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  • Jean-Yves Le Gallou : «Il pourrait y avoir une politique européenne restrictive à l’immigration»

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    Jean-Yves Le Gallou, fondateur de l’institut Polemia, était l’invité politique de l’Info avec Stéphanie De Muru, sur RT France, le 9 mai.

    Il réagit aux propos de la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, qui a affirmé que l’immigration est «un phénomène mondial» qui ne peut pas être arrêté.

    Selon lui, des solutions existent contre «l’invasion migratoire» à l’échelle des Etats comme à l’échelle européenne, à condition d’appliquer des «législations moins attractives».

    https://fr.novopress.info/214501/jean-yves-le-gallou-il-pourrait-y-avoir-une-politique-europeenne-restrictive-a-limmigration/

  • Sergueï Netchaïev : catéchisme du révolutionnaire (1869)

    Principes par lesquels le révolutionnaire doit être guidé :
    1. Le révolutionnaire est un homme condamné. Il n'a pas d'intérêts propres, pas de liaisons, pas de sentiments, pas d'attaches, pas de biens et pas même de nom. Tout en lui est absorbé par un seul et unique intérêt, une seule pensée, une seule passion : la révolution.
    2. Tout au fond de son être, non seulement en paroles mais aussi en actes, il a rompu tout lien avec l'ordre établi et le monde cultivé dans son ensemble, avec ses lois, ses propriétés, ses conventions sociales et ses principes éthiques. Il est un ennemi implacable de ce monde, et s'il continue d'y vivre, c'est pour mieux le détruire.
    3. Le révolutionnaire exècre les doctrines et a rejeté les sciences ordinaires, les laissant aux générations futures. Il ne connaît qu'une seule science, la science de la destruction. A cette fin, et à cette fin seule, il étudiera la mécanique, la physique, la chimie et peut-être la médecine, cette fin, il étudiera jour et nuit la science vivante : le peuple, ses caractéristiques, son fonctionnement et tout ce qui constitue le présent ordo social à tous les niveaux. Son seul et unique objectif est la destruction immédiate de cet ordre ignoble.
    4. Il méprise l'opinion publique. Il exècre et abhorre l'éthique sociale existante dans toutes ses manifestations et expressions. Pour lui, est moral tout ce qui peut permettre le triomphe de la révolution. Est immoral et criminel tout ce qui se trouve en travers de son chemin.
    5. Le révolutionnaire est un homme dévoué, impitoyable envers l'État et l'ensemble de la société éduquée et privilégiée ; il ne doit pas attendre d'elle la moindre pitié. Entre elle et lui existe, qu'elle soit déclarée ou non déclarée, une guerre incessante et sans fin. Il doit se préparer à supporter la torture.

  • Emmanuel Macron en croisade contre le Rassemblement National – Journal du 10 mai 2019

     

    Emmanuel Macron en croisade contre le Rassemblement National

    Alors que La République En Marche est à la peine dans les enquêtes d’opinion, le président de la République vole au secours de Nathalie Loiseau et entend faire du scrutin un duel entre sa formation et le Rassemblement National.

    France Télécom: la défense fait la sourde oreille

    Dix ans après la vague de suicides survenue à France Télécom, l’ex-PDG de l’entreprise, Didier Lombard, a exprimé sa tristesse mais a nié toute responsabilité lors de l’ouverture du procès. Une stratégie périlleuse en pleine période de contestation sociale.

    Anne Hidalgo refait surface

    A un peu plus d’un an des élections municipales, le maire de Paris, Anne Hidalgo, pourrait déjouer tous les pronostics. Alors que son action est critiquée de toute part, les divisions chez ces opposants jouent en sa faveur.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/emmanuel-macron-en-croisade-contre-le-rassemblement-national-journal-du-10-mai-2019

  • Un entretien entre Vincent Vauclin, tête de liste Reconquête, et Franck Buleux

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    Source Meta infos cliquez ici

    Trente-trois listes validées par le ministère de l’Intérieur, dont la Liste de la Reconquête que vous emmenez. Comment vous différenciez-vous des autres listes pour attirer des électeurs ?

