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tradition - Page 334

  • Synthèse Nationale manifestera le 26 mai à Paris

     

  • Manuel Valls en flagrant délit de mensonge

    Lu sur Nouvelles de France :

    "Selon un communiqué du ministère de l’Intérieur publié samedi, le 17 mai au Panthéon, un manifestant anti-dénaturation du mariage aurait aspergé le visage d’un commissaire de police de liquide allume-feu. Les caméras de BFM TV et LinePress ont filmé la scène et montrent que le fameux liquide se retrouve tout simplement déversé à terre. Manuel Valls ment-il pour éluder les questions posées par une interpellation violente ?"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Un mouvement toujours dynamique, une répression de plus en plus lourde

    Entrave à la libre circulation des personnes, surveillance présumée de lignes téléphoniques, répressions parfois violentes de rassemblements pacifiques... Les ordres donnés à la police par le gouvernement prennent de grandes libertés avec la Constitution. Nouvelle démonstration, hier, place de la Sorbonne.

    Acharnement... Alors que les Champs-Elysées sont livrés au pillage suite au titre national du Paris Saint-Germain, la police continue de recevoir des ordres pour réprimer fermement toute visibilité de la "manif pour tous".

    Ces dernières semaines, la moindre opération a été traquée par les forces publiques : veilles, collages d’autocollants, pique-nique... Même les actions mineures réunissant moins de dix personnes n’ont pas échappé aux hommes du ministère de l’intérieur. « La plupart des rassemblements [lancés par textos ou bouche à oreille] sont décidés le jour même. Durant certaines opérations banales - genre collage d’autocollants - , des policiers débarquaient avant même l’heure du rendez-vous », témoigne un participant actif. Le fait est inquiétant en démocratie : la police surveille-t-elle les lignes téléphoniques des "opposants" au régime ?

    Le 17 mai au soir, un rassemblement plus important qu’à l’habitude s’est tenu sur la place de la Sorbonne, non loin du Panthéon. Plusieurs centaines de jeunes se sont réunis pour manifester leur opposition à la loi Taubira. De nouveau, le brutal préfet de police de Paris a donné ordre de supprimer toute trace du mouvement. Il était possible de constater encore une fois l’absence évidente de trouble à l’ordre public. C’est pourquoi nombre de jeunes touristes étrangers se sont immiscés dans l’attroupement. Trop contents de rejoindre ce qu’ils pensaient être un simple rassemblement d’étudiants, ils ne pouvaient savoir qu’ils se trouveraient emprisonnés sur le bitume pendant près d’une heure et demie...

    Cinq ripoux : les racailles de Manuel Gaz

    Alors qu’aucune intervention n’était nécessaire, la police dépêchait très vite des dizaines de camionnettes de CRS. Tout autour de la Sorbonne, des barrages de gendarmes mobiles suréquipés interdisaient la moindre approche. « Vous ne pouvez rester ici », s’entendait dire le quidam qui cherchait à approcher les immeubles proches de l’université. « Ah, il y a une alerte à la bombe ?... » demandait ironiquement un vieux passant. [...]

    Louis Anders - La suite sur Politique Magazine

  • On ne lâche rien devant la mairie de Chemillé (Maine et Loire)

    Chemillé Philippe Carhon  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • APPEL POUR LA MANIF POUR TOUS DU 26 MAI 2013

    Nous participerons, très déterminés, à la Marche pour tous du 26 mai contre le « mariage homo », pour y défendre l’exigence morale et politique et non politicienne, l’exigence trans-partisane d’abroger purement et simplement la loi nihiliste Hollande-Taubira de désintégration familiale et sociale.

     

     

    Nous marcherons poussés par notre fidélité aux valeurs chrétiennes et humaines du respect de la vie et de la famille.

     

     

    Nous marcherons contre le racisme véritablement anti-humain qui prétend substituer à l’humanité constituée par le couple de l’homme et de la femme une dialectique d’appartenance homosexuelle ou hétérosexuelle.

