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social - Page 480

  • Rendez-nous notre argent !

     

    C’est un hiver si doux qu’on en viendrait presque à croire au bonheur revenu. Vous savez, ce bonheur qu’on ne reconnaissait pas toujours comme tel mais qui alliait la douceur de vivre dans le plus beau pays du monde et la croyance en un avenir encore meilleur. Mais voilà, « c’était avant », comme le dit Alain Delon dans une publicité.

     

    Qu’est-il donc arrivé à la France pour que tant d’atouts aient été gâchés, au point que notre pays est devenu le plus pessimiste du monde ? Il est arrivé que le communisme a progressivement et inexorablement envahi tous les secteurs d’activité et tué à la fois la liberté et la prospérité. Le communisme ? s’étonneront certains. Oui, le communisme, même si en France on l’appelle le socialisme. Mais c’est exactement la même chose.

     

    Quand les Français qui travaillent se voient confisquer la quasi-totalité de ce qu’ils gagnent, c’est le communisme. Quand chaque jour qui passe voit le pouvoir supprimer des libertés, c’est le communisme. Quand les médias récitent tous la même litanie de mensonges, c’est le communisme. Quand seuls vivent bien dans notre pays les membres de la nomenklatura constituée par les énarques et les élus nationaux, c’est le communisme. Quand aucun politicien ne formule la moindre proposition susceptible de délivrer les Français du carcan où le régime les tient enfermés, c’est le communisme.

     

    Parce que dans le communisme, ce n’est pas le peuple qui choisit ses dirigeants : ils se cooptent entre eux et celui qui se risquerait à proposer un changement perdrait toute chance d’être coopté. Les élections ? Pur simulacre. Elles ne servent qu’à donner l’illusion d’une alternance. Mais c’est toujours la même politique, élections après élections.

     

    Cicéron avait eu une phrase magnifique à l’adresse du factieux Catilina : « Jusqu’à quand abuseras-tu de notre patience ? » Il nous faut aujourd’hui un nouveau Cicéron qui apostrophera les dictateurs français et appellera le peuple à les chasser.

     

    Quelle est la légitimité de ceux qui nous gouvernent et de ceux qui aspirent à les remplacer ? Ils n’en ont aucune. Le peuple les élit faute de mieux, tout simplement parce ceux qui mériteraient, par leurs qualités et leur honnêteté, de gouverner la France sont empêchés de se faire connaître par la conjuration des médias.

     

    Alors oui, ces gens du pouvoir abusent de notre patience. Mais la patience a des limites. Elles sont aujourd’hui atteintes. Il n’est projet dans le peuple que de manifestations, de révoltes, de punitions. Il ne manque plus que la coalition des mécontentements et surtout le message qui les transmutera en mot d’ordre et qui renversera le régime. Je n’en vois qu’un seul : « Rendez-nous notre argent ! »

     

    Rendez-nous l’argent de nos salaires : la moitié de ce que nous gagnons nous est confisquée par la Sécurité sociale, et l’autre moitié par les impôts. Avec l’argent qu’on va nous rendre, nous allons remettre la France en marche, car nous consommerons, nous investirons, nous ferons des projets, nous aurons de nouveau un avenir. Rendez-nous notre argent, à nous petits entrepreneurs, artisans, commerçants, professions libérales : nous créerons des emplois, de la richesse pour tout le monde, nous redonnerons vie à l’économie de notre pays.

     

    Il faut décréter l’illégitimité des prélèvements. Tout impôt est un impôt de trop, toute cotisation sociale est une cotisation de trop. Il faut tout remettre en question. Une fois l’hémorragie arrêtée, on édictera une fiscalité raisonnable, une protection sociale fondée sur la liberté, des aides aux vrais nécessiteux. Et il fera à nouveau bon vivre en France.