    Trente-trois listes, c’est effectivement un record. Dans une telle confusion, et avec des moyens très modestes, nous avons la lourde tâche de faire connaître notre liste aux électeurs et surtout d’en démontrer la légitimité. Car ce qui nous différencie, c’est le sens de notre candidature : loin des carriéristes, des girouettes et des démagogues, nous réunissons une nouvelle génération de Français de toutes conditions, des militants nationalistes et patriotes venus de partout, des élus locaux, des gilets jaunes de la première heure. Nous assumons un discours de vérité sur la situation de notre pays, et nous avons l’audace de porter des propositions que personne d’autre que nous n’aurait le courage d’assumer. En résumé, on se bat pour la France, et non pour des places.

    L’intitulé de votre liste rappelle La Reconquista et votre mouvement Dissidence Française me rappelle ceux qui luttaient contre le pouvoir soviétique en publiant des Samizdats. Il y a un continuum entre vos positions et ces deux combats historiques ? 

    Ces deux parallèles historiques sont tout à fait pertinents et l’Histoire semble se répéter. Comme la péninsule ibérique du VIIIème siècle, nous vivons bien une invasion migratoire doublée d’une islamisation rampante. Comme les pays de l’Est du XXème siècle, nous sommes effectivement sous le joug d’un système répressif et totalitaire.

    Seules les échelles et les méthodes ont changé. Je dirais même que ces dernières sont plus pernicieuses qu’autrefois. Car cette invasion migratoire ne s’opère plus par les armes, mais par le truchement d’une immigration massive, de naturalisations systématiques et d’une démographie galopante. Elle ne concerne plus seulement l’Espagne mais l’ensemble du continent européen. Elle n’est plus le fait d’un rapport de force militaire, mais le résultat de la trahison délibérée des élites européennes. Quant au totalitarisme d’aujourd’hui, il se manifeste davantage par une propagande omniprésente, un moralisme frelaté et un endoctrinement médiatique que par des barbelés, des miradors et des miliciens à chaque coin de rue. Il n’y a certes plus un parti unique, mais des partis semblables qui donnent l’illusion du pluralisme alors que tous se sont alignés sur l’idéologie officielle, libérale et libertaire, mondialiste et cosmopolite.

    Votre volonté est-elle de concurrencer d’autres listes ou de créer une dynamique auprès d’électeurs déçus ou/et fréquentant rarement les isoloirs ?

    Notre but est tout simplement de faire entendre une autre voix, de proposer une alternative à ces partis aseptisés qui naviguent à vue au gré des sondages, qui sont déconnectés du pays réel et intégralement soumis au politiquement correct. Il ne faut pas aller chercher plus loin la cause de l’abstention croissante, et de l’épisode des Gilets Jaunes. Notre pays traverse une profonde crise de représentation politique, précisément parce qu’entre les partis du Système, il n’y a que des différences de degrés et non de nature. Nous avons donc l’ambition de brusquer le conformisme ambiant et de proposer une offre politique radicalement nouvelle.

    Avez-vous des alliés au sein de l’Union européenne ? Au-delà de cette question, quelle est votre position par rapport aux instances européennes et à leur éventuelle évolution ? 

    Ces dernières années, nous avons eu l’occasion de tisser des relations au-delà de nos frontières, avec le NPD en Allemagne par exemple, dont j’ai récemment rencontré l’ancien président et eurodéputé Udo Voigt au Parlement Européen, mais aussi avec des camarades de CasaPound et de Forza Nuova en Italie, ou encore Nation en Belgique, sans oublier l’Espagne, la Suisse, la Pologne et la Hongrie où nous avons des interlocuteurs et des amis. 

