
Deux poids, deux mesures.
D’un côté le champion toutes catégories de la servilité islamolâtre – et qui, pour s’excuser d’avoir pointé récemment les djihadistes sur les réseaux sociaux, enchaîne immédiatement sur les dangers « plus réels » de l’extrême droite ! –, Emmanuel Macron, qui nous gave en ce moment avec les déboires de sa femme dont, à vrai dire, je me moque éperdument de savoir si elle est une autruche ou un faisan !
De l’autre, Donald Trump, qui dit et qui fait, et surtout : qui se dresse contre l’extermination systématique des chrétiens dans le monde, à commencer par ceux du Nigeria, subissant depuis des années un génocide autrement plus violent et efficace qu’à Gaza ou en Cisjordanie.
Ainsi : « Le président américain, Donald Trump, a mis en garde le Nigeria ce samedi 1er novembre, menaçant le pays d’une intervention militaire si le pays ne mettait pas fin aux « meurtres de chrétiens. »
Vous savez, ces chrétiens, pourtant noirs – et qu’on ne peut donc pas trop accuser d’êtres les dignes représentants du « terrible » mâle blanc si cher à l’insupportable et morveuse Delphine Ernotte –, dont on transforme les filles en esclaves sexuelles – une tradition très islamique – et massacre les autres ?
Ces Noirs chrétiens qui, tout comme leurs frères et sœurs orientaux, sont volontairement oubliés des médias, lesquels sont obsédés par leur haine anti-chrétienne il est vrai, à quelques rares exceptions près. Eh bien, le Président américain, lui, n’entend pas fermer les yeux sur cette abomination qui non seulement n’intéresse pas la caste politique française mais encore doit en satisfaire certains, dont nous tairons les noms pour ne pas exciter les juges rougeoyants, qui en ont déjà assez après ma peau et celle de Riposte laïque !
Et il n’y va pas par quatre chemins, Donald, il ne tergiverse pas, il ne tortille pas du cul devant Yassine Belattar : « Si le gouvernement nigérian continue de tolérer les meurtres de chrétiens, les Etats-Unis cesseront immédiatement toute aide au Nigeria, et pourraient très bien aller dans ce pays désormais déshonoré en défouraillant à tout-va, pour anéantir complètement les terroristes islamistes qui commettent ces atrocités horribles. »
Pour rappel : « Au cours des sept premiers mois de 2025, des groupes djihadistes ont tué 7 087 chrétiens dans diverses régions du Nigeria, révèle un nouveau rapport de la International Society for Civil Liberties and Rule of Law (Intersociety).
Selon le rapport publié le dimanche 10 août, 7 800 autres personnes dans ce pays d’Afrique de l’Ouest ont été « violemment enlevées » pour motif religieux au cours de la même période. »
Pendant ce temps, chez nous, dès qu’on trouve un poil de cul de sanglier sur la grille d’une mosquée, c’est toute la sous-classe politique qui se rue, se fouettant le dos avec une discipline et hurlant presque : « Allahu akbar ! » Enfin, pas si grand que ça pour trembler à la moindre vue d’une tranche de jambon…
Donc, en ce jour des morts – j’écris ces lignes le 2 novembre, lendemain de la Toussaint –, je tiens à remercier chaleureusement le Président des États-Unis et gratifier, pour l’occasion et le reste, de mon mépris le plus sincère Emmanuel Macron pour ses accointances avec l’islam – qui lui interdisent de défiler dans une manifestation contre l’antisémitisme et l’obligent à ignorer la christianophobie galopante dans notre pays – ou, comme l’avait écrit un Gilet jaune sur un grand cœur en peluche : « Je te déteste de tout mon cœur ! »
Charles Demassieux