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  • Paris démuni face à ses djihadistes

    La politique poursuivie vis-à-vis de Damas n’est pas sans conséquence dans l’Hexagone, où Paris se prive de l’aide juridique qui lui permettrait de poursuivre plus efficacement les djihadistes français de retour au pays.

    Depuis 2011, une vaste épuration ethnique est entreprise par les groupes islamistes armés de l’EI (État islamique) à l’encontre des minorités confessionnelles, y compris des sunnites modérés. L’idéologie du takfirisme, transcendant ces groupes islamiques, tend à la négation par la violence et l’extermination de toute croyance confessionnelle différente.

    Des centaines de volontaires

    Cette doctrine est partagée par un nombre croissant de concitoyens français. Selon les chiffres dernièrement publiés par le ministère de l’Intérieur, le nombre de Français présents dans des groupes terroristes s’élève à près de mille individus, tandis que certains experts estiment leur nombre à plus de trois mille. Au mois de septembre 2014, les départs pour la Syrie ont augmenté de 74 % selon la Place Beauvau. Les années 2013 et 2014 ont révélé l’existence d’un soutien moral, financier et humain parmi une fraction de la population française.

    Ces Français ayant des liens avec les groupes islamistes armés présents en Syrie, soit en tentant de s’y rendre, soit en en revenant, sont l’objet d’une enquête ou d’une ouverture d’instruction pour des faits d’acte de terrorisme (selon le ministère de la Justice, sur neuf cent quarante-deux cas recensés de Français partis ou revenus de Syrie, trois cent vingt-neuf faisaient l’objet d’une enquête et trente cinq d’une information judiciaire). Le retour des ressortissants en France fait peser le risque de constitution de cellules dormantes appartenant à ces réseaux transnationaux islamistes. Dans cette perspective, l’adoption du projet de loi renforçant la prévention et la répression du terrorisme, qui a été voté le 18 septembre 2014 par l’Assemble nationale, paraît inconséquent, sachant que les dispositions du code pénal et du code du procédure Pénale permettent en théorie aux juridictions françaises de juger des crimes et délits commis à l’étranger.

    En effet, les juges d’instruction saisis de faits criminels ou délictuels commis à l’étranger peuvent instruire, c’est-à-dire enquêter sur les infractions perpétrées par les djihadistes français. Toutefois, cette faculté ouverte aux juridictions françaises dépend de l’ouverture d’une coopération judiciaire et d’une demande formulée en ce sens par les magistrats français à leurs homologues syriens. Mais du point de vue de Damas, seul le rétablissement des relations diplomatiques entre ces deux pays permettrait une telle coopération. Or, la France se refusant à rétablir des relations, les enquêtes à l’encontre des Français présents ou ayant été présents en Syrie sont ainsi privées de l’apport des informations collectées par les services syriens, évidemment bien renseignés, qui disposent d’indicateurs dans les groupes composant l’État islamique. Il en ressort que la France se prive d’une source fiable et le Parquet, les juges d’instruction et les juridictions de jugement sont amenés à poursuivre et à statuer quasiment à l’aveugle, sans connaitre l’ensemble des faits et actes commis et susceptibles d’être reprochés à ces Français djihadistes – y compris des meurtres. Les enquêtes diligentées par le Parquet et les juges d’instruction reposent, pour l’essentiel, sur les auditions et interrogatoires des djihadistes eux-mêmes et la surveillance des réseaux sociaux… Dans ces circonstances, les enquêteurs ne peuvent opposer aux mis en cause et mis en examen des éléments de preuves recueillis par d’autres sources.

    Nulle recherche de preuve

    Par comparaison, on sait qu’en matière de criminalité organisée, les écoutes téléphoniques, les surveillances, filatures et géolocalisations pendant les enquêtes et commissions rogatoires sont la norme. Ce sont bien ces moyens que les Syriens sont à même d’apporter. Au final, ces terroristes bénéficient de facto d’une absence de recherche de preuves.

