Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

social - Page 479

  • Vers une baisse significative de la fiscalité des entreprises ?

    La Rédaction a de plus en plus de mal à réfréner le fou rire qui la prend (voir article précédent (1)). Pas une semaine sans qu'il n'y ait mesure ou projet visant à développer le capitalisme en France. Ce au point qu'en matière d'Economie, la droite en est muette. C'est un signe qui ne trompe pas.
    Un membre du groupe de travail sur l'IS se montre quelque peu étonné du chiffre de huit milliards avancé par les Echos : "Huit milliards, cela veut dire qu'il n'y a pas de marge pour un élargissement du Cice."
    Le groupe de travail chargé de réfléchir à une évolution de l'impôt sur les sociétés (IS) dans le cadre des Assises de la fiscalité des entreprises préconise une baisse massive de ce prélèvement, ou, à défaut, de supprimer la "C3S", taxe sur le chiffre d'affaires.
    La fiscalité des entreprises est-elle devenue plus « juste » ?
    Baisser massivement l'impôt sur les sociétés (IS). Telle serait la préconisation du groupe de travail chargé de réfléchir à une évolution cet impôt dans le cadre des Assises de la fiscalité des entreprises, selon un relevé de conclusions obtenu par l'agence Reuters.
    A défaut, ces experts, parlementaires et représentants des entreprises, qui doivent rendre leurs propositions mardi aux ministres de l'Economie et du Budget, recommandent une baisse des taxes sur les facteurs de production, en particulier de la contribution sociale de solidarité des sociétés (C3S).
    Jusqu'à 8 milliards d'euros?
    De son côté, le quotidien économique Les Échos estime que la baisse de la fiscalité des entreprises envisagée par l'exécutif pourrait aller jusqu'à huit milliards d'euros. Un montant légèrement inférieur à ce que le président du Medef souhaitait mardi dernier. Pierre Gattaz évoquait alors dix milliards d'euros partagés à égalité entre IS et impôts sur la production, dont la C3S.
    Interrogé sur le chiffre avancé par les Echos, le ministère du Budget a répondu qu'il ne ferait "pas de commentaire".
    Un des taux les plus élevés d'Europe
    Il faut dire que la France a le taux d'impôt nominal d'IS le plus élevé de l'Union européenne, que ce soit le taux normal de 33,33 % ou le taux applicable aux entreprises de plus de 250 millions d'euros de chiffre d'affaires (38%).
    C'est aussi, après la Suède, le pays qui a les impôts sur les facteurs de production les plus élevés d'Europe (plus de 3,0% du PIB contre une moyenne européenne de 1,4% et 0,4% en Allemagne).
    "La baisse du taux de l'IS devrait être privilégiée à condition d'être massive en visant à terme un taux nominal proche de la moyenne européenne, soit environ 25% (28,5% pour les grandes entreprises si la contribution sociale sur les bénéfices et la surtaxe étaient maintenues)", indique le relevé de conclusion du groupe de travail.
    Pas d'élargissement de l'assiette
    D'après cette note, la baisse envisagée pourrait être réalisée par étapes, comme au Royaume-Uni, l'important étant "d'annoncer un calendrier et de s'y tenir". Le groupe de travail recommande cependant de l'étaler sur une période n'excédant pas la fin du quinquennat, c'est-à-dire trois ans maximum.
    Il juge en revanche épuisées les marges d'élargissement de l'assiette de l'IS et écarte cette piste. Si les marges budgétaires ne permettent qu'une baisse de quelques points du taux d'IS, l'effet sur l'attractivité de la France serait marginal, lit-on dans le relevé de conclusions.
    La CS3 supprimée et un taux d'IS diminué
    Dans ce cas, une majorité des membres du groupe considère que c'est la baisse des impôts sur les facteurs de production qui devrait être privilégiée, en priorité la C3S, assise sur le chiffre d'affaires des entreprises. Ce qui semble acté comme l'avait révélé La Tribune.
    Un membre du groupe de travail interrogé par Reuters estime que la suppression de la C3S (4,5 milliards d'euros) pourrait être complétée par une baisse de 2,5 points du taux d'IS, soit un allègement de 3,5 milliards.
    Ce scénario va dans le sens de la promesse faite par le président François Hollande de faire converger la fiscalité des entreprises françaises avec celle de l'Allemagne.
    La clef de voûte du pacte de responsabilité
    Pour rappel, le gouvernement cherche à réduire d'au moins 50 milliards d'euros d'ici 2017 la croissance des dépenses publiques pour ramener le déficit public sous les 3% du PIB en 2015 et financer une baisse des cotisations sociales des entreprises de 10 milliards en plus des 20 milliards du crédit d'impôt compétitivité emploi (Cice).
    Certes, baisse de charges et économies constituent la clef de voûte du "pacte de responsabilité" proposé par François Hollande pour relancer l'investissement et l'emploi en France.
    Mais un membre du groupe de travail sur l'IS se montre quelque peu étonné du chiffre de huit milliards avancé par Les Échos : "Huit milliards, cela veut dire qu'il n'y a pas de marge pour un élargissement du Cice."
    À moins que le gouvernement ne se soit découvert des marges jusqu'ici insoupçonnées pour combiner baisse de la fiscalité et réduction des charges sociales des entreprises au-delà des 10 milliards d'euros évoqués jusqu'ici.
    Une autre proposition
    Ce spécialiste de la fiscalité recommande quant à lui un panachage entre élargissement du Cice de cinq milliards d'euros supplémentaires, suppression de la C3S et réaménagement de la taxe sur les salaires d'environ 500 millions pour les 120.000 entreprises de l'économie sociale qui n'ont pas accès au Cice.
    Une des pistes étudiées pour la baisse du coût du travail consiste à remonter le plafond de 2,5 smic au-delà duquel la Cice ne s'applique plus à 3 ou 3,5 smic. Cela permettrait d'améliorer la compétitivité des entreprises tournées vers l'exportation, qui emploient des salariés très qualifiés.
    Pour l'heure, les grandes lignes du pacte de responsabilité et les arbitrages associés seront dévoilés avant le 15 avril.
    http://www.voxnr.com/cc/politique/EFAVuVEVFZWHxHPrnW.shtml
    Source : latribune.fr : http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20140321trib000821203/vers-une-baisse-significative-de-la-fiscalite-des-entreprises.html
    (1) http://www.voxnr.com/cc/politique/EFAVFlkVlpsghwvHBP.shtml

