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  • De quoi Manuel Valls est-il le nom ?

    Derrière le matamore, un bourgeois veule et fraudeur ! Derrière le socialiste, Augusto Pinochet !   

    Il revient donc à cet apparatchik pur sucre du PS, éternel planqué du monde du travail, d’achever la précarisation du monde du travail français (contrat unique après la loi dite de « sécurisation de l’emploi ») conformément aux vœux de Wall Street et de Goldman Sachs.

    Mais de quoi, au juste, Manuel Valls est-il le nom ? Fantoche botulien de l’antiracisme, Manuel Valls, en bon Tartuffe, manifeste lors d’une visite d’Évry un racisme décomplexé (qu’on peut voir sur YouTube).

    Fils de famille au parcours académique médiocre (une licence d’histoire obtenue à l’âge de 24 ans), il est toutefois expert en optimisation fiscale : l’excellent ouvrage (jamais recensé par les médias mainstream) d’Emmanuel Ratier nous révèle son ascendance bourgeoise, fils d’un artiste catalan en cour sous le franquisme et d’une banquière suisse.

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  • Conférence Dextra : L'illusion libérale par Alain de Benoist le 7 novembre

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    Le vendredi 7 novembre à 19 h 30, Dextra aura la joie et l’honneur de recevoir Alain de Benoist, philosophe et journaliste reconnu, qui nous parlera de L’illusion libérale.

    Sujet plus que d’actualité, où le libéralisme, ses dangers et ses dérives doivent faire l’objet d’une prise de conscience générale.

    Nous vous attendons nombreux pour cette conférence au El Siete, 283 rue Saint Jacques, Paris Ve.

    Pour participer à l'événement, vous trouverez ici le lien sur Facebook

  • De l’alternance à la connivence

    Chronique hebdomadaire de Philippe Randa

    Marine Le Pen, présidente du Front National fustige à longueurs de déclarations l’UMPS, soit la complicité des deux « partis de gouvernement », comme il est devenu coutumier de les nommer, ce afin de mieux montrer au peuple que le FN, lui, justement ne l’est pas. Même avec 25 % des suffrages !

    François Bayrou, président du MODEM, lui, se dit désormais prêt à gouverner « avec des hommes comme Alain Juppé d’un côté ou ceux qui viennent de s’exprimer autour de Manuel Valls »… Un Manuel Valls qu’il considère « cohérent » et « ne manquant pas d’un certain courage. »

    Au moins, c’est dit et d’expliquer que lorsque « il y a de très grands enjeux, il faut que les forces politiques puissent travailler ensemble sans se renier »…

    Se renier ? Mais que n’a-t-il cessé de faire, lui qui proposait en 2007 un « autre choix » que l’alternance à droite ou à gauche, avant d’appeler à voter François Hollande en 2012, puis à mendier le soutien de l’UMP pour se faire élire maire de Pau en 2014 ?

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuEulyFVApffvAJuXL.shtml

  • Oui, le FN est la solution ! Pour tous, catholiques inclus

    Non, Irène Bertin (1), Boulevard Voltaire n’est pas le porte-parole du FN. C’est le centre de gravité des rédacteurs et des visiteurs-lecteurs du site qui se rapproche, naturellement, des positions du Front national. Parce que c’est le seul parti à s’exprimer lucidement sur l’analyse des maux de la France. Et clairement sur les remèdes qu’il entend apporter.

    Non, le FN n’est pas une création du « Système ». Il en vit encore moins. Pourquoi reprocher aux seuls élus FN, en visant prioritairement les Le Pen, de bénéficier de leurs indemnités d’élus ? Curieusement, vous ne reprochez rien aux autres. Il y a pourtant beaucoup plus, et depuis beaucoup plus longtemps, d’élus non FN, qui nous coûtent beaucoup plus cher… Pour les résultats que l’on sait.

    Non, le FN n’est pas une création de Mitterrand, épargnez-nous cette rengaine aussi fausse et usée que peu imaginative. Quant à la proportionnelle, aucun mode électoral ne peut à lui seul favoriser ou pénaliser un courant d’opinion, dès lors que le parti qui le représente atteint durablement un niveau critique de votes. À 25 %, c’est le cas.

    Non, ce n’est pas le « déclinisme » ambiant qui est la cause principale de la faveur dont jouissent les thèses du Front national. Il s’agit plutôt d’adhésion aux critiques qu’il émet et aux solutions qu’il avance.

    Non, le FN n’est pas « un parti comme les autres ». Précisément pour la raison que vous évoquez : il n’a pas été aux affaires, il ne porte aucune responsabilité dans la faillite actuelle, aucune des mesures qu’il prône n’a été pour l’instant mise en œuvre.

