« Si François Hollande n’a pu infléchir la courbe du chômage, n’est-ce pas à cause de ces ringards de Français pétainistes qui refusent de travailler ? »
Chaque nouvel échec, chaque nouveau ridicule, chaque nouvelle crise qui marque la lamentable présidence Hollande devient l’occasion de dénoncer les vrais coupables : les dangereux saboteurs d’extrême droite. La gauche voit la main de l’extrême droite partout, ce qui est bien commode. Mais cela traduit aussi un penchant inquiétant pour la démocratie.
Les noirs desseins de la manif pour tous
Ainsi l’invocation de l’ombre de l’extrême droite a permis de museler l’ampleur de la manifestation populaire contre les projets Taubira. La médiatisation systématique de quelques « incidents » spectaculaires – peut-être provoqués, d’ailleurs – a permis de mettre en scène les dangereux fachos qui s’en prendraient à nos paisibles forces de l’ordre républicaines, et, bien sûr, à notre si gentille ministre de la Justice.
Le rose fushia de la manif pour tous masquait de noires intentions factieuses assurément.
Les bonnets bruns
Puis quand les Bonnets rouges ont commencé en Bretagne à faire reculer le gouvernement, les médias se sont efforcés de mettre en avant une collusion des mécontents avec une louche revendication identitaire. Identité ? Voilà un mot qui sent le soufre.
Les Bonnets rouges ne seraient-ils pas, finalement, des Bonnets bruns ? Kolossale finesse, aurait dit le regretté Francis Blanche.
Maréchal nous voilà
Même Dieudonné, qui pourtant clame haut et fort son identité franco-camerounaise et son islamophilie, est désormais présenté comme une référence d’extrême droite. Quand les caméras officielles filment les spectateurs du Théâtre de la Main d’Or, on ne voit ainsi que les Français de souche au cheveu court. Pas les spectateurs ni les supporters maghrébins ou d’origine africaine, les plus nombreux.
Normal : Dieudonné, l’odieux antisémite, ne peut être que d’extrême droite. Le « philosophe » Roger-Pol Droit voyait bien dans l’humoriste « la France rance » de Vichy (article « La république et le rire obscène », Les Echos du 9 janvier 2014)… Dieudonné : Maréchal nous voilà ! Il fallait y penser.
Salauds de parents
L’opération Dieudonné a permis aussi de roder le discours qu’on nous ressert maintenant à propos de la théorie du genre.
Rappelons les faits : un nombre croissant de familles s’inquiètent à juste titre des délires pédagogiques, en particulier en maternelle, autour de la théorie du genre et de la lutte contre les prétendus stéréotypes sexuels. Notamment les familles d’origine immigrée qui ne veulent pas que l’on lobotomise ainsi leurs bambins.
Alors que fait-on ? On accuse évidemment les parents.
Comme le titre Le Monde du 30 janvier 2014 : « Des opposants à la théorie du genre perturbent l’école ». Perturbent l’école : vous avez bien lu. L’école marcherait si bien sans cela, c’est sûr.
Que se passe-t-il donc ? « Une association hétéroclite de militants musulmans et d’extrême droite fait courir de fausses rumeurs sur le contenu des enseignements scolaires », écrit Le Monde, en supporter zélé du ministre de l’Education.
Bref, la théorie du genre c’est la faute encore à l’immonde extrême droite qui fait courir des rumeurs. Ah les rumeurs ! Cela ne vous rappelle rien ?
Et ne vous y trompez pas : les islamistes appartiennent bien à l’extrême droite musulmane (c’est Charlie Hebdo qui nous le dit). Bon sang mais c’est bien sûr ! Tout s’éclaire : voilà l’extrême droite encore à l’œuvre derrière la théorie du genre. Et puis la couleur verte et le brun vont bien ensemble, n’est-ce pas ?
La colère est d’extrême droite
Vous voici révolté par l’état de votre pays ? Vous ne vous sentez plus en France chez vous ? Vous faites pipi debout ? Vous ne voyez pas François Hollande en sauveur ? C’est que vous êtes d’extrême droite. On nous l’a bien dit dimanche dernier, sur tous les écrans. On nous le dit aussi lorsqu’on commente gravement les sondages d’opinion et qu’on ne peut plus cacher la coupure croissante entre le pays réel et le pays légal (encore une formule d’extrême droite, d’ailleurs…).
Alors, mesdames et messieurs les commentateurs médiatiques, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?
Si François Hollande n’a pu infléchir la courbe du chômage, n’est-ce pas à cause de ces ringards de Français pétainistes qui refusent de travailler ? Si la réforme fiscale s’annonce mal, n’est-ce pas à cause du sabotage des fonctionnaires d’extrême droite ? Si la rupture entre François et Valérie est de notoriété publique, n’est-ce pas la faute aux bloggeurs fachos dont il serait urgent, enfin, de censurer sur Internet le « discours de haine » ?
