Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

social - Page 480

  • Devant une telle addition d’incompétence, la révolte est de mise…

    Le Jour de colère du 26 janvier est une révolte du bon sens qui refuse qu’on traîne un pays doté de tant d’atouts vers le bas.

    Séduits par les alliances gauche-droite qui se multiplient en Europe, certains ne songeraient-ils pas à une évolution semblable en France ? Entre une gauche social-démocrate et une « droite » opportuniste, appuyée sur le discours de Valls en matière de sécurité et la conversion économique verbale de Hollande, cette alliance doit titiller l’esprit de quelques-uns. Le peuple pourrait même lui être favorable en y voyant une union de salut public, quand il ne s’agirait que d’une union pour se maintenir au pouvoir…

    La connivence médiatique assez exceptionnelle dans notre pays ne manquera pas de célébrer une évolution qui rassemblera les dévots du politiquement correct et confirmera le confortable entre-soi des « gens qui comptent ».

    Lire la suite

  • Plusieurs milliers de manifestants pour le Jour de Colère

    Plusieurs milliers de manifestants pour le Jour de Colère

    PARIS (NOVOpress) – Le cortège des manifestants du Jour de Colère arrive place Vauban aux Invalides.Voir l'image sur TwitterA la tribune on nous annonce une ENORME surprise ! Réponse bientôt !

    Voir l'image sur TwitterNotre banderole en tête de cortège du !

    Lire la suite

  • Le CDI en voie de disparition

    Une nouvelle étude publiée par le service rattaché au ministère du Travail, la Dares, révèle que le taux des recrutements en Contrat à durée déterminée CDD, a augmenté de 3 points en 2012 tandis que le taux des CDI, Contrat à durée indéterminée recule.

    La « CDDisation » prend de l’ampleur

    Les résultats de la Dares démontrent que presque toutes les entreprises ne recrutent plus en CDI. Par contre, le taux des CDD a atteint le record avec 81,2% des nouvelles embauches en 2012 comparativement à 2011 ; ce qui traduit une hausse de 3 points.

    A part les entreprises de 50 salariés ou plus, de la construction qui n’ont que 39,8% de taux de recrutements en CDD, tous les autres secteurs d’activités sont concernés. Le tertiaire englobe à lui seul 83% des embauches en CDD avec un repli considérable des CDI, la construction 61,6%, et l’industrie 68,5%.

    Tous sont concernés

    D’après la Dares, le problème de la “CDDisation” ne se limite pas qu’aux jeunes.

    En 2012, chez les moins de 30 ans, le taux d’embauche en CDD, avait grimpé à 82,6% mais aussi chez les plus de 50 ans, ce taux était passé à 84,6%. Les femmes sont aussi plus touchées par le CDD plus que les hommes, 85 contre 76,6%.

    En vue de rehausser le taux des CDI, et de baisser celui des CDD, la contribution chômage qui était à 4% est ramenée à 7% pour les CDD de moins d’1mois, et de 5,5% entre 1 et 3mois.

    Les recrutements en CDI des moins de 26 ans ont été exonérés pendant une durée de 3 ou 4 mois de toutes cotisations. Toutefois, il existe encore des employés qui profitent encore d’un contrat en CDI. Vers la fin de l’année 2011, ils étaient 84,1% des effectifs du privé.

    Radins.com

    http://fortune.fdesouche.com/326360-le-cdi-en-voie-de-disparition#more-326360

  • Jour de colère : flash sur les banderoles

    Be6bdarIAAA6bk4

    Be6KaQ0IYAA2gSu

    Be6KntDIUAAmtZJ

    Be6LYwOIcAA9Uot

    Be6Rb2jIgAAXuxQ

    Image (1)

    Lahire

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La terre et l’agriculture selon l’ Article 39 du Traité de Fonctionnement de l’Union Européenne

    Qu’est-ce que la terre ?

     

    Contrairement à l’eau ou à l’air qui peuvent être indéniablement pollués comme c’est le cas aujourd’hui, mais non détruits (ou alors, il faudrait chauffer les océans à plus de 100 degrés !), la terre, elle, est le résultat d’une jonction non définitive de nature électrostatique entre de l’humus et de l’argile.

