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Pendant les vacances, le djihad continue

Chaque jour, des guerriers d’Allah infiltrés dans nos sociétés assassinent d’innocentes victimes désarmées. Leur « guerre sainte » est à la vraie guerre, celle où l’on affronte des soldats, ce que le Canada dry est au whisky. C’est une guerre de lâches et pour tout dire de petites bites.

Chaque fois, les collabos de la politique, de la police, de la justice et des merdias, parlent de « déséquilibrés » quand on parvient à identifier les tueurs. Pour ne pas avoir à les juger, on les envoie se faire soigner, et on les remet en liberté quelques mois après, prêts à recommencer.

Les collabos se demandent inlassablement quels sont les motifs des assassins ? Aucune allusion au fanatisme religieux qui leur commande de nous terroriser pour mieux nous soumettre comme leur pédo prophète l’a ordonné.

Terrorisme et victimes égorgées, des mots interdits

En Allemagne, à Solingen, le 23 août, lors d’un festival célébrant la « diversité » (quels cons ces Boches tout de même !) trois personnes sont égorgées à mort et quatre autres grièvement blessées.

Dans la novlangue politiquement correcte, on ne dit pas « égorgées ». C’est trop révélateur, trop imagé. Ça renvoie trop à l’horreur des flux de sang qui s’échappent à gros bouillons des victimes agonisantes. Pour le moment, on dit « frappées au cou ». Bientôt, ce sera « égratignées ». Ce n’est plus un attentat, non. Juste un malheureux accident dû à la maladresse d’un garçon boucher halal.

Les égorgés ont « perdu la vie ». Comme à la plage quand on se noie. Ou qu’on périt dans un carambolage sur l’autoroute. Notez la nuance. C’est la faute à pas de chance. Ça peut arriver à tout le monde. En effet. Plus personne n’est à l’abri dans les rues, les places, les jardins, les bus, les métros. Chaque kouffar est une victime potentielle des djihadistes.

Dans la novlangue politiquement correcte, on parle d’attaques au couteau, sans raison. On se perd en conjectures. On cache l’identité des assaillants. Si on la donne, ils s’appellent Hans, Gunther ou Helmut. Comme chez nous Charles-Édouard ou Jean-Eudes.

La caste dirigeante française est azimutée par le complexe des colonies, qui auraient fait tant de mal aux indigènes, en leur apportant le progrès, l’éducation et la santé. Ce qui nous obligerait à ramper, en demandant pardon tous les jours aux pires dictateurs exotiques… De leur côté, les Boches, même ceux nés après 1945, n’en finiront jamais d’expier les abominations des nazis dont il ne sont pas coupables.

Angela Merkel est responsable de tous ces assassinats

Cette grosse vache a invité tous les djihadistes à venir repeupler l’Allemagne. Pour ramoner les mochetés comme elle ? Dans un pays normal, elle serait déjà en taule, attendant son procès. La plupart des pendus de Nuremberg étaient des bureaucrates du crime qui n’avaient pas participé personnellement aux assassinats. Ils avaient seulement organisé depuis leurs bureaux les conditions de réalisation de ces abominations, motivés pas une idéologie perverse. C’est ce qu’elle a fait.

Neuf ans après sa trahison de 2015, elle est fière de son bilan. Elle évoque un accueil chaleureux de ces gens dont l’Allemagne avait grand besoin (sic) et qui se seraient parfaitement intégrés. Seuls les salauds d’extrême drouâte qualifient d’invasion par une armée de barbares, l’arrivée massive de ces couteliers émérites, mahométans à 99%.

Un moment, les merdias putrides se sont délectés d’une hypothèse formulée par un procureur collabo : Ces égratignures au cou pourraient être des crimes de l’extrême drouâte ! Tout le monde sait que le couteau de l’égorgeur est le modus operandi favori des fachos. Même si l’État islamique revendique fièrement cet attentat. « L’auteur de l’attaque contre un rassemblement de chrétiens, est un soldat qui a agi pour venger les musulmans de Palestine.»

L’assassin de Solingen est un Syrien de 26 ans bénéficiant du statut de réfugié. On a aussi arrêté une petite frappe de quinze ans qui se réjouissait de ce massacre en dansant et en chantant. Comme tous ceux qui ont fêté bruyamment les morts du 11 septembre 2001, les assassinats du 7 octobre 2023, et entre ces deux dates, d’innombrables bombes, fusillades, coups de couteau. Chaque kouffar tué est un moment de pur bonheur. Si en plus il est Juif, on fait la fête toute la nuit.