Vous auriez ainsi une nouvelle belle occasion de montrer votre… extrême aveuglement et votre… extrême servilité.
Michel Geoffroy, 30/01/2014
http://www.polemia.com/le-chomage-la-faute-a-lextreme-droite-certainement-2/
social - Page 481
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Le chômage ? La faute à l’extrême droite certainement
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Dans quel état se trouve l'Allemagne après les « réformes Hartz » (1) ? Pauvreté record ...
Dans quel état se trouve l'Allemagne après les « réformes Hartz » ? Pauvreté record, précarité pour tous et méga-profits
Peter Hartz, conseiller de François Hollande pour les nouvelles réformes du travail ? En tout cas, notre président socialiste avait déclaré s'inspirer pendant sa campagne des réformes libérales du chancelier Schroder. Retour sur l'état de l'Allemagne dix ans après les fameuses « Réformes Hartz ».
Un rapport publié juste avant les Fêtes contredit les données du gouvernement allemand ainsi que le mythe du miracle allemand qui se révèle être un mirage patronal : la « compétitivité » allemand, ce sont les peuples européens qui la payent, et d'abord les travailleurs allemands.
C'est le constat alarmant de l'organisation de bienfaisance DPWV dans son rapport « Entre prospérité et pauvreté – l'Allemagne mise à l'épreuve » :
l'Allemagne compte plus de pauvres que jamais depuis la dite réunification, 15,2 % se trouve sous le seuil de pauvreté, 16 autres % sont menacés de pauvreté, soit 31 % de pauvres réels ou potentiels dans le pays le plus prospère d'Europe.
Le rapport est d'autant plus inquiétant que la croissance de la production et celle de la pauvreté sont allés dans des sens opposés. Entre 2005 et 2013, le PIB allemand a augmenté de 12 % malgré la crise, tandis que la pauvreté est passé de 14 % à 15,2 %.
Les données de l'ONG rentrent en contradiction avec celles vantées par le gouvernement, celles de l'Institut allemand pour la recherche économique (DIW), financé par l'Etat et défendant les thèses patronales.
Or, le DIW s'était tout simplement arrêté aux données de 2010 … seule année sur ces dix dernières où le taux de pauvreté avait connu un léger recul. Depuis la pauvreté est repartie à la hausse. Un simple mensonge par omission.
L'étude portant sur les inégalités régionales souligne que se creusent les disparités entre régions riches, plutôt au Sud, et pauvres, naturellement à l'Est mais aussi de plus en plus à l'ouest : c'est le cas de Brême (23,1 % de pauvres), Mecklembourg (22,9 %), Berlin (21,2 %), Saxe (18,9 %) et Brandebourg (18,3 %).
Un cas dramatique est celui de la Ruhr, vieille région industrielle, bastion ouvrier, pour la première fois classée dans les régions pauvres ravagées par la désindustrialisation, 19,2 % en 2012 avec des pics de 26,4 % à Dortmund et 25,1 % à Duisbourg.
Selon les auteurs du rapport : « il faut pointer du doigt les bas salaires, la précarité, les emplois atypiques (…) les bons résultats sur le marché du travail se produisent évidemment au prix d'une américanisation du marché du travail, avec le phénomène des travailleurs pauvres. »
Pour le travail – Bas salaires et précarité pour tous : le résultat des « réformes Hartz »
Sur quoi repose le soi-disant « miracle allemand » ?
D'abord sur les bas salaires. La politique menée par le social-démocrate Schroder – dont se revendique Hollande – entre 2003 et 2005 a contribué à la baisse des salaires, à la généralisation de la précarité avec son cortège de « mini-jobs » et de « travailleurs pauvres ».
En chiffres, le salaire moyen allemand a baissé de 4 % entre 2000 et 2010, soit 100 € de moins par mois. Après une légère relance après 2010, l'année 2013 a vu les salariés allemands perdre encore (officiellement, les chiffres étant sous-évalués) 0,2 % de pouvoir d'achat.
La part des salaires dans le partage de la valeur ajoutée a reculé entre 2000 et 2010 de 68 à 63 % du PIB. Les bas salaires (2/3 du revenu médian) touchent désormais 23 % de la population mais 57,5 % des 15-24 ans entrant sur le marché du travail.
Symbole de cette sous-prolétarisation du salariat allemand, les lois « Hartz IV ». Sous prétexte de lutte contre le chômage, on lance en fait une chasse aux chômeurs. Si le taux de chômage a baissé de 11,5 à 6,5 % entre 2005 et 2013, le nombre de « Hartzi » a explosé.
