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tradition - Page 336

  • Le devoir d'inventaire: prémices

    Le devoir d'inventaire: prémices « Le contraire d’une vérité banale, c’est une erreur stupide. Le contraire d’une vérité profonde, c’est une autre vérité profonde. » Niels Bohr.

    On sait l'aphorisme de Nietzsche : «Toute vérité est simple, n'est ce pas doublement un mensonge ? » Doublement donc. Dans un premier temps, Nietzsche postule que la vérité est nécessairement complexe. Par la suite, il souhaite aussi s'impliquer en affirmant qu'il n'existe pas réellement de vérité. Ceux qui connaissent la philosophie et notamment celle de ce penseur germanique devenu suisse d'adoption, savent que son terroir philosophique initial est celui de la « philosophie de la vie » (1) dont sont aussi issus des penseurs aussi différents que Freud et surtout Schopenhauer. Cela à un point tel que Nietzsche ira jusqu'à écrire un chapitre entier intitulé « Schopenhauer éducateur ». En aucun cas, celui veut des certitudes émanant de vérités définitivement établies, n'a pas vocation à lire Nietzsche dont l'objectif est plutôt de nous apprendre la vie en modifiant notamment notre rapport à celle ci. On sait aussi que Nietzsche un un penseur dont la philosophie est méconnue, ce malgré sa célébrité, cela au motif d'interprétations erronées de certains de ses aphorismes ou de paragraphes écrits en trop peu de lignes, favorisant ainsi les mésinterprétations.

    Ainsi, les citations suivantes de Friedrich Nietzsche:

    «Que de bière dans la pensée allemande.» Façon pour le philosophe de fustiger toute pensée par trop conceptuelle, spéculative, comme c'est souvent le cas pour les penseurs allemands.

    «Quelle bénédiction qu'un Juif au milieu d'allemands.»Nulle ironie dans cette phrase: elle est à comprendre au premier niveau.

    D'ailleurs, «Pour être antisémite, il faut détenir une bonne couche de mentalité populacière.» Friedrich Nietzsche.

    «L'homme de l'avenir est celui qui aura la plus longue mémoire.» Bien évidemment pour Nietzsche, la mémoire est un fardeau, une chaîne, qui empêchent l'homme de vivre libre.

    Bien évidemment, cette parenthèse concernant Nietzsche qui n'est qu'une introduction, a deux vocations d'être: montrer que Friedrich Nietzsche n'est probablement pas celui qu'on croit, mais aussi s'interroger sur l'aphorisme mis en exergue dès l'origine «Toute vérité est simple, n'est ce pas doublement un mensonge ?»

    L'appartenance caractérologique de Nietzsche est telle que c'est un impulsif de type émotif. Cela se perçoit dans sa façon d'écrire, utilisant très souvent aphorismes et courts paragraphes. L'aphorisme, parce qu'il est slogan utilisé à l'écrit, est le plus souvent réducteur, quand il n'est pas erratique. C'est ainsi que:

    «Toute vérité est simple, n'est ce pas doublement un mensonge ?» est assez facilement récusable: six multiplié par sept font quarante deux. Non seulement c'est vrai (la vérité dans le camp présent s'impose), mais on m'avouera aussi que c'est assez simple.

    Dans les faits, si certaines vérités sont triviales, d'autres ne le sont pas. L'individu non lettré par exemple, a accès naturellement aux vérités de base: par exemple, si un groupe humain vous dit qu'il pleut, c'est probablement parce qu'il pleut (vrai et facile). Tel n'est malheureusement pas des cas bien particuliers où la vérité ne peut s'obtenir que par un long travail. L'inflation, par exemple, n'est pas la hausse des prix, puisse qu'un pays peut connaître simultanément inflation et baisse des prix de façon concomitante. De même, la planète terre, approximativement de forme sphérique, a un contenu physique, non pas plein, mais presque vide. Tel est aussi le cas pour des problématiques où la notion de vérité est inopérante ou, autre cas, dans les circonstances où on ne peut encore se prononcer.

    J'aurai par la suite à revenir beaucoup plus en détail sur cet aspect, y voyant une des caractéristiques majeures de la postmodernité. Dès maintenant, il faut bien avouer qu'une structure dirigeante a tout intérêt à favoriser que chacun puisse s'exprimer comme bon lui semble, y compris sur des sujets qui n'ont pas été travaillés (se souvenir des deux exemples que j'ai pris en considération: l'inflation et le contenu de la planète terre). Il s'ensuit alors une cacophonie généralisée, bien entretenue par les tenants du Système, les prises de position des uns et des autres se neutralisant, laissant les pouvoirs sans adversaires réels.

    Alain Rebours http://www.voxnr.com

    Note : (1) Lebensphilosophie pour employer le terme technique.

  • 8-9 juin - Colloque à Orange : "Municipales 2014 : la méthode pour gagner"

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  • Synthèse Nationale manifestera le 26 mai à Paris

     

  • Manuel Valls en flagrant délit de mensonge

    Lu sur Nouvelles de France :

    "Selon un communiqué du ministère de l’Intérieur publié samedi, le 17 mai au Panthéon, un manifestant anti-dénaturation du mariage aurait aspergé le visage d’un commissaire de police de liquide allume-feu. Les caméras de BFM TV et LinePress ont filmé la scène et montrent que le fameux liquide se retrouve tout simplement déversé à terre. Manuel Valls ment-il pour éluder les questions posées par une interpellation violente ?"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Un mouvement toujours dynamique, une répression de plus en plus lourde

    Entrave à la libre circulation des personnes, surveillance présumée de lignes téléphoniques, répressions parfois violentes de rassemblements pacifiques... Les ordres donnés à la police par le gouvernement prennent de grandes libertés avec la Constitution. Nouvelle démonstration, hier, place de la Sorbonne.

