Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Merkel, présidente de la section Europe de l'Empire.

    106297784_10214229563212501_1096063923979126366_n.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé

    À compter de ce mercredi 1er juillet, l'Allemagne prend, pour six mois, la tête de l'Union européenne.

    Nul doute que la chancelière Merkel assurera cette présidence avec la volonté ferme et pleine de servir la conception qui est la sienne de l'intérêt allemand.

    Non pas de l'Allemagne identitaire qu'elle a mis en péril en 2015 en ouvrant les digues à la déferlante migratoire. Non pas de l'Allemagne historique et nationale qu'elle a déshonorée en se soumettant — et en soumettant l'Europe toute entière — aux diktats turcs et au chantage du sultan Erdogan. Non pas de l'Allemagne nation centrale d'une possible et nécessaire Europe de l'indépendance et de la puissance, mais l'Allemagne américaine.

    Depuis des décennies, tous les chanceliers fédéraux se sont servis de l'Europe, de ses institutions et de sa monnaie pour affirmer et renforcer le rôle de l'Allemagne dans la construction planétariste de la nation globale au service exclusif de la finance et de la techno-structure.

    Berlin capitale de l'Europe pour six mois ? Non ! Berlin, capitale européenne de l'empire mondialiste.

    Et comme toujours, la France de Macron s'efforcera d'en être une supplétive zélée.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Black Lives Matter : comment les globalistes manipulent la question raciale

    863775974.jpg

    Par Pierre-Antoine Plaquevent

    Pierre-Antoine Plaquevent est auteur et analyste politique. Ses travaux portent plus particulièrement sur les domaines du soft power et de l’infoguerre ainsi que sur ceux de la philosophie politique, de la géopolitique et de l’étude comparée des religions et des idéologies. Il est l’auteur de Soros et la société ouverte, métapolitique du globalisme (éd. Culture & Racines, 2020).

    Strategika publie l’étude la plus complète à ce jour sur le sujet, réalisée par le spécialiste francophone des réseaux Soros. Cette étude traite des objectifs et de l’idéologie du mouvement et de ceux de ses soutiens financiers. L’auteur retrace l’ensemble des financements de Black Lives Matter par les plus grandes fondations de la finance cosmopolite et expose son agenda politique. Il détaille aussi les articulations entre BLM, les réseaux de l’extrême gauche radicale (qui lui donne sa capacité d’organisation et sa structuration politique) et l’oligarchie financière globaliste. Il replace cette mouvance dans la perspective plus large de l’analyse des coups d’États qui emploient la société civile pour faire tomber les régimes politiques qui résistent à l’agenda globaliste. Il s’agit ici de la lutte à mort pour l’hégémonie sur l’Occident entre deux orientations de société antagonistes : globalisme et occidentalisme. Une lutte dont l’issue s’avèrera déterminante pour le futur géopolitique de toute l’humanité.

    Lire la suite

  • Crise : la maladie de l'Union européenne

    Crise la maladie de l'Union européenne.jpeg

    Avec un certain aplomb, nombre de dirigeants politiques vantent leu gestion de la crise, entre auto-persuasion et mauvaise foi. Une assurance qui semble confiner au culot, tant il est vrai que, de plus en plus, les peuples s’interrogent et doutent.

    La rumeur enfle en effet, qui veut que le confinement n'ait pas particulièrement protégé les pays qui l'ont adopté pour se défendre du coronavirus. Ni sur le plan vital. Ni sur le plan économique. Le problème est que la rumeur n'est pas le fruit d'un complot d'esprits obtus et réactionnaires. Elle plonge ses racines dans un certain nombre d'études et de faits - têtus, comme il se doit. Ce qui explique sans doute que plusieurs États en arrivent aujourd'hui à l'étape suivante confiner les esprits en interdisant toute critique. À ce jeu, Macron semble passer d'autant plus maître qu'il s'est signalé par une particulière incompétence. Laquelle confine sans doute, avec l'idéologie.