     

     

    Nous marcherons parce qu’enfin, à l’évidence, la majorité des marcheurs réprouve désormais expressément le traquenard d’une dialectique d’instrumentalisation des concepts psychiatriques de « phobie » et de « philie » qui aurait pu aboutir à un véritable détournement de la Marche. On a trop connu cela avec l’abomination des rééducations psychiatriques dans le monde soviétique.

     

     

    Nous marcherons dans le calme, l’amitié et la liberté, en effet pour tous, de manifester selon sa foi et sa sensibilité et non selon un carcan dictatorialement imposé.

     

     

    Nos amis pourront bien sûr à leur gré défiler avec leurs délégations provinciales, d’autres avec des mouvements selon leur sensibilité.

     

     

    Nous, avec les militants et adhérents et amis de nos organisations qui le souhaitent, vous donnerons rendez-vous [sur un point d'un des parcours dès que les tracés seront définitifs – J.S.].

     

     

    PREMIERS APPELANTS :

     

     

    Bernard Antony

     

     

    Richard Haddad, éditeur, ancien président du Cercle National des étudiants de Paris

     

     

    Daniel Hamiche, rédacteur en chef de L’Observatoire de la Christianophobie

     

     

    Vivien Hoch, chercheur en philosophie

     

     

    Jacques Le Morvan, Chrétienté-Solidarité, vice-président du Centre Henri et André Charlier

     

     

    Cécile Montmirail, vice-présidente de l’AGRIF

     

     

    Abbé Vincent Ribeton

     

     

    Pasteur Saïd, communautés chrétiennes d’Afrique du nord

     

     

    Michel Seamb, Convergences Africaines

     

     

    Jeanne Smits, directrice de Présent

     

     

    Yvonne Soleil, Chrétienté-Solidarité-Persécutions

     

     

    Abbé Guillaume de Tanouärn, Centre Saint Paul

     

     

    Guillaume de Thieulloy, directeur de Riposte catholique

     

     

    Jérôme Triomphe, avocat de l’AGRIF

     

     

    François Wagner, avocat de l’AGRIF
  • Manif pour Tous : « La décision du Conseil constitutionnel n’entame pas notre détermination »

    Manif pour Tous : <em>« La décision du Conseil constitutionnel n’entame pas notre détermination »</em>

    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) – Le Conseil constitutionnel a validé l’intégralité de la loi ouvrant le mariage et l’adoption à deux personnes de même sexe ce vendredi.

    La haute juridiction présidé par Jean-Louis Debré a jugé que le « mariage » homosexuel était «un choix du législateur» et «n’était contraire à aucun principe constitutionnel». Même si «la législation républicaine antérieure à 1946 et les lois postérieures, ont jusqu’à présent regardé le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme, cette règle n’intéresse ni les droits et libertés fondamentaux, ni la souveraineté nationale, ni l’organisation des pouvoirs ».

    Interrogé par Infos-Bordeaux, le coordinateur local de la Manif pour Tous, Raphaël de Bourayne, s’est déclaré « déçu, mais pas étonné ». « Nous sommes déçu que le Conseil constitutionnel n’ait pas écouté les arguments juridiques sur l’adoption, mais cette décision n’entame en rien notre détermination. Nous appelons tous les bordelais à une nouvelle manifestation le mardi 21 Mai Place de la Bourse à 18h00 ».

    Avant la grande mobilisation nationale du 26 mai prochain à Paris (*), les opposants au projet Taubira multiplient les actions coup de poing. Avant-hier soir, plusieurs dizaines de jeunes gens ont déployé de nombreuses banderoles sur la rocade bordelaise suscitant l’approbation des automobilistes.

    manif-pour-tous.jpg

    De même par exemple hier près de Langon des banderoles ont également été déployées :

    manif-pour-tous1-1024x768.jpg

    (*) : Un train spécial au départ de Bordeaux est organisé : http://www.weezevent.com/tous-a-paris-le-26-mai-2013

    Crédit photos : DR. http://fr.novopress.info/

  • Validation du mariage gay : la loi au-dessus de la nature !