Selon les lois Hartz, l'allocation-chômage classique (Arbeitslosengeld I) est réduite à 12 mois, le chômeur est considéré ensuite de longue durée (Arbeitslosengeld II) et touche 350 € par mois. Une allocation conservée à condition d'accepter tout emploi proposé par l'agence pour l'emploi.
6,6 millions de personnes - dont 1,7 millions d’enfants – sont victimes d’Hartz IV. Ces 4,9 millions d’adultes (les « Hartzi ») sont en fait des chômeurs, des « quasi-chômeurs ».
C'est dans le cadre de ces lois que se sont développés les mini-jobs payés au maximum 400 € par mois, voire les « jobs à 1 € » … par jour !
La précarité devient de plus en plus la norme, surtout pour les jeunes. Sept ans après « Hartz IV », le nombre de contrats atypiques a explosé, de 47 % pour les contrats à temps partiel et de 131 % pour les intérim entre 1999 et 2009 !
Selon DESTATIS (l'INSEE allemande), si 8 millions de salariés subissent déjà un contrat précaire, il faut savoir que seules 15 % des nouvelles embauches se font en CDI, le reste en CDD (43%) ou en intérim (42% en CDD)
Pour le capital – Méga-profits et avantage compétitif' : la vraie raison derrière les « Réformes Hartz »
Les salaires perdus par les travailleurs passent directement dans la poche des patrons allemands. Entre 2000 et 2012, le taux de marge des entreprises allemandes est passé de 37 à 41 %, avec un pic de 45 % en 2007. En comparaison, les entreprises français oscillent entre 28 et 30 % !
2012 a été l'année d'euphorie pour le DAX, l'équivalent du CAC 40 réunissant les 30 entreprises côtées à la bourse de Francfort : 104 milliards d'€ de profit, en hausse de 8 % par rapport à 2011.
Le cas d'une entreprise Volkswagen donne le vertige et est emblématique du « capitalisme allemand » : 15 milliards de profits en 2011, 11 milliards en 2012 … et 17 millions de rémunérations pour le PDG de l'entreprise.
Le succès de Volkswagen (VW), la délocalisation. Ou plutôt la « division du travail » dans l'Union européenne au profit du capital allemand, au détriment des travailleurs allemands : la nouvelle « Up » est produite en Slovaquie, la « Polo » en Espagne.
Autre recette, le chantage patronal dont l'ANI marque le début en France. En 2004 VW avait menacé de délocaliser 30 000 postes si les salariés n'acceptaient pas le gel des salaires et le retour à la semaine de 40 h sans compensation. Une fois le deal accepté, VW a licencié 20 000 salariés en 2006 !
Naturellement, le pari du capital allemand, c'est de jouer l'intégration européenne : se construire une Mitteleuropa en Europe de l'est pour délocaliser, casser les concurrents industriels étrangers grâce à l'euro fort, enfin jouer le dumping social et salarial avec les plans d'austérité coordonnés.
L'Ukraine, avec sa réserve en matières premières et sa main d’œuvre bon marché et bien formée, constitue un enjeu majeur dans l'élargissement de cette Mitteleuropa, ce qui permet de comprendre l'enjeu de la lutte actuelle autour de cet Etat de 46 millions d'habitants.
Le pari d'une « industrie d'exportation compétitive » a aussi ses contradictions. Si les exportations ont tenu l'industrie allemande pendant la dernière décennie, à force de créer un désert autour d'elle, l'Allemagne voit ses exportations chuter et la croissance allemande ralentir fortement.
Désormais, les journaux économiques français comme allemands passent de la célébration du « miracle allemand » à l'inquiétude face à un « mirage » qui cache l'image d'une Europe saignée à vif.
En tout cas, bas salaires, chômage déguisé en précarité généralisée, travailleurs pauvres, régions industrielles sinistrées d'un côté, méga-profits, intégration européenne et mondialisation à sens unique de l'autre, il est temps de dénoncer le mirage allemand, agité en nos rangs pour nous imposer la politique du capital, celle de Hollande, le Schroder français !notes
Source: http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net
(1) Cet article ne surprendre pas le lectorat de Voxnr puisque le sujet avait déjà été traité sous un autre angle:
http://www.voxnr.com/cc/politique/EFVAZuVuEuPiEsKCLl.shtml -
Un tiers des Français peine à boucler ses fins de mois
31% des Français ont des revenus insuffisants en fin de mois, 20% sont contraints de puiser dans leurs économies et 11% s’en sortent avec une aide extérieure ou un crédit, d’après une étude LH2.
