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  • Petites sinécures pour ex-politiciens : Robert Hue, Jean-Louis Borloo, Jacques Toubon, Michel Rocard, Jack Lang,…

    Les politiciens à la retraite sont décidément très doués pour se trouver de jolis placards dorés.

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    Robert Hue, ex-secrétaire général du parti communiste français (PCF), a ainsi obtenu une sympathique sinécure en étant désigné « représentant spécial pour les relations économiques avec l’Afrique du Sud » par Laurent Fabius et à la demande de François Hollande. Cette fonction harassante donne droit à un joli bureau, un secrétariat et des voyages tous frais payés par le contribuable.

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  • Roger Holleindre dénonce l’UMPS aux ordres de la franc-maçonnerie

    Roger Holleindre, infatigable défenseur de la Patrie française, présente son nouveau livre et décrit les trahisons politiciennes.

    http://www.medias-presse.info/roger-holleindre-denonce-lumps-aux-ordres-de-la-franc-maconnerie/27754

  • Marine Le Pen sur France Info à quelques jours des élections départementales

    Marine Le Pen, présidente du Front national, était l’invitée de Jean-François Achilli sur France Info. A quelques jours du premier tour des élections départementales où le FN est donné grand gagnant, elle a commenté la situation politique de la France, avant de répondre aux questions des auditeurs dans la seconde vidéo.

     

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-sur-france-info-a-quelques-jours-des-elections-departementales/27751

  • En 2010, le coût du crime et de la délinquance a été estimé à 150 milliards d’euros, soit 7,5% du PIB

    Le crime et la délinquance en France ont coûté 150 milliards d’euros.
    Cette estimation de l’Institut pour la justice prend notamment en compte les “conséquences de la criminalité”, les coûts “visant à l’anticiper” et le coût pour la collectivité de la lutte contre la délinquance.

    Le coût annuel du crime et de la délinquance est estimé sur 2010-2011 à 150 milliards d’euros, soit 7,5% du PIB, selon une étude publiée lundi par une association de défense des victimes. Avec cette étude, diffusée sur le site du Figaro, l’Institut pour la justice (IPJ) dit vouloir alerter les candidats à la présidentielle sur la nécessaire augmentation des dépenses publiques liées à la lutte contre la criminalité.

    “C’est tout particulièrement le cas du budget de la justice pénale, qui représente 5 milliards d’euros seulement alors que le coût économique et social du noyau dur de la criminalité (violences, crime organisé, vols, vandalisme et escroqueries) s’élève à 78,3 milliards”, estime l’association dans un communiqué. Cette étude a été réalisée par un économiste, Jacques Bichot, professeur émérite à l’Université de Lyon III et porte sur la période octobre 2010-septembre 2011.

    Elle prend en compte les conséquences de la criminalité (préjudice matériel, physique et psychologique des victimes), les coûts “visant à l’anticiper” (assurances, frais de protection privés) et le coût pour la collectivité de la lutte contre la délinquance (police, gendarmerie, justice), précise l’Institut.

    Selon lui, la méthodologie est la même que celle adoptée par les gouvernements britannique et canadien, qui ont publié des rapports sur ces questions et parviennent à des résultats comparables. L’IPJ avait déjà publié en mai 2010 une estimation du coût annuel du crime et de la délinquance, qui s’élevait alors à 115 milliards en 2008. Selon l’IPJ, la méthodologie a été affinée depuis et prend en compte notamment les infractions routières, écartées de la précédente étude.

