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tradition - Page 276

  • Une nouvelle génération prête à l'action politique

    Lu dans Le Figaro :

    "Réunis en université d'été, les deux cents étudiants d'Acteurs d'avenir découvrent le goût de la réflexion politique. [...] Ils ont 22 ans de moyenne d'âge, il y a autant de filles que de garçons, et tous ou presque sont inscrits en grandes écoles. Des futurs cadres, donc. Mais s'ils sont réunis dans ce creuset, c'est pour réfléchir «en tant que catholique» à leur «engagement» dans la société. Et certains pensent sérieusement à… la politique.

    Plus encore après cet hiver, ou plutôt ce printemps de la Manif pour tous. À l'évidence, ces événements ont engendré une nouvelle génération décidée de jeunes catholiques. Ce qui annonce - ce n'est plus une simple hypothèse - un retour tous azimuts des «cathos» dans l'arène publique. Cette conséquence durable, potentiellement cuisante pour la gauche, a pris sa source dans la carence de débat qui imposa le mariage pour tous et la répression violente contre les manifestants. Cette génération, choquée, s'est indignée. Elle apparaît aujourd'hui comme éveillée à l'action politique.

    [...] L'abbé Pierre-Hervé Grosjean, 35 ans, bientôt dix ans d'ordination, col romain et prêtre du diocèse de Versailles, [...] a créé il y a quatre ans cette université d'été avec ce nom emblématique «Acteurs d'avenir, des décideurs chrétiens pour demain». «Notre intuition, explique-t-il, est de mettre en contact des responsables de tous les domaines de la société qui ne cachent pas leur foi chrétienne avec des jeunes, pour leur montrer qu'il est possible d'avoir des responsabilités importantes tout en ayant la foi. La foi n'est pas un frein, elle ne va pas brider leur ambition, mais va l'orienter vers le service des autres. L'Église est pleinement là dans son rôle d'éveil des consciences.»

    [...] Après deux journées consacrées à l'engagement dans le monde économique, puis dans la vie associative, mercredi était consacré à la vie politique. [...] Les politiques présents étaient d'ailleurs de tous bords: Bernard Poignant, maire PS de Quimper et conseiller du président de la République [et opposé à la loi Taubira, NDMJ], Laurent Wauquiez, député maire UMP du Puy-en-Velay, Dominique Potier, député PS de Meurthe-et-Moselle, qui a débattu avec Philippe Gosselin, député UMP de la Manche, et Guillaume Peltier, vice-président de l'UMP. [...]"
  • Les veilleurs pacifiques à Nantes

    N
    Face aux voyous :

     

    V

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La Manif Pour Tous prépare la mobilisation 2013-2014 avec vous

    La Manif pour Tous lance une grande consultation.

    Compte-tenu de la diffusion actuelle du concept non scientifique du « gender » (qui consiste à remettre en cause l'identité sexuelle homme/femme), origine de la loi Taubira, et compte-tenu des conséquences de cette loi (notamment l'ouverture de la procréation médicalement assistée aux couples de même sexe... pour laquelle une proposition de loi a été déposée au Sénat le 19 juillet), La Manif Pour Tous prépare la suite de ses actions.

    C'est pourquoi elle vous sollicite pour répondre au questionnaire qui suit : il s'agit de savoir ce que vous êtes prêt à entreprendre. Le questionnaire est en ligne.

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  • Helie de Saint-Marc : peu d'autorités politiques et militaires sont annoncées à ses obsèques

    Pour l’instant, ni ministre, ni chef d’état-major ne sont prévus.

    Le gouvernement socialiste veut en faire le minimum...

    Quant à la participation du ministre des anciens combattans, ancien harki, pourquoi "poserait-elle problème", selon les milieux ministériels ? Au vu précisément de l’engagement d’Hélie de Saint-Marc, ce serait plutôt le contraire !... Il est vrai que Hollande préfère honorer le FLN.