     

    Claude Reichman

    http://francelibre.tumblr.com/post/78838479596/rendez-nous-notre-argent#.UxooJV4sRXY

  • Ecotaxe : violents heurts dans le Finistère

    Plusieurs centaines d’exploitants et transporteurs agricoles bretons ont affronté les forces de l’ordre ce samedi, en début d’après-midi, à Pont-de-Buis (Finistère), au pied d’un portique écotaxe. Selon Ouest-France, le pronostic vital d’un manifestant, touché à la gorge par un tir de flash-ball, serait engagé.

     

    Un autre homme qui participait à l’action a eu la main arrachée. La préfecture du Finistère parle de son côté de deux blessés du côté des manifestants sans donner plus de détails.

    Les Photos sur le site du Parisien

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Ecotaxe-violents-heurts-dans-le

  • « Pacte de responsabilité » et chômage : l’enfumage, c’est maintenant

    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation)Alors que les chiffres catastrophiques du chômage sont tombés mercredi, les négociations entre partenaires sociaux pour le « pacte de responsabilité » ont débuté hier.

    Le ministère du Travail l’annonçait mercredi : le nombre de demandeurs d’emplois de la catégorie A, c’est‑à‑dire sans aucune activité, a continué de grimper en janvier, avec 8.900 nouveaux inscrits à Pôle emploi, portant leur nombre au niveau record de 3.316.000. En incluant les chômeurs des catégories B et C, c’est‑à‑dire ayant eu une activité réduite (+23.600 en janvier), on recense 4.920.000 demandeurs d’emploi à la fin du mois dernier. Du jamais vu. Et si l’on inclut les départements d’Outre‑mer, on arrive à un total de 5.229.000 demandeurs d’emplois. Il s’agit naturellement des chiffres officiels, après traitement statistique idoine !

    Le gouvernement en est réduit aux formules incantatoires
    Invité de l’émission « Questions d’info » sur LCP, le ministre du Travail Michel Sapin (à gauche sur la photo, avec Jérôme Cahuzac) a pris acte de l’échec du gouvernement. « Tant que ça ne recule pas, c’est que ça ne va pas », a‑t‑il proféré, ajoutant dans la même veine : « On ne peut pas accepter de vivre avec un pays où il y a plus de trois millions de chômeurs (nota bene, monsieur le ministre : c’est “plus de cinq millions” que vous auriez dû dire). Donc, il faut faire reculer (sic) ». Quant au Premier ministre, Jean‑Marc Ayrault, il a estimé : « Qu’il faut encore persévérer sans faiblir pour faire reculer durablement le chômage dans notre pays ».Belle enfilée de lieux communs…

    Ledit « pacte de responsabilité » ne cible aucune des priorités du pays en matière d’emploi
    Ce pacte fait la part belle aux mesures cosmétiques. Ainsi, constatant que la situation des 50 ans et plus continue de se dégrader sérieusement, Michel Sapin prévoit qu’un « contrat de génération » (sic) fera son entrée dans le « pacte de responsabilité ». Lors du débat qui l’a opposé dimanche sur RTL au ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, Marine Le Pen a souligné que ce « pacte » a été fait pour les grosses entreprises du CAC 40 et non pour les 97 % d’entreprises françaises réellement productrices d’emploi, à savoir les PME‑PMI. La présidente du Front national a recensé un certain nombre de priorités : établir un impôt progressif sur les sociétés avec remise à plat du système parasite des seuils ; redonner du pouvoir d’achat aux Français ; exiger des banques, que l’Etat a aidées, qu’elles prêtent aux entreprises ; ou encore sortir notre pays de l’euro, une monnaie faite sur mesure pour l’opulente Allemagne.

    Des mesures que Montebourg a balayées d’un revers de main, arguant qu’il était à lui seul en mesure de faire reculer l’Allemagne au sujet de la surévaluation de l’euro. Merkel en rigole encore.

    http://fr.novopress.info/158201/pacte-responsabilite-chomage-lenfumage-cest-maintenant/#more-158201

  • Les Bonnets Rouges ont occupé des ponts aujourd’hui

    Le mouvement des Bonnets Rouges continuent sa mobilisation, notamment en vue des Etats-Généraux du 8 mars. Ce matin, ils ont occupé des ponts dans différents endroits de la Bretagne.

    bonnets rouges 2

    bonnets rouges 

    http://medias-presse.info/les-bonnets-rouges-ont-occupe-des-ponts-aujourdhui/7037

  • Intermittents du spectacle : bientôt le clap de fin ?