    L’humus provient essentiellement de la décomposition de matière organique à la surface du sol, assurée conjointement par faunes et champignons (microscopiques).

    L’argile provient quant à elle de la déstructuration de la roche « mère » par les racines des arbres (hé oui, un arbre, c’est comme un iceberg, il y en a plus en dessous qu’au dessus).

    La jonction dite « argilo-humique » nécessaire à la formation de la terre proprement dite est essentiellement assurée par les vers de terre. La présence de vers de terre est donc un indicateur de tout premier plan.

     

    Une agriculture pérenne et respectueuse de son milieu est donc une agriculture agro-sylvo-pastorale. On cultive (« agro »), c’est à dire que l’on prélève de la biomasse du sol (la récolte), mais on remet de cette biomasse sous forme de déchets verts (« sylvo ») et enrichie de matières organiques type fumier (« pastorale »).

     

    Ne faut-il pas être fou pour considérer que l’on peut prélever jusqu’à 100 quintaux à l’hectare par an…sans rien remettre ? C’est pourtant ainsi que cela fonctionne aujourd’hui, et surtout, ainsi que les agriculteurs sont encouragés à travailler.

     

    L’article 39 du TFUE nous dit :
    « D’accroître la productivité de l’agriculture en développant le progrès technique »

     

    Cette « productivité » est à bien comprendre ainsi : l’objectif pour l’Union européenne est de maximiser la surface cultivée par agriculteur et non pas d’augmenter la productivité au mètre carré ! Les agriculteurs étant poussés à cultiver seuls des surfaces de plus en plus vastes, la conséquence directe est donc : la monoculture intensive au moyen de pesticides et de fongicides et dans un avenir proche…d’OGM*.

     

    Or, pesticides et fongicides tuent la faune et la flore. La faune (microscopique), ne peut donc plus décomposer les matières organiques…ainsi, progressivement, on assiste à une destruction de l’humus (environ 10 tonnes à l’hectare et par an en France). Les vers de terre meurent ; nous sommes passés de 2 tonnes à l’hectare de vers de terre en 1984 à environ 50 kilos à l’hectare. Les vers aèrent le sol, ils remontent en surface, l’équivalent de leur poids en nutriments chaque jour et rappelons le, permettent la création du complexe argilo-humique…donc de la terre !

     

    La productivité recherchée condamne les bocages, et par conséquent, il n’y a plus d’apport en matières organiques pour le sol, il n’y a plus non plus de faune pour la décomposer, et donc, plus d’humus : c’est l’érosion. Le sol devient imperméable et l’on crée ainsi les inondations en période sèche au printemps, avant de nous informer 3 mois plus tard, en été, que les nappes phréatiques sont vides. En effet, les sols étant devenus imperméables, toute l’eau ruisselle dans les cours d’eau et vers la mer, charriant avec elle l’argile de la roche mère qui n’a plus d’humus pour se fixer (d’où l’aspect boueux de nos cours d’eau lorsqu’il pleut, chose qui n’existait pas il y a 50 ans).

     

    Pendant ce temps, nous sommes condamnés à manger des céréales et des légumes chimiquement chargés, ou bien des légumes sans goût (puisque cultivés hors sol) comme plus de 90% de nos fraises et de nos tomates.
    Environ 90% de la terre en France est ainsi biologiquement morte, au sens ou seul l’apport massif d’engrais permet de maintenir la production. D’ailleurs, malgré les progrès techniques des dernières décennies, la production céréalière mondiale n’a pas augmenté depuis les années 80.

     

    L’article 39 se poursuit ainsi :
    « […] en assurant le développement rationnel de la production agricole ainsi qu’un emploi optimum des facteurs de production, notamment de la main-d’œuvre »

     

    Ceci explique que la France soit passée de 1 500 000 agriculteurs dans les années 90 à un peu plus de 500 000 aujourd’hui.

     

    En résumé, l’article 39 du TFUE nous condamne à la productivité à outrance, aux fongicides, aux pesticides et à terme, aux OGM. Seule, une petite partie de la population s’en trouve préservée, à savoir les personnes ayant la capacité économique de manger du « Bio », c’est-à-dire, de payer plus cher pour manger sainement comme le faisaient nos ancêtres.
    Quelles sont les conséquences à terme sur la santé publique ? Les conséquences sur notre écosystème ? Quid de la biodiversité ? De la santé des agriculteurs ? À l’heure actuelle, 1 agriculteur se suicide tous les jours en France !