    Je ne relèverai pas vos attaques sur la vie privée des dirigeants du FN. C’est indigne et indigent. Non pertinent, car relevant d’une autre sphère. La morale que vous invoquez – religieuse, en l’occurrence – est sans rapport avec l’essence du politique. Vous souhaitez embrigader les familles catholiques conservatrices dans votre pamphlet. Je connais, je respecte trop ces familles et leurs valeurs pour pratiquer semblable récupération politique. Croyez-moi, elles ont plus motif à inquiétude avec la relatio post disceptionem du synode sur la famille qu’avec le Front national. Lequel, je vous le rappelle, est le seul parti à avoir affiché sans ambiguïté son intention d’abroger les funestes lois anti-famille, une fois aux affaires.

    Oui, comme vous, « on peut espérer que le FN arrive au pouvoir ». On doit même s’y employer et s’y préparer. C’est la cause nationale la plus urgente maintenant. Et la plus importante à terme. Et en effet, une fois aux commandes, faire en sorte que le Front national possède alors le courage de reconstruire. En matière d’immigration comme sur les autres enjeux. D’accomplir pacifiquement et fermement la révolution culturelle et politique dont la nation a besoin, à peine de disparaître.

    Marc Desgorces

    notes :

    (1) Le Front National n'est pas la solution : http://www.bvoltaire.fr/irene-bertin/fn-nest-pas-solution,134983

    sourceBoulevard Voltaire 

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuEulFklyEKNAJywWL.shtml

  • Sarkozy : après le "mini-traité" le "mini-mariage" ?

     

    Lu dans Les 4 Vérités :

    "Je m’étonne que tout le monde s’intéresse encore au programme de Nicolas Sarkozy et que tant de personnalités à droite cherchent à peser sur les orientations de sa campagne. L’expérience nous a pourtant démontré, pour lui comme d’ailleurs pour beaucoup d’autres, que ce qu’il dira pour être élu n’aura qu’un seul but : être élu. Cela n’aura aucune incidence sur ce qu’il fera ensuite et qui seul nous importe. Ne lui demandez pas trop tôt de prendre des positions tranchées. Il se réserve de le faire plus tard, à quelques mois, voire à quelques semaines de l’échéance, c’est-à-dire lorsqu’il pourra apprécier ce que sera l’opinion des électeurs le jour où ils mettront leur bulletin dans l’urne. Ce moment approche, mais il n’est pas encore arrivé ; les Français sont si changeants ! On comprend ainsi sa réticence vis-à-vis des primaires. Elles l’obligeront à se dévoiler prématurément. Et, si près du scrutin, il ne pourra ensuite se déjuger sans dommage.

    S’il était un véritable homme d’État, ayant une claire vision de la société, de la France et du monde, animé de solides convictions, il aurait, de son exil politique, joué les oracles, tracé la voie, arbitré les grands débats nationaux. Sa voix aurait porté, il se serait élevé, bien plus qu’en distillant de petites confidences assassines sur tel ou tel. Mais il aurait risqué de n’être pas, le moment venu, en phase avec les Français. Ce qui compte pour lui, répétons-le, c’est, le jour de l’élection, de pouvoir dire aux électeurs, avec l’accent de la plus authentique sincérité, ce qu’ils souhaitent entendre, tout ce qu’ils souhaitent, rien que ce qu’ils souhaitent. En attendant, il amuse la galerie. Et, si la question est trop brûlante, les citoyens trop divisés sur le sujet, il usera de son extraordinaire habilité verbale. Il biaisera.

    Gageons, par exemple, que sa position sur le mariage des homosexuels est définitive, parce que les opinions, à droite et au centre, sont partagées sur l’opportunité de son abolition pure et simple. Cette position rappelle furieusement celle qu’il prit en 2007 à propos de la Constitution européenne : il promit de la « renégocier », pas de l’enterrer, ce que, pourtant, un référendum avait fait. De même, aujourd’hui, il évoque une « réécriture » de la loi Taubira. Nous aurons donc, s’il est élu, un « mini-mariage » des homosexuels, comme nous avons eu un « mini-traité », celui de Lisbonne, c’est-à-dire le même, sans changement, à quelques virgules près. Sans le nom peut-être ? C’est tout ce que nous pouvons espérer. Pourquoi diable veut-on faire dire aux candidats ce qu’ils ne veulent pas dire ? Si, déjà, ils ne tiennent pas les promesses qu’ils font spontanément, qu’en sera-t-il de celles qu’on leur aura arrachées ? Exiger de Nicolas Sarkozy tel ou tel engagement qu’il nous plairait d’entendre et que, probablement, il prendra si les sondages l’y poussent avec insistance, ce n’est pas autre chose que le supplier de nous faire cocus. Est-ce cela que nous voulons ?"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le témoignage d’une ‘top model’ colombienne victime d’un avortement

    Amada Rosa Pérez déclare :

    durant ces moments de grossesse j’aurais tellement aimé trouver l’aide de quelqu’un qui me dise quelque chose de beau et de positif, par exemple que devenir maman n’est pas mal.

