessions dans le cadre de sa sinécure confortable qui lui permet de lutter contre la « Bête ». Opposé en 2005 à la constitution  européenne, il ne quitta pas pour autant un PS qui contribua à l’imposer aux Français, en cheville  avec l’UMP, en 2008. C’est beau les convictions…

     C’est au nom de celles-ci certainement qu’il demanda  dans une lettre adressée au chef de l’Etat qu’  un « hommage national » soit rendu à l’indigent Stéphane Hessel, icône en carton pâte des alter-mondialistes et des petits esprits.

     Un citoyen Galut qui déclarait sur le Lab d’Europe 1 en début d’année qu’ « Il n’y a pas de Français de souche, ça n’existe pas ». Ce qui ne l’empêche pas de se  méfier des gaulois et de leurs mauvaises pulsions, lui  qui adhère certainement aux vœux du cercle de réflexion du PS Terra Nova. C’est cette structure qui conseille aux dirigeants du PS de jouer la carte des minorités ethniques, sexuelles, religieuses etc., pour contrer dans les urnes un peuple Français qui se tourne vers le FN et/ou multiplie les  stratégies d’évitements quand il le peut,  pour ne pas subir la merveilleuse société arc-en-ciel dont rêve nos élites…

     Ayant au moins cette forme de cohérence là, il est donc normal que le citoyen Galut ait  aussi demandé en novembre 2012 l’interdiction de  CIVITAS au motif que la manifestation de celle-ci avait été victime de provocations des Femen. Ce gang de profanatrices d’églises  hystériques, hébergé en France avec la bénédiction  de M. Valls  ne  semble pas le gêner outre mesure…

     Autant dire que quand M. Galut explique dans Le Point que  « le combat contre le FN », « adversaire principal », «a toujours eu lieu sur le terrain des valeurs»,  il permet de juger de la réalité bien inquiétante de celles de son parti. Quand il affirme pareillement  le souhait des bobos de la rue de Solferino de «reprendre (au Front National) l’électorat populaire»,  il rend perceptible l’aveuglement d’un PS qui est totalement coupé des aspirations de notre peuple.

     Un aplomb qui ne cache pas une certaine panique, celle d’un Parti socialiste qui voit aussi  des Français issus de l’immigration ouvrir les yeux. Notamment constate Bruno Gollnisch, sur les mensonges et l’instrumentalisation cynique, écœurante, dont ils ont été victimes de la part du PS et de ses petits marquis poudrés de l’antiracisme. En témoigne sa charge,  dans ce même entretien, contre Farida Belghoul, «une ancienne de la marche des Beurs» qui a commis le crime de s’élever  contre «l’apprentissage de la théorie du genre à l’école». Autant dire que quand M. Galut nous dit son attachement aux valeurs du PS, nous sommes bien obligés de le croire…

    http://gollnisch.com/2014/01/31/yann-galut-synthese/

  • Effondrement de 77% des nouveaux investissements étrangers en France

    Effondrement de 77% des nouveaux investissements étrangers en France

  • Que s'est-il vraiment passé dimanche 26 janvier au Jour de Colère

     Partie 1

    Partie 2 :

  • Comment Ayrault sabote les annonces de Hollande

    140127La semaine écoulée s'est nourrie de l'illusion d'un Conseil des dépenses publiques. Annoncé par le 14 janvier il s'est réuni autour du chef de l'État le 23. Sans doute a-t-on jugé en haut lieu qu'il fallait encore créer de nouvelles instances de concertation, puisque les institutions supposées compétentes ont échoué.

    Le président a déjà perdu deux ans sur la perspective de "l'inversion de la courbe du chômage". Sa crédibilité de réformateur se révèle plus qu'entamée. L'enlisement de ce qui lui reste ne peut aboutir qu'à une catastrophe institutionnelle.

    L'entretien avec Jean-Marc Ayrault, publié par "Le Monde" (1)⇓ soulève pourtant à cet égard un certain nombre de problèmes.

