Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Aucune solidarité avec la CGT.
Simple.
Direct.
Franc.
Sans ambiguïté.
Ce n’est pas une question politique.
Ce n’est pas une question économique.
Ce n’est pas une question sociale.
C’est infiniment plus grave que cela.
Existentiel même.
J’ai toujours dit que vous me trouverez du côté de ceux qui souffrent le plus.
Ce n’est pas le cas des ouvriers « nantis » des raffineries ou des cheminots qui sont également bien lotis, et nettement mieux que les aides-soignants ou nos infirmières.
Je suppose que vous me voyez venir.