La situation financière des Français se fragilise puisque près d’une personne sur trois rencontre des difficultés pour boucler ses fins de mois, selon une étude LH2 pour CA Com sur le pouvoir d’achat publiée jeudi 30 janvier.
Ainsi, 31% des Français déclarent avoir des revenus insuffisants pour finir la fin du mois, en hausse de 8 points sur six mois. Ils sont également 20% à être contraints de puiser dans leurs économies et 11% à s’en sortir avec une aide extérieure ou un crédit (respectivement +6 et +3 points sur un an).
Plus de 6 Français sur 10 inquiets par la précarité
Parmi les foyers concernés, près d’un sur deux (49%) a des revenus nets mensuels inférieurs à 1.200 euros, 42% sont des familles nombreuses (5 personnes et plus) et 40% sont jeunes (18/24 ans).
En outre, plus de six Français sur dix (63%) sont inquiets de basculer un jour dans la précarité, dont un quart (24%) sont même très inquiets. La peur du déclassement domine chez 76% des ouvriers, 69% des salariés du privé et 69% des femmes, mais n’épargne pas non plus les catégories les plus favorisées.Plus d’un Français sur deux (55%) a le sentiment de devoir se contenter de l’essentiel voire d’un peu moins. La proportion des personnes devant renoncer à des dépenses de base en santé, alimentation ou logement poursuit d’ailleurs sa progression (18%, +6 points par rapport à juin 2013, +10 points en un an).
Une pression fiscale croissantePar ailleurs, une large majorité de Français (78%) ressent l’augmentation de la pression fiscale. Parmi eux, sept sur dix (71%) disent penser à renoncer à certaines dépenses pour équilibrer leur budget.
Les principaux postes de dépenses potentiellement touchés par ces réductions budgétaires sont les loisirs (64% des citations), l’habillement (43%), les nouvelles technologies (36%) et les transports (20%).
“La baisse du pouvoir d’achat s’inscrit comme une réalité dans le quotidien des Français, qui doivent faire des concessions pour vivre. (…) Aujourd’hui, ils font des compromis sur des dépenses essentielles”, a expliqué Rodolphe Bonnasse, le directeur du groupe de communication CA Com, qui a commandé l’étude.
http://fortune.fdesouche.com/327091-un-tiers-des-francais-peine-boucler-ses-fins-de-mois#more-327091
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Les retraites dans l’oeil de bercy! Info de l’ AGIRC et ARCCO
Après nous avoir vendu le pain, ils réclament les tartines.
Une nouvelle mesure est dans les tiroirs des Enarques du Parti Socialiste. Elle est actuellement à l’Etude, dans les couloirs de Bercy, et va toucher directement nos retraites.
Cette mesure va directement amputer nos retraites de la manière suivante :
Jusqu’à 1800 euros de retraite mensuelle, pas de changement
Entre 1801 et 2500 euros, Ponction de 5%,
Entre 2501 et 3500 euros, Ponction de 10%,
Entre 3501 et 4500 euros, Ponction de 15%,
Au-dessus de 4501 euros, Ponction de 20%.
Ce nouvel impôt pourrait s’appeler “Contribution Solidaire Chômage” (C.S.C), nom proche de la C.S.G pour mieux nous embrouiller mais ce nom n’est pas définitif…
Ce nouvel impôt sera destiné à redresser les Fonds des Caisses de Chômage, qui seront touchées de plein fouet par les multiples plans de Licenciements découlant des nombreuses fermetures d’Entreprises à venir, et qui vont s’accélérer…
Confirmation : 1. 157 EUR de retraite pour les étrangers n’ayant jamais travaillé !!!! Information del’AGIRC et ARCCO
VOILA Où PASSE LE FRIC !! A DIFFUSER LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE …IL EST URGENT DE SE MOBILISER POUR FAIRE CESSER CETTE INJUSTICE.
RETRAITES : LE BILLET DE SAUVEGARDE 1157 euros de retraite sans avoir cotisé ni même travaillé en France !Toute personne qui débarque en France, sans même jamais y avoir mis les pieds, peut prétendre, si elle a 65 ans, à 709,euros de retraite par mois ou même à 1 157 euros si elle vit en couple C’est plus que la pension moyenne de nos agriculteurs après une carrière complète, plus que la pension de la majorité de nos commerçants et artisans, plus que la pension de nombreux employés et ouvriers, sans oublier les veuves qui en sont réduites à faire les poubelles…..
Cela signifie tout simplement que nos caisses de retraite paient bien souvent davantage à des personnes qui n’ont jamais cotisé, ni participé à l’économie de notre pays qu’à leurs propres affiliés, qui ont souvent trimé toute leur vie.