    Acharnement... Alors que les Champs-Elysées sont livrés au pillage suite au titre national du Paris Saint-Germain, la police continue de recevoir des ordres pour réprimer fermement toute visibilité de la "manif pour tous".

    Ces dernières semaines, la moindre opération a été traquée par les forces publiques : veilles, collages d’autocollants, pique-nique... Même les actions mineures réunissant moins de dix personnes n’ont pas échappé aux hommes du ministère de l’intérieur. « La plupart des rassemblements [lancés par textos ou bouche à oreille] sont décidés le jour même. Durant certaines opérations banales - genre collage d’autocollants - , des policiers débarquaient avant même l’heure du rendez-vous », témoigne un participant actif. Le fait est inquiétant en démocratie : la police surveille-t-elle les lignes téléphoniques des "opposants" au régime ?

    Le 17 mai au soir, un rassemblement plus important qu’à l’habitude s’est tenu sur la place de la Sorbonne, non loin du Panthéon. Plusieurs centaines de jeunes se sont réunis pour manifester leur opposition à la loi Taubira. De nouveau, le brutal préfet de police de Paris a donné ordre de supprimer toute trace du mouvement. Il était possible de constater encore une fois l’absence évidente de trouble à l’ordre public. C’est pourquoi nombre de jeunes touristes étrangers se sont immiscés dans l’attroupement. Trop contents de rejoindre ce qu’ils pensaient être un simple rassemblement d’étudiants, ils ne pouvaient savoir qu’ils se trouveraient emprisonnés sur le bitume pendant près d’une heure et demie...

    Cinq ripoux : les racailles de Manuel Gaz

    Alors qu’aucune intervention n’était nécessaire, la police dépêchait très vite des dizaines de camionnettes de CRS. Tout autour de la Sorbonne, des barrages de gendarmes mobiles suréquipés interdisaient la moindre approche. « Vous ne pouvez rester ici », s’entendait dire le quidam qui cherchait à approcher les immeubles proches de l’université. « Ah, il y a une alerte à la bombe ?... » demandait ironiquement un vieux passant. [...]

    Louis Anders - La suite sur Politique Magazine

  • On ne lâche rien devant la mairie de Chemillé (Maine et Loire)

    Chemillé Philippe Carhon  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • APPEL POUR LA MANIF POUR TOUS DU 26 MAI 2013

    Nous participerons, très déterminés, à la Marche pour tous du 26 mai contre le « mariage homo », pour y défendre l’exigence morale et politique et non politicienne, l’exigence trans-partisane d’abroger purement et simplement la loi nihiliste Hollande-Taubira de désintégration familiale et sociale.

     

     

    Nous marcherons poussés par notre fidélité aux valeurs chrétiennes et humaines du respect de la vie et de la famille.

     

     

    Nous marcherons contre le racisme véritablement anti-humain qui prétend substituer à l’humanité constituée par le couple de l’homme et de la femme une dialectique d’appartenance homosexuelle ou hétérosexuelle.

     

     

    Nous marcherons parce qu’enfin, à l’évidence, la majorité des marcheurs réprouve désormais expressément le traquenard d’une dialectique d’instrumentalisation des concepts psychiatriques de « phobie » et de « philie » qui aurait pu aboutir à un véritable détournement de la Marche. On a trop connu cela avec l’abomination des rééducations psychiatriques dans le monde soviétique.

     

     

    Nous marcherons dans le calme, l’amitié et la liberté, en effet pour tous, de manifester selon sa foi et sa sensibilité et non selon un carcan dictatorialement imposé.

     

     

    Nos amis pourront bien sûr à leur gré défiler avec leurs délégations provinciales, d’autres avec des mouvements selon leur sensibilité.

     

     

    Nous, avec les militants et adhérents et amis de nos organisations qui le souhaitent, vous donnerons rendez-vous [sur un point d'un des parcours dès que les tracés seront définitifs – J.S.].

     

     

    PREMIERS APPELANTS :

     

     

    Bernard Antony

     

     

    Richard Haddad, éditeur, ancien président du Cercle National des étudiants de Paris

     

     

    Daniel Hamiche, rédacteur en chef de L’Observatoire de la Christianophobie

     

     

    Vivien Hoch, chercheur en philosophie

     

     

    Jacques Le Morvan, Chrétienté-Solidarité, vice-président du Centre Henri et André Charlier

     

     

    Cécile Montmirail, vice-présidente de l’AGRIF

     

     

    Abbé Vincent Ribeton

     

     

    Pasteur Saïd, communautés chrétiennes d’Afrique du nord

     

     

    Michel Seamb, Convergences Africaines

     

     

    Jeanne Smits, directrice de Présent

     

     

    Yvonne Soleil, Chrétienté-Solidarité-Persécutions

     

     

    Abbé Guillaume de Tanouärn, Centre Saint Paul

     

     

    Guillaume de Thieulloy, directeur de Riposte catholique

     

     

    Jérôme Triomphe, avocat de l’AGRIF

     

     

    François Wagner, avocat de l’AGRIF