    Le constat que ces Français djihadistes constituent un contentieux de masse appelle à cette coopération, alors même que le flux de volontaires français est loin de se tarir. Les crimes relevant de l’épuration ethnique par les groupes islamistes armés auxquels appartiennent ces Français devraient requérir une répression plus grande. À ce jour, la République arabe syrienne, État souverain, reconnue par la majorité des États du monde et représentée dans les organisations internationales, est le seul acteur capable de mettre en œuvre des investigations à l’encontre des ressortissants français présents sur son sol. Se borner à surveiller les réseaux sociaux, à “empêcher” les nouveaux départs, aboutit dans les faits à refuser de prendre en compte les exactions commises en Syrie, est un déni de justice – et une imprudence irresponsable.

    Fabrice Delinde

    Article paru dans l’Action Française 2000 n° 2896 du 06 novembre 2014

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Paris-demuni-face-a-ses

  • Viktor Orban : l'Union Européenne peut devenir une expérience utopique

    L'Union Européenne peut devenir une expérience utopique, c'est notre responsabilité que cela ne se produise pas - déclare le premier ministre Hongrois, M. Viktor Orban. L'homme politique a écrit un article publié sur le site du gouvernement hongrois suite à l'apparition du livre de l'ancien chancelier allemand, M. Helmuth Kohl intitulé "Par souci de l'Europe".

    Selon M. Orban, la question aujourd'hui pour l'UE est la suivante : Va-t-elle entrer dans l'histoire de l'humanité comme une nouvelle utopie ou non, et il ajoute: si nous ne faisons pas attention, elle peut devenir un nouvel exemple d'expérience utopique ratée. Selon le premier ministre, le livre de M. Kohl montre bien que les petits membres de l'UE sont aussi importants que les grands.

    "Avec M. Kohl je suis convaincu que les valeurs les plus importantes de l'Europe sont les nations... En Europe les nations sont la réalité, les États-Unis de l'Europe c'est l'utopie. (...) Car il y a des racines nationales millénaires, et les couper équivaudrait à un suicide."

    Viktor Orban est persuadé qu'il faut mieux intégrer les nations dans le travail de l'UE, car des institutions créées il y a quelques décennies ne peuvent pas remplacer les cadres de vies multiséculaires des gens. Il est voué à l' échec si nous voulons créer une Europe sans les caractères nationaux. Orban écrit également que les Hongrois sont d'accord avec Helmuth Kohl quand il dit que "nous ne voulons pas une institution mammouth indépendante, bureaucratique et centralisée".

    Orban estime que l'UE institutionnalisée ne peut pas s'éloigner des Etats membres et de citoyens, car nous sommes tous les membres d'une communauté de valeurs issue d'une culture aux racines chrétiennes. Il poursuit :

    "la construction de l'Europe n'est pas une utopie, c'est quelque chose très concret qui veut préserver la paix. L'idée de l'unité européenne est née justement en réponse à des utopies dangereuses qui ont fait faillite au XX. siècle".

    Michel Janva

  • « Remigration » : un nom barbare pour le projet des Identitaires

    Cette politique doit pousser les candidats à l'immigration à rester chez eux, et ceux qui sont déjà arrivés au titre de l'immigration de travail ou de regroupement familial à y retourner.   

    Le 15 novembre se tiendront à Paris les Assises de la remigration. Un nom inconnu de l’Académie française et même de Wikipédia, une appellation barbare qui veut pourtant bien dire ce qu’elle veut dire. Il s’agit d’une politique très très incorrecte qui envisage de renvoyer chez eux le surplus d’immigrés, à commencer bien entendu par les clandestins et les chômeurs venus chez nous trouver du travail et qui, n’en trouvant plus ou pas, n’ont aucune vocation à rester.