Ce dispositif aberrant est vanté noir sur blanc dans le livret d’accueil “Vivre en France” diffusé par le ministère de l’Immigration aux nouveaux arrivants.
C’est à se taper la tête contre les murs : il suffit à une personne d’au moins 65 ans qui arrive en France d’aller tranquillement frapper à la porte des services sociaux pour avoir immédiatement droit à 709 euros par mois, voire 1 157 euros si elle vit en couple.
Cette situation est très injuste vis-à-vis des retraités français, qui voient dans le même temps leurs pensions constamment rabotées au fur et à mesure que leurs caisses s’enfoncent dans le rouge
Si l’on ajoute à cela que la Cnav verse des pensions à l’étranger sans aucun contrôle, au point que la Cour des comptes dénonce le versement de pensions à des morts, notamment en Algérie (mais sans proposer le moindre remède), on ne peut que constater que notre système de retraite est ouvert à tout vent : prestations injustifiées, fraudes etc..
Il est urgent de se mobiliser pour faire cesser ces graves injustices et défendre nos caisses de retraite.
Faites connaître ces informations capitales,
Les autres pays européens ont rapidement pris des dispositions pour faire en sorte que les migrants quittent ces pays. Aujourd’hui tous ces gens viennent en France terre d’accueil par centaines chaque jour. -
France: SDF + 50 % EN 3 ANS
Mes amis, au secours ! Une femme vient de mourir gelée cette nuit à 3 heures sur le trottoir du boulevard Sébastopol » : le 1er février 1954, l’abbé Pierre lance sur Radio Luxembourg un appel à venir en aide aux sans-abri. Son interpellation suscite un élan de générosité sans précédent. En quelques semaines, 400 millions de francs sont récoltés, des crédits budgétaires sont débloqués pour construire immédiatement 12 000 logements. Le gouvernement d’alors promet de construire 240 000 logements chaque année. Le 1er février 2014, soixante ans plus tard, les 283 groupes d’Emmaüs France lanceront un nouvel appel dans plusieurs villes de France. Si le nombre de mal-logés a diminué dans l’intervalle - il est ainsi passé de 54 % de la population à moins de 10 % - , la situation est toujours préoccupante.
+ 50 % EN 3 ANS
En France, 3,6 millions de personnes sont soit privées de domicile personnel, soit vivent dans des conditions très difficiles (privation de confort ou surpeuplement), soit sont en situation d’occupation précaire (hôtel, caravanes…). Le nombre de sans-abri a ainsi augmenté de 50 % depuis 2011 pour atteindre le chiffre de 141 500 personnes, dont 30 000 enfants début 2012. Le numéro d’urgence, le 115, qui gère les places d’hébergement d’urgence, est saturé.
En décembre 2013, 43 % des sans-domicile-fixe qui ont composé ce numéro n’ont pas obtenu de place à Paris, 61 % en province. A ce noyau dur du mal-logement s’ajoute un halo de plus de 5 millions de personnes fragilisées par la crise du logement. Rentrent dans cette catégorie, par exemple, les propriétaires qui occupent un logement dans une copropriété en difficulté ou encore des locataires en impayés de loyer.
Pour la Fondation Abbé-Pierre, dont la vocation est de continuer le combat de son fondateur, et d’apporter une aide concrète aux personnes sans domicile ou mal logées, l’interpellation des pouvoirs publics et des décideurs est donc toujours d’actualité.
Créée en 1990, et reconnue d’utilité publique en 1992, la Fondation s’y attelle d’autant plus facilement qu’elle a assuré son indépendance par son modèle économique. Plus de 90 % de ses ressources proviennent de la générosité du public (dons et legs).
GÉNÉROSITÉ DU PUBLIC ET SUBVENTION
Quelques partenariats avec des entreprises et une poignée de subventions publiques viennent compléter son budget, qui est d’environ 42 millions d’euros. Chaque année, le 1er février, la Fondation publie un rapport sur le mal-logement - l’édition de 2014 sera la 19e - , qui est devenu un document de référence pour tous ceux qui s’intéressent à ce sujet. Sa présentation officielle est l’occasion de rassembler des politiques et des spécialistes du logement.