    Les gros moyens de la désinformation quotidienne tendaient ces derniers temps à passer le personnage, et sa fonction constitutionnelle, à la trappe. Au moins ce texte, médiocre à tous égards, nous rappelle que le Premier ministre existe puisqu'on l'a vu à la télé.

    On doit tout d'abord évoquer, fût-ce rapidement, l'équation personnelle du chef actuel du gouvernement.

    Avec son faux air de majordome pour comédie de boulevard, il ne lui manquait que le costume pour jouer parfaitement son rôle quand il présidait le groupe socialiste à l'Assemblée nationale. Choisi pour sa fidélité par un François Hollande, fraîchement élu mais de longtemps ambitieux de grimper au sommet du cursus républicain, il atteignit très vite son seuil d'incompétence.

    Aujourd'hui son propos, flou et mou, ne sert plus qu'à souligner les funestes ambiguïtés de la voix de son maître.

    Prenons un premier exemple. Le texte du Monde, journal papier imprimé le vendredi 24, est daté, comme d'habitude des samedi 25- dimanche 26 janvier. Or, notre Ayrault a rencontré les journalistes (2)⇓ le jeudi 23, comme en atteste la date de la photo publiée par le fameux "grand quotidien du soir". Lues attentivement ses déclarations ne démentent certes pas, en elles-mêmes, le contenu, déjà fort problématique, du président de la république. Le creux ne contredit pas le vague.

    Il se trouve que l'on pouvait lire dans "L'Humanité" du 23 janvier un texte assez menaçant. Il doit être considéré comme de conception purement cégétiste. Cette adresse a été, cependant, signée en commun des principales confédérations syndicales de la fonction publiques : CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FA-FPT, FSU, Solidaires, Unsa s'alignent en effet pour proclamer que "les fonctionnaires ne veulent pas être victimes des 50 milliards d'austérité". "Leur inquiétude, ajoute L'Huma, est d'autant plus vive que le premier ministre a estimé ce jeudi que l'objectif était de réaliser 'au minimum 50 milliards d'économies' d'ici à la fin du quinquennat, en 2017."

    Inutile, évidemment de souligner que ces prétendus "50 milliards" ressemblent à tous les chiffres avancés par le gouvernement, résultats d'additions virtuelles de quantités hypothétiques regroupant, comme trop souvent, les carottes et les navets.

    Dans un tel contexte accusatoire, se situant lui-même sur la défensive, le Premier ministre a cru intelligent de chercher à rassurer. Il s'adresse à des journalistes qu'il suppose partager les visions cégétistes. En se rapportant au texte même de l'entretien on se rend compte qu'il n'a rien fait d'autre que d'ergoter pour expliquer que sa politique s'inscrivait dans un plan d'ensemble qu'il croit de haute tenue et de grande envergure.

    On remarquera qu'il se prépare à commettre les mêmes erreurs que le plan Juppé-Barrot de 1995-1996. Il croit "faire des économies" en "mutualisant les caisses sociales", au lieu de les mettre en concurrence. Mais "qu'attendre d'un cochon sinon un grognement" dit le proverbe anglais. Qu'attendre dons d'un politicien socialiste conseillé par des technocrates français ? Mais lorsqu'un cavalier ne maîtrise pas sa monture, celle-ci n'en fait qu'à sa guise.

    Et voici comment ses déclarations se retrouvent déformées par une dépêche de l'agence Reuters. Or celle-ci est beaucoup plus largement diffusée que le quotidien dont est issue la déclaration.

    Le titre dit tout : "Jean-Marc Ayrault jure que la politique du rabot est terminée"(3)⇓ En fait Ayrault ne "jure" de rien, rien n'est terminé car rien n'est même commencé. Ayrault sabote seulement, par sa propre maladresse et ses incertitudes les annonces déjà peu crédibles de Hollande.