    Cette remigration dont Marine Le Pen vient de parler dans sa dernière conférence de presse, sans oser en prononcer le nom, est une idée du Bloc identitaire qui, lentement, très lentement, fait son chemin, notamment sur la Toile. Bien que le directeur du FNJ Gaëtan Dussausaye dénie le terme de Grand Remplacement, il considère que la remigration pourrait commencer par se faire en vidant les prisons et en renvoyant chez eux tous les criminels qui y sont enfermés.

    Participeront à ces Assises des personnalités aussi différentes que Jacques Bompard, Philippe Conrad, Jean-Yves Le Gallou, Guillaume Faye. Ils discuteront des 26 mesures proposées par le Bloc pour que cette remigration se fasse dans les meilleures conditions d’humanité possibles.

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  • Visite de Manuel Valls à Belgrade : petite histoire de l’amitié franco-serbe

    A l’occasion de la visite de Manuel Valls en Serbie, jeudi et vendredi, Jean-Christophe Buisson rappelle les liens qui unissent depuis des siècles les peuples français et serbe.

    Rédacteur en chef Culture et art de vivre du Figaro Magazine, Jean-Christophe Buisson est l’auteur de plusieurs livres sur la Serbie : Mihailović, Histoire de Belgrade, Le Goût de Belgrade. Dernier livre paru : Les grands duels qui ont fait la France (direction, avec Alexis Brézet, Perrin/Le Figaro Magazine)

     

    « Aimons la France comme elle nous a aimés ».

    Vendredi matin, au terme de sa visite officielle de deux jours en Serbie, Manuel Valls s’inclinera devant le Monument baptisé Reconnaissance à la France, installé à l’entrée du parc du Kalemegdan, au cœur de la vieille ville de Belgrade. Œuvre du sculpteur croate Ivan Meštrović, cette sculpture monumentale fut inaugurée en 1931 pour que jamais les habitants de la Ville Blanche, comme ceux de tout le Royaume de Yougoslavie, qui avait succédé en 1929 au Royaume des Serbes, Croates et Slovènes né au lendemain des traités de paix, n’oublient leur dette à l’égard du pays qui, treize ans plus tôt les avait libérés de l’occupation germanique et bulgare. La veille, c’est-à-dire ce jeudi soir, à l’heure où François Hollande tentera de convaincre les Français des vertus de sa présidence, le Premier ministre aura assisté à une réception, à quelques mètres de là, rue de Paris, à la Résidence de l’ambassadeur de France en Serbie : un majestueux bâtiment art déco conçu - comme un symbole - par un architecte français et un architecte serbe, surmonté de trois statues symbolisant la liberté, l’égalité et la fraternité. Sans doute Manuel Valls repartira-t-il agréablement surpris de ce pays dénoncé pendant de longues années - et encore parfois aujourd’hui - comme l’antre balkanique du Diable, le repaire de néofascistes homophobes, de hooligans racistes, de criminels de guerre mafieux et de jeunes filles en fleur aux mœurs légères et intéressées. Il est vrai que dans son propre camp, massivement marabouté par Bernard-Henri Lévy, hormis François Mitterrand, Jean-Pierre Chevènement, Roland Dumas et Hubert Védrine, il n’y aura guère eu de responsable politique pour dépasser ces clichés réducteurs depuis 1991 et le début des guerres yougoslaves. Et pourtant.

    Sans doute Manuel Valls n’aura-t-il pas le temps de retenir tout ce que ses hôtes lui auront répété pendant deux jours sur la longue fraternité unissant depuis sept siècles au moins les peuples français et serbe. Peut-être quelques mots, quelques dates, quelques noms... Ceux-ci, par exemple :

    Pierre l’Ermite, prédicateur amiénois qui traversa les villes alors byzantines de Belgrade et Niš, en 1096, à la tête de Croisés en route pour Jérusalem.

    La bataille de Kosovo, qui, le 28 juin 1389, opposa chevaliers chrétiens et troupes ottomanes. Sur la foi de la chronique de Philippe de Maizières, le roi de France Charles V crut qu’elle marquait une grande victoire contre les Turcs et fit célébrer un Te Deum à Notre-Dame de Paris en sa présence.