    Allez hop, c’est reparti comme en 2003, les intermittents sont à nouveau dans la rue. On va voir ce qu’on va voir.
    Allez hop, c’est reparti comme en 2003, les intermittents sont à nouveau dans la rue. On va voir ce qu’on va voir. Le MEDEF a dit vouloir aligner le régime spécial des intermittents du spectacle sur le régime général, mettre un terme à un système d’indemnisation par trop généreux. C’est dégueulasse. Aurélie Filippetti a immédiatement répliqué avec la finesse, la mesure et l’argumentaire habituels : « Le MEDEF veut tuer la culture. » Dit autrement, quand le MEDEF entend le mot « Kultur », il sort son revolver. Nous voilà pour ainsi dire renvoyés aux heures les plus sombres de notre histoire, comme à chaque fois que quelqu’un s’avise de remettre en cause un deux poids deux mesures dans ce pays.
    Non, mais, oh ! Z’êtes pas bien dans votre tête ? Otez vos sales pattes des dernières pépinières socialistes que l’on garde bien au chaud dans la serre, que l’on arrose amoureusement, et que l’on berce tendrement le soir. La prochaine moisson électorale sera assez mauvaise comme ça, manquerait plus qu’en sus les intermittents du spectacle mettent les bouts.

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  • Comment quitter la Sécurité sociale: Réunion d’information au Neubourg (Eure)

    Comment quitter la  Sécurité sociale ( URSSAF, RSI, CARMF etc.)
    Réunion d’information ouverte aux professions libérales, aux artisans et commerçants, aux salariés  au Neubourg (Eure)
    le samedi 8 mars 2014  à 14 heures
    Hôtel Acadine
    11/13 route de Conches
    Le mont Rôti
    27110 LE NEUBOURG

    avec le Dr Claude Reichman, président du MLPS, et les représentants du mouvement “Les médecins ne sont pas des pigeons”

    Contact et inscription :
    reunionmlps@gmail.com

    Une participation de 10 euros par personne est demandée pour la location de la salle, payable sur place

  • Salaires impayés : les entreprises font de plus en plus appel aux crédits

    L’organisme spécialisé a débloqué plus de 2 milliards en 2013 pour payer les salaires des entreprises en difficulté.

    Voici un signe supplémentaire de la fragilité des entreprises françaises: elles font de plus en plus appel, en cas de défaillance, à l’AGS (Association pour la gestion du régime de garantie des créances des salariés). Cet organisme patronal avance des crédits aux sociétés qui, en cas de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaire, n’ont plus suffisamment de trésorerie pour payer les salaires de leurs employés ou leur indemnité de licenciement. Il est financé par une cotisation des entreprises­ (de 0,3% de la masse salariale) et par la récupération, lorsque c‘est possible, d’une partie des fonds prêtés.

    En 2013, le montant des avances s’est accru de 5,4%, atteignant 2,19 milliards: un record depuis la mise en place de l’AGS… en 1974! Le précédent, établi en 2009 au cœur de la crise, a été dépassé d’environ 80 millions d’euros.

