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  • De mon lit d'hôpital de JG Malliarakis

    Hospitalisé depuis bientôt un mois et dans l'attente d'une intervention chirurgicale lourde, votre chroniqueur restera sans doute hors service jusqu'au début octobre.

    Réduisant au strict minimum l'internet, on s'expose à se replier sur la presse papier. Elle permet peut-être de voir certaines choses d'une manière moins superficielle et moins passagère.

    Ne nous égarons donc pas trop sur les commentaires d'évidence, du style Daëch ou Corée du Nord égalent très méchants. Nous le savons et nous attendons seulement de nos chers et coûteux gouvernants qu'ils en tirent toutes les conséquences vis-à-vis des diverses formes, sources et tactiques de l'islamo-terrorisme, mais aussi des queues de comète du bolchevisme, cette horreur dont on évoquera cette année le coup d'État centenaire de 1917.

    Certains se féliciteront même d'avoir entendu le p. de la r. évoquer, en politique étrangère, la lutte contre le terrorisme islamiste, qu'il distingue soigneusement de l'islam : ceci après une campagne où il s'était abstenu de façon inquiétante sur ce point.

    Préoccupons-nous dès lors d'abord de la France et de l'Europe.

    Le nouveau président est passé en un temps exceptionnellement bref de la popularité à l'impopularité. Tout nouveau tout beau, il garde cependant encore, entre les mains, les instruments politiques et institutionnels des réformes qu'attend le pays, et, ne l'oublions pas, que l'Europe attend de la France. Ce dernier point ne peut pas échapper à M. Macron puisqu'il le proclame lui-même.

    Or, au-delà de complaisants flonflons médiatiques l'examen des mesures concrètes actuellement esquissées, laisse un peu sur leur faim ceux qui voudraient croire au mot d'ordre d'une transformation de la France.

    Du Code du Travail on risque fort de ne voir qu'un toilettage.

    Agréable aux petites et moyennes entreprises, mais certainement insuffisant. Il ne suffit pas de déplaire à la CGT et à Mélenchon pour que la France se redresse.

    L'insupportable Aubry a beau pester contre le nouveau pouvoir, sa loi calamiteuse sur les 35 heures reste la règle.

    Certes les interlocuteurs syndicaux ne brillent ni par leur modernisme ni par leur esprit de coopération. Et, dans une négociation commerciale, on sait bien qu'il faut demander plus, au départ, que ce que l'on espère vraiment obtenir. Nul doute que notre habile président ne livre pas toutes ses arrière-pensées.

    Observons deux réformes aux annonces tonitruantes, tambourinées respectivement les 6 et 7 septembre en première page du Monde et sur toute la largeur, s'il vous plaît : celle du Régime social des indépendants et celle de la SNCF.

    En octobre, quand cette chronique reprendra, on se penchera sur les détails. Retenons quand même qu'entre les gros titres alléchants, si on les croit, et le corps des articles, si on les examine de près, on tombe de haut.

    L'ouverture du trafic voyageurs à la concurrence était prévue de longue date pour l'année 2020, et la réforme du régime des retraites des cheminots, soigneusement évitée par le gouvernement Raffarin en 2003, était déjà jugée nécessaire en novembre 1995 par le gouvernement Juppé, qui y renonça. Avec plus d'un quart de siècle de retard on reprend le dossier. Bonne chance par conséquent mais rien n'est joué.

    Quant à "l'adossement" (?) du Régime des indépendants au régime général, et sa gestion par l'Urssaf au mieux cela ne changera rien, au pire cela induira des complications aussi dommageables que la période de fusion chaotique, entre Organic, Cancava et Canam, décidée en 2003 et qui n'a fonctionné [presque] normalement que plusieurs années plus tard. Non, cette évolution ne résoudra pas le problème du travail indépendant par nature différent de son homologue salarié.

    Que cela aille, comme on dit souvent, "dans la bonne direction" ne rassure même pas. Si cela échoue par mollesse et lenteur : on en attribuerait l'échec à cette fameuse "bonne direction".