    Lire la suite

  • À peine élus, les colistiers font un doigt d’honneur aux habitants

    doigt-urne.jpg

    Les neuf colistiers du maire fraîchement élu de  (Oise) s’étaient réunis pour fêter leur victoire. Champagne, fiesta. Une photo pour immortaliser la soirée, doigts d’honneur tendus vers l’objectif. « On les a bien eus, allez tous vous faire… » De l’élégance, de la classe, l’équipe signe son éthique pour la commune. Le message semblant être adressé à quiconque regarde la photo, partisans et opposants se voient ainsi mis dans le même panier.

    Un tel chef-d’œuvre de convivialité méprisante ne pouvant rester confidentiel, l’une des participantes s’empresse de publier l’image sur Facebook, explique Le Parisien. On a le sens de la com’ ou on l’a pas. Elle l’avait.

    Lire la suite

  • Le contre-sens suicidaire de la prétendue « écologie ».

    g20-768x342.jpg

    Le grand paradoxe ou plutôt l’énorme mensonge de « l’écologie » politique repose sur une idée : la vie. La pandémie du Covid-19 a accentué au-delà du raisonnable la peur de la mort. Ni le nombre de morts, ni les tranches d’âge assez logiquement les plus touchées n’auraient du conduire à pareille panique planétaire augmentée dans notre pays par la gesticulation d’un gouvernement dépassé par la question. Sans doute la priorité donnée à la protection de la vie a-t-elle facilité un glissement de l’opinion vers ceux dont le fonds de commerce se confond avec l’exploitation politique de la peur face aux menaces chimique ou nucléaire. Entre pollution et contamination, l’amalgame sémantique a été depuis longtemps utilisé par les marxistes repeints en vert qui se sont emparés de « l’écologie ». Le climat mental créé par la crise sanitaire a donc développé surtout chez les urbains des grandes villes l’idée qu’il fallait améliorer la qualité de l’air, de l’alimentation, et se méfier davantage des produits d’une grande industrie cynique prête à jouer sur notre santé pour augmenter ses profits. Le rôle des grands laboratoires pharmaceutiques dans « l’étrange défaite » de notre système de santé et en particulier dans le navrant débat autour du « protocole Raoult » a donné du crédit à cette hostilité et permis la réunion contre le capitalisme du gauchisme assoiffé de révolution et des bobos soucieux de leur santé. Le taux d’abstention avec sans doute une mobilisation plus sélective des électeurs a fait le reste. On remarquera seulement que l’autre bénéficiaire politique potentiel de la pandémie, le souverainisme, qui dénonce lui de manière plus précise,  et l’excessive circulation des biens et des personnes, et la délocalisation de notre production, qui expliquent à la fois la propagation rapide du virus et l’absence des moyens matériels pour le combattre, n’a pas su utiliser cette carte pourtant maîtresse.

    Lire la suite

  • Conseil d'État : quand l'État se fait juge et partie

    Plus haute juridiction administrative, le Conseil D’État est censé arbitrer les conflits entre l’État et les citoyens. Mais son indépendance à l’égard du pouvoir est sujette à caution.

    Sis au Palais-Royal, à Paris, le Conseil d'État est « la confrérie la plus prestigieuse et la plus secrète de la République » selon le journaliste Yan Stefanovitch, qui lui consacre un livre très documenté, paru au mois de mars(1). Il exerce une double fonction de conseiller du gouvernement et de juge administratif en cas de conflit entre l'État et les citoyens, et la jurisprudence de ses décisions, « encadre la vie quotidienne des Français dans toutes ses dimensions » : restrictions aux droits face au terrorisme, liberté de manifester et utilisation d'armes létales ou non par la police, port du voile, mouvements migratoires, retraits de permis de conduire, permis de construire, attribution d'aides sociales, droits et libertés des fonctionnaires, réclamations pour des impôts indus... Ou liberté du culte, comme on l'a vu le 18 mai, lorsque le Conseil d'État a ordonné au gouvernement de rouvrir les lieux de culte.