     

    Nous pourrions ajouter les engrais provoquant la minéralisation des sols, ce type d’agriculture est responsable de près de 80% de l’émanation des gaz à effets de serre au niveau mondial, ce qui en fait de loin, le premier pollueur de la planète.

     

    Pourtant, les solutions existent.
    Stopper le labour*, B.R.F*, semis sous couvert, principes de permaculture ; autant de techniques qui intéresseront les plus curieux.
    La productivité au sens économique pourrait être remplacée par la productivité au mètre carré…et cela change tout. L’agriculture la plus productive au mètre carré est sans doute « la milpa » : la culture ancestrale sud-américaine. C’est une tri-culture alliant maïs, haricots et courge. Le maïs sert de tuteur aux haricots qui, en échange, produisent de l’azote pour le maïs, qui, enfin, fournit une protection solaire à la courge. Celle-ci par son étendue couvre le sol et empêche son érosion.
    Ceci n’est qu’un exemple, mais illustre le fait que manger sainement avec la capacité nécessaire pour nourrir 7 milliards d’individus est largement faisable. Malheureusement, aujourd’hui, la France n’est même plus auto-suffisante au niveau alimentaire.

     

    En conclusion, le choix de la productivité économique a un bilan très lourd :

     

    1/La population mange des produits de plus en plus chargés chimiquement.

     

    2/Le sol se meurt, mais jusqu’à quand l’écosystème tout entier va-t-il pouvoir tenir ?

     

    3/Le dégagement, en « équivalent CO2* », par minéralisation des sols est une source majeure de gaz à effet de serre.

     

    4/En culture hors sol, Il faut 8 calories pétrole pour former une calorie agricole et 8 calories agricoles pour une calorie animale…soit 64 calories pétrole pour une calorie animale. Au moment où le pétrole se raréfie, quid de la population indienne et chinoise désireuse de manger de plus en plus de viande.

     

    5/Les OGM sont un énorme problème. Ils condamnent les exploitants à la dépendance vis-à-vis du lobby agro-industriel via la nécessité d’acheter semences et engrais spécifiques tous les ans, entrainant pollution, misère et endettement…à noter le nombre de suicides en fortes augmentation dans les zones OGM en Inde. L’autre problème des OGM, c’est que la pollinisation n’a pas de frontières. L’exemple du Maïs mexicain qui commence à être contaminé par le Maïs OGM américain en est un exemple terrifiant.

     

    6/La Culture « productiviste » est encouragée par toutes les grandes instances internationales telle que l’UE, mais surtout le FMI (exemple au Burkina Faso).

     

    Lexique :
    OGM* : Organisme Génétiquement Modifié. Il ne faut pas, de mon point de vue, « jeter le bébé avec l’eau du bain », les OGM permettent par exemple la synthèse de l’insuline. Mais dans le cadre de l’agriculture, les OGM consistent essentiellement à modifier le génome d’une plante afin de la rendre résistante à l’herbicide et/ou aux fongicides employés en parallèle. Ainsi, en est-il du « fameux » « Roundup » de Monsanto, qui tuera tout, sauf le soja OGM planté et seul résistant. Ainsi, plus de mauvaises herbes, plus de nuisibles, l’agriculteur américain peut cultiver 500 hectares tout seul…belle productivité ! Mais tout le reste meurt, absolument tout.

    Labour* : Le fait de labourer profondément le sol entraine les matières organiques de surface en profondeur. Or, celles-ci ne seront plus décomposées par les champignons qui, sous terre, n’ont pas l’oxygène nécessaire à leur action. Par conséquent, pas de transformation en humus.

    BRF : Bois Raméal Fragmenté, il s’agit simplement du broyat issu de l’élagage des arbres, qui, déposé sur le sol à la fin de l’automne permet de « simuler » un sol forestier dans toute sa richesse.

    Equivalent CO2 : Il est nécessaire de parler en équivalent CO2, car Méthane, protoxyde d’azote et CO2 n’ont pas la même durée de vie dans l’atmosphère ni le même impact en terme de réchauffement par effet de serre. A titre d’exemple, le protoxyde d’azote, résultat majeur de la minéralisation des sols par certains engrais produira le même effet que 298 kilos de CO2 ; d’où la notion d’équivalent CO2.