  • Numericable préféré pour racheter SFR

    Déjà le mode de financement de l’opération par Numéricable fait problème, gros problème, mais peu importe, ce sont les citoyens,  clients des banques et victimes de la BCE, qui paient.

    Déjà le mode de financement de l’opération par Numéricable fait problème, gros problème, mais peu importe, ce sont les citoyens,  clients des banques et victimes de la BCE, qui paient.

  • 1,2 milliard d’euros et des milliers d’emplois en France, entre Fabius et Ayrault

    PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinfromation) – 1,2 milliard d’euros et des milliers d’emplois c’est ce que Laurent Fabius vient peut-être de réduire en fumée en quelques mots avant-hier soir au journal télévisé de TF1. Il l’a fait en évoquant la possibilité d’une annulation du contrat de fourniture à la Russie de deux navires porte hélicoptères de la classe Bâtiment de Projection et de Commandement (BPC) Mistral (photo), des navires géants. Il s’agirait d’une sanction de niveau trois si Poutine s’entêtait en Ukraine.

    Fabius a dû se raviser en raison des conséquences sur l’emploi et de la fureur de Jean‑Marc Ayrault, qui peine à exercer son rôle de Premier ministre. Ce serait la perte de 1.000 emplois  directs pendant quatre ans à Saint-Nazaire, plus les milliers d’emplois induits chez les sous-traitants et dans le bassin d’emploi de Saint-Nazaire et celui de Toulon.

    C’est un nouveau signe du manque profond de coordination qui touche le gouvernement. Fabius était au courant, il savait qu’il ne fallait pas en parler s’étrangle‑t‑on au sein du gouvernement. Certains pensent même que Laurent Fabius aurait voulu faire “une mauvaise manière à Jean-Marc Ayrault” car Saint-Nazaire fait partie du même pôle économique que Nantes, le fief du premier ministre.

    Les déclarations de Fabius ont été dénoncées par M. Le Pen ou le sénateur P. Marini. Bruno Le Maire, lui, demande la suspension de la livraison prévue de frégates à la Russie. Les rodomontades ne sauraient faire oublier les actuels liens économiques et le récent rapprochement économique avec la Russie.

    http://fr.novopress.info/160070/12-milliard-deuros-milliers-demplois-en-france-fabius-ayrault/

  • La Sécurité sociale a tué l’économie française !

    Journal télévisé de 12 h 45, lundi 17 mars 2014
    “La Sécurité sociale a tué l’économie française !”
    Pour M. Fantome (sic), directeur de la sécurité sociale, la loi est illégale ! Ce qui lui vaut une plainte pénale !

    Lire la plainte ici : (PDF)

    La Video ici

    https://www.facebook.com/photo.php?v=10152130493543551&set=o.738429062840049&type=2&theater

    http://francelibre.tumblr.com/

  • Pauvreté ne coïncide pas avec délinquance

    A gauche : répartition géographique de la misère en France, à droite : répartition de la délinquance.

    Pour justifier l’extrême délinquance de la Seine-Saint-Denis ou de Marseille, on nous présente toujours la misère comme unique responsable.