Cette année, à la veille des élections municipales de mars, les principaux candidats à la mairie de Paris se succéderont à la porte de Versailles pour défendre le volet logement de leur programme. La ministre du logement, Cécile Duflot, y est aussi attendue. Lors de ses vœux à la presse, Mme Duflot a estimé que « l’anniversaire de l’appel ne doit pas être l’occasion d’une célébration purement iconique, mais bel et bien d’un second souffle ».http://francelibre.tumblr.com/post/75229207381/france-sdf-50-en-3-ans#.Uuyn8vYsRXY
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Yann Galut, une synthèse…
Le 19e rapport annuel de la Fondation Abbé Pierre, publié ce vendredi, est un indicateur parmi d’autres des conséquences des politiques menées par les différents gouvernements UMPS, et notamment de la poursuite à haut débit d’une immigration incontrôlée. Selon les données du logiciel Parifar -Programme d’analyse des flux et indicateurs statistiques d’activité- citées par Le Figaro la semaine dernière, Manuel Valls arrive à faire pire dans ce domaine que MM. Sarkozy, Hortefeux et Guéant. Ainsi, le nombre de clandestins renvoyés dans leur pays d’origine a encore baissé pour s’établir à une moyenne de 1750 expulsions mensuelles en 2013 sur le territoire métropolitain (- 23% en un an); les régularisations du statut des immigrés hors-la-loi, progressent a contrario fortement pour s’établir à environ 46.000 en 2013 (+28%). Parallèlement M. Valls s’était aussi félicité il ya quelques mois de la hausse de 14% (de juin 2012 à juillet 2013) du nombre des naturalisations…
Une politique laxiste qui n’est pas pour rien dans les difficultés sociales et économiques rencontrées par nos compatriotes mais aussi par les immigrés déjà présents sur notre sol. Selon la Fondation Abbé Pierre, « 3,5 millions de personnes sont mal logées ou sans abri, et plus largement près de 10 millions sont concernées par la crise du logement ».Elle estime également que « plus d’1,7 million de ménages sont en attente d’un logement social, que 3,8 millions sont en situation de précarité énergétique (chiffres 2006), que 70.000 propriétaires sont en situation d’impayés (2006), et que plus de 91.000 ménages sont menacés d’expulsion (chiffres 2009-2011)».
D’autre part, selon une étude LH2 pour CA Com sur le pouvoir d’achat publiée hier, 31% des Français déclarent avoir des revenus insuffisants pour finir la fin du mois, en hausse de 8 points sur six mois. 63% se disent inquiets de basculer un jour dans la précarité – dont 76% des ouvriers, 69% des salariés du privé et 69% des femmes…. Enfin près de huit français sur dix (78%) disent ressentir l’augmentation de la pression fiscale.
C’est dans ce climat que le député socialiste Yann Galut tente à son niveau sa petite diversion politicienne en sortant un petit «Guide anti-FN». Rien de nouveau sous le soleil dans cette tentative de mettre en forme les saillies anti patriotiques qui avaient meublé une partie de l’UDT du PS à La Rochelle fin août dernier.
Cet opuscule que M. Galut a supervisé (?), au vu de ce que ce dernier en laisse transparaître dans la presse, s’annonce comme un bel enfilage de poncifs, et de prévisions catastrophistes en cas d’application du programme du FN, notamment dans le domaine économique. Peu importe que la voie euromondialiste suivie par le PS entraîne notre pays sur la voie d’une paupérisation accélérée et du déclin. Peu importe que l’alternative portée par l’opposition nationale s’inspire des travaux d’économistes et de Prix Nobel éminents. Dans sa volonté de dresser un portrait apocalyptique, le PS ne s’embarrasse pas de détails. Nous savons aussi que ce type d’ouvrages n’a pour utilité que les annonces médiatiques dont il bénéficie puisque personne ne le lira au delà du cercle de quelques permanents et adhérents socialistes.
Il est vrai que le Mouvement national est une obsession chez Yann Galut, fondateur en janvier 2013, avec le sénateur Patricia Schillinger, d’un mini club au sein du Parti socialiste appelé la « Gauche Forte » (sic) .
Ancien de SOS racisme, permanent un temps de la très trotskisante Fédération indépendante et démocratique lycéenne (Fidl) puis secrétaire général d’une Fédération internationale de SOS Racisme du même tonneau en 1992, M. Galut est prêt à bien des concessions dans le cadre de sa sinécure confortable qui lui permet de lutter contre la « Bête ». Opposé en 2005 à la constitution européenne, il ne quitta pas pour autant un PS qui contribua à l’imposer aux Français, en cheville avec l’UMP, en 2008. C’est beau les convictions…
C’est au nom de celles-ci certainement qu’il demanda dans une lettre adressée au chef de l’Etat qu’ un « hommage national » soit rendu à l’indigent Stéphane Hessel, icône en carton pâte des alter-mondialistes et des petits esprits.