    Pour répondre à la seconde partie de votre question, je pense que l’idée d’une coopération entre des nations qui partagent un espace civilisationnel et un héritage commun n’est pas mauvaise en soi. Elle répond d’ailleurs à une logique incontournable à l’heure de la mondialisation. Compte-tenu des enjeux démographiques et technologiques, écologiques et économique, considérant l’émergence d’un monde multipolaire constitué en blocs continentaux plus ou moins antagonistes, l’idée européenne est plus actuelle que jamais. Mais les institutions européennes sont dévoyées, le Parlement Européen est une fiction qui dissimule la toute-puissance des lobbies et des groupes de pression. L’UE est ainsi devenue un carcan pour l’ensemble des nations européennes, mais aussi pour l’idée européenne elle-même. Une seule issue à la hauteur des enjeux : s’appuyer sur la défiance des peuples contre les technocrates de Bruxelles pour accomplir de l’intérieur un « putsch institutionnel » destiné à libérer l’Europe des féodalités qui l’étranglent et amorcer la reconquête de nos souverainetés. En résumé : contre la lobbycratie de Bruxelles, sortons l’Europe de l’UE !

    Une question très matérielle mais utile pour (certains de) nos lecteurs, j’en suis persuadé : aurez-vous des bulletins de vote en nombre suffisant, à la fois dans les plis officiels et l’ensemble des bureaux de vote ? Cette question renvoie aussi, fatalement, au coût, et donc au financement, de la campagne.

    Contrairement aux partis du Système, nous ne disposons ni de subventions publiques, ni de ressources occultes. Notre budget est donc nécessairement limité, et vos lecteurs ne trouveront probablement pas de bulletin de vote de la Liste de la Reconquête dans les plis officiels et dans les bureaux de vote. Cependant, ils pourront tout de même voter pour nous en téléchargeant et en imprimant chez eux le bulletin en question (qui sera bientôt en ligne sur notre site www.la-dissidence.org/eu2019). Ils pourront ainsi soutenir la seule liste antisystème de ce scrutin, et leur vote sera effectivement pris en compte dans les suffrages exprimés.

    Les élections européennes, pour essentielles qu’elles soient, seront terminées le 27 mai. Quels sont les objectifs de votre mouvement ? La DF va t-elle s’élargir puisqu’a priori votre liste a pour vocation d’élargir votre audience ? 

    En effet, l’objectif de la Dissidence Française est d’élargir son audience et de faire émerger durablement un pôle de droite alternative au sein duquel se retrouveraient toutes les tendances de notre famille politique. Cette nécessité part d’un constat très simple : nous ne sommes plus représentés, notamment par le RN de Marine Le Pen. Et alors que nos idées n’ont jamais été si actuelles et si nécessaires, nous ne pouvons nous résoudre à voter par défaut, ou à nous abstenir de participer à la vie politique. Je suis convaincu qu’il existe un espace politique, laissé vacant par la dédiabolisation du RN, qu’il s’agit d’occuper pour faire entendre plus largement nos propositions et proposer une alternative véritable au mondialisme libéral. Si nous ne le faisons pas, personne ne le fera à notre place.

    L’entretien a été réalisé par Franck Buleux.

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  • Entre islam et homosexualité : l’atomisation de la société française

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    Il n’est pas forcément besoin d’avoir lu le remarquable essai de Jérôme Fourquet, L’Archipel français, pour savoir que notre pays se morcelle chaque jour davantage. Il parait même que le modèle d’assimilation à la française ne fonctionne plus. Il fonctionne, d’ailleurs, d’autant moins que rien n’a été mis en œuvre depuis des décennies pour le faire fonctionner, ajoutera-t-on. Quoi qu’il en soit, la République « une et indivisible » est désormais multiple et plus divisée que jamais.

    Certes, l’Ancien Régime connaissait et reconnaissait ses innombrables communautés ; mais ces dernières se fondaient sur une histoire multiséculaire, s’appuyaient sur des cultures et des langues enracinées dans le terroir. Et, surtout, avaient le roi et la religion catholique pour dénominateur commun. Aujourd’hui, les communautés qu’évoque Jérôme Fourquet n’ayant plus rien de commun entre elles se côtoient sans se mélanger, s’observent de loin, toutes plus méfiantes les unes que les autres vis-à-vis de ce qui ne leur ressemble pas. Même François Hollande, parlant de « partition », s’en est rendu compte ; c’est dire.