    JG Malliarakis 

    http://www.insolent.fr/2014/01/comment-ayrault-sabote-les-annonces-de-hollande.html

    Apostilles

    1. cf. Le Monde en ligne le 24.01.2014 à 10h40, mis à jour à 12h36 | 
    2. Bastien Bonnefous, Luc Bronner et Françoise Fressoz. .
    3. cf. Reuters 24 janvier 2014 à 12 h14
  • Colère Identitaire et patriote

    reseau

    Communiqué du 27/01/2014

     

    Pour réussir ce Jour de Colère, qui a réuni des dizaines de milliers de participants, le Réseau-Identités avait donné rendez-vous à ses adhérents sur les marches de l’Opéra-bastille avant de rejoindre la Place Vauban.

     

    Ils étaient venus de toutes les régions de France; il y avait là des Provençaux, des Languedociens de la Ligue du Midi venus en minibus, une grosse délégation du Berry, des Champenois, des Picards en lutte pour la sauvegarde de leur identité menacée par le projet de dépeçage de leur région, des Savoyards, des Bretons, des Franciliens en lutte contre ce projet jacobin de métropole, des Normands mais aussi des belges venus en renfort ainsi que des « laïques» et des patriotes.

     

    Dans un tract distribué au cours de la manifestation intitulé « de la révolte à la révolution » les Identitaires ont voulu crier leur révolte à la face des socialistes qui, en 18 mois, ont concocté toutes sortes de projets visant à opérer la dilution de notre Identité : atteinte à la cellule familiale, remplacement de population, droit de vote des étrangers, officialisation de la repentance, promotion du métissage, christianophobie…

     

    A pied d’œuvre, en ce jour de Colère, le Réseau-Identités a été le seul représentant du courant identitaire, ce qui explique son succès dans la manifestation puisqu’il fut suivi, derrière ses banderoles, par 400 à 500 manifestants qui ont repris ses mots d’ordre et en particulier « COLERE PATRIOTE ET IDENTITAIRE » qui fut scandé par des centaines de poitrines.

     

    Les identitaires du Réseau se félicitent d’avoir manifesté aux côtés de gens motivés, certes avec des positionnements divers, mais se tolérant les uns les autres, ce qui constitue de possibles prémisses pour d’autres alliances improbables auparavant. Ils condamnent avec force les tentatives d’intimidation de la police qui s’est livrée à un véritable guet-apens et les manifestants auront eu du mal à se reconnaitre dans le compte-rendu qui en a été fait par les médias et Manuel Valls.

     

    Concluons par un propos entendu dans une discussion au sein du groupe des Identitaires pendant la manif…

     

    « Les socialistes finissent toujours par nous amener la guerre, la pauvreté et le désordre. Quand le gouvernement s’oppose à l’intérêt du pays, c’est la légitimité du peuple que de s’opposer au gouvernement »

     

    Réseau Identités
    www.reseau-identites.org / contact@reseau-identites.org
    @Reseauidentites

  • Indice PMI : l’industrie en berne

    Notre confrère Les Echos a, dans son édition du 2 janvier dernier, révélé les résultats de la dernière enquête de Markit sur la conjoncture dans différents pays européens. Ces résultats sont présentés sous la forme d’un indice, le PMI (« Purchasing Manager Index »), qui indiquent, sur la base de l’opinion des directeurs des achats de grandes entreprises, la tendance de l’activité, notamment dans l’industrie manufacturière.

    Le résultat est sans appel, et aurait dû faire sur nos gouvernants l’effet d’une douche froide après les agapes de fin d’année. La France s’enfonce, la baisse de l’indice allant en s’aggravant, tandis que l’Allemagne et l’Italie renouent avec les niveaux du printemps 2011 (avant la dernière dégringolade de la croissance). Certes, l’indice PMI n’est pas la croissance, mais il fait référence dans l’industrie, et ces résultats préoccupants devraient être pris très au sérieux. En effet, ils montrent que la France est en train de manquer le train de la reprise (certes modérée et peut-être provisoire), ce qui semble être son habitude. Ils montrent également que nos voisins sont en train de tirer seuls les marrons du feu dans une conjoncture mondiale déprimée où les opportunités sont limitées ; en d’autres termes, les industriels allemands et italiens, très présents à l’international, prennent les quelques commandes disponibles dans les rares zones dynamiques de la planète, laissant à leurs homologues français le rôle de la cavalerie d’Offenbach. Et quand certains grands groupes français remportent un succès (ce qui n’est pas si rare, les entreprises du CAC 40 se portant d’ailleurs relativement bien), les PME françaises en profitent peu : ces succès sont bons pour le cours de bourse du groupe concerné, pas pour l’indice PMI du pays.