    Sur Boulevard Voltaire, une analyse contre-révolutionnaire que nous aurions pu signer à 100 %...

    La comédie est terminée. Rideau. Le Conseil constitutionnel a tranché dans le sens attendu en validant la totalité de la loi Taubira. Nul n’en sera surpris : il n’est là que pour maîtriser les éventuels écarts de la loi, pas pour s’opposer à la politique générale d’un gouvernement.

    En bref, cette décision ne mériterait aucun commentaire particulier si elle ne comportait un passage hautement intéressant :

    En ouvrant l’accès à l’institution du mariage aux couples de personnes de même sexe, le législateur a estimé que la différence entre les couples formés d’un homme et d’une femme et les couples de personnes de même sexe ne justifiait plus que ces derniers ne puissent accéder au statut et à la protection juridique attachés au mariage ; qu’il n’appartient pas au Conseil constitutionnel de substituer son appréciation à celle du législateur sur la prise en compte, en matière de mariage, de cette différence de situation. [...]

    François Teutsch - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Professionnaliser son engagement et l’inscrire dans la durée

    D'Alexandre Pesey :

     

    "[Q]uel sens le mouvement opposé au « mariage pour tous » peut-il prendre à l’avenir ? Les bonnes causes ne manquent pas pour prolonger l’élan. Mais de nouvelles ambitions doivent s’accompagner de moyens réalistes.. En effet, seule la professionnalisation des jeunes gens ayant spontanément participé à ce mouvement permettra de changer le visage politique de la France.

    [...] Ces jeunes gens plein d’enthousiasme, étudiants pour la plupart, devront faire à court terme un choix de carrière. Or, certains comprendront que ce choix peut aussi être un engagement. De nombreuses associations existent et ne demandent qu’à accueillir ceux qui auront le désir et les compétences d’œuvrer pour le bien commun. D’ailleurs, à vrai dire, le terme d’ « association » est trompeur : ces structures, encore modestes par leur taille, se sont professionnalisées à grande vitesse durant la dernière décennie. Aujourd’hui, de nombreux métiers apparaissent : les blogueurs peuvent apporter leur aisance rédactionnelle, tandis que les chercheurs, par exemple en politique familiale ou en économie, trouvent le moyen d’approfondir leurs études et d’agir pour qu’elles deviennent des réalités politiques. Les diplômés d’écoles de commerce peuvent user de leurs compétences en découvrant puis en appliquant les méthodes de  levée de fonds  – car ces organisations refusent toute subvention par souci d’indépendance. Les plus courageux trouveront dans ces expériences le savoir nécessaire pour lancer leur propre organisation.

    Déjà, plusieurs institutions, toutes différentes, existent dans des domaines variés : Liberté Politique, bien sûr, mais aussi Contribuables Associés, l’Institut pour la Justice, l’Institut Thomas More, la Fondation iFRAP, Ichtus, la Fondation Polémia, l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique, l’Institut des Libertés, etc. De nouveaux médias, comme Nouvelles de France, contribuent à renouveler le paysage médiatique.

    Plusieurs portes d’entrées existent pour ceux qui, plein de bonne volonté, ne savent que faire. L’Institut de Formation Politique propose ainsi des séminaires de formation aux idées et aux techniques politiques. Près de 600 auditeurs sont déjà passés par ces séminaires. De nombreuses rencontres leur permettent de prendre un premier contact avec les organisations de la société civile – qui mène souvent à un stage. D’autres auditeurs choisissent de devenir collaborateurs parlementaires, et commencent déjà à influencer les élus.