  • Un adjoint du maire de Bollène sacrifie sa liberté de conscience

    Communiqué de Marie-Claude Bompard :

    "J'ai reçu, vendredi dernier, à ma demande, deux jeunes femmes qui souhaitaient célébrer leur « mariage », le 10 septembre prochain, à Bollène. Cette demande est régulière au regard de la loi Taubira. Elle me pose, cependant, en ma qualité d'officier d'Etat civil, un douloureux problème de conscience. C'est ce que j'ai expliqué à mes interlocutrices.

    Je leur ai donc affirmé que j'étais moi-même dans l'impossibilité de procéder à cette cérémonie, et qu'il m'est également impossible de déléguer mon pouvoir et ma responsabilité à un conseiller municipal.

    Je leur ai réaffirmé mon attachement au mariage, union d'un homme et d'une femme, qui a pour première finalité l'accueil et l'éducation d'enfants, dont la conception relève, naturellement de l'altérité sexuelle des époux.

    Avec la loi Taubira, les maires réfractaires sont aujourd'hui sous la menace de sanctions lourdes, disproportionnées et illégitimes. Pourtant, la liberté de conscience est garantie par notre Constitution. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien que François Hollande avait déclaré « il y a toujours la liberté de conscience », lors du congrès des maires, à l'automne 2012, porte de Versailles. C'est en ce sens que j'ai écrit, ce matin, à Manuel Valls, ministre de l'intérieur.

    Aujourd'hui, le respect de mon droit constitutionnel est bafoué. Depuis samedi dernier, les pressions se succèdent : pression médiatique, pression politique (notamment de la part du parti au pouvoir), pression administrative, pression judiciaire, puisque j'ai appris qu'une enquête préliminaire avait été ouverte, à la demande de la Chancellerie. Des gendarmes se sont d'ailleurs présentés en mairie de Bollène cette après-midi, exigeant une copie du dossier de mariage.

    Ne pouvant m'opposer à l'application de la loi sur le territoire de ma commune, j'ai, par ailleurs, demandé à monsieur le Préfet de Vaucluse, en tant que représentant de l'Etat, de procéder lui-même à cette cérémonie ou de désigner une personne de son choix, comme le prévoit l'article L2122-34 du Code Général des Collectivités Territoriales.

    Cette proposition a été refusée, montrant ainsi que l'Etat préfère que les cérémonies n'aient pas lieu, afin de mieux trainer les maires réfractaires devant les tribunaux ! Outre la destruction du mariage et de la famille, un des objectifs de la loi Taubira est clairement d'écarter les maires libres, réfractaires au Système. Nous en avons un exemple flagrant aujourd'hui, à Bollène.

    En ce qui concerne les demanderesses, c'est un de mes adjoints, lui-même opposé à la loi, qui, à son initiative et pour m'éviter des sanctions, s'est porté volontaire et qui accepte de procéder à cette cérémonie. Je ne peux m'opposer à cette initiative, je n'en délègue pas pour autant mon pouvoir, puisque pour marier, un adjoint n'a nullement besoin d'une délégation spéciale du maire, puisqu'il la détient depuis sa prise de fonction.

    Pour ma part, et avec les nombreuses personnes qui m'ont soutenue, avec de nombreux élus, je continuerai à prendre une part active aux actions organisées afin que la liberté de conscience soit reconnue et mise en œuvre."

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  • Mariage gay : M.-C. Bompard, le maire qui dit non !

    Marie-Claude Bompard, maire de Bollène, dans le Vaucluse, refuse de célébrer le mariage de deux personnes homosexuelles dans sa commune. Elle n’est pas le premier maire à faire de la résistance. Ils sont même singulièrement nombreux, rapportés au nombre plus que modeste – de l’aveu même de Libération, qui s’est livré à un rapide calcul depuis la promulgation de la loi – de demandes déposées.