    Le Prince Eugène de Savoie, autre héros des guerres anti-ottomanes qui, administrant Belgrade pour le compte des Autrichiens entre 1718 et 1739, s’appliqua à introduire localement des éléments de civilisation française, depuis l’aménagement urbain jusqu’aux petits pains en passant par la création de la première pharmacie de la capitale serbe. [....]

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Visite-de-Manuel-Valls-a-Belgrade

  • Le siège des 40 Days for Life va s’installer dans les locaux d'un ancien avortoir

    Tout un symbole de l'avancée du mouvement pro-vie aux Etats-Unis :

    "la première campagne des 40 Days for Life a été lancée voici dix ans cette année, en 2004, à Bryan/College Station au Texas devant l’avortoir local de Planned Parenthood. Les débuts furent modestes, mais la détermination et la persévérance de cette vigile eurent raison de cet avortoir qui ferma ses portes l’année dernière. Mais ce n’est pas fini… Shawn Carney nous apprend quele siège social des 40 Days for Life va déménager et s’installer… dans les locaux de cet ancien avortoir de Planned Parenthood ! Les travaux ont déjà commencé…

    Ce nouveau siège social, plus grand que le précédent, sera de grand service pour toutes les communautés pro-vie. Les dirigeants de 40 Days for Life y installeront, en coopération avec le réseau CareNet, un Hope Pregnancy Center, un service médical destiné à aider les mamans enceintes."

    681 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement au cours de la dernière campagne.

    Michel Janva

  • L’Afrique n’est pas sur le point de démarrer – L’Afrique Réelle N°59, novembre 2014

    Editorial de Bernard Lugan :

    A en croire les médias, l’Afrique serait sur le point de « démarrer » puisque son taux moyen de PIB est supérieur à celui du reste du monde. Or, il ne s’agit là, hélas, que d’une illusion fondée sur des chiffres qui ne tiennent aucun compte des tensions, des problèmes politico-ethniques, des héritages et des divers blocages que connaît le continent.

    En dépit des effets d’annonce, et à l’exception d’enclaves dévolues à l’exportation de ressources minières confiées à des sociétés transnationales sans lien avec l’économie locale, la situation africaine est en réalité apocalyptique :

    - la « bonne gouvernance » n’y a pas mis fin aux conflits,
    - la démocratie n’y a résolu aucun problème,
    - les crises alimentaires sont de plus en plus fréquentes,
    - les infrastructures de santé ont disparu,
    - l’insécurité y est généralisée,
    - la pauvreté y atteint des niveaux sidérants. En 15 ans, le nombre de pauvres est ainsi passé de 376 millions à 670 millions ; il a donc doublé.

    Nous voilà loin de la « méthode Coué ». Quatre grandes raisons expliquent ces échecs :

     

    1) La priorité donnée à l’économie. Dans tous les modèles proposés ou imposés à l’Afrique sud saharienne, l’économie est toujours mise en avant. Or les vrais problèmes du continent ne sont pas fondamentalement économiques, mais politiques, institutionnels, ethniques et sociologiques.

    2) Le refus d’admettre la différence car les Africains ne sont pas des Européens pauvres à la peau noire. Comme le dit le proverbe congolais: « l’arbre qui pousse sur les bords du marigot ne deviendra jamais crocodile ».

    3) Le diktat démocratique imposé à l’Afrique a eu pour résultat la destruction de ses corps sociaux et le triomphe de la mathématique électorale, le pouvoir revenant automatiquement aux ethnies les plus nombreuses, ce que j’ai défini comme étant l’ethno mathématique électorale.

    4) La démographie insensée et suicidaire qui va plus vite que la création des infrastructures, va provoquer de véritables cataclysmes dont il est difficile d’imaginer l’ampleur.