     

    NOTE : Beaucoup est à dire sur cette problématique, ce petit exposé se veut volontairement partiel, mais essaie d’apporter des clés de compréhension permettant de mieux cerner les tenants et les aboutissants d’un article du TFUE qui, à la base, pourrait paraître « innocent ».

     

    Steve Guyot

    http://francelibre.tumblr.com/post/74543542543/la-terre-et-lagriculture-selon-l-article-39-du-traite#.UuUAGPZKFMM

  • Ce Jour de colère qui dérange…

    Le Jour de colère intrigue. Pour certains, il dérange. Pour nous, c’est bon signe…
    ♦ Les thèmes de protestation du Jour de colère sont directement en rapport avec la chute de popularité de François Hollande et de son gouvernement dans les sondages. Mais les questions ne sont jamais posées aux Français sous cet angle. Seul le Jour de colère et son collectif de 50 organisations de la société civile osent faire la liste des mécontentements de nos concitoyens. Ce sont ces thèmes que le Jour de colère mettra en avant ce dimanche 26 janvier.
    La colère fiscale est le premier d’entre eux. Le mouvement des Bonnets rouges a fait tache d’huile et n’appartient aujourd’hui à personne, tant l’urgence de la justice fiscale est partagée par l’opinion.
    La faillite éducative est le deuxième thème de colère. La catastrophique réforme Peillon est un écran de fumée pour masquer l’échec de l’éducation nationale, la dictature des syndicats d’enseignants et le poids de l’idéologie dans les programmes scolaires. Partout dans le monde, la place de la France recule. Dans les classements sur l’éducation, elle s’effondre. Le Jour de colère n’accepte pas cela.
    La destruction de l’emploi, le chômage de masse, le carcan bureaucratique qui entrave les entreprises et les charges qui les écrasent sont un sujet de colère grandissant. Les faillites industrielles et les suppressions d’emploi menacent la survie économique de la France. Qu’ils soient chômeurs, artisans, commerçants, paysans, tous les membres actifs de la vie économique sont exaspérés et vont le dire dimanche. Le Jour de colère lance la contre-offensive.
    La politique idéologique du gouvernement à l’égard des familles est en décalage complet avec les préoccupations des Français. Les priorités des familles n’ont rien à voir avec les lubies de Belkacem ou les fantaisies de Taubira. Alors que la famille est le premier lien social et le dernier rempart contre la précarité, le gouvernement mène une politique qui détruit cette solidarité. Le Jour de colère ne laissera pas faire.
    La souveraineté nationale a été bradée par François Hollande, qui se couche devant les technocrates de Bruxelles. L’identité nationale est bafouée par les « experts » de Jean-Marc Ayrault, qui réclament le remplacement de notre culture, de nos lois et nos mœurs. Les convictions des croyants sont insultées jusque dans leurs lieux de culte par des profanatrices Femen payées sur nos impôts. La liberté d’expression est traquée partout où elle subsiste. Le Jour de colère va nettoyer tout ça.
    Les sujets de colère sont si nombreux qu’on ne peut les citer tous, ils seront tous exprimés dans la rue le dimanche 26 janvier. Le peuple demande des sanctions et Hollande devra payer bientôt.
    Source :Nouvelles de France
    http://www.polemia.com/ce-jour-de-colere-qui-derange/

  • Mesures d'urgences : l'UMP "oublie" la famille

    Le conseil national de l’UMP doit arrêter aujourd'hui les grandes mesures d’urgence pour l’alternance. Or, pas une seule ne concerne la famille. Hervé Mariton explique

    "J’ai proposé que nous fassions état de nos propositions sur la famille, de notre vision du modèle familial. Mais je me suis incliné devant le sentiment majoritaire : l’UMP a considéré qu’il ne fallait pas cliver trop fort, trop tôt, que la question n’était pas suffisamment stabilisée pour que nous l’abordions dès ce conseil national. Mais nous y reviendrons, je m’y engage. Les sujets liés aux valeurs sont centraux dans le débat politique. L’UMP est trop prudente sur ces questions : j’assume par exemple le mot «abrogation»de la loi Taubira. Je manifesterai le 2 février avec «La manif pour tous», car plus François Hollande donnera le sentiment d’être aimable à l’égard des entreprises, plus, en contrepartie, il offrira sur les questions sociétales des gages à EELV, à la gauche du PS et à l’ultragauche."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Une annonce importante sera faite à l'issue du Jour de Colère