    Pourquoi s’inquiéterait-on en haut lieu ? Les bougres renâclent, se font tirer l’oreille, freinent des quatre fers ; mais à force d’intimidations, de menaces et de chantage, on finit toujours, n’est-ce pas, par leur faire plier l’échine et les mettre à genoux.
    C’est la menace d’une astreinte de 1.000 euros par jour pour lui et ses adjoints qui a fait rendre les armes au maire d’Arcangues, même s’il clame toujours son opposition. C’est sans doute pour les mêmes raisons que le maire de Mésanger a lui aussi capitulé. Que celui qui peut débourser 1.000 euros par jour leur jette la première pierre. N’est pas Thomas More qui veut, et nous autres n’avons sans doute aucune idée de la pression qui s’est abattue, pour paraphraser Alain Sanders, journaliste à Présent, sur ces braves maires devenus des maires braves. Et cette somme n’est encore pas grand-chose comparée aux trois ans de prison et aux 45.000 euros d’amende que, le 7 novembre dernier, Christiane Taubira avait agités comme un épouvantail dans une interview à Ouest-France. Sans parler d’une possible suspension par le préfet ou, allons-y, une révocation en Conseil des ministres.

    Sauf qu’avec Marie-Claude Bompard, le gouvernement est tombé sur un os. Bollène, c’est mauvaise pioche. Car la dame, qui en a vu d’autres, n’est pas du genre impressionnable et, sous des allures fragiles, a la couenne plus dure que bien des édiles de campagne gaulés comme des tracteurs agricoles.

    Dans son refus, rien d’épidermique, d’impulsif ou de personnel, comme le montre le soin qu’elle a pris de recevoir les deux administrées concernées, Amandine Gilles et Angélique Leroux, pour leur en expliquer les motifs. « Marie-Claude Bompard nous a dit qu’elle respectait les couples homosexuels, mais que par rapport à ses convictions religieuses, il lui était impossible de nous unir », a rapporté l’une d’entre elles. Le maire de Bollène se situe donc dans le registre de « l’impossibilité » et non pas seulement de « l’opposition ». La nuance, pour le combat qui s’annonce, est de taille. Elle l’a d’ores et déjà annoncé : qu’on n’attende pas d’elle qu’en s’en lavant les mains, elle refile le bébé – si l’on peut dire – à un de ses adjoints moins regardants. Alors quoi ?

    Alors, la suite promet d’être particulièrement palpitante, le gouvernement n’ayant aucune issue dans ce bras de fer. S’il ferme les yeux sur le refus de Marie-Claude Bompard, c’est l’objection de conscience qu’il reconnaît de fait, et un boulevard qu’il ouvre pour tous ceux – et on ne les compte pas – qui voudront s’en prévaloir. S’il sanctionne Marie-Claude Bompard, il en fait aussitôt un exemple, un emblème, un étendard et surtout un casus belli susceptible de réveiller, d’un coup pour la rentrée, les ardeurs que même les grandes vacances n’ont manifestement pas suffi à éteindre.

    Gabrielle Cluzel dans Boulevard Voltaire

    http://fr.altermedia.info/decadence/mariage-gay-m-c-bompard-le-maire-qui-dit-non_50434.html

  • Marie-Claude Bompard, maire patriote qui refuse de célébrer un pseudo mariage inverti

    Le (et non pas « la », en français) maire de Bollène dans le Var, et épouse de Jacques Bompard, a refusé courageusement de célébrer l’union de deux lesbiennes. Émoi dans les médias.

    Pourtant, l’argumentation de Marie-Claude Bompard est on ne peut plus consensuelle : « Je demande qu’on respecte ma conscience », a déclaré l’édile, lundi 26 août face à la caméra de France 2.
    Et d’insister :  « C’est tout ce que je demande. Je ne demande pas qu’il soit interdit de se marier quand on est homosexuel à Bollène »
    « On lui a demandé de développer un peu, parce qu’on ne comprenait pas ce qu’elle voulait dire par convictions personnelles, ni ce que ça venait faire dans son rôle de maire, et là, elle nous a expliqué que c’était également par conviction religieuse »
    , a expliqué Angelique Leroux, l’une des deux inverties.

    En réalité, il ne s’agit pas d’une affaire de conscience personnelle ou de point de vue : le mariage est objectivement l’union d’un homme et d’une femme et l’homosexualité est objectivement un désordre qui n’a droit à aucune légitimation sociale (cf. L’Héritage n°9).