    Plus de 40 associations espagnoles se rassembleront sous la devise ‘chaque vie compte’ pour organiser une grande manifestation le 22 novembre, en faveur de la vie, de la femme et de la maternité.

    ADans ce contexte est retransmis le témoignage de la top model Amada Rosa Pérez, victime d’un avortement et par conséquent du syndrome post avortement. Ce syndrome est une réalité par laquelle passent toutes les femmes ayant avorté, que ce soit de manière délibérée ou spontanée. Parmi les manifestations de ce syndrome se retrouvent le sentiment de culpabilité et de tristesse, le désespoir, un pessimisme cauchemardesque, une perte de concentration et de motivation, des sanglots permanents sans motif apparent, de la perte de forces, des nausées. Cela peut déboucher en anorexie, alcoolisme, refus de tout ce qui suppose engagement, froideur affective, et bien d’autres conséquences encore.

    La top model explique qu’elle avorta parce qu’elle ne recevait de son entourage que des mots l’enjoignant à mettre en premier ses objectifs et son avancement professionnel. Elle confesse que cela lui fit peur, qu’elle ne dit rien à ses parents et décida de se séparer de son bébé.

    Dans ce contexte l’organisation ‘chaque vie compte’ défendra, en plus de la vie du non né, la protection de la femme enceinte, qui a besoin d’un entourage et d’un appui social, où soit défendu le droit à la maternité avec des mesures concrètes d’aide à la femme enceinte pour l’aider à trouver des alternatives à l’avortement. 

    Le Salon Beige

  • La vidéo de l’aveu! – Les Français vont payer la facture de l’Ukraine!

    Français et Allemands, à vos porte-feuilles! La France est grande, elle est généreuse sur le dos des contribuables!

    Alors que l’oligarque Arseni Iartsienouk, inféodé à Washington, vient d’être reconduit à son poste de Premier Ministre par Pietro Porochenko qui remporte les élections en Ukraine d’une très courte tête devant lui, ce n’est pas Washington qui paiera la note de gaz d’une Ukraine corrompue jusqu’à la moelle, mais bien les Français et les Allemands!
    Les Ukrainiens vont donc se chauffer sur notre compte! C’est peut-être ce que voulait dire Ségolène Royale lorsqu’elle déclarait que les augmentations de la facture EDF  ne concernaient pas la transition vers les énergies renouvelables… Mais alors que concerne-t-elle cette augmentation de 2,5% (ENOOORME!)?

    Parmi les gabegies, le cadeau que nos gouvernants viennent de faire à l’Ukraine pour les beaux yeux de Washington, est-il compris dans la note ? Il faut craindre que non! Nous ne sommes pas au bout des augmentations!

    Vidéo fort éloquente de ce qui nous est soigneusement caché, de l’aveu même de Iartseniouk et du ministre des affaires étrangères de Russie: Sergeï Lavrov, avec une petite entrée en matière par un journaliste allemand!  A vos porte-feuilles!

    E.D.

    http://www.medias-presse.info/les-francais-vont-payer-la-facture-de-lukraine/17357

  • Michel Janva : « La droite respecte la loi naturelle, tandis que la gauche veut construire elle-même la loi »

    Michel Janva a co-fondé sur Internet le Salon beige, blog d'actualité tenu par des catholiques engagés dans la défense de la vie, de la famille et des valeurs traditionnelles.

    Monde et Vie : Michel Janva, pensez-vous que les notions de droite et de gauche aient encore un sens aujourd'hui ?

    Michel Janva : Il n'existe plus vraiment de différences entre la droite et la gauche, pas plus en matière sociale qu'économique, ni sur aucun autre plan. Les débats parlementaires, à l'Assemblée nationale, se résument à des joutes partisanes, sans débats d'idées. Certes, on parle toujours de gauche et de droite dans les espaces médiatique et politique, mais ce clivage me semble factice.

    Toutefois, au-delà des partis politiques représentés au Parlement, existe-t-il une différence ontologique entre deux familles d'esprit, l'une de droite, l'autre de gauche, ou bien les repères ont-ils tellement bougé que la pensée politique en France se reconstitue d'une manière totalement différente ? Quelle approche en avez-vous au Salon beige ? 

