Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Plus il y a d’avortements, plus ils veulent l’étendre

    Plus il y a d’avortements, plus ils veulent l’étendre

    Communiqué de la Marche pour la vie :

    Demain, le 30 septembre, la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale examine la proposition de loi n°3292, déposée par Mme Albane Gaillot, visant à étendre l’avortement.
    Ce texte prévoit :
    ➡️ l’allongement des délais d’accès à l’avortement de douze à quatorze semaines de grossesse
    ➡️ la suppression de la clause de conscience des professionnels de santé.
    La Marche pour la vie s’étonne de cette proposition de loi idéologique examinée au cœur d’une crise sanitaire sans précédent. N’y a-t-il pas d’autre urgence pour le Parlement que d’ajouter des morts à la liste des victimes du Covid-19 ?
    La Marche pour la vie rappelle que le taux de recours à l’avortement en France a atteint des records avec 232 200 avortements en 2019 (DREES), alors que le nombre de naissances ne cesse de décroître depuis 2014.
    Jusqu’où iront-ils ? La Marche pour la Vie se mobilisera le 17 janvier 2021 à Paris et dans plusieurs autres villes de France pour dénoncer l’ampleur de ce crime contre l’humanité.
  • Budget 2021 : immigration plus !

    6a00d8341c715453ef0264e2e19130200d.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    La France, étouffée par la gestion aberrante d'une crise sanitaire/alibi, sombre dans la récession. Des dizaines de milliers d'entreprises sont menacées entraînant un effondrement tragique de l'emploi. Les services hospitaliers sont bamakoïsés. L'ensauvaugement se répand comme une traînée de poudre noire. La survie de certains services publics essentiels à la vie de la Nation et au quotidien des Français n'est encore assurée que par le recours massif et exponentiel à l'emprunt qui nous soumet à la finance étrangère. Une crise sociale sans précédent se prépare.
    Le plan budgétaire présenté lundi par le ministre de l'économie et des Finances, Bruno Le Maire, relève, quant à lui, de la plus sombre insincérité puisqu'il repose sur une prévision de croissance de 8% l'année prochaine, prévision qui ne se fond que sur le recours embrumé à la méthode célèbre du fameux pharmacien Coué.
    Peu importe. Les priorités du gouvernement sont fixées: le budget 2021 prévoit une hausse de 2% des crédits "Immigration, asile et intégration" et la création de 4 000 places supplémentaires pour l'accueil des réfugiés tandis que l'Aide médicale d'État (AME) accordée à tous les migrants y compris clandestins augmentera de 97 millions pour friser le milliard d'Euros.
    Plan de relance ? Oui. Plan de relance des pompes aspirantes de la déferlante migratoire.
  • Jean-Paul Gourevitch : La France en Afrique 1520-2020, vérités et mensonges (conférence)

  • Contre Joe Biden, Donald Trump s’en prend aux tabous de l’Amérique médiatique

    img_6271-828x475.jpg

    Ceux qui n’attendaient pas grand-chose du premier débat entre  et  n’ont pas été déçus. Quant à ceux qui en attendaient quelque chose, ils ont dû l’être tout autant, chacun ayant campé sur ses positions. Trump pensait faire craquer son challenger démocrate : en vain ; tandis que Biden empruntait le vocabulaire et le style de son adversaire républicain, le traitant de « clown » et lui intimant l’ordre de « la fermer », ce qui n’a pas aidé à rehausser le niveau de cette soirée.

    Dans ce jeu à somme nulle, c’est encore l’actuel président qui sort le mieux parce que demeurant le plus crédible. Lui au moins, croit en ce qu’il dit et ce qu’il entend représenter, alors que Joe Biden n’est jamais qu’un candidat par défaut, au contraire d’un Barack Obama qui lui, incarnait véritablement l’autre Amérique, celle des côtes Est et Ouest, contre celle du milieu, celle de Donald Trump. Les élites méprisantes contre le peuple méprisé ; on n’en sort pas, on n’en sort plus.

    Lire la suite