    La justice républicaine n’a pas perdu de temps, pour une fois, et a ouvert une enquête préliminaire, mardi 27 août, à l’encontre de Marie-Claude Bompard.
    Le parquet de Carpentras s’est appuyé sur des articles du code pénal, qui punissent notamment « le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique, agissant dans l’exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l’exécution de la loi ».

    Les deux jeunes femmes, qui n’ont pas souhaité déposer plainte, ont été entendues lundi après-midi par la gendarmerie. La maire de Bollène devrait être auditionnée dans les prochains jours.

    « Dans un premier temps, nous allons accomplir un certain nombre de formalités, nous avons une ou deux personnes à entendre, puis nous allons rappeler Mme Bompard à ses obligations de respecter l’état civil », a indiqué Stanislas Vallat, vice-procureur de la République au parquet de Carpentras.
    Le préfet du Vaucluse, Yannick Blanc, a eu lundi en fin de matinée un entretien avec la maire de Bollène au cours duquel « elle a maintenu sa position », selon la préfecture. Mme Bompard encourt cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende, selon le code pénal.

    Florian Philippot, vice-président du FN, a de son côté estimé sur i-Télé que la maire de Bollène devait « respecter la loi »« L’argument religieux est totalement irrecevable dans une République laïque », selon le bras droit de Marine Le Pen. Il « comprend la conviction personnelle » de cette élue, mais « elle doit respecter la loi de la République [...]. Soit elle les marie, soit elle délègue et fait marier », conclut M. Philippot.
    Entre la République maçonnico-laïque d’un côté et l’ordre naturel, la dignité et la charité de l’autre, M. Philippot a choisi.

    http://www.contre-info.com/

  • Hélie Denoix de Saint-Marc, un grand patriote

    Communiqué de Bruno GOLLNISCH,
    député au Parlement Européen
    président du groupe FN au Conseil Régional Rhône-Alpes

    bruno-gollnisch-conference-de-presseHélie Denoix de Saint-Marc s’est éteint ce matin. Ce grand soldat et patriote a combattu toute sa vie le totalitarisme.

    Très jeune, dans la Résistance, ce qui lui valut d’être déporté, puis comme officier parachutiste de la Légion étrangère, contre le communisme en Indochine, et contre le FLN en Algérie.

    On tentera à l’occasion de sa mort de distinguer, entre ses engagements, ceux qui demeurent « politiquement corrects » de ceux qui sont toujours calomniés, comme le fait de s’être dressé contre l’affreux abandon, par le pouvoir politique, de nos compatriotes d’Algérie, « pieds-noirs » chassés de leur terre, « harkis » livrés aux égorgeurs, etc. Ce qui lui valut cinq années de prison.

    On aura tort de faire cette distinction. Les événements d’aujourd’hui donnent raison à Denoix de Saint-Marc. Comme ils donnent raison à l’un de ceux qui, jeune lieutenant, a combattu sous ses ordres : Jean-Marie Le Pen.

    Aujourd’hui, les partis de la trahison nationale sont toujours à l’œuvre. Et cette fois-ci, les Français sont le dos au mur. Puissent-ils s’inspirer de l’exemple de ceux qui ont fait passer l’intérêt de la Patrie avant celui de leur carrière personnelle.

    http://www.gollnisch.com

  • Le parquet de Carpentras ouvre une enquête contre le maire de Bollène

    BYannick Blanc, le préfet du Vaucluse fait savoir qu'il a téléphoné ce lundi, en fin de matinée, à Marie-Claude Bompard, qui lui a répété son opposition de marier les deux femmes et de déléguer son pouvoir.

    Une enquête judiciaire a été ouverte ensuite : la gendarmerie de Bollène va demander aux 2 militantes LGBT de leur répéter que le maire refuse de les marier. Une fois que le refus aura été constaté par les gendarmes, ils entendront le maire avant d'envisager les éventuelles suites pénales à donner.

    Pénalement, le maire risque jusqu'à 5 ans de prison et 75000 euros d'amende. Administrativement, elle peut faire l'objet d'une mesure ministérielle de suspension. Voire d'une révocation pure et simple en Conseil des Ministres. Auquel cas, elle pourrait être réélue en mars prochain...

    Pétition pour soutenir Madame Bompard

    A signer ici.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/