    Les plus avertis l’auront compris : en agissant ainsi, il sera possible d’influencer la société d’abord, le pouvoir ensuite. Qui n’a pas vu que la masse des manifestants a suscité un regain politique chez des hommes politiques parfois timoré… Avec cette ambition à l’esprit, des jeunes gens aux convictions fortes peuvent, dès maintenant, faire le choix de professionnaliser leur engagement et de l’inscrire dans la durée. C’est le seul moyen de donner un nouveau souffle aux principes de liberté, de responsabilité et de dignité de la personne."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com

  • LE 26 MAI, 1er jour de LA LIBÉRATION DU PAYS RÉEL

    Une bonne nouvelle, tout de même : chaque jour davantage, la lucidité gagne le pays réel. Pour preuve ? Cette récente étude du Pew Research Center, un centre d’études états-unien, réalisée entre le 2 et le 27 mars dans huit pays européens — Allemagne, France, Espagne, Italie, Grèce, Pologne, République tchèque et Royaume-Uni.

    Cette étude doit tout de même refléter quelque peu la vérité puisque, au grand dam de nos gouvernants et des media officiels, elle indique que, désormais, une majorité de Français n’a plus confiance dans le projet européen. C’est même en France que la chute est la plus sévère. Alors qu’en 2012, dans la même enquête, 60 % de nos compatriotes se déclaraient encore favorables à l’Union européenne, douze mois plus tard, ils ne sont plus que 41 % : une baisse de dix-neuf points ! Même la confiance légendaire des Allemands dans une Union européenne qu’ils perçoivent comme une étape vers la reconstitution d’un grand empire sous hégémonie germanique s’érode lentement. S’ils sont encore 60 % à lui faire confiance, ils étaient 68 % en 2012 — une baisse qui traduit sans aucun doute la crainte des Allemands devant le fardeau apparemment sans fin des pays du sud. Toutefois, « aucun pays européen ne s’est aussi vite découragé et désillusionné que la France », commente le centre d’études. Seuls les Tchèques et les Grecs sont encore plus pessimistes.

    Certes, c’est la situation économique catastrophique de la zone euro, à laquelle appartient la France, qui est la raison principale de cette défiance, une zone qui détient le record mondial du chômage et qui ne profite qu’à une Allemagne ayant su conserver son industrie aux dépens de ses partenaires qui lui ont financé le coût de sa réunification — Angela Merkel peut faire la leçon aux pays européens en difficulté : ayant passé sa jeunesse en Allemagne de l’Est, elle est la première à savoir que, sans les sacrifices de ses partenaires, jamais la RFA de l’époque n’aurait pu absorber une RDA en faillite.

    On comprend que, dans ces conditions, 75 % des Allemands jugent « bonnes » leurs conditions économiques, contre 63 % en 2007, mais ce sont les seuls à être aussi optimistes ! « L’effort mené au cours du dernier demi-siècle pour créer une Europe plus unie est désormais la principale victime de la crise de l’euro. Le projet européen est désormais discrédité dans la plus grande partie de l’Europe », jugent les auteurs de l’étude. Aussi la confiance des Européens dans leurs différents pays légaux est-elle en chute libre — c’est particulièrement vrai pour les dirigeants français, Merkel étant la seule à conserver du crédit auprès de ses compatriotes.

