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  • Commotion et hématomes : des militants RN agressés pour avoir collé des affiches

    © Capture écran X RN 77
    © Capture écran X RN 77
    « Y a pas de RN ici ! […] Tu colles pas dans mon quartier ! » Ce 26 avril, aux alentours de midi, cinq militants du Rassemblement national, dont deux assistants parlementaires, ont été agressés alors qu’ils collaient des affiches dans un quartier pavillonnaire de Meaux (Seine-et-Marne). « Il s’agissait d’affiches sans aucune revendication particulière, seulement avec les visages de Marine Le Pen et de Jordan Bardella. On les collait sur un panneau publicitaire autorisé. On ne s’est pas senti menacé, au départ… », raconte Tony, collaborateur de Julien Limongi, député RN de Seine-et-Marne, contacté par BV. Mais les militants déchantent rapidement. Un premier individu s’approche d’eux et se met à décoller les affiches. « Je lui rétorque qu’on a le droit de les coller, qu’on est en démocratie », rapporte le jeune assistant parlementaire de 24 ans. Le ton monte alors. Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, on entend l’homme en question crier : « Recolle, tu vas voir ce que je vais faire, wallah […] C’est des fachos, tu colles pas ça dans notre quartier ! » Tony raconte la suite : « Un autre individu arrive de nulle part. Ils se mettent à me frapper, à me tabasser. Avec moi, il y avait une jeune femme. Elle avait son téléphone à la main pour filmer, il lui ont arraché et volé. Puis, ils se sont rapprochés d’elle. Je me suis interposé en criant "Ne la touchez pas !" », explique Tony.

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  • De l’économie à l’idéologie : le basculement inquiétant de l’Union européenne

    par Serge Van Cutsem

    L’Union européenne n’est plus ce qu’elle était, pense-t-on. Et si, en réalité, elle devenait ce qui était voulu dès sa naissance. Née sur les cendres d’un continent dévasté, elle promettait paix, prospérité et coopération économique. Mais en l’espace de quelques décennies, ce projet initial s’est mué en un appareil politique technocratique, de plus en plus centralisé, normatif et difficilement contestable par sa population. Le basculement d’une «Europe des nations» vers une «Europe des commissaires» s’est fait progressivement, presque silencieusement. Les signes d’une dérive autoritaire sont désormais bien présents et même visibles pour qui veut les voir.

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  • Lorient (56) : une jeune femme violée par un migrant ivoirien… il choque au tribunal par son absence de remise en question face aux larmes de la victime anéantie. 5 ans de prison et il pourra revenir en France après l’ITF

    Vassindou Junior Méïté, l’homme qui l’a violée le 17 septembre 2023 dans un appartement à Lorient. Des voisins ont entendu, les colocataires ont entendu mais personne n’est intervenu. Il a fallu que des amis appelés à l’aide viennent la chercher. Elle ne quitte pas la main de sa mère, passe son audience en pleurs. (…)

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  • Le cycle infernal : taxer, subventionner…

    La France doit sortir du piège dans lequel elle a sombré depuis des années et qui consiste à régler un problème selon deux axes : l’impôt et la subvention. Ce qui ne semblait qu’anodin au tout début est devenu pesant et insupportable, à présent que le taux d’imposition est l’un des plus élevés du monde avec en échange, des services rendus aux abonnés absents, ou à minima, très en deçà de ce que les prélèvements devraient pouvoir offrir. Avec en arrière plan, la seule question qui vaille ces dernières années : Où passe l’argent ? Cette forme de collectivisation de l’économie a touché toutes les sphères d’influence, du moins celles qui sont par nature stériles, c’est-à-dire nos décideurs politiques et ceux qui diffusent la pensée, les journalistes, subventionnés justement ! Souvenez-vous en 1976. La grande sécheresse de l’époque avait accouché d’un impôt de solidarité pour venir en aide aux agriculteurs qui avaient souffert de l’événement climatique. Ce qui devait être une exception est devenu une règle, et pour tout problème on considère que la taxe est la meilleure solution pour réguler ou modérer une consommation, une pratique.

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