    C’est l’inverse en Allemagne, où les géants de l’équipement énergétique, du ferroviaire ou de l’automobile ont su créer et maintenir un réseau local de sous-traitants performants, qui font partie de leur force et accompagnent leur développement. Les concurrents français de ces groupes ne jurent que par le « low cost », comme ils disent, ne font appel à leurs compatriotes qu’en dernier ressort et ce dans les conditions les plus léonines possibles. Leurs acheteurs, dressés pour le rapport de force, ont fait depuis des années de l’industrie française un champ de ruines, dans l’impunité la plus totale. Le résultat, au-delà de quelques points de l’indice de Markit, se voit dans les plans sociaux à répétitions, et pas forcément les plus médiatiques. Qu’y peut l’Etat, nous dira t-on ? En tant que législateur, pas grand-chose aujourd’hui. Mais l’Etat est aussi un actionnaire (incompétent soit dit en passant). Il pourrait, s’il en avait l’idée, voire l’envie, s’intéresser aux pratiques de certains acheteurs de nos fleurons, qu’il n’est pas besoin de nommer, puisque tout le monde sait que l’Etat est prépondérant au capital d’Alstom, d’Areva ou de Renault. D’autres causes sont bien sûr à invoquer pour expliquer cette divergence entre l’activité hexagonale et celle de nos voisins alpins et rhénans. Parmi celles-ci, nous souhaitons souligner la passivité et l’absence de volonté de réforme de l’actuel gouvernement (qui n’est guère en rupture, dans les faits, avec son prédécesseur). En effet, la crise a été moins dure en France qu’en Italie, par exemple, grâce à nos fameux « amortisseurs sociaux », à l’importance de notre secteur public et aux multiples sédatifs tels que les emplois aidés ou la prime à la casse. Nos dirigeants ont donc choisi de faire le dos rond, attendant la reprise en passager clandestin. Cette attitude mesquine et attentiste est d’ailleurs bien dans la manière des duettistes qui occupent, par un cruel accident de l’Histoire, la tête de notre Etat. Pendant ce temps, l’Italie, l’Espagne, la Grande-Bretagne réformaient. Certes dans la douleur, certes au prix d’une baisse à court terme du pouvoir d’achat de leur population, certes en remettant en cause les situations acquises.

    Nous ne sommes pas partisans à tout crin de l’austérité ; mais le pragmatisme est de rigueur dans les situations telles que celle que nous connaissons, et il est tragique de constater que pendant que la totalité des gouvernements limitrophes travaille et s’interroge sur la manière de sauvegarder à moyen terme le niveau de vie de sa population, Jean-Marc Ayrault livre bataille à Dieudonné et à sa quenelle (la gastronomie lyonnaise mérite mieux qu’une telle persécution) et François Hollande joue au stratège amateur dans les pires poudrières de la planète, ce qui serait comique s’il ne s’agissait pas de la vie de soldats et de deniers publics. Sa dernière trouvaille ? Vendre pour trois milliards d’euros d’armement à l’Arabie Saoudite, en vue du soutien aux factions alliées du royaume. .. Tout un programme !

    Plutôt que de lancer des litres de propergol sur les brasiers moyen-orientaux auxquels il ne comprend rien, l’ex président du conseil général de Corrèze ne peut-il pas un peu travailler à l’intérêt du pays ? On ne sait même plus s’il faut le souhaiter ou non…

    Jean-Marc Ferrand - L’AF 2878

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Indice-PMI-l-industrie-en-berne

  • Louis Dumont de Jour de Colère: « Nous attendons que les parlementaires arrêtent de se faire les complices du gouvernement »

    26janvier23Après la manifestation du 26 janvier, nous avons de nouveau interrogé Louis Dumont, l’un des organisateurs de Jour de Colère, pour tirer le bilan de cette mobilisation.

