Poussée par le nombre sans cesse grandissant de pays ayant décidé ces derniers jours de stopper provisoirement leurs injections de doses d’AstraZeneca et par le doute croissant quant à la dangerosité de ce vaccin, la France, emboîtant lundi le pas à l’Allemagne, a tout de même fini par annoncer sa décision de suspendre elle aussi ses injections. Cette suspension, décidée évidemment « par précaution », dans l’attente d’un avis de l’Agence européenne des médicaments, soit jusqu’à ce jeudi au plus tard, a quand même fait hurler les adeptes de la piqûre à tout prix, qui se plaignent aujourd’hui du retard que va entraîner cette décision dans la campagne de vaccination.
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Tous fachos !, par Eric Cusas.
Après l'extension du domaine de la lutte, voici l'extension du domaine du fascisme.
Le mot est désormais employé à tort et à travers par les progressistes les plus intransigeants dont le credo peut se résumer à ceci : « pensez comme nous, ou fermez-là !« . C’est à présent le magazine Causeur qu’un réseau social bien connu qualifie d’extrême-droite, quand sa rédactrice-en-chef, Mme Lévy, est pointée du doigt comme membre de la « fachosphère ». On croit rêver.
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Best-of Vive l'Europe - Le rire et l'émotion - Voir la chaîne du camarade KIWI
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Désarroi !
Le billet de Patrick Parment
Depuis la fin du XIXe siècle, la science n’a cessé de démontrer sa capacité à déchiffrer les mystères de la nature et de donner à l’homme les moyens d’agir sur elle, afin, bien souvent, d’en corriger les excès. On pense à Pasteur et son vaccin contre la rage, la découverte de la pénicilline en passant par le nucléaire et la conquête de l’espace. La science est cette nouvelle religion qui, à l’image des dieux antiques, nous livre une autre explication du monde.
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AstraZeneca : chronique d’un fiasco – JT du mardi 16 mars 2021
Au programme ce soir, retour sur les derniers rebondissements du Covid. La cacophonie gouvernementale a atteint son paroxysme lundi avec le vaccin britannique AstraZeneca. Dimanche, le premier ministre vantait ses mérites, lundi, Emmanuel Macron annonçait sa suspension…
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Napoléon III le mal aimé.
Après plusieurs articles virulents sur l’actualité, prenons une pause historique rafraîchissante, mais dont l’exemple ne laissera pas de nous être utile pour notre temps.
Dans la longue liste des souverains de la France, il en est un que l’on peut classer à part des autres, et qui pourtant souffre de l’injure de l’oubli depuis plus de 130 ans. Napoléon III a pourtant le rare privilège d’avoir été à la fois le premier monarque français authentiquement démocrate et le dernier souverain que notre patrie ait connu.
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L'oeil de l'expert : L'islamo-gauchisme "gangrène"-t-il l'université française ? Malika Sorel-Sutter
Malika Sorel-Sutter, essayiste et ancien membre du Haut Conseil à l’Intégration (auteur de « Décomposition française » (Fayard)) était l'invitée de Valérie Expert sur Sud Radio.
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Le bureaucratisme totalitaire
Nous apprenons ce matin que la décision de reconfiner la région Ile-de-France serait liée à une donnée statistique: le passage à « un taux d’incidence de 400 » (il serait à 391). Cela signifierait 400 tests positifs sur 100 000 habitants. Telle serait la limite retenue pour passer au reconfinement. Sommet de la logique technocratique: le sort d’un pays conditionné à un ratio.
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Zoom – Eddie Puyjalon : La ruralité relève la tête
« Chasse, pêche, nature et traditions » n’est plus, place au Mouvement de la Ruralité ! Eddie Puyjalon, conseiller régional en Nouvelle Aquitaine, nous présente son mouvement et son action. Dans cet entretien exclusif pour TVLibertés, il dénonce le jacobinisme de l’Etat en matière de vaccination, les méfaits des parcs éoliens, la croisade des nouvelles municipalités Vertes contre les chasseurs-pêcheurs ou encore l’oubli du monde rural après la présentation du dernier plan banlieues de 3,3 milliards d’euros.
https://www.tvlibertes.com/zoom-eddie-puyjalon-la-ruralite-releve-la-tete
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Mensonges et rumeurs en temps de guerre
Le Cercle d’Histoire Contemporaine a réédité le livre de l’Anglais Arthur Ponsonby (1871-1946) sous le titre Mensonges et rumeurs en temps de guerre. Arthur Ponsonby fut chef de cabinet du Premier ministre britannique de 1906 à 1908 et député libéral de 1908 à 1918. Il étudie dans ce livre, qui connut deux traductions françaises dans les années 1930, un certain nombre de rumeurs et de fausses nouvelles qui ont couru pendant la Première Guerre mondiale. Il écrit dans son introduction : « Le mensonge est une arme reconnue et extrêmement utile en temps de guerre et chaque pays l’utilise tout à fait délibérément pour tromper ses habitants, séduire les neutres et induire l’ennemi en erreur. Les masses ignorantes et naïves de chaque pays ne se rendent pas compte, au moment où cela se produit, qu on est en tram de les tromper, et ce n’est que lorsque tout est terminé qu’ici ou là on découvre et dénonce les mensonges. Comme tout cela est de l’histoire ancienne et que l’effet désiré a été produit par les récits et les déclarations, nul ne se soucie d’étudier les faits et d’établir la vérité. Ainsi que nous le savons tous, il n’y a pas seulement en temps de guerre que l’on ment. L’homme, a-t-on dit, n’est pas un “animal véridique”, mais sa tendance au mensonge est loin d’être aussi extraordinaire que sa surprenante promptitude à croire. C’est, à vrai dire, parce que les hommes sont crédules que les mensonges sont florissants. Mais, en temps de guerre, on ne se rend pas suffisamment compte de l’organisation officielle du mensonge. La tromperie dont sont victimes des peuples entiers n’est pas une question que l’on puisse traiter à la légère ».
♦ Recension : Arthur PONSONBY, Mensonges et rumeurs en temps de guerre, C.H.C. (45/3 route de Vourles, F-69.230 Saint-Genis-Laval), 1996, 270 pages en caractères Sempel Garamond. 150 FF (à l’ordre de Jean Plantin). Précisons que ce livre n’est pas vendu en librairie.