Et nous ne sommes pas arrivés encore « jusqu’au bout de la nuit » car l’invasion est loin de devoir s’arrêter.
Au cours du premier semestre 2019, selon les chiffres officiels fournis par l’EASO (Union Européenne pour l’Asile), les demandes d’asile sont en hausse de plus de 10%, sur le premier semestre 2018.
Un peu plus de 305.000 migrants ont déposé une demande d’asile, depuis début 2019.
A ces chiffres, il nous faut ajouter que 50% des mineurs non accompagnés ne déposent pas de demandes d’asile et restent donc des clandestins.
D’un autre côté, des milliers d’individus rentrent légalement avec des visas touristiques ou de travail puis refusent de partir, à l’expiration de leurs visas et réclament à leur tour des demandes d’asile.
Le pourcentage d’acceptation de ces demandes d’asile se situe entre 30 et 50% en Europe, avec le pourcentage le plus élevé pour l’Allemagne.
Bien entendu, il ne s’agit pas majoritairement de réfugiés fuyant des pays en guerre, selon les procédures d’examen des autorités nationales de l’immigration.
Ainsi, par exemple, le commerce a repris en Méditerranée.
Le navire de l’ONG « Océan Viking » a recueilli ces derniers jours 356 migrants, dont 103 mineurs non accompagnés, à moins de 40 milles des côtes libyennes. La dernière opération de (sauvetage) a eu lieu ce lundi 12 août.
Et pendant ce temps le navire de l’ONG espagnole « Open Arms » est bloqué au large de Lampedusa, avec ses 151 migrants.
Le chantage humanitaire se poursuit et il rapporte gros pour que les ONG y tiennent tant !
Ils n’espèrent qu’une chose, l’ouverture des ports d’Espagne (l’Open Arms vient de l’obtenir grâce au socialiste Pedro Sanchez), de France et même de Norvège et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne s’agit pas, en ce qui concerne ce dernier pays, de ports les plus prés des côtes méditerranéennes.
Il est vrai que les ports les plus proches sont ceux du Maghreb, mais inutile d’en parler puisque les Arabes ne veulent pas de ces migrants et que ces migrants ne veulent pas aller dans ces pays arabes.
Donc, je le répète, l’invasion se poursuivra et avec comme conséquence première la recrudescence de l’insécurité, en Espagne, en France et dans tous les pays côtiers, et même très éloignés.
Que ce soit en Espagne ou en France, les services de police dénoncent cette forte recrudescence de la délinquance, dont la cause principale réside par l’arrivée d’une très forte proportion de mineurs isolés clandestins.
Dans l’Oise, deux de ces mineurs viennent d’être appréhendés après des vols commis dans des maisons à Chantilly, avenue Maréchal Joffre (mineurs d’origine marocaine).
Trois autres mineurs à Orry-la-Ville, après avoir dérobé la caisse d’un magasin.
Ils sont d’ailleurs aussitôt relâchés car ils n’ont pas de papier d’identité et c’est ainsi que ces trois mineurs ont été arrêtés quatre jours plus tard, à Luzarches, toujours dans le Val d’Oise, également pour des vols.
A Montpellier (Hérault), ce sont 11 mineurs isolés qui ont été appréhendés en quelques heures pour des vols avec violence. Et dans ce département les services de police signalent la progression très inquiétante de cette délinquance des mineurs clandestins en situation irrégulière sur notre sol.
Inutile de rappeler l’insécurité quotidienne que font régner ces mineurs isolés dans les arrondissements du nord de Paris où il est conseillé, aux personnes âgées ou handicapées, d’éviter le plus possible de sortir dès la nuit tombée.
Et ce n’est pas l’arrivée prochaine de centaines de nouveaux mineurs isolés et clandestins qui rendra la sécurité dans nos villes !
L’Espagne, à cause de sa politique irresponsable, se trouve aux premières loges et la justice italienne, qui vient de désavouer son ministre de l’Intérieur, Mattéo Salvini, et a autorisé les navires des ONG à pénétrer dans les eaux territoriales, ne donnent certes pas le bon exemple. (Attendons et espérons la réaction de Salvini !).
Et toujours la même question qui se pose, et nous la posons depuis des années, mais la réponse ne nous parvient toujours pas et, apparemment, elle n’est réclamée que par nous ? Qui paie le passage de ces mineurs isolés, qui ne travaillaient pas dans leurs pays et n’avaient certainement pas les moyens financiers de payer les 2000 à 5000 euros, prix de leur passage ?
Il faut bien que ces milliards d’Euros sortent de quelques poches, non ?
Une toute récente information vient contrarier mes affirmations : il est fort possible que, finalement, ces centaines de milliers de migrants clandestins soit des « chances pour la France » car, et cela vient d’être confirmé par la Mairie de Paris, ils permettent la réduction du chômage dans notre pays. Comment ? Le processus est tout simple : ils dégueulassent les places, les rues et les trottoirs de nos villes, en y jetant leurs détritus, leurs ordures, à un point tel que, pour que nos villes tentent de rester un peu plus propre, elles se voient devant l’obligation de « recruter » des centaines d’éboueurs, plus de 550 entre les mois de juin et d’octobre uniquement à Paris, avec des salaires de début d’environ 1600 euros et jusqu’à 2200 euros en fin de carrière.
Ainsi les migrants clandestins, en situation irrégulière, donnent du travail aux migrants ex clandestins qui se sont vus accorder une demande d’asile.
Un circuit qui a beaucoup d’avenir car il n’est pas près de cesser.
Ces déchets, ces détritus, devant ensuite être entassés dans des containers pour être expédiés vers la Malaisie, ou ailleurs.
Je parle des déchets bien sûr ! Pas des migrants, je préfère le préciser !