    Pis, la désintégration de la société française tend maintenant à toucher l’intérieur même des communautés en question. Sur ce site, Floris de Bonneville note ainsi, à propos de ce chauffeur de bus présumé salafiste qui aurait interdit l’entrée de son véhicule à deux jeunes filles, au motif qu’elles n’étaient pas « bien habillées » : « Manque de chance pour cet employé, l’une des deux jeunes filles est la fille de Kamel Bencheikh, poète algérien qui n’a pas hésité à porter plainte, en bonne et due forme. »

    C’est-à-dire qu’au sein de la même communauté de culture islamique, maghrébine en l’occurrence, il y a les uns, trop musulmans, qui reprochent aux autres de ne l’être pas assez. Actualité immédiate oblige, on constate la même dérive dans une autre prétendue communauté, celle des homosexuels. Ainsi, Pierre Palmade, invité, ce samedi dernier, à l’émission « On n’est pas couché » est-il maintenant dans le collimateur de ses « camarades » pour avoir osé prétendre : « Il y a les homos et les gays. […] J’ai fait une différence. Les gays, ce sont des gens qui mangent gay, qui rient gay, qui vivent gay, qui parlent gay. » A contrario« les homos, ce sont des gens qui sont homos, mais ce n’est pas marqué sur leur front, on ne le sait pas quand ils parlent, on ne le sait que quand on va dans leur chambre à coucher ».

    Et c’est donc en tant qu’homosexuel que l’humoriste est, aujourd’hui, persécuté par certains gays, au premier rang desquels Joël Deumier, président de SOS Homophobie : « Pierre Palmade, on vous rappelle que si vous pouvez vivre et aimer librement en tant que gay aujourd’hui, c’est grâce à celles et ceux qui se sont battus dans l’Histoire pour obtenir ce droit. Et les combats continuent ! Vos propos homophobes n’y contribuent pas. »

    Plus grave encore, le même n’hésite pas à stigmatiser Pierre Palmade pour « follophobie » ; soit « ce discours qui vise à perpétuer une norme patriarcale et hétérosexuée selon laquelle un homme doit correspondre à un certain type de masculinité ». Il est vrai que notre trublion aggrave son cas en persistant à ne pas se promener dans la rue avec son slip sur la tête ; une telle frilosité ne peut évidemment qu’être suspecte.

    Là où ça se complique encore plus, c’est quand les communautés et leurs intérêts, parfois divergents, en viennent à s’entremêler. D’où ce fait divers pour le moins révélateur, rapporté par Le Figaro de dimanche dernier : « Un kiosquier parisien refuse de vendre le magazine L’Équipe par “homophobie”. » En couverture de ce dernier, l’épineuse question de « l’homophobie dans le sport », assortie de ce titre : « Embrassez qui vous voudrez. » Mais n’achète pas non plus ce journal qui veut, semble-t-il…

    L’histoire ne dit pas si le kiosquier « homophobe » était musulman, si l’acheteur était homosexuel, s’il est possible d’être à la fois footballeur et homosexuel ; voir homophobe, tel Pierre Palmade, lequel n’a peut-être rien contre les musulmans gays. Dommage.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/entre-islam-et-homosexualite-latomisation-de-la-societe-francaise/

  • Nicolas Dhuicq sur la liste RN : “C’est la seule liste qui obéit à une cohérence interne, dans laquelle des gens ont la capacité de faire changer la politique au sein de l’Union européenne”

    Nicolas Dhuicq sur la liste RN : “C’est la seule liste qui obéit à une cohérence interne, dans laquelle des gens ont la capacité de faire changer la politique au sein de l’Union européenne”

    Suite à son interview dans l’Incorrect, Nicolas Dhuicq répond au micro de Boulevard Voltaire et précise sa pensée sur sa décision personnelle  de voter pour Jordan Bardella (RN) aux élections européennes :

    C’est la seule liste qui obéit à une cohérence interne, dans laquelle je connais des gens qui ont la capacité de faire changer la politique au sein de l’Union européenne. À mon sens, nous devons nous poser deux questions essentielles sur cette élection.