    De plus, ne perdons pas de vue que la courbe de croissance africaine n’est que la conséquence des prix, par définition fluctuants, des matières premières; elle est donc à la fois fragile et artificielle. Cette croissance n’étant pas homogène, la différence est considérable entre les pays producteurs de pétrole ou de gaz et les autres. Enfin, les hydrocarbures font peut-être enfler les courbes de croissance, mais ils n’empêchent pas la faillite économique et sociale. Les exemples du Nigeria et de l’Algérie sont éloquents à ce sujet.

    SOMMAIRE

    Actualité :
    - L’Algérie est-elle au bord du précipice ?
    - Mozambique : la coupure nord-sud s’accentue

    Livres :
    Afrique : la guerre en cartes

    Rwanda :
    Le TPIR confirme sa jurisprudence : le génocide n’était pas programmé.

    Préhistoire :
    L’Afrique n’est pas le berceau de toute l’humanité

    http://fr.novopress.info/178116/lafrique-nest-pas-point-demarrer-lafrique-reelle-n59-novembre-2014/

  • Plus fort que Frigide Barjot, les Indigènes de la République dénoncent l’« impérialisme gay »

    L’homosexualité, invention occidentale imposée à l’Afrique et au Maghreb, via un « impérialisme des modes de vie » ? C’est la thèse qui se développe dans une partie de l’extrême gauche, alors que la France débat du mariage homo.

    C’est une idée en vogue dans les milieux anti-impérialistes : Si le mariage pour tous n’a pas la cote dans « les quartiers populaires », c’est parce que ses habitants – descendant en majorité de « colonisés », ne seraient pas sensibles à cette idée occidentale.

    Petit livre vert Alors que toute la France débat du mariage homo, StreetPress vous signale la parution d’un essai qui vient apporter de l’eau au moulin à cette surprenante théorie : « Les féministes blanches et l’empire »(link is external), signé Stella Magliani-Belkacem et Félix Boggio Ewanjé-Epée, aux éditions La Fabrique. Un petit livre vert (110 pages) dans lequel les deux auteurs affirment que « l’homosexualité, comme identité » est « une notion » occidentale qui n’est pas adaptée au monde arabe et africain. Et par « analogie », pas adaptée non plus à ceux qui en sont issus : les habitants des « quartiers populaires ».

    Vous avez peut-être aperçu Stella Magliani-Belkacem à l’université d’été du Front de Gauche, ce mois d’août à Grenoble où elle était à la tribune pour s’exprimer sur « l’anti-racisme et le mutliculturalisme ». Félix Boggio Ewanjé-Epée – essayiste précoce puisqu’il n’a que 22 ans – est, lui, un ancien du NPA. Mais c’est surtout grâce à leurs activités dans le monde de l’édition qu’ils bénéficient d’une notoriété certaine dans le milieu anti-impérialiste. La paire a coordonné la rédaction du recueil Nous sommes les Indigènes de la République (Ed. Amsterdam, 435 p) du mouvement du même nom. Stella Magliani-Belkacem est secrétaire d’édition dans la maison d’édition La Fabrique d’ Eric Hazan.

    Devant son expresso dans un bistrot de la rue de Belleville, Félix Boggio Ewanjé-Epée résume le leitmotiv du chapitre consacré à la question LGBT de son essai :

    « Dénoncer la tentative de faire de l’homosexualité une identité universelle qui serait partagée par tous les peuples et toutes les populations. » [....]

    La suite sur Streetpress.com

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Plus-fort-que-Frigide-Barjot-les

  • La présidence de l’UMP passe par la Manif pour tous

    Selon le JDD :

    "Sens commun, mouvement issu de la Manif pour tous, fera passer samedi un grand oral aux candidats à la présidence de l’UMP. Outre la loi Taubira, Bruno Le Maire s’exprimera sur l’agriculture et l’écologie, Hervé Mariton sur la souveraineté et les forces armées, Nicolas Sarkozy sur la cohésion nationale. Aucun débat n’est prévu entre les trois hommes."

    Sens Commun est le seul mouvement interne à l'UMP ayant réussi à rassembler les 3 candidats de l'UMP.

    Michel Janva