    De même, le nombre de salariés secourus a augmenté, pour retrouver les niveaux de 2009, avec près de 286.000 bénéficiaires. Par ailleurs, l’organisme a réussi à récupérer 718 millions, soit un peu moins qu’en 2012. Cet ensemble de signaux négatifs montre à quel point le tissu économique est exsangue après cinq années de crise. Pour preuve, les marges des entreprises sont au plus bas depuis 1985.
    Alors que globalement l’AGS a garanti le paiement des salaires et des indemnités dans près de 28 000 affaires en 2013, un chiffre en hausse de 3,6%, certains secteurs ont été particulièrement sinistrés. Comme l’hébergement et la restauration, où le nombre d’interventions de l’AGS a explosé de 10,6%. Autre enseignement, plus de 80 % des affaires où l’AGS a dû apporter son aide concernent des entreprises de moins de 10 salariés. Et le nombre d’interventions, dans cette catégorie de sociétés, a augmenté de 5,5%, tandis qu’il s‘est replié de 7,4% dans les PME de 10 à 49 salariés et de 2,7% dans les entreprises de plus de 50 salariés. Par région, c’est la Corse qui affiche la plus forte progression (+ 25,5%), suivie de la Réunion et de la Guadeloupe.

    La hausse ralentit

    Seule note positive dans ce sombre tableau, les statistiques du quatrième trimestre 2013 laissent espérer que le pic de la crise est dépassé. En effet, le nombre de dossiers ouverts par l’AGS (tous ne donnent pas droit à une aide) pour cause de liquidation ou de redressement judiciaire était, ­selon une première estimation, en hausse de 3,7% à fin décembre 2013 sur douze mois glissants, une progression inférieure à celle constatée à fin septembre (+5,6%). La tendance est iden­tique pour les procédures de ­sauvegarde. Bref, la hausse ralentit. Mais on est encore loin de la baisse.

    Toute la question est maintenant de savoir si les membres du conseil d’administration de l’AGS vont pouvoir maintenir en l’état le taux de cotisation des entreprises. Il y a cinq ans, en pleine crise, ils avaient été obligés de l’augmenter par deux fois pour faire face à l’afflux de dépenses. Et, au final, de doubler son taux. Depuis, une seule baisse est intervenue…

    Le Figaro

    http://fortune.fdesouche.com/330427-salaires-impayes-les-entreprises-font-de-plus-en-plus-appel-aux-credits

  • Le chômage augmente, tout comme le chiffre d'affaires de la publicité...


    Evolution du marché publicitaire français en 2010, 2011 et 2012

    ANNEE       TAUX DE CROISSANCE        INVESTISSEMENTS PUBLICITAIRES
    2012      +0,9%       27,9 milliards €
    2011      +5,1%       27,6 milliards €
    2010      +10,2%       26,2 milliards €        Chiffres Kantar Media.

    Bénéfices des groupes publicitaires en France

    RANG     GROUPE     BÉNÉFICES 2012     CHIFFRE D’AFFAIRES     ÉVOLUTION DU CA
    1.     Publicis Groupe     764 millions €     6,61 milliards €     +13,65%
    2.     Havas     135 millions €     1,77 milliards €     +8,09%
    3.     Havas France     40 millions €     337 millions €     +5,31%
    4.     GL Events     31,13 millions €     824 millions €     +5,31%
    5.     Gutenberg     9,45 millions €     306 millions €     +13,65%
    6.     BBDO Paris (CLM Prox New)     6,47 millions €     132 millions €     +3,58%
    7.     Mediapost     2,19 millions €     597 millions €     +1,60%
    8.     Lowe France     1,17 millions €     40 millions €     -11,40%

    Source

  • Marie-Laure des Brosses: « Vouloir que toutes les femmes travaillent,ça c’est de l’idéologie »

    Le rapport Lemière sur la fiscalité française a été remis à la ministre Najat Vallaud-Belkacem le 12 décembre. Ce rapport propose d’individualiser l’impôt sur le revenu pour encourager les femmes à travailler. Le 6 janvier, le premier ministre en fait la priorité du gouvernement. Le 31 janvier, le ministre Cazeneuve ordonne la création d’une commission de travail qui doit rendre ses conclusions pour le 13 avril.  L’un de ses objectifs est bien une nouvelle fiscalité pour encourager les femmes à travailler. La volonté du gouvernement est bien dans ce sens. Cette mesure inquiète certaines femmes comme Marie-Laure des Brosses, présidente du mouvement mondial des mères France, et qui a créé une page Facebook. Elle a accepté de nous éclaircir sur le sujet.