    Vigilance par conséquent.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • LES CONTRATS DE PÉTROLE EN YUAN-OR : LA FIN DU DIEU DOLLAR

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    Marc Rousset

    Le monopole financier du dollar a commencé le 14 février 1945 sur le croiseur USS Quincy lorsque le président Franklin Roosevelt a proposé au roi Ibn Saoud la sécurité politique et militaire avec, en contrepartie, la sécurité énergétique en pétrole pour son pays et la cotation exclusive en dollars. Ainsi naquirent les pétrodollars à l’origine de l’hégémonie financière américaine dans le monde.

    Ces accords prévus pour une durée de soixante ans ont été renouvelés en 2005 par le président Bush et reconfirmés tout récemment par Donald Trump avec un gigantesque contrat de vente d’armements pour les États-Unis. Le dollar repose donc, en fait, sur la puissance de l’armée américaine et les ventes d’armes américaines. Mais la Chine, avec l’aide de la Russie, est en train de miner, de mettre fin à la suprématie du dollar.

    Dans un article du 1er septembre 2017 de la Nikkei Asian Review, le journaliste Damon Evans nous apprend que la Russie, l’Iran, le Qatar et le Venezuela acceptent désormais de vendre leur pétrole avec des contrats en yuans convertibles en or. Tous ces pays en ont par-dessus la tête de l’impérialisme américain. Il en résulte que la Russie peut maintenant vendre du pétrole à la Chine en yuans et les convertir en or à Hong Kong. La Russie n’est plus obligée d’acheter des actifs chinois pour utiliser ses yuans ou de les vendre sur les marchés pour acheter du dollar. Les producteurs de pétrole préfèrent détenir de l’or en passant par le yuan plutôt que de détenir des bons du Trésor américain dont la valeur peut s’effondrer du jour au lendemain.

    La Chine réduit ses achats de pétrole en Arabie saoudite, fidèle pour l’instant en apparence seulement au dollar, tandis que ses importations en provenance de Russie s’envolent et que le yuan est déjà la seconde devise utilisée par l’Angola. Si l’Arabie saoudite cède, ce serait un coup terrible dans l’estomac, proche du KO, pour Washington qui, en représailles, cesserait de lui vendre des armes. Cette dernière reproche aussi à Washington le rapprochement avec l’Iran effectué par Obama et sa non-intervention en Syrie pour renverser Assad avec les rebelles islamistes. Mais les Saoudiens, exclus du gigantesque marché chinois, sont actuellement obligés de vendre leur pétrole un peu partout dans le monde avec des rabais trop importants.
    De plus, l’Arabie saoudite est prête à émettre des obligations en yuans et elle vient de créer avec la Chine un fonds d’investissement de vingt milliards de dollars. Il est même question que la Chine prenne une participation de 5 % dans la gigantesque société pétrolière Aramco. L’Arabie saoudite pourrait alors coter son pétrole en yuans et quitter progressivement le dollar.

    Et ce qui est vrai pour le pétrole est aussi valable pour le gaz et le cuivre achetés par la Chine, qui développe ses relations tous azimuts avec les pays émergents. De plus, pour le pétrole, la Chine peut compter sur ses grandes sociétés telles que PetroChina et Sinopec, toujours prêtes à se porter en contreparties pour faciliter les contrats en yuans.

    Le monde marche donc tout droit et inexorablement non pas vers le retour à l’étalon-or stricto sensu tel qu’il existait en 1914, mais vers le retour – ce qui revient à peu près au même en faisant de l’or le seul étalon universel probablement très fortement réévalué – au Gold Exchange Standard qui a été supprimé arbitrairement par Nixon en 1971. Le monde ne serait plus alors régi par le seul dieu et roi dollar, mais s’appuierait au contraire sur plusieurs devises fortes internationales (yuan, euro, yen, dollar) utilisées comme monnaies de règlement et de réserve qui seraient toutes convertibles en or.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Irma : Après l’ouragan, le chaos - Journal du lundi 11 septembre

  • Vive l'Europe : Kroc Blanc, sa musique, ses idées, avec Daniel Conversano (septembre 2017)