    Lire la suite

  • « Avec les éoliennes, l’écologie, c’est du vent ! » L’édito de Charles SANNAT

    wind-farm-1747331_960_720.jpg

    Haaaa…. l’icoulougie et le développement durable ! Qu’est-ce cela me fait rire !
    Tous les écolos me font rire. Surtout les jeunots adeptent de la jeune gourette (un gourou c’est un chef de secte), mais comme il faut tout féminiser dans ce monde de parité (même quand elle stupide) on doit dire je ne sais pas moi une gourette par exemple.
    Je pense évidemment à la Greta.
    Il y aura bien des esprits chagrins pour me dire que gourette cela fait penser à se gourer… pas faux. Mais comme Greta et ses jeunes adeptes se gourent en se fourrant leurs petits doigts jusqu’au tréfonds des yeux cela me va bien.
    Déjà ils luttent pour la planète un i-phone dans une main et en faisant la queue chez mac-do pour un hamburger à la fin.
    Ensuite ils veulent des voitures, des trottinettes et des vélos électriques, aux batteries super bonnes pour la planète.
    Bon, encore une fois pas grave.
    Les batteries sont produites en Chine et tuent pleins de petits Chinois.
    Le racisme c’est pas bien mais tuer les petits Chinois ça c’est bien.
    Puis une fois utilisées, les batteries des i-phones, des trottinettes, des vélos, et des bagnoles partent au « recyclage » et terminent sous forme de déchets « ultimes ».
    Vous savez ce que c’est un déchet ultime ?
    Je vais vous le dire moi, car un écolo cela parle de « déchet ultime », mais un déchet ultime c’est la quintessence d’une vraie merde environnementale dont on ne sait pas quoi faire à part l’enterrer, la jeter à la mer.
    Et pour ça on a l’Afrique.

    Lire la suite

  • Le poison racialiste ou l'exigence pour tous...

    6a00d8341c86dd53ef0263e953604d200b-800wi

    J'en ai plus qu'assez de cette obsession de la couleur de peau.

    De la part de la malfaisance des racistes comme de la dénonciation des antiracistes.

    Depuis quelque temps, au fil des polémiques, des manifestations, des haines et des approximations, à cause de la volonté perverse de minorités prétendant constituer la France en séparatismes hostiles les uns aux autres au pire ou au mieux indifférents, notre pays glisse sur une pente maléfique où l'éclatement ne se repent même plus de se greffer sur la couleur de peau mais s'en félicite.

    Affirmer qu'on appartient tous à la communauté humaine, que la France est notre bien commun et qu'elle devrait se moquer de nos origines est une banalité mais il est plus que jamais nécessaire, en ces temps chahutés où le pouvoir comme beaucoup de citoyens perdent leurs repères, de rappeler cette évidence.

    Lire la suite

  • Thaïs (Génération identitaire): « Nous avons piraté l’attention médiatique »

    Ces derniers temps, l’organisation « Génération identitaire » fait beaucoup parler d’elle, entre l’affaire judiciaire de la mosquée de Poitiers et son action récente contre le racisme anti-blanc lors de la manifestation en soutien à Adama Traoré, le 13 juin. À 21 ans, Thaïs, l’une de ses militantes, confie à REACnROLL les motivations qui l’ont poussée à s’y investir. Elle indique également vouloir porter plainte contre Jean-Luc Mélenchon qui l’accuse d’avoir fait un salut nazi…

    REACnROLL. «Génération identitaire», c’est quoi ?
    Thaïs. «Génération identitaire» est un mouvement de jeunesse qui compte plus de 4000 adhérents à ce jour. Nous sommes présents dans toutes les régions de France et dans d’autres pays d’Europe. C’est un mouvement qui souhaite défendre l’identité française et européenne contre l’immigration massive et l’islamisation.

    Lire la suite

  • L’université en procès ?, par Gérard Leclerc.

    Siège principal de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS)© Celette / CC by-sa

    Est-il vrai, comme le veut Le Monde qu’Emmanuel Macron s’est aliéné les sciences sociales, en s’en prenant au monde universitaire ? Tout est parti de quelques phrases prononcées en privé par le président de la République et rapportées par le quotidien du soir : « Il – le monde universitaire – a encouragé l’ethnicisation de la question sociale, en pensant que c’était un bon filon. Or, le débouché ne peut être que sécessionniste. Cela revient à casser la République en deux. »

    On comprend qu’une telle assertion ait provoqué un bel émoi du côté des intéressés, d’abord ceux qui se sont sentis visés à juste titre, et les autres qui ont estimé injuste le caractère général de l’accusation. Il n’empêche que le président a posé une question judicieuse et que, sur ce point précis, j’ai de bonnes raisons de penser qu’il a été bien conseillé.

    Lire la suite