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l'information nationaliste - Page 2609

  • Huit profils anti-Zemmour 2/2

    • Les sceptiques

    Les sceptiques sont en quelque sorte l’antithèse de la catégorie des naïfs. A l’opposé des naïfs, ils mettent en doute par principe tout ce que racontent les autorités. Le plus souvent, les sceptiques ne sont pas des jeunes et ils ont l’expérience des campagnes électorales assorties des promesses qui ne seront jamais tenues. Ils ont pu voter dans le passé à gauche ou à droite et constater qu’en réalité les politiques suivies étaient finalement les mêmes. Les sceptiques s’abstiennent massivement : rappelons qu’en 2017, 16 millions de personnes, soit plus du tiers des inscrits, se sont abstenus ou ont voté blanc ou nul. Certains ne sont plus inscrits sur les listes électorales. Leur phrase fétiche vaut pour tous les politiciens qui se présentent : « De toute façon il ne fera pas ce qu’il dit ; et même s’il essaye, il n’y arrivera pas ». 

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  • MeToo dans la politique française : ça flingue chez les rouges, les Verts et les macronistes

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    En lançant le mouvement #MeTooPolitique et en publiant une tribune dans Le Monde, la semaine dernière, 285 femmes de gauche entendent non pas laver leur linge sale en famille mais le déballer et l’exposer sur la place publique : « En avril 2022, nous choisirons le ou la présidente de la République. Trois candidats ou potentiellement candidats à l’Élysée sont déjà cités dans de nombreux témoignages d’agressions sexuelles. Cela ne les empêche pas, loin de là, de considérer qu’ils sont dignes d’occuper la magistrature suprême. C’est dire à quel point la condition des femmes et des victimes leur est indifférente. » Les trois candidats déclarés ou potentiels ? Fort obligeamment, Libération en donne les noms : François Asselineau, Jean Lassalle et Éric Zemmour.

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  • Penser sous la mitraille

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    Plus de cinq mois avant la présidentielle, et chacun peut pressentir qu’elle n’apportera pas les réponses pourtant essentielles aux défis que doit relever notre pays. Il apparaît que le problème n’est plus seulement la dévastation du champ politique et le désert qui en résulte mais la question de savoir si l’on peut encore porter une proposition politique qui ne soit pas une caricature, une vocifération. Natacha Polony, dans cet édito de Marianne de cette semaine pose la question.

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     Source : Marianne 26/11/2021 via http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Et toujours, le virus qui rend fou, par Maxime Tandonnet

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    Face à la « cinquième vague », la folie humaine semble s’amplifier. Au Pays-Bas, les forces de l’ordre ont tiré sur la foule à balles réelles.

    Depuis quand cela ne s’était-il pas produit en Europe? En Autriche, les manifestants contre le confinement et la vaccination obligatoire qui réclament le respect de leur liberté sont ouvertement traités de nazis. Partout, face à la nouvelle vague, les gouvernements prennent des mesures répressives contre la population ou menacent de les prendre.

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  • Huit profils anti-Zemmour 1/2

    Chronique de Paysan Savoyard  (n° 260 – Novembre 2021)

    Ceux qui ne veulent pas voter Zemmour, seul à même de battre Macron, opteront par là-même pour la poursuite de la politique actuelle en matière migratoire :  le laxisme face à l’invasion du pays. Ces anti-Zemmour sont de plusieurs types : on peut en distinguer huit. Il est utile de distinguer leurs différents profils, afin d’identifier ceux qui, à l’aide d’arguments efficaces, pourraient changer d’avis et rejoindre le camp des Français voulant mettre fin à l’invasion. 

    Précisons que nous ne parlerons ici ni des immigrés, ni des responsables du Système (CAC 40, politiciens, responsables des médias) : il ne s’agira dans le cadre de cet article que des Français de souche anonymes. Précisons également que nous n’évoquerons pas non plus les électeurs du RN et la concurrence qui existe entre Marine le Pen et Eric Zemmour : nous parlerons uniquement des gens qui n’envisagent pas à ce stade de voter pour l’extrême-droite. Quels sont, parmi eux, ceux qu’E. Zemmour peut espérer convaincre et comment doit-il s’y prendre ?

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  • Une forme de dégoût à l'égard de la politique

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    Brice Teinturier *

    Dans un livre*, en 2017, j'appelais les “Plus rien à faire, plus rien à foutre” (Praf) les Français passés de déception en déception et habités par une forme de dégoût ou, du moins, de détachement grandissant à l'égard de la politique. C'était un ensemble interclassiste, avec une petite surreprésentation des milieux populaires. Je faisais la distinction entre cette catégorie-là et les coléreux que l’on retrouvait au RN ou à LFI. Parce que quand vous êtes en colère, dans la protestation, vous êtes encore en relation avec le collectif.

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  • Olivier Delamarche Philippe Murer : De la libanisation économique à l'effondrement civilisationnel

  • Martinique : deux policiers et quatre journalistes visés par des tirs d’armes à feu

    La situation en Martinique continue de s’aggraver. Selon CNews, deux policiers de la bac viennent d’être visés par des tirs d’armes à feu à Fort de France. Une policière serait légèrement blessée, l’impact ayant été amorti par son gilet pare-balles.

    Quatre journalistes français, dont un photographe de l’AFP, deux journalistes de BFMTV/RMC et un photojournaliste d’Abaca Press ont été visés par des coups de feu de la part d’individus à moto dans la nuit de jeudi à vendredi dans un quartier de Fort-de-France alors qu’ils couvraient les violences nocturnes dans l’île. Ils ont n’ont pas été blessés et ont eu juste le temps de monter à bord de leur véhicule et de s’enfuir.

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  • La géopolitique de Staline 2/4

    Le désaccord entre Lénine et Staline concernant l’utilité pratique pour l’intégrité territoriale de la Russie du mot d’ordre de l’auto-détermination des nations prit des contours plus nets peu après la révolution de février 1917. À la 7ème Conférence du POSDR (b) qui eut lieu en avril de cette même année, Staline, contrairement à Lénine, évita les prévisions provocantes en mentionnant le nom des régions de Russie qui, de la manière la plus vraisemblable et avant les autres, accompliraient leur droit à la sécession. Alors que Lénine déclarait avec légèreté : « Nous sommes indifférents, neutres vis-à-vis du mouvement séparatiste ; il n’y a rien de mal à ce que la Finlande, la Pologne et l’Ukraine se séparent de la Russie » ; Staline, lui, déclarait prudemment mais fermement : « Je peux reconnaître à une nation le droit de se séparer, mais cela ne signifie pas que je l’aie obligé à le faire. Personnellement, par exemple, je me prononcerais contre la sécession de la Transcaucasie ».

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