    Doit-on dès lors s’étonner que l’euro reste relativement populaire, puisque 60 % des sondés veulent conserver la monnaie unique, le soutien semblant même grandir en Italie et en Espagne, plus gravement touchées par la crise encore que la France ? Evidemment non, et on touche là à un phénomène que Maurras a su détecter très tôt en faisant remarquer que le suffrage universel est naturellement conservateur : autant dire qu’il ne craint rien tant que l’aventure ! Or quitter l’euro, ne serait-ce pas, pour ces pays, l’aveu définitif de leur échec à faire partie des pays qui comptent dans le monde, tant la propagande, depuis le traité de Maëstricht, c’est-à-dire depuis plus de vingt ans, a martelé que la monnaie unique était l’horizon indépassable de notre réussite mondiale ? Du reste, les mêmes qui avouent aujourd’hui leur défiance à l’encontre de l’Europe institutionnelle, et ce à juste titre, , si on le leur demandait, affirmeraient vouloir toujours rester au sein d’une Union au projet de laquelle ils ne croient plus. Ainsi le veut la nature d’une « opinion publique » tiraillée entre ce qu’il reste en elle du bon sens du pays réel et la soumission à la propagande distillée à longueur d’année sur toutes les antennes par les chiens de garde d’un pays légal qui a tous les moyens, ...ou presque, car il faut désormais compter, c’est vrai, avec internet et les réseaux sociaux, comme l’apprennent chaque jour à leurs dépens les membres d’un gouvernement désormais méprisés des Français et légitimement traqués par ceux qui défendent la famille. Toutefois, exiger de but en blanc la sortie de l’euro ou même un simple référendum sur la sortie de l’Union européenne sont, sur le plan électoral, de grossières erreurs tactiques : si la sortie de la monnaie unique est une nécessité autant économique que symbolique, si, à terme, une renégociation radicale des traités européens, avec, en cas de refus de certains de nos partenaires, une possible sortie de l’Union, se révèle pour la France un impératif pour recouvrer sa souveraineté, en revanche, en faire des enjeux électoraux, c’est courir à l’échec. L’annonce d’un traitement de choc provoque souvent le rejet du malade, surtout lorsque les symptômes sont encore supportables — c’est la raison d’être du traitement social du chômage — et que des oligarques apatrides lui ont appris depuis des décennies à chérir les causes de ses maux.

    Que faire alors ? Poursuivre avec une détermination toujours plus grande le travail d’explication auprès de nos compatriotes — nous laissons aux europhiles l’indigne « pédagogie », signe de leur volonté d’infantiliser les peuples. Que, dans le cerveaux des Français, les murs de la prison Europe se fissurent, c’est une excellente nouvelle. A nous de faire en sorte que ces fissures deviennent des failles béantes. Mais il convient aussi d’accompagner tous les autres mouvements de refus. Car si l’Europe est la cause principale de nos malheurs, même, et peut-être surtout, sur le plans sociétal et idéologique, toutefois, elle ne sera pas seule à provoquer la colère définitive des Français contre un régime qui a perdu leur confiance. Le grand mouvement, né à l’automne dernier, et que ne comprennent ni une gauche rendue au libéralisme mais idéologiquement rance, ni une droite sans valeurs, est historiquement inouï en ce qu’il est le mouvement de fond des familles françaises, qu’il exprime l’instinct de survie d’un pays réel qui serait atteint dans son intégrité si triomphait le grand n’importe quoi anthropologique du mariage pour tous ou d’un quelconque CUC — quel acronyme hideux ! — et, avec, la marchandisation de l’être humain. Le social et l’anthropologique sont, aujourd’hui, tous deux convoqués par une idéologie de mort qui n’a jamais été aussi près d’imposer son empire. Cela, non pas l’ « opinion publique » de nos démocraties en triple faillite économique, politique et philosophique, mais l’intelligence naturelle de chaque père, de chaque mère, de chaque jeune, le comprend. C’est pourquoi le 26 mai prochain, le peuple de France devra descendre massivement dans la rue et crier à un pays légal autiste, à ceux qui sont installés aujourd’hui dans les ors de la république comme à ceux, tout aussi sourds, qui piaffent d’impatience de les remplacer, sa volonté d’un changement radical. En vue d’y procéder le plus rapidement possible. Une lutte à mort est engagée entre les peuples et l’hyperclasse mondiale dont la tentative hégémonique repose sur le mensonge démocratique. Mais le pays légal est désormais nu aux yeux du pays réel : pour la première fois depuis cinquante ans, les Français se rendent compte qu’il n’a plus rien à leur offrir. Pour éviter le triomphe du pire des pires, qu’il n’est pas totalement déraisonnable d’envisager, ne laissons pas passer la chance historique qui s’offre à nous.

    François Marcilhac - L’AF N° 2863

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