    1)  Après la manifestation, l’heure est au bilan. En tant qu’organisateur, pour vous est-elle un succès ?

    Nous avons atteint nos objectifs au-delà de toute attente. Plus de 100 000 personnes d’origines très diverses, tant sociales que géographiques, ont répondu à notre appel. Malgré la gravité et les différences de revendications, les manifestants ont défilé dans le calme, en se respectant mutuellement. Et les gens sont restés jusqu’au bout, attendant la fin des discours avant de se disperser, et ce malgré une pluie battante.

    Donc malgré les pronostics et une faible couverture médiatique en amont, le Jour de Colère a été un beau succès.

    2)  Malgré ce qu’on a pu lire ou entendre, le cortège était assez hétéroclite. N’est-ce pas le signe que la colère gagne différents milieux de la société française ?

    Nous revendiquons la présence de toute la France dans sa diversité.

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  • [JDC] Les futurs gavés refusent la notification

  • Pourquoi Jour De Colère est un succès politique

    Communiqué du Jour de Colère :

    "Le Jour de Colère est un succès, et en premier lieu un succès politique, car il a posé publiquement la seule question qui intéresse aujourd’hui plus de 80% des Français, qui désapprouvent l’action de François Hollande à la tête de l’Etat. Cette question a aujourd’hui sa réponse : la mise en œuvre de l’article 68 de la constitution donne pouvoir au parlement, réuni en Haute Cour de justice, d’engager la procédure de destitution du Président de la République.

    Cette disposition constitutionnelle soulève à la fois des espoirs et des interrogations. Espoirs pour le peuple, interrogations pour la représentation nationale. En effet, le dernier baromètre CEVIPOF du 13 janvier 2014 a révélé que 87% des français ne font plus confiance à leurs élus. Or la constitution prévoit que c’est à eux, députés et sénateurs, qu’est confiée la responsabilité de mettre en œuvre la procédure de destitution.

    La France vit donc aujourd’hui une crise politique extrêmement grave, où les citoyens désavouent massivement à la fois le chef de l’Etat et la classe politique. Le Jour de Colère adresse son ultimatum  à cette minorité, protégée et complice, de droite comme de gauche : soit elle respecte le peuple souverain et met en jeu, de ce fait, ses privilèges et ses avantages, soit elle refuse de l’écouter et creuse alors plus profondément le fossé qui la sépare des électeurs. Les élus seront-ils responsables ou autistes ?

    Pour les aider à faire ce choix, Béatrice Bourges se tient depuis hier soir à proximité de l’Assemblée Nationale afin de leur expliquer la responsabilité qui pèse sur eux au nom du peuple français. Elle a a été rejointe aujourd’hui dans son jeûne par une autre militante du Jour de Colère, qui a décidé faire entendre ce message à ses côtés. Le sens de ce jeûne est d’obtenir de la représentation parlementaire qu’elle réponde à l’appel. Il suffit pour cela que des élus fassent preuve de responsabilité et abordent avec résolution la saisine que le peuple leur demande. Le Jour de Colère va lancer une pétition en ce sens.

    Dans bien des pays, l’intervention des citoyens pour contrôler le travail des élus est une réalité. En 2003, le Gouverneur de Californie a été chassé de son poste par un vote sanction des californiens. Dix ans plus tard, le pouvoir socialiste semble préférer l’insurrection… en Ukraine. Le Ministre des Affaires Etrangères a apporté son soutien aux émeutiers de Kiev. 

    En fera-t-il autant pour les Français en colère ?

    C’est précisément cette politique du « deux poids-deux mesures » que les français ne supportent plus : la taxation des PME, mais la gabegie de l’Etat, le racket fiscal des ménages, mais l’entretien des maîtresses présidentielles sur les fonds publics, les rafles policières pour délit d’opinion, mais l’impunité des délinquants…

    Pour éviter que la situation ne s’aggrave, François Hollande doit partir."

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