Un citoyen Galut qui déclarait sur le Lab d’Europe 1 en début d’année qu’ « Il n’y a pas de Français de souche, ça n’existe pas ». Ce qui ne l’empêche pas de se méfier des gaulois et de leurs mauvaises pulsions, lui qui adhère certainement aux vœux du cercle de réflexion du PS Terra Nova. C’est cette structure qui conseille aux dirigeants du PS de jouer la carte des minorités ethniques, sexuelles, religieuses etc., pour contrer dans les urnes un peuple Français qui se tourne vers le FN et/ou multiplie les stratégies d’évitements quand il le peut, pour ne pas subir la merveilleuse société arc-en-ciel dont rêve nos élites…
Ayant au moins cette forme de cohérence là, il est donc normal que le citoyen Galut ait aussi demandé en novembre 2012 l’interdiction de CIVITAS au motif que la manifestation de celle-ci avait été victime de provocations des Femen. Ce gang de profanatrices d’églises hystériques, hébergé en France avec la bénédiction de M. Valls ne semble pas le gêner outre mesure…
Autant dire que quand M. Galut explique dans Le Point que « le combat contre le FN », « adversaire principal », «a toujours eu lieu sur le terrain des valeurs», il permet de juger de la réalité bien inquiétante de celles de son parti. Quand il affirme pareillement le souhait des bobos de la rue de Solferino de «reprendre (au Front National) l’électorat populaire», il rend perceptible l’aveuglement d’un PS qui est totalement coupé des aspirations de notre peuple.
Un aplomb qui ne cache pas une certaine panique, celle d’un Parti socialiste qui voit aussi des Français issus de l’immigration ouvrir les yeux. Notamment constate Bruno Gollnisch, sur les mensonges et l’instrumentalisation cynique, écœurante, dont ils ont été victimes de la part du PS et de ses petits marquis poudrés de l’antiracisme. En témoigne sa charge, dans ce même entretien, contre Farida Belghoul, «une ancienne de la marche des Beurs» qui a commis le crime de s’élever contre «l’apprentissage de la théorie du genre à l’école». Autant dire que quand M. Galut nous dit son attachement aux valeurs du PS, nous sommes bien obligés de le croire…
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Effondrement de 77% des nouveaux investissements étrangers en France
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Que s'est-il vraiment passé dimanche 26 janvier au Jour de Colère
Partie 1
Partie 2 :
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Comment Ayrault sabote les annonces de Hollande
La semaine écoulée s'est nourrie de l'illusion d'un Conseil des dépenses publiques. Annoncé par le 14 janvier il s'est réuni autour du chef de l'État le 23. Sans doute a-t-on jugé en haut lieu qu'il fallait encore créer de nouvelles instances de concertation, puisque les institutions supposées compétentes ont échoué.
Le président a déjà perdu deux ans sur la perspective de "l'inversion de la courbe du chômage". Sa crédibilité de réformateur se révèle plus qu'entamée. L'enlisement de ce qui lui reste ne peut aboutir qu'à une catastrophe institutionnelle.
L'entretien avec Jean-Marc Ayrault, publié par "Le Monde" (1)⇓ soulève pourtant à cet égard un certain nombre de problèmes.
Les gros moyens de la désinformation quotidienne tendaient ces derniers temps à passer le personnage, et sa fonction constitutionnelle, à la trappe. Au moins ce texte, médiocre à tous égards, nous rappelle que le Premier ministre existe puisqu'on l'a vu à la télé.
On doit tout d'abord évoquer, fût-ce rapidement, l'équation personnelle du chef actuel du gouvernement.
Avec son faux air de majordome pour comédie de boulevard, il ne lui manquait que le costume pour jouer parfaitement son rôle quand il présidait le groupe socialiste à l'Assemblée nationale. Choisi pour sa fidélité par un François Hollande, fraîchement élu mais de longtemps ambitieux de grimper au sommet du cursus républicain, il atteignit très vite son seuil d'incompétence.
Aujourd'hui son propos, flou et mou, ne sert plus qu'à souligner les funestes ambiguïtés de la voix de son maître.
Prenons un premier exemple. Le texte du Monde, journal papier imprimé le vendredi 24, est daté, comme d'habitude des samedi 25- dimanche 26 janvier. Or, notre Ayrault a rencontré les journalistes (2)⇓ le jeudi 23, comme en atteste la date de la photo publiée par le fameux "grand quotidien du soir". Lues attentivement ses déclarations ne démentent certes pas, en elles-mêmes, le contenu, déjà fort problématique, du président de la république. Le creux ne contredit pas le vague.
Il se trouve que l'on pouvait lire dans "L'Humanité" du 23 janvier un texte assez menaçant. Il doit être considéré comme de conception purement cégétiste. Cette adresse a été, cependant, signée en commun des principales confédérations syndicales de la fonction publiques : CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FA-FPT, FSU, Solidaires, Unsa s'alignent en effet pour proclamer que "les fonctionnaires ne veulent pas être victimes des 50 milliards d'austérité". "Leur inquiétude, ajoute L'Huma, est d'autant plus vive que le premier ministre a estimé ce jeudi que l'objectif était de réaliser 'au minimum 50 milliards d'économies' d'ici à la fin du quinquennat, en 2017."