    « Il y a des vraies questions qui se posent. Il y a une demande. Des femmes veulent travailler mais ne peuvent pas. Elles prennent un congé parental par défaut ou bien se retrouvent au chômage avec un bébé. Il est difficile de trouver un emploi. Ce n’est donc pas idiot d’y réfléchir pour permettre de trouver un travail plus vite. »  Mais ce qui donne des craintes à Marie-Laure, c’est cette volonté que toutes les femmes travaillent : « on est dans l’idéologie avec cette volonté d’égalité totale. C’est une absurdité. Cela n’existe que dans deux pays européens : la Lettonie et la Lituanie et il y a une extrême pauvreté. Je ne crois pas que cela soit des modèles enviables. » Il y a donc une part de problème réel et une part d’idéologie dans cette volonté gouvernementale. Aujourd’hui : « chaque famille s’organise librement. Il est faux de croire que la mère paie plus d’impôt sur les revenus cumulés. Si demain chacun paie l’impôt de son côté, ça risque de fragiliser le couple.  Pour les familles aisées, on a déjà les divorces fiscaux. Ils préfèrent payer une pension alimentaire qui sera déduite des impôts. » Marie-Laure considère qu’il serait injuste de n’imposer qu’en fonction des revenus : « il ne serait pas absurde de tenir compte des enfants mais aujourd’hui on a une vision plus individualiste et libertaire. »

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  • Les socialistes ont lancé une nouvelle guerre civile

    C'est ni plus ni moins l'avis de Roland Hureaux, qu'on peut lire intégralement ici. Extrait.

     

    "En proposant d’alléger les charges des entreprises, sans autre contrepartie  que la fin des cotisations familiales (remplacées par quoi ? On ne sait), le pouvoir socialiste s’en prend aux familles nombreuses non seulement immigrées mais indigènes qui se trouvent au cœur de la résistance à l’idéologie dominante. Ces   familles  ont assuré à la France un renouvellement démographique meilleur que le  reste de l’Europe (qui est, elle, en voie de disparition), mais elles ont fourni aussi  les principales troupes de La Manif pour tous. Que Mme Najat Belkacem propose de sanctionner fiscalement les femmes au foyer s’inscrit dans la même logique. Une logique qu’on n’hésitera pas à appeler de guerre civile : il s’agit non seulement de punir un groupe social mal pensant  mais de l’exterminer  en le privant de moyens d’élever ses enfants.

    Voilà donc une révolution, qui, à la différence de celles du passé, ne s’attaque pas seulement au pouvoir politique ou économique mais à l’héritage européen  dans son ensemble  et même au  socle anthropologique  commun à toutes  les sociétés.

    Que cette révolution, qui n’est pas propre à la France, ait pris chez nous le visage d’un fonctionnaire sans éclat est conforme aux intuitions  de Dostoïevski selon qui les hommes à  l’air parfaitement insignifiant  pouvaient s’avérer les plus dangereux qui soient."

     

    Pour notre part, si nous dénonçons avec la même force et la même gravité la logique de guerre civile et d'extermination douce qui est celle de l'Occupant, nous ne partageons pas cette distinction, que fait M. Hureaux (en italique ci-dessus), d'une révolution socialiste libertaire qui serait nouvelle sous son aspect anthropologique. Comme le rappellent à de multiples reprises les propos de Vincent Peillon, il s'agit bien de parachever la Mère des Révolutions, celle de 1789, en érigeant dans toute sa cohérence la Religion républicaine. Cette nouvelle phase socialiste (mais aussi libérale) - libertaire est la phase d'achèvement, car avant d'être politique ou économique, la Révolution est d'abord religieuse, anti Christique, donc anti-humaine.

     

    Nous signalons une critique très intéressante de cet article de M Hureaux par Falk van Gaver, sur le site de la Nef.

    Paula Corbulon