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  • UMP : pour en finir avec l'École des fans

    Deux ans après sa défaite à la présidentielle, le parti d'opposition est au point mort. Il n'a pas de projet. Son seul horizon : la guerre des chefs.

    Deux ans pour quoi faire ? Le reproche adressé par la droite à la gauche au pouvoir vaut aussi pour elle-même. Si Nicolas Sarkozy est sorti de l'ambiguïté, plutôt à ses dépens, l'UMP reste dans le flou. Le principal parti d'opposition n'a toujours pas tiré de leçon de l'échec du précédent quinquennat. Carbonisé par ses scandales financiers et sa guerre des chefs, il demeure imprégné du culte de l'homme providentiel.

    L'UMP, c'est l'École des fans version bonapartiste. Ce n'est pas seulement un tempérament dont aura besoin la droite si elle veut réussir en 2017. Pour gouverner efficacement, elle devra aussi s'appuyer sur des idées claires. Il lui faut d'urgence dégager une ligne politique entre ses différentes aspirations : identitaire, libérale, étatiste, conservatrice, réactionnaire, européenne, souverainiste... Une ligne politique, et non une stratégie marketing de conquête des mécontents.

    Or, à l'instar de la gauche, la droite est de plus en plus "prisonnière de la société ou plus précisément des sociétaires se posant comme victimes"*. Elle se cantonne au rôle de porte-parole, un jour des anti-mariage pour tous, le lendemain d'autres professions. À défaut d'un grand dessein, elle promeut, comme une vieille tante radoteuse, des "valeurs". Il lui appartient au contraire de poser la question du "bien commun" et de définir un projet collectif. Comme dirait l'autre, "Ça ne coûte pas très cher", mais ça peut rapporter gros... Il ne s'agit plus de renflouer l'UMP mais de sauver le paquebot France. En avant toute !

    Sébastien Le Fol

    source : Le Point 

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuEZEpkFFFVjdEzvXD.shtml

  • [COMMUNIQUÉ DE L'ACTION FRANÇAISE] L'Assemblée a voté un texte déshonorant

    L’Assemblée nationale a décidé de transformer l’avortement, autrement dit le meurtre, en droit fondamental. Si la loi Veil était déjà une loi infâme, elle avait au moins le mérite de rappeler, dans son article premier, que « la loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi ». Depuis hier, la nécessité n’existe plus. Chacun est désormais libre de disposer de la vie d’autrui, pour des motifs à lui seul connus, qui n’engagent que lui – et le malheureux incapable de se défendre et à qui on dénie le droit d’être défendu.

    La « gauche » a voté unanimement en faveur de ce droit fondamental, quand la « droite » a brillé par son absence, et son absence d’opposition, au moins de principe, semblant croire que la question ne mérite pas même une protestation et une présence solennelle. Le libéralisme l’a emporté une nouvelle fois, et l’UMP lui a ouvert le chemin. Jean-François Copé, Nathalie Kosciusko-Morizet, Valérie Pécresse, Christian Jacob, Jean Léonetti et François Fillon se sont empressés de voter ce texte symbolique, montrant à quel point la culture de mort est désormais l’horizon moral des parlementaires : la nation, les familles et les hommes sont les cible de leur volonté destructrice. Aucun parti ni mouvement organisé ne s’est élevé contre cette ignominie qui livre à la mort chaque année des milliers d’enfants. Jean-Christophe Fromantin, Xavier Breton, Nicolas Dhuicq, Olivier Marleix, Yannick Moreau, Jean-Frédéric Poisson et Jacques Bompard ont seuls sauvé leur honneur.

    L’Action française réaffirme avec force la nécessité d’une volonté politique différente, la nécessité de préserver la vie, de la protéger lorsqu’elle est fragile, la nécessité d’une politique familiale et sociale qui n’abandonne pas les femmes au désespoir mais reconstitue cette cellule de base