    Premièrement, la question des institutions. Cette Union européenne fonctionne sur trois jambes: la commission, le parlement et les conseils. La solution serait que le parlement ait la prééminence. La commission devrait être constituée de conseillers du prince et non pas de devenir le prince, comme elle l’est aujourd’hui. Deuxièmement, la question économique. Nous le voyons avec la situation économique de la Grèce. J’ai été très frappé par les échanges que j’ai eus avec une ancienne ministre que j’ai croisée en Crimée, lors du forum économique de Yalta. Elle m’expliquait que plusieurs dizaines de milliers de jeunes grecs diplômés quittaient leur pays parce qu’ils ne pouvaient pas trouver en Grèce des moyens de vivre décemment. En Espagne, 800 000 personnes sont sans logement. L’Espagne s’est dépêchée de rembourser les prêts qu’elle a reçus des pays européens pour essayer de récupérer au maximum son autonomie. Tout ceci me fait penser que nous sommes confrontés à une idéologie dominante qui s’appelle le néo-libéralisme. Je précise que ce n’est pas le libéralisme. Nous sommes là sous une logique néo-libérale qui vise à détruire l’État.

    Ces facteurs sont reliés à une vision portée par une Union Européenne qui consiste à reléguer le pouvoir politique dans de très grandes régions qui créera à terme des déséquilibres très inquiétants, qui nous mèneront à la violence avec un double traitement des citoyens, selon s’ils appartiennent à une région riche ou pauvre. En l’état actuel de mes réflexions, je rappelle qu’à mon sens la nation reste l’espace de solidarité structurant. De ce fait, la liste du Rassemblement national est la seule qui me semble avoir pris conscience de ces deux interrogations et qui apporte les réponses qui me satisfont le plus (…)

    Le seul vote qui me semble donc cohérent avec ma position idéologique est celui d’apporter mon soutien à la liste du Rassemblement national. Les personnes de cette liste ne sont du reste pas toutes inscrites dans un parti politique.

    https://www.lesalonbeige.fr/nicolas-dhuicq-sur-la-liste-rn-cest-la-seule-liste-qui-obeit-a-une-coherence-interne-dans-laquelle-je-connais-des-gens-qui-ont-la-capacite-de-faire-changer-la-politique-au-sein-de-l/

  • Suède : les limites de la société plurielle, un cinquième de la population est né à l’étranger

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    En 2015, le pays de 10 millions d’habitants a reçu 160.000 demandeurs d’asile, un record en Europe proportionnellement à sa population, avant de fermer ses frontières.

    Certains Suédois font le constat amer suivant : la Suède a beaucoup changé ces dernières années et ils ont du mal à trouver leurs repères dans un pays où désormais un cinquième de la population est né à l’étranger, contre 11% il y a vingt ans.

    On perçoit l’inquiétude de voir la Suède renoncer à ses valeurs, notamment à l’égalité des sexes, au nom du respect de la diversité culturelle, de la liberté de culte, et de ne pas faire preuve de fermeté à l’égard des nouveaux arrivants, majoritairement de confession musulmane.

    https://fr.novopress.info/214503/suede-les-limites-de-la-societe-plurielle-un-cinquieme-de-la-population-est-ne-a-letranger/

  • Les nouveaux esclavagistes. Ethiopie : payés 23 euros par mois pour fabriquer des vêtements Calvin Klein ou H&M

    Les ouvriers éthiopiens du textile touchent moins d'un tiers que leurs homologues du Bangladesh (illustration). AFP/Arif Ali
    Le Parisien avec AFP| 08 mai 2019

    Les employés des usines textiles d’Éthiopie sont les moins biens payés au monde. Loin derrière ceux du Bangladesh.

    Les salariés des usines de vêtements d’Éthiopie, qui travaillent pour des marques comme GuessH&M ou Calvin Klein, sont les moins bien payés au monde, avec seulement 26 dollars (23 euros) par mois, selon un rapport rendu public mardi.
    L’Éthiopie, qui ambitionne de devenir le principal centre manufacturier du continent, a séduit les investisseurs en mettant en avant la disposition des salariés à travailler pour moins de la moitié du salaire des travailleurs du Bangladesh, affirme le rapport du Centre Stern pour les affaires et les droits de l’homme de l’université de New York.
     LIRE AUSSI >Au Bangladesh, des ouvriers du textile en grève pour de meilleurs salaires
    Selon cette étude, intitulée « Fabriqué en Éthiopie : les défis de la nouvelle frontière de l’industrie du vêtement », les salariés du Bangladesh, notoirement mal payés, gagnent 85 euros par mois, ceux du Kenya 185 et ceux de Chine 291 dollars.
    « Plutôt que la force de travail docile et bon marché promue en Éthiopie, les fournisseurs basés à l’étranger ont rencontré des employés qui sont malheureux de leur rémunération et de leurs conditions de vie, et qui veulent de plus en plus protester en cessant le travail ou même en démissionnant », déclare le directeur adjoint du centre, Paul Barrett.