    Il suffit de jeter un œil sur la carte ci dessous pour voir que la raison de la délinquance est à chercher ailleurs.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Démagogie et énergie : pas de coupures de gaz avant les élections !

    Dans une semaine, le 16 mars, c’est la fin de la « trêve hivernale ».
    Coup de clairon de la CGT hier matin dans la presse : dans une semaine, le 16 mars, c’est la fin de la « trêve hivernale ». Celle des fournisseurs de gaz et d’électricité. 600.000 foyers seraient visés.
    Selon la CGT, écrit Le Parisien, « les procédures sont déjà prêtes et les fournisseurs d’électricité et de gaz ont déjà envoyé le nom des clients concernés. En outre, des intérimaires auraient été recrutés pour effectuer ces coupures. » Ce qui, en soi, n’a rien d’extraordinaire puisqu’il s’agit seulement d’appliquer la loi.
    Mais voilà, la concomitance avec les élections fait trembler les maires sortants. Les coupures de gaz, c’est bon pour l’Ukraine et la Russie, pas chez nous. Et surtout pas dans « les quartiers difficiles » où l’on paie souvent assez peu ses factures et où, surtout, bien peu se risquent à aller couper quoi que ce soit, de peur d’y laisser la peau.

    Lire la suite

  • Pour la justice de l’Union européenne, la Sécurité sociale est illégale !

    Pour la justice de l’Union européenne, la Sécurité sociale est illégale !
    La Fédération de Corse du Sud du Parti communiste confirme -tout en le regrettant - que l’Europe a supprimé le monopole de la sécurité sociale

    Lire l’article

  • Pour revitaliser la vie sociale compte tenu des moyens du totalitarisme moderne, il faut une action multiforme

    Jean Ousset dans les principes fondamentaux de son livre l'Action, plaide pour la diversité des initiatives dans l’action et contre la tentation des organisations compactes vouées par nature à l’échec dans la durée puisqu’elles ne peuvent s’accorder au but poursuivi : celui d’une vie organique et non totalitaire des corps sociaux, fondée sur l’exercice ordonné et le plus autonome possible des responsabilités de chaque personne.

    O« La doctrine chrétienne de l’action politique et sociale est l’expression du droit naturel et chrétien considéré d’une façon pratique, avec le souci constant des réalisations possibles…

    Obligation, donc, non seulement de connaître le BUT (le PLAN), mais de savoir encore distinguer que la nature de ce BUT, l’ordonnance de ce PLAN commandent de… s’y prendre de telle et telle sorte.

    Avec une suffisante précision.

    Car il est une façon de dire ce qu’il faut faire qui n’a rien de pratique, parce que trop générale. Parce qu’elle ne dit pas le « comment faire », le « comment s’y prendre », le moyen particulier d’y parvenir…

    [L’expérience nous enseigne la] seule méthode d’action pratique, au spirituel comme au temporel.

    Méthode qui, dès que le choix est délicat, consiste à comparer :

    1. les avantages de ce qu’on projette…
    2. les inconvénients de ce même projet…
    3. les avantages qui peuvent en résulter si on l’écarte…
    4. les inconvénients de ce rejet…

    Formule qui se résume :

    1. le pour du pour…
    2. le contre du pour…
    3. le pour du contre…
    4. le contre du contre…

    Cela peut faire sourire, mais n’en reste pas moins excellent pour développer l’automatisme d’un certain tour d’esprit, d’un sens rapide et clair des possibilités concrètes.

    « Peser le pour ; peser le contre ». Combien s’y appliquent vraiment ?...

    Procédés susceptibles de développer un sens plus vif de la complexité des choses, et par là, offrant l’avantage de désenchanter notre goût du mouvement unique, de l’opération qui prétend tout sauver à elle seule. Organisations hors desquelles toute action est déclarée vaine et malfaisante.

    Cette conception unitaire du combat politique et social a été et demeure cause de nos échecs.

    …Nécessité, donc, de développer ce sens d’une action plurielleSans cet esprit, point d’action efficace.…

    Mais tout aussi vaine est la recherche d’une unité par choix exclusif d’un organisme ou moyen particulier.

    Comme si, dans le combat qui s’offre à nous, un seul groupe, un seul mode d’action pouvait suffire.

    « Gardons-nous bien du sélectivisme bourgeois », disait Lénine.

    Maxime, qui pour un coup, vaut d’être retenue !

