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Immigration : la folle politique de peuplement du gouvernement français
Par Paul Tormenen, juriste et spécialiste des questions migratoires ♦ En dépit de vagues déclarations sur la nécessité de réguler l’immigration, le gouvernement dirigé par Jean Castex ne fait comme ses prédécesseurs qu’accompagner les arrivées croissantes d’extra-Européens en France. Les dispositifs en faveur de l’immigration sont nombreux et accréditent la thèse d’une véritable volonté de peuplement de notre pays, « quoi qu’il en coûte ».
Pour prendre en charge l’immigration légale et clandestine, l’État français déploie des moyens de plus en plus considérables. Au travers des nombreux dispositifs qu’il organise et dont certains sont abordés dans le présent article, c’est bien une politique de peuplement à bas bruit qui est menée en France. La seule variable d’ajustement à la pression migratoire qu’utilise le gouvernement est d’accorder toujours plus de moyens à l’accueil des migrants légaux ou clandestins. Cette politique s’apparente à une fuite en avant totalement suicidaire pour le pays.
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Vaccination Covid-19 : si vous voulez comprendre pourquoi les Français sont si méfiants
Vaccination contre le Covid-19 : les cinq articles à lire, alors que la campagne débute ce dimanche en France
[…]Si vous voulez comprendre pourquoi les Français sont si méfiants
Au pays de Louis Pasteur, le vaccin n’est plus en odeur de sainteté. Seul un Français sur deux aurait l’intention de passer par la case piqûre, selon un sondage réalisé en novembre par Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro. Cette méfiance apparaît nettement supérieure aux niveaux observés à l’étranger : avec 54% de personnes qui disent avoir l’intention de se faire vacciner, la France figure en dernière position d’un groupe de 15 pays étudiés dans un autre sondage par Ipsos en octobre, loin derrière la Corée du Sud, la Chine et l’Inde, qui dépassent les 80%.
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Pierre-Yves Rougeyron : Violences policières et Ingénierie sociale
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Pour manifester autrement par Bastien VALORGUES
À l’instar des samedis précédents, le 5 décembre dernier, le XXe arrondissement de Paris connut des violences inouïes au même titre d’ailleurs que d’autres quartiers de la capitale au cours de manifestations similaires.
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Préface du traducteur à “Religiosité indo-européenne” de H. F. K. Günther 3/3
Revenu à Fribourg pendant la guerre, il quitte une nouvelle fois sa ville natale quand son institut est détruit et se fixe à Weimar. Lorsque les Américains pénètrent dans la ville, le savant et son épouse sont réquisitionnés un jour par semaine pour travailler au déblaiement du camp de Buchenwald. Quand les troupes US abandonnent la région pour la céder aux Russes, Günther et sa famille retournent à Fribourg, où l'attendent et l'arrêtent des militaires français. L'anthropologue, oublié, restera 3 ans dans un camp d'internement.
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Islamisme et République, les deux ennemis de la France, par Philippe Schneider.
L’ÉDITORIAL de la Lorraine Royaliste
Dans le numéro 3700 du remarquable hebdomadaire « La France Catholique » (1), j’ai – entre autres – relevé un article de Frédéric Guillaud intitulé : La République, l’Islam et Hegel… Il s’interroge sur les réactions après les derniers attentats (décapitation du professeur Paty et tuerie dans une église à Nice) en redoutant la survenue d’autres…
Ces terroristes attaquaient la France non la république qui n’est « qu’une somme de droits formels et de principes abstraits ». Elle n’est que négations :
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L’IDENTITÉ DE LA FRANCE N’EST PAS UNE QUESTION !
L’Express ne recule devant rien pour satisfaire sa dévotion au monarque. Il offre à ses lecteurs une confession de celui-ci présentée comme un événement, histoire de lui permettre de communiquer au coeur de la trêve des confiseurs et malgré son covid bénin. La courtisanerie n’ayant pas de limite, on va jusqu’à célébrer le complet hors-sujet d’un chef de l’Etat qui, après trois ans n’a encore rien compris ni à sa fonction, ni à son rôle. Le voilà qui se complaît dans une analyse du peuple qu’il est censé conduire et représenter aux yeux du monde, qu’il se vautre dans une critique de la société comme s’il n’en faisait pas partie au point d’être pour une part responsable de ce qu’elle est.
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Sur Sud Radio, accord trouvé pour le Brexit : Seriez-vous prêt à voter pour le Frexit ?
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Préface du traducteur à “Religiosité indo-européenne” de H. F. K. Günther 2/3
Frick et Gerstenhauer circonviennent ces réticences en créant une chaire “d'anthropologie sociale”, attribuée immédiatement à Günther. Ce “putsch” national-socialiste, que Günther, bien que principal intéressé, n'a suivi que de loin, finit par réussir parce qu'une chaire d'anthropologie sociale constituait une nouveauté indispensable et parce que Günther, en fin de compte, avait amplement prouvé qu'il maîtrisait cette discipline moderne. La seule réticence restante était d'ordre juridique : les adversaires des nazis jugeaient que Frick posait là un précédent, risquant de sanctionner, ultérieurement, toutes interventions intempestives du politique dans le fonctionnement de l'université.