    Pas de salaire minimum dans le privé en Ethiopie
    « Dans leur empressement à créer une marque « Made in Ethiopia », le gouvernement, les marques mondiales et les fabricants étrangers n’ont pas prévu que le salaire de base était tout simplement trop faible pour que les travailleurs puissent en vivre ».
    L’Éthiopie n’a pas instauré de salaire minimum dans le secteur privé. 
    Selon le rapport, les salariés de la confection, parmi lesquels de nombreuses femmes, ont du mal à s’en sortir, sont très peu formés et des conflits culturels les opposent aux dirigeants des usines, originaires d’Asie.
    L’étude s’est penchée sur le Parc industriel d’Hawassa (sud), l’un des cinq centres industriels inaugurés par le gouvernement depuis 2014, qui emploie 25 000 personnes et fabrique des vêtements pour des marques du monde entier. 
    À terme, environ 60 000 personnes devraient y travailler.
    Des grèves à répétition
    Des entreprises chinoises, indiennes et sri lankaises ont ouvert des usines dans ce parc. 
    L’Éthiopie est le deuxième pays le plus peuplé d’Afrique, avec quelque 105 millions d’habitants qui vivent encore largement de l’agriculture et sont confrontés à des sécheresses et à la pauvreté.
    Le gouvernement espère que les exportations de vêtements, qui représentent actuellement 145 millions de dollars par an, vont grimper à environ 30 milliards. 
    Un objectif qui « paraît irréaliste », selon le rapport, ne serait-ce que parce que les bas salaires ont entraîné une productivité médiocre, des grèves à répétition et un fort turn-over.
    Des usines ont remplacé l’intégralité de leurs salariés tous les 12 mois en moyenne, indique le rapport. 
    Le Centre Stern appelle le gouvernement éthiopien à instaurer un salaire minimum et à élaborer un plan économique à long terme pour renforcer l’industrie du vêtement.
    leparisien

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/05/les-nouveaux-esclavagistes-ethiopie.html#more

  • Prisonnier politique

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    Ex: http://www.europemaxima.com

    Judas a vendu le Christ pour trente deniers. En cette période d’instabilité financière, le pathétique président équatorien Lenin Moreno a trahi Julian Assange pour un prêt de dix milliards de dollars accordé par la Banque mondiale, le FMI et d’autres organismes banksters. Au terme de six ans, neuf mois et vingt-deux jours de protection diplomatique, la police britannique a pu arrêter le fondateur de WikiLeaks dans l’ambassade de l’Équateur à Londres, ce 11 avril 2019.

    La Grande-Bretagne souhaite juger Julian Assange pour toutes ces années où il a nargué depuis son balcon extraterritorial la méprisable caste britannique. En mauvaise condition physique, le dissident occidental croupit désormais dans la pire des prisons de la perfide Albion. Ses geôliers ne lui pardonneront jamais les nombreuses révélations sur la nature réelle des régimes politiques en vigueur en Occident, ces oligarchies ploutocratiques inféodées à Washington.

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    Julian Assange risque maintenant les poursuites de trois États guère fiables sur le plan du droit, trois entités dont le système judiciaire privilégie l’argent, l’intérêt des officines et de leur caste et le politiquement correct, jamais la stricte vérité. Outre des tribunaux britanniques ivres de vengeance, la justice étatsunienne rêverait d’exécuter ce traître d’Australien. Pour quelle raison ? Depuis quand un non-Étatsunien devrait-il la moindre loyauté envers les États faillis d’Amérique ? Quant à la pseudo-justice de Stockholm, elle pourrait relancer des enquêtes autour des sornettes proférées par deux nymphomanes suédoises notoires (oui, on n’échappe pas parfois aux redondance !).