    Folie de qui prétend jouer qu’une carte, une recette, un homme. Cet homme est-il battu ? Tout semble perdu. Cet homme est-il vainqueur ? Tout paraît assuré, et l’on ne s’inquiète plus de rien. Alors qu’un devoir d’active vigilance continuerait à s’imposer…

    En conséquence, persuadons-nous qu’il ne peut être de salut que dans l’ordonnance d’une action pleine, forte, rigoureusement pensée… La vérité est qu’il n’y a pas de « seul moyen ». Tout doit servir. « Autant que… pas plus que… »

    Nous avons à rendre sa vraie santé au corps social […par une] action multiforme où tout doit s’ordonner

    À besoins divers, il faut des formules diverses.

    Et c’est au degré de l’esprit, au plan de la doctrine que doit s’établir la seule unité possible vraiment souhaitable. Unité des esprits sur l’essentiel, sur la doctrine. Quant aux actions, aux fonctions, il importe qu’elles soient nombreuses et variées.

    Plus que jamais, face au Léviathan du totalitarisme moderne, il importe de dresser un jeu de forces souples, manœuvrières, peu vulnérables, faciles à reconstituer, riches en ressources variées, capables de poursuivre simultanément plusieurs objectifs. Un style d’action adapté aux conditions de lutte contre le totalitarisme moderne. Totalitarisme qui dispose de presque tous les moyens d’information et qui peut faire croire ce qu’il veut : salir, discréditer les initiatives les plus respectables, bafouer les meilleurs, faire incarcérer, torturer, condamner, massacrer des innocents, sans que les gardiens d’une conscience dite « universelle » osent ou daignent élever la voix.

    L’action, ça se pèse. Et ça se patiente.

    Contre un ennemi parvenu à ce point de victoire, il est vain d’escompter remporter quelque avantage en progressant en formation compacte.

    Il faut une autre méthode. Celle d’une action souple… susceptible de compenser un manque évident de force matérielle, numérique, par un surcroît (éminemment qualitatif) de valeur, de zèle individuels. Action toute d’intelligence et de mobilité."

    Lire et télécharger dans son intégralité le premier chapitre de l'Action de Jean Ousset.

    Au moment où des Français se lèvent pour défendre la dignité de toutes les personnes et de toute la personne, en particulier des plus fragiles, que faire pour une action durable ? Ce livre est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. Action de personne à personne et actions multiformes en réseau, ses intuitions sont mises en œuvre magnifiquement dans l'utilisation d'internet. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/03/pour-revitaliser-la-vie-sociale-compte-tenu-des-moyens-du-totalitarisme-moderne-il-faut-une-action-m.html

  • La nouvelle méthode pour « décourager » l’immigration clandestine…

    Si nous pensions que la générosité de la France n'était plus à démontrer et qu'il pouvait donc y être mis fin, nous nous fourvoyions.

    L’ARH (l’Aide au retour humanitaire), allocation allouée majoritairement aux étrangers d’origine européenne en situation irrégulière ou non, est passée en janvier 2013 de 300 euros par adulte et 100 euros par enfant à respectivement 50 et 30 euros, hors le coût de réacheminement dans les pays d’origine, essentiellement Roumanie et Bulgarie. Si nous pensions ainsi réaliser quelques économies, Arno Klarsfeld, à l’époque directeur de l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration) nous détrompait superbement : l’économie réalisée est réaffectée à la réinsertion des étrangers… dans leur pays d’origine.

    En 2009, plus de 12.000 personnes en ont bénéficié, pour la plupart des Roumains et des Bulgares.

    Lire la suite

  • « Il est méchant, le Pôle emploi, il est mignon, le BIT »

    L’ennui, c’est que les Français à la recherche d’un emploi ne connaissent que le premier et n’ont même pas idée de ce qu’est le second.
    Michel Sapin est content. Oui, mais content comme le héros du Dîner de Cons dans lequel Thierry Lhermitte-Brochant chante à Jacques Villeret-Pignon : « Il est méchant, monsieur Brochant, il est mignon, monsieur Pignon. »
    Dans ce gouvernement digne de cette comédie culte, on imagine assez bien chanter au ministre du Travail après ses dernières déclarations : « Il est méchant, le Pôle emploi, il est mignon, le BIT. »
    Car question baisse du chômage, inversion de la courbe et promesse de Corrézien (désormais pire que celle d’un Gascon), c’est selon qu’on est « Pôle emploi » ou « Bureau international du travail »…
    L’ennui, c’est que les Français à la recherche d’un emploi ne connaissent généralement que le premier et n’ont même pas idée de ce qu’est le second.
    « Au titre de Pôle emploi, il n’y a pas eu d’inversion ; au titre du BIT, il y a eu inversion. À chacun de retenir l’indicateur qu’il souhaite », a estimé le ministre du Travail. Et donc, l’engagement de faire baisser le chômage fin 2013 pris par « Moi Président » aurait bel et bien été respecté, qu’on se le dise… L’INSEE n’a-t-il pas publié un taux de chômage en recul, au 4e trimestre, de 0,1 point ?
    Lire la suite