    http://fr.novopress.info/184014/crime-et-delinquance/

  • Irak: les forces gouvernementales préparent l'assaut final sur Tikrit

    Les forces irakiennes se préparaient samedi à lancer l'assaut contre les derniers jihadistes du groupe Etat islamique retranchés à Tikrit, qui va être reprise dans "dans les trois prochains jours" selon un commandant.
    Outre Tikrit, l'attention de la communauté internationale est tournée vers la Syrie, où le sanglant conflit entre dimanche dans sa cinquième année sans perspective de fin. Le directeur de la CIA a clairement souligné que les Etats-Unis ne voulaient pas d'un effondrement du régime de Damas car il laisserait le champ libre aux jihadistes, également très actifs dans ce pays.
    La bataille de Tikrit pourrait prendre fin "dans 72 heures", le temps nécessaire pour chasser les jihadistes de cette ville à 160 km au nord de Bagdad que l'EI contrôle depuis juin 2014, a affirmé samedi le porte-parole des Unités de mobilisation populaire, Karim al-Nouri.
    Ce large groupe de milices, composées essentiellement de chiites, joue un rôle clé dans l'offensive lancée il y a deux semaines pour reprendre Tikrit à laquelle participent des milliers d'hommes de l'armée, de la police et de tribus.
    Les derniers jihadistes dans la ville, qui ne sont plus que "60 à 70", sont "encerclés de toutes parts", a ajouté M. Nouri qui s'exprimait depuis la périphérie de Tikrit, près du village d'Awja.
    Selon lui, la libération de Tikrit sera annoncée une fois qu'un passage sécurisé aura été assuré au milieu des milliers d'engins piégés déposés par les jihadistes pour défendre la ville.
    Un lieutenant-colonel du service antiterroriste de l'armée a affirmé cependant que "les combats dans les villes sont difficiles pour toutes les armées", se gardant de tout pronostic sur l'heure de la victoire.
    Des journalistes de l'AFP présents à Awja ont vu que des dizaines de cratères avaient été provoqués dans une rue par l'explosion de bombes placées sous la chaussée. Il n'y avait pas de signes d'intenses combats samedi, après des pilonnages vendredi sur les jihadistes.
    Une reprise de Tikrit ouvrirait la voie en direction de Mossoul, la deuxième ville d'Irak et principale place forte des jihadistes.
    - 'Attaque imminente' -
    L'EI contrôle également de larges territoires en Syrie où sa montée en puissance et ses multiples exactions ont largement éclipsé la confrontation entre les forces du régime et les rebelles.
    Face à cette menace qui dépasse les frontières de la Syrie et de l'Irak, les pays occidentaux qui réclamaient à cor et à cri le départ du président Bachar al-Assad en 2011, sont devenus moins véhéments.
    "Aucun d'entre nous, Russie, Etats-Unis (...) ne veut un effondrement du gouvernement et des institutions politiques à Damas", a expliqué vendredi le directeur de la CIA John Brennan. Des "éléments extrémistes", dont l'EI et d'anciens militants d'Al-Qaïda, sont "en phase ascendante". Et "la dernière chose que nous voulons, c'est de leur permettre de marcher sur Damas", a indiqué M. Brennan qui a souligné l'importance de soutenir les forces de l'opposition modérée.
    Les Etats-Unis mettent actuellement en place en Turquie un programme de formation militaire et d'équipement de rebelles de l'opposition modérée syrienne.
    Des avions de la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis a mené dans la nuit des frappes contre les jihadistes près de Tall Tamer, dans le nord-est de la Syrie, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
    Il s'agit des premiers raids de la coalition dans ce secteur nord-est de la province de Hassaké depuis que l'EI a lancé fin février une offensive visant à prendre Tall Tamer et la ville de Ras al-Ain, plus au nord, à la frontière turque.
    Vendredi, les Unités de protection du peuple (YPG) avaient appelé la coalition à les aider contre les jihadistes "pour empêcher tout massacre contre des civils sans défense". Le porte-parole des YPG Redur Khalil a affirmé que les combattants kurdes de Ras al-Ain s'attendaient à une "attaque imminente".
    Si l'EI s'emparait de Ras al-Ain et Tall Tamer, cela lui permettrait de contrôler les routes reliant ces localités à Mossoul.
    Depuis le début, le 15 mars 2011, de la révolte populaire contre le régime, réprimée dans le sang et qui s'est transformée en une guerre dévastatrice, les violences ont fait plus de 210.000 morts et contraint 11,2 millions de personnes à quitter leur foyer.

    Afp via nouvel obs :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EukyuykFAkSPLhoZzT.shtml

  • Syrie : retour en fanfare d’Assad dans les négociations ?

    Communiqué de Jean-Frédéric Poisson :

    "L’actualité de ce week-end, centrée sur les élections départementales et les bêtises des joueurs de football, ne doit pas occulter la nouvelle la plus importante de ces dernières 24 heures : le responsable de la diplomatie américaine a clairement déclaré hier qu’il serait nécessaire de discuter avec Bachar Al Assad pour trouver une issue à la guerre civile en Syrie.

    On mesure bien quelle pilule amère peut représenter un tel revirement, de la part d’un régime qui s’apprêtait, il y a 18 mois, à bombarder Damas pour faire partir Assad. Le réalisme, même s’il est dur à avaler, finit par l’emporter.

    Les réactions françaises à ce changement de pied américain seront intéressantes à décrypter. D’autant plus que la récente visite de quatre parlementaires français à Damas avait conduit les autorités socialistes à déclarer sèchement que la seule solution possible était le départ d’Assad et rien d’autre. La gauche française se rassurait même en expliquant que la défaite du chef d’Etat syrien était une question de jours.

    Tu parles ! Une fois encore, François Hollande et sa diplomatie ont raté le coche ! Il ne reste plus désormais que deux solutions à la France : avaler son chapeau, ou rester en dehors de la solution.

    Depuis l’origine, nous considérons que le sort des victimes, particulièrement celui des chrétiens de Syrie oblige à une solution négociée au plus vite. Nous espérons qu’elle vienne désormais rapidement."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Politique & Eco n°35 : La Grèce avenir de l’Europe et de la France ?