Manifestement, Manuel Valls est plus à l’aise pour commettre des abus de pouvoir à l’encontre de paisibles citoyens manifestant leur opposition au grand n’importe quoi sociétal qu’efficace pour lutter contre l’insécurité.
Sécurité : les mauvais chiffres de Manuel Valls
INFOGRAPHIE - Le Figaro s’est procuré le nouveau tableau de bord du ministre, un an après sa prise de fonction. La violence augmente presque partout, les patrouilles sont moins nombreuses et le taux d’élucidation diminue.
Le Figaro a pu décortiquer le nouveau « tableau de bord » de Manuel Valls. Une centaine de pages de chiffres et de cartes en couleur, qui décrivent l’évolution des crimes et délits en France. Le ministre de l’Intérieur voulait un nouvel outil d’analyse : il a donc bâti son propre instrument de pilotage, avec de nouveaux indicateurs d’activité des forces de l’ordre. Un souci louable de transparence, mais dont la première traduction n’est guère réjouissante… Dans le baromètre Valls, ce qui grimpe figure en rouge. Or, sur un an, d’août 2012 à juillet 2013, période qui démarre quand la gauche assume pleinement la conduite des affaires, tout ou presque vire à l’écarlate : les atteintes à l’intégrité physique (+2,9%) et, parmi celles-ci, les violences sexuelles (+10,4%) ; les atteintes aux biens (+3,5%), parmi lesquels les cambriolages (+9,3%) ; enfin, les infractions économiques et financières (+5,9%). [...]