    Au Salon beige, nous évitons de nous définir selon ces critères de droite et de gauche, sans signification réelle, pour leur préférer de vraies oppositions, entre le bien et le mal, le juste et l'injuste, le vrai et le faux... Nous considérons qu'il existe une vérité qui nous dépasse et une loi naturelle qui doit être respectée. Si l'on recherche une différence ontologique entre la vraie droite et la gauche, l'on peut dire que la première respecte en partie la loi naturelle - au moins les corps intermédiaires, donc les libertés individuelles; tandis que la seconde veut toujours s'en détacher, pour construire elle-même la loi. Certains penseurs distinguent encore une gauche plus portée vers l'égalité, la justice et la solidarité, d'une droite plus tournée vers la dignité de la personne, la responsabilité et la liberté d'agir; mais ces différences-là ont aujourd'hui disparu de l'actualité et de la vie réelle.

    La gauche n'a-t-elle pas gagné en assurant le triomphe de l'Utopie, qui, selon elle, fait avancer le monde ?

    La première victoire de la gauche, c'est de s'être elle-même désignée comme le Bien, et d'avoir qualifié tout ce qui est à droite comme le Mal. En dépit des fortes résistances qui s'expriment aujourd'hui, ce complexe politique et médiatique subsiste, ce qui explique que les hommes dits « de droite » se justifient de cette étiquette, se déclarent quand même un peu de gauche et finalement, arrivés aux commandes de l'État, acceptent et avalisent tout ce qu'a fait la gauche avant eux. Voilà quarante ans que la droite politique subit ce clivage créé par la gauche et adopte le vocabulaire de la subversion. Tant qu'elle ne se libérera pas de l'idée qui la conduit à se penser elle-même comme le camp des méchants et à croire que la gauche incarne le Bien et la morale, elle passera son temps à se justifier et à reculer. Elle continuera à avoir des réactions épidermiques quand la gauche sera au pouvoir, mais une fois revenue aux affaires, elle ne fera rien. Elle reste d'ailleurs complètement engluée dans ce piège tendu par ses adversaires lorsqu'elle refuse toute entente avec le Front national, ce qui la condamne à l'échec.

    Vous parliez à l'instant du « vocabulaire, de la subversion » : la droite n'a-t-elle pas d'abord perdu la bataille sémantique ?

    La gauche, en effet, travaille beaucoup le champ lexical. Ainsi, les termes d'égalité, de discrimination, ou de droits de l'homme, sont devenus des tabous derrière lesquels on met ce que l'on veut : l'avortement, l'affaiblissement et la dénaturation du mariage, etc. Nous ne pourrons pas nous défendre si nous ne nous réapproprions pas notre propre vocabulaire.

    Par ailleurs, la Manif pour tous et le mouvement qui est né depuis deux ans de la contestation de la loi Taubira ont intelligemment refusé de rentrer dans le jeu de la gauche consistant à prétendre qu'ils étaient hostiles à l'égalité. Ils ont au contraire retourné l'arme contre leurs adversaires en exigeant l'égalité entre tous les enfants, c'est-à-dire leur droit d'avoir tous un papa et une maman.

    Au premier rang de la résistance, le Salon beige a vite connu le succès. Les gens sont venus sur votre site spontanément Comment expliquez-vous cette adhésion ? 

    Ce phénomène a correspondu à la conjonction d'une attente dans le domaine des idées et de l'arrivée d'Internet. Lorsque lé Salon beige a été créé, voilà dix ans, il a répondu au besoin, éprouvé par de nombreuses personnes, de disposer d'un blog décryptant l'actualité quotidienne et pluriquotidienne sur le Net, en décalage avec le relativisme ambiant. À droite, une multitude de blogs se sont créés, comme Fdesouche ou Novopress, qui ont tous leurs qualités et leurs défauts, mais ne se concurrencent pas. Au contraire, la gauche monopolise les gros médias, radios, télés et presse quotidienne, clairement acquis à ses idées - y compris les titres dits « de droite », malgré leur actuelle « droitisation », probablement circonstancielle. Mais, peut-être pour cette raison et parce qu'elle contrôle le journal télévisé de 20 heures, qui est une arme terrible en raison de la force de l'image et que regardent chaque soir 20 millions de Français, elle a négligé Internet. Or, Internet se développe - et se développe contre elle ; c'est pourquoi elle multiplie les tentatives pour le museler par le biais de lois sur le numérique ou sur le terrorisme, ce qui est toutefois très difficile à réaliser techniquement, puisqu'un blog hébergé à l'étranger peut être lu en France.

    La gauche a plus d'un tour dans son sac, maispour l'instant elle ne parvient pas à nous clouerle bec.

    Propos recueillis par Eric Letty monde&vie octobre 2014