Inutile, évidemment de souligner que ces prétendus "50 milliards" ressemblent à tous les chiffres avancés par le gouvernement, résultats d'additions virtuelles de quantités hypothétiques regroupant, comme trop souvent, les carottes et les navets.
Dans un tel contexte accusatoire, se situant lui-même sur la défensive, le Premier ministre a cru intelligent de chercher à rassurer. Il s'adresse à des journalistes qu'il suppose partager les visions cégétistes. En se rapportant au texte même de l'entretien on se rend compte qu'il n'a rien fait d'autre que d'ergoter pour expliquer que sa politique s'inscrivait dans un plan d'ensemble qu'il croit de haute tenue et de grande envergure.
On remarquera qu'il se prépare à commettre les mêmes erreurs que le plan Juppé-Barrot de 1995-1996. Il croit "faire des économies" en "mutualisant les caisses sociales", au lieu de les mettre en concurrence. Mais "qu'attendre d'un cochon sinon un grognement" dit le proverbe anglais. Qu'attendre dons d'un politicien socialiste conseillé par des technocrates français ? Mais lorsqu'un cavalier ne maîtrise pas sa monture, celle-ci n'en fait qu'à sa guise.
Et voici comment ses déclarations se retrouvent déformées par une dépêche de l'agence Reuters. Or celle-ci est beaucoup plus largement diffusée que le quotidien dont est issue la déclaration.
Le titre dit tout : "Jean-Marc Ayrault jure que la politique du rabot est terminée". (3)⇓ En fait Ayrault ne "jure" de rien, rien n'est terminé car rien n'est même commencé. Ayrault sabote seulement, par sa propre maladresse et ses incertitudes les annonces déjà peu crédibles de Hollande.
JG Malliarakis
http://www.insolent.fr/2014/01/comment-ayrault-sabote-les-annonces-de-hollande.html
Apostilles
- cf. Le Monde en ligne le 24.01.2014 à 10h40, mis à jour à 12h36 |
- Bastien Bonnefous, Luc Bronner et Françoise Fressoz. .
- cf. Reuters 24 janvier 2014 à 12 h14
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Colère Identitaire et patriote
Communiqué du 27/01/2014
Pour réussir ce Jour de Colère, qui a réuni des dizaines de milliers de participants, le Réseau-Identités avait donné rendez-vous à ses adhérents sur les marches de l’Opéra-bastille avant de rejoindre la Place Vauban.
Ils étaient venus de toutes les régions de France; il y avait là des Provençaux, des Languedociens de la Ligue du Midi venus en minibus, une grosse délégation du Berry, des Champenois, des Picards en lutte pour la sauvegarde de leur identité menacée par le projet de dépeçage de leur région, des Savoyards, des Bretons, des Franciliens en lutte contre ce projet jacobin de métropole, des Normands mais aussi des belges venus en renfort ainsi que des « laïques» et des patriotes.
Dans un tract distribué au cours de la manifestation intitulé « de la révolte à la révolution » les Identitaires ont voulu crier leur révolte à la face des socialistes qui, en 18 mois, ont concocté toutes sortes de projets visant à opérer la dilution de notre Identité : atteinte à la cellule familiale, remplacement de population, droit de vote des étrangers, officialisation de la repentance, promotion du métissage, christianophobie…
A pied d’œuvre, en ce jour de Colère, le Réseau-Identités a été le seul représentant du courant identitaire, ce qui explique son succès dans la manifestation puisqu’il fut suivi, derrière ses banderoles, par 400 à 500 manifestants qui ont repris ses mots d’ordre et en particulier « COLERE PATRIOTE ET IDENTITAIRE » qui fut scandé par des centaines de poitrines.
Les identitaires du Réseau se félicitent d’avoir manifesté aux côtés de gens motivés, certes avec des positionnements divers, mais se tolérant les uns les autres, ce qui constitue de possibles prémisses pour d’autres alliances improbables auparavant. Ils condamnent avec force les tentatives d’intimidation de la police qui s’est livrée à un véritable guet-apens et les manifestants auront eu du mal à se reconnaitre dans le compte-rendu qui en a été fait par les médias et Manuel Valls.
Concluons par un propos entendu dans une discussion au sein du groupe des Identitaires pendant la manif…
« Les socialistes finissent toujours par nous amener la guerre, la pauvreté et le désordre. Quand le gouvernement s’oppose à l’intérêt du pays, c’est la légitimité du peuple que de s’opposer au gouvernement »
Réseau Identités
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