    Le sort indigne qui frappe Julian Assange ne suscite guère d’empathie de la part de ses « confrères », les médiacrates. Révélateur fut ainsi le traitement de son arrestation au « 19 – 20 » de France 3 ce jour-là : la présentatrice osa parler de la fin d’une cavale. Plus forte que le paradoxe de Zénon d’Élée, la péronnelle venait d’inventer la « cavale statique » ou « immobile »…

    Une pesante opacité entoure dorénavant le quotidien carcéral du plus célèbre prisonnier politique de la planète. Il faut en particulier craindre pour sa vie quand la mortalité en détention y est souvent plus élevée pour les personnalités dérangeantes. Ne peuvent plus en témoigner le penseur européen d’Amérique Francis Parker Yockey et le président serbe Slobodan Milosevic !

    Georges Feltin-Tracol

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 123, mise en ligne sur TVLibertés, le 29 avril 2019.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2019/05/06/prisonnier-politique-6148920.html

  • Robert Ménard : “J’appelle à voter pour la liste conduite par Jordan Bardella, seule liste qui peut empêcher Macron de sortir vainqueur de ces élections”

    Robert Ménard : “J’appelle à voter pour la liste conduite par Jordan Bardella, seule liste qui peut empêcher Macron de sortir vainqueur de ces élections”

    Robert Ménard, un des premiers à avoir rejoint les Amoureux de la France en 2017 (devenus les amoureux de Nicolas Dupont-Aignan), annonce dans une vidéo qui sera diffusée au meeting du RN le 18 mai, quil appelle à voter pour la liste menée par Jordan Bardella au nom de l’union des droites :

    Pourtant partie prenante au lancement des Amoureux de la France, plateforme de précampagne lancée par le député de l’Essonne fin 2017, Robert Ménard annoncera ce samedi son soutien à la liste Rassemblement national, conduite par Jordan Bardella. «La seule liste qui peut empêcher Macron de sortir vainqueur de ces élections, ce qui serait insupportable», assure-t-il.

    Dans une vidéo de 6 minutes que Le Figaro s’est procurée et qui sera diffusée – du moins en partie -lors d’un meeting de Marine Le Pen et Jordan Bardella, le 18 mai, à Cers dans l’Hérault, le maire de Béziers, élu en 2014 avec le soutien du FN, liste les raisons de son choix. «Je voulais vous dire comme ça, face à face, pourquoi j’appelle à voter pour la liste conduite par Jordan Bardella», attaque-t-il drapeaux français et biterrois dans le dos. Outre le revirement du RN sur la sortie de l’Union européenne, l’édile justifie ce soutien en assurant que «seule» la liste RN «répond explicitement, comme il faut, à la question essentielle de l’immigration.» Il allègue également que les futurs eurodéputés RN «écouteront cette France des gilets jaunes que nous représentons à Béziers ou à Cers. Cette France souvent oubliée, méprisée, dont à Paris ou même à Montpelier on se fout.»

    ll y a fort à parier qu’il ne résiste pas au montage de la vidéo en vue de sa projection samedi: «Il y a un progrès par rapport aux listes précédentes (du RN). Car on s’achemine, même si ce n’est pas encore suffisant, vers cette union des droites pour laquelle nous nous battons, mon épouse Emmanuelle Ménard (députée de l’Hérault, NDLR) et moi, depuis des années. On ne gagnera pas si on ne réalise pas cette Union des droites.»

    Son épouse Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, a aussi affirmé qu’elle “voterait utile” et qu'”aujourd’hui le vote utile c’est le RN“.

    Finalement, Nicolas Dupont-Aignan va réussir à faire l’union des droites…mais contre lui.

    https://www.lesalonbeige.fr/robert-menard-jappelle-a-voter-pour-la-liste-conduite-par-jordan-bardella-seule-liste-qui-peut-empecher-macron-de-sortir-vainqueur-de-ces-elections/