    Communiqué du Jour du Colère :

    "La préfecture de police a rendu son verdict : les manifestants du Jour De Colère n’auront pas le droit de défiler dimanche 26 janvier jusqu’à la place de l’Opéra, comme nous l’avions demandé depuis le 7 janvier dernier.

    C’est donc de la place de la Bastille jusqu’à la place Vauban que nous marcherons, avec un motif de colère supplémentaire, celui d’une nouvelle atteinte à nos libertés.

    Menaces prétendues de troubles à l’ordre public, zones difficiles à sécuriser, lieux sensibles à proximité : ces arguments sont de faux prétextes. La police de Manuel Valls se range une fois de plus du côté des censeurs. Liberté d’expression ? Droit à manifester ? Ces mots ne veulent plus dire grand-chose aujourd’hui dans la France de François Hollande.

    Alors nous marcherons, déterminés, pour dire notre colère. Nous la crierons sur la place Vauban comme nous l’aurions criée sur la place de l’Opéra. De même, nous ne cèderons pas aux éventuelles provocations policières par lesquelles l’Etat entend justifier la condamnation des Français qui refusent une politique injuste : Manuel Valls n’aura pas raison du Jour De Colère.

    Outre cette interdiction arbitraire, il semble que la préfecture ait dévoilé publiquement des informations personnelles sur les organisateurs de la manifestation. A l’atteinte aux libertés s’ajoute une atteinte à la vie privée de certains militants du Jour De Colère.

    C’est pourquoi notre avocat vient d’adresser une lettre au préfet de police, pour signaler ces manquements grave à la déontologie.

    A deux jours de la manifestation, ce changement de programme est une difficulté supplémentaire à surmonter sur le plan logistique mais nos équipes sont déjà mobilisées pour que le Jour De Colère soit historique.

    Le trajet sera plus long que prévu, merci donc d’être à 14h au plus tard place de la Bastille pour que le cortège puisse partir rapidement. N’oubliez pas vos drapeaux français, sifflets, mégaphones et cornes de brumes… pour vous faire entendre.

    Enfin, une annonce importante sera faite en fin de manifestation, à l’issue de l’intervention des porte-paroles du Jour De Colère. Nous vous invitons dès maintenant à prévoir de rester jusqu’au bout !

    La coagulation redoutée par François Hollande voit le jour et notre colère ne se taira pas tant qu’il n’aura pas démissionné. RDV le 26 janvier dès 13h30 place de la Bastille !

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/une-annonce-importante-sera-faite-%C3%A0-lissue-du-jour-de-col%C3%A8re.html

  • Une des photos du jour

     

    Ukren Ukraine, prêtres entre forces de l'ordre et manifestants.

    Lahire

  • Les Français rognent sur leur budget santé

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) – L’explosion fiscale conjuguée à une inflation générée par l’euro a eu raison des dépenses de santé des Français.

    Selon une étude, le budget moyen d’un Français a baissé de 8 % pour l’année 2013. Les auteurs de l’enquête dressent un constat alarmant : « Que les Français renoncent de plus en plus aux soins et recherchent plus systématiquement des solutions alternatives, en France comme à l’étranger, pour optimiser leur budget et réduire leurs dépenses ». Les postes de dépenses les plus contraints par cette rigueur budgétaire concernent au premier chef les lunettes, les lentilles et les prothèses dentaires. 45 % des personnes interrogées déclarent avoir renoncé à en acheter.

    Pour pallier le manque de moyens, les Français se tournent malgré eux vers les traitements génériques. Ces médicaments bien que peu onéreux ne proposent pas toutes les garanties en termes de qualité et sécurité lorsqu’ils sont fabriqués dans des pays qui ne répondent pas aux critères européens, et notamment français.

    http://fr.novopress.info/153850/les-francais-rognent-budget-sante/