Par Philippe Germain
Dès le 11 juin 2024, suite aux violences kanak, l’Action française réclamait le droit du sang car « ces émeutes sont une opportunité pour étendre le droit du sang à tous nos territoires métropolitains, départements et régions d’Outre-Mer et communautés d’Outre-Mer. Jus sanguinis pour tous, afin que soit Français celui qui naît de parents Français ». Pouah… le mot « sang » était lancé ! « On vous l’avait bien dit », s’exclamèrent les vigilants de l’antiracisme, « Louis XVI et Hitler, même combat ».