Au lendemain des égratignures au cou en Allemagne, on a eu la bonbonne de gaz qui explose toute seule en France

D’abord les désinformateurs collabos y sont allés de leur refrain habituel, tentant de minimiser l’attentat : « La synagogue Beth Yaacov de la Grande-Motte (Hérault) a été touchée par un incendie ce samedi matin.» Dans un premier temps, ils ont laissé entendre que ce pourrait être un accident. Une bonbonne de gaz qui aurait explosé toute seule sous l’effet de la chaleur. Encore le réchauffement climatique ?

Bien entendu, l’important n’était pas de chercher une explication technique. Mais d’établir un contre-feu (c’est le cas de le dire) pour que ne soient pas fustigés « nos frères musulmans qui nous aiment tant». Copyright le crétin Bergoglio.

Après, les désinformateurs ont dû rétropédaler. Difficile de continuer à raconter n’importe quoi avec un individu filmé par une caméra de sécurité, portant des bouteilles d’essence, puis s’échappant juste avant l’explosion, après avoir incendié des véhicules devant la synagogue. Il portait à la ceinture une arme de poing et, enroulé autour de la taille tel un paréo, un drapeau palestinien. Semblable à ceux qu’arborent impunément les militants et élus LFI, jusque dans l’enceinte de l’Assemblée, quand ils font l’apologie des terroristes.

« Un incendie » est devenu alors « des départs de feu simultanés. » Quatre selon les témoins.

« La bouteille de gaz qui a explosé toute seule » est devenue une bonbonne dans une des voitures incendiées, qui a probablement éclaté à cause du feu du réservoir d’essence.

« Le coupable dont on ignore les motivations » devient « un des terroristes.» Finalement, le RAID en arrêtera trois à Nîmes, dont un binational franco-Algérien de 33 ans, Hussein Khenfri… Français parce qu’il avait un enfant né en France. Vivant dans un squat. Des associations anti-France financées avec les sueurs des Français ont déjà embauché des avocats marrons pour défendre ce « petit ange » qui a canardé les flics.

Pour une fois, le parquet national anti-terroriste a bien réagi

Le PNA saisi de l’enquête, a ouvert une information pour tentative d’assassinats terroristes, destructions par moyens dangereux en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroristes en vue de préparer des crimes d’atteinte aux personnesC’est un bon début. Mais auront-ils les moyens d’aller jusqu’au bout de leurs investigations ?

Pour le moment, la politicaille clame son indignation. Gabitounette et Moustapha y vont de leur refrain de solidarité et de compassion à l’égard des Juifs. C’est bien la moindre des choses. Mais les faits peuvent démentir les discours. Comme le 17 mai dernier, quand un individu avait tenté de mettre le feu à la synagogue de Rouen, son acte n’avait pas été qualifié de terroriste. Et puisque un flic l’avait descendu après qu’il ait tenté de l’égratigner au cou, l’affaire avait été classée. Sans rechercher d’éventuels complices.

Aussi, demain ou après-demain, quand l’actualité se sera diluée ailleurs, on sera tenté d’éviter de faire de vagues. Certes, sans apporter un soutien aux terroristes, ni faire obstruction à l’enquête. Mais en usant des procédés habituels pour noyer le poisson. Par exemple, en déplaçant avec avancement ceux qui approchent de trop près la vérité. Si les terroristes sont liés à une monarchie pétrolière avec laquelle les Zélites du Francistan entretiennent de juteuses relations politico commerciales.

Les actes antisémites ont triplé par rapport à 2023, dépassant la centaine par mois cette année. Malgré les discours lénifiants demandant à tous les préfets de « renforcer immédiatement la présence statique des forces de l’ordre devant les lieux de culte juifs », je crains que cela soit insuffisant. Déjà que des milliers de flics sont mobilisés pour protéger les mosquées. Prioritaires bien évidemment.

Réactiver les groupes du BETAR qui avaient fait preuve d’une réelle efficacité quand ils bénéficiaient d’une discrète approbation des pouvoirs publics au temps de Pasqua, pourrait être une solution. À condition de faire comprendre à certains de leurs dirigeants un peu obtus, que la droite nationale n’est pas leur ennemie, bien au contraire.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/pendant-les-vacances-le-djihad-continue.html

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