  • La droite à gauche toute avec Valérie Pécresse

    Démonstration avec le mariage et l'avortement :

    Arrêtons de promettre l'abrogation de la loi Taubira sur le mariage pour tous. C'est humainement impossible d'y revenir 

     

    Revendiquons d’avoir porté le droit à l'IVG et menons pleinement le combat pour la dignité de la personne humaine 

     Et en prime son inculture :

    Ce qui fait la force d’âme de la droite, c’est d’avoir toujours préféré Charles de Gaulle à Charles Maurras 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Valérie Boyer : « Notre histoire s’est construite autour des Rois et des Églises »

    Mardi dernier, 5 septembre, Valérie Boyer, députée de la 1ère circonscription des Bouches du Rhône, a publié sur Facebook un post intéressant. Dans ce post, et contrairement à un vieux précepte républicain affirmant que la France s’est construite sur un socle culturel né de « la glorieuse Révolution Française  » et sur un principe sacré : la laïcité, la députée étiquetée « Républicains », rappelle que  » Notre histoire s’est construite autour des Rois et des Églises. » 

    L’intégralité de ce post

    Valérie Boyer

    Carrefour fait le choix de supprimer les croix chrétiennes de ses emballages mais appose le croissant musulman sur ses produits halal. Notre Nation repose sur un socle culturel avec des traditions et des influences. Parmi ces influences n'oublions pas que christianisme a profondément marqué les sociétés européennes contemporaines et leurs Constitutions aux côtés de la philosophie grecque, le droit romain, la Renaissance ou le siècle des Lumières.

    Le christianisme nous a permis d'envisager l'homme comme un individu à part entière. La protection de la dignité humaine repose sur des valeurs chrétiennes.

    La France est une république laïque d'influence et de valeurs chrétiennes.

    Notre histoire s'est construite autour des Rois et des Églises.

    Jusqu'où va aller le renoncement, le déni de nos racines et de notre histoire ?  •

    Source La Couronne

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • De quoi le calvaire de la Grèce est-il le nom M. Macron?

    A en croire les sondages, les cotes de confiance du Président de la république et de son Premier ministre continuent de dévisser, avec respectivement 30% et 32% d’opinions favorables, selon l’enquête réalisée par l’institut YouGov pour Le HuffPost et CNEWS et publiée lundi dernier. Une autre enquête d’opinion  réalisée fin août,  le baromètre  Odoxa pourAviva, Challenges et BFM Business, indique que si  « les deux-tiers des Français (64%) pensent qu’Emmanuel Macron a raison de vouloir réformer en profondeur notre modèle économique et social (…), les premières décisions du gouvernement en matière économique et sociale leur ont majoritairement déplu. Ce sont 61% des Français qui jugent qu’elles ne vont pas dans le bon sens (62% à gauche, 59% à droite hors FN, et 77% auprès des sympathisants FN). » La présence en Grèce d’Emmanuel Macron le 7 et 8 septembre pour y défendre son projet de refondation, de relance de l’Europe sur une base plus démocratique, ne devrait guère être en mesure de bouleverser la donne. La symbolique était bien évidemment de mise dans l’organisation de ce déplacement, notamment avec le  discours  prononcé par Emmanuel Macron  aux côté du Premier ministre grec Alexis Tsipras, en présence de jeunes invités à faire la claque. C’est en effet sur  la colline de la Pnyx, lieu des  réunions de l’Ecclésia  (l’assemblée du peuple) durant l’antiquité,  qu’il a tenu  sa première allocution, avec l’Acropole en toile de fond, berceau de la démocratie athénienne et européenne…

    Le lendemain rapportait Libération, «devant les représentants de la communauté française réunis dans les jardins de l’école française d’Athènes »,  « Emmanuel Macron s’est solennellement engagé  à mener à bien (une)  transformation profonde parce qu’il en va de la survie de la France. » Transformation « qu’il estime avoir engagée avec sa réforme du droit du travail, en attendant celles qui toucheront au logement, à la formation et au chômage. Je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes (sic), s’est-il exclamé pour la plus grande joie de son public, ultra-macronien comme le sont massivement (un avis à relativiser, NDLR)   les Français de l’étranger . »

    Le contexte de ce déplacement était « jugé favorable par l’exécutif (français) indiquait  L’Express puisque « la Grèce affiche les signes d’un timide redressement avec un retour de la croissance, un retour d’investissements et une légère décrue du chômage, grâce notamment à une saison touristique record. » Ce qui n’empêche pas est-il tout de même  précisé  que «le chômage reste le plus élevé de la zone euro, et les Grecs, surtout les jeunes, affrontent une précarisation de l’emploi grandissante. » Une Grèce totalement sous la coupe de l’étranger relevait  ce même article: « Athènes espère sortir de la tutelle budgétaire internationale lorsque prendra fin le troisième plan d’aide en août 2018. La Grèce comptera alors sur la France pour l’aider à obtenir un rééchelonnement de sa dette colossale (…). Après la reprise du port du Pirée, le plus grand du pays, par un groupe chinois, un consortium comprenant le groupe marseillais CMA CGM, a récemment obtenu la gestion du port de Thessalonique, tandis que l’Allemand Fraport emportait celle de 14 aéroports du pays. »

    Le quotidien La Croix s’est également arrêté le 5 septembre  sur  le « procès du siècle » concernant le parti d’extrême droite d’Aube Dorée, qualifié  selon le réflexe pavlovien répandu dans les médias de néo nazi. Le journaliste  Thomas Jacobi indique que « 18 députés d’Aube Dorée, élus aux législatives de septembre 2015 où le parti avait obtenu 6,99 % des voix, se retrouvent dans le box des accusés »  – 50 000 personnes  avaient défilé  le 30 novembre 2013  à Athènes en soutien à Aube Dorée au début du procès visant à interdire ce parti, NDLR. « Depuis plus de deux ans, treize d’entre eux – dont le quartet phare des accusés, le chef Nikos Michaloliakos, son lieutenant Ilias Kasidiaris, le théoricienNikos Papas et le responsable opérationnel Yannis Lagos – sont jugés pour formation et appartenance à une organisation criminelle. »

    « Pour Dimitris Psarras, auteur du  Livre noir d’Aube Dorée  - et militant d’extrême gauche ce qui n’est pas précisé ici alors que  M. Psarras est tout sauf un observateur impartial, NDLR-  cité à comparaître comme témoin à charge, leur procès permettra de démontrer qu’Aube Dorée n’est pas un parti politique, mais une organisation criminelle aux structures pyramidales et militairesC’est parce qu’à la tête de cette organisation se trouve Nikos Michaloliakos qu’à la base, des exécutants exécutent des ordres, tels que passages à tabac, pogroms, assassinats. » Précisons que la direction d’Aube Dorée se défend des accusations de violences meurtrières portées contre elle, de les décréter ou de les encourager de quelque manière que ce soit, violences bien évidemment totalement condamnables, et qui le sont en tant que telles et sans ambiguïté par le FN . 

    L’article du « quotidien catholique »  indique encore à ses lecteurs que « le procès s’articule autour de trois affaires : une attaque en pleine nuit du domicile de quatre pêcheurs égyptiens, en juin 2012, dans une banlieue du Pirée, une agression à la batte de base-ball de membres du syndicat Pame et le meurtre d’un rappeur, Pavlos Fyssas, poignardé en septembre 2013 par un cadre du parti, Georgos Roupakias (…). Pour Alexandros Alexiadis, avocat du député  Giannis Lagos,  pour interdire Aube Dorée il faudrait  prouver qu’Aube Dorée reçoit de l’argent noir ce qui est l’essence même selon la Convention de Palerme d’une organisation criminelle. Or, il n’y a pas un centime d’argent non déclaré au sein d’Aube Dorée. Pour lui, pas de doute: c’est un procès politique, on juge des idées. » Bruno Gollnisch avait dénoncé lors d’une intervention au parlement européen  « la justice sélective » au sein de l’UE et notamment  en Grèce à l’encontre des députés d’Aube Dorée,  quand bien même le FN n’entretient pas de relations avec ce parti.

    En juin dernier, l’émission L’heure la plus sombre recevait l’essayiste Pierre Jovanovic qui évoquait  la situation de la Grèce, pays  dont la présence dans la zone euro est particulièrement aberrante. Il s’était entretenu peu de temps auparavant avec le président d’Aube Dorée, Nikos Michaloliakos, militant de la droite radicale anticommuniste depuis  l’époque de la dictature des colonels, ex rédacteur de journal, qui présenta son parti aux suffrages des Grecs  pour la première fois aux législatives de 1992 et aux européennes de 1994.

    La  Grèce s’appauvrit toujours notait-il, et « les Grecs qui ont voté pour Tsipras pour qu’il sorte  de l’Europe et réimprime la monnaie grecque  le  Drachme, ont été trahis par lui. » C’est cette trahison, avance-t-il comme d’autres,  qui explique la montée en puissance d’Aube Dorée,  aujourd’hui troisième parti grec (cinquième parti  en 2012). M Jovanovic  estime qu’ « Aube Dorée est attaquée parce que c’est le seul parti à défendre les Grecs (…). Aube Dorée distribuait de la nourriture aux Grecs dans le besoin  et  les parlementaires grecs  ont voté une loi pour leur interdire de le faire. »

    Il évoquait également  « la rixe  de colleurs d’affiches » aux conséquences dramatiques citée dans  l’article de La Croix,  le meurtre du rappeur  antifa Pavlos Fyssas par Georgos Roupakias,  un ex  adhérent du Parti communiste grec  qui a été très bizarrement  remis en liberté  au bout de trente mois, aujourd’hui  en liberté surveillée comme les autres cadres d’Aube dorée jugés en ce moment. Un meurtre qui  a été le prétexte pour déclarer Aube Dorée comme  étant une organisation criminelle. Une qualification juridique qui a permis de mettre ses dirigeants en prison,  car selon les lois qui régissent le parlement grec, cette accusation prive les élus de leur immunité parlementaire.

    La Croix fait silence également sur l’assassinat à l’arme automatique de deux militants d’Aube Dorée, le 1er novembre 2013, devant les locaux de leur  parti (une autre  personne a été grièvement blessée), le jour ou les policiers habituellement présents pour la protection du siège n’étaient pas en faction… A notre connaissance les auteurs de cet attentat n’ont pas été arrêtés.

    Après les financiers Lazare et Pigasse,  c’est aujourd’hui la banque Rothschild qui renégocie la dette grecque affirme encore  M. Jovanovic.  Un pays qui  enregistre   déjà  6000 suicides à cause de la crise économique… ce qui n’empêche pas le Premier ministre Tsipras d’avoir obtenu le vote d’ une loi en  2014 pour permettre à tous les immigrés clandestins arrivant en Grèce de s’y installer sans papiers. Pour redresser la situation du pays?

    Dévoiler cet aspect de la politique  de Syriza (le parti du Premier ministre grec), constatait  Bruno Gollnisch en janvier 2015,  c’est avoir une nouvelle illustration d’une évidence: se  ranger sous le pavillon des immigrationnistes internationalistes et  autres altermondialistes  en espérant combattre efficacement le totalitarisme (euro)mondialiste serait tomber de Charybde en Scylla. Ultra-libéralisme d’un côté  et socialo-trotskysme messianique et humaniste de l’autre, communient dans le même sans-frontiérisme et sans-papiérisme. Ce sont les deux mâchoires d’une même machine à tuer les peuples et à écraser les nations ; les deux faces d’une même médaille. « Du passé faisons table rase », ce  même slogan qui court, à mots plus ou moins feutrés et découverts,  des discours d’Emmanuel Macron aux  réunions de la France insoumise,  à celles de Bildelberg et de la Commission européenne. 

    https://gollnisch.com/2017/09/11/de-quoi-calvaire-de-grece-nom-m-macron/

  • Newcastle. Nouvelle affaire de viols et de trafics d’êtres humains commis par un gang d’immigrés

    L’affaire est, une fois de plus ignoble – mais n’a pas ou peu été relevée jusqu’ici par la presse française (hormis par Libération qui ne fait pas mention des origines des accusés alors que toute la presse anglaise l’évoque). 
    Le tribunal de Newcastle au Royaume-Uni a condamné mercredi 9 août 17 hommes (nés au Royaume-Uni mais originaires d’Inde, du Pakistan, de Turquie, d’Iran, d’Irak) et une femme pour avoir pendant des années forcé des jeunes filles et femmes, âgées de 14 à 25 ans, à avoir des relations sexuelles. 
    Le modus operandi était toujours le même : ils fournissaient de nombreux produits stupéfiants à leurs victimes, comme cocaïne, cannabis, alcool ou méphedrone, pour ensuite abuser d’elles pendant des orgies collectives connues comme « sessions ». 
    Au total, près de 300 personnes auraient été victimes de ces criminels immigrés ou d’origine immigrés. « A ce jour, nous avons arrêté 461 personnes, parlé à 782 plaignantes potentielles et avons trouvé 278 victimes»a souligné Steve Ashman dans un communiqué
    L’un d’entre eux, assumant totalement ses actes, Badrun Hussein (37 ans), avait déclaré lors de sa déposition : « Toutes les filles blanches ne servent qu’à une chose pour des hommes comme moi : il faut les baiser et ensuite, il faut les jeter comme des déchets. C’est tout ce qu’elles méritent. » 
    Les faits se sont déroulés entre 2011 et 2014 à Newcastle, dans le nord de l’Angleterre. Le gang a été mis hors d’état de nuire de façon par ailleurs très douteuse (le scandale est grand outre Manche) : il a en effet été révélé durant le procès que la police avait infiltré le réseau via un violeur pédophile qui avait servi d’indicateur contre 10 000 livres (11 000 euros). 
    La listes des condamnés : 
    Saiful Islam, 
    Yasser Hussain 
    Mohammed Hassan Ali 
    Redwan Siddique 
    Carolann Gallon 
    Mohammed Azram 
    Jahangir Zaman 
    Nashir Uddin 
    Abdulhamid Minoyee 
    Eisa Mousavi 
    Monjur Choudhury 
    Taherul Alam. 
    Prabhat Nelli 
    Nadeem Aslam, 
    Mohibur Rahman 
    Badrul Hussain 
    Abdul Sabe, 
    Habibur Rahim, 
    Une nouvelle affaire de violences sexuelles en réseau donc, après les scandales de Roterham, Rochdale ou encore Oxford, avec à chaque fois des autorités et une police qui ont cherché à ne pas étendre ces affaires monstrueuses sur la place publique, racialement et politiquement correct oblige. 
    This is England 2017…really ?

  • 16 et 17 septembre 2017 – Se former pour s’engager au service de la France Catholique

    Alors que la mouvance nationale est en pleine recomposition, Civitas s’inscrit dans la pérennité en proposant une doctrine catholique et contre-révolutionnaire insensible aux modes et à la compromission des idées.

    Les 16 et 17 septembre prochains, sa branche France Jeunesse Civitas organise un camp d’été ouvert à ses membres mais aussi aux sympathisants en quête d’un engagement militant et désireux de mieux connaître la structure et ses objectifs.

    Dans une démarche Catholiques et Français Toujours, ce camp s’articulera autour de la messe quotidienne, d’exposés de formation doctrinale et politique, d’activités physiques et d’un accompagnement spirituel.

    Y participeront notamment le Père Laurent (capucin de Morgon), l’abbé Xavier Beauvais, Alain Escada, président de Civitas, et Alexandre Gabriac, responsable Civitas de la Savoie.

    http://www.medias-presse.info/16-et-17-septembre-2017-se-former-pour-sengager-au-service-de-la-france-catholique/79885/

  • PARUTION LE 1er OCTOBRE À L'OCCASION DE LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE DU LIVRE DE CARL LANG : UN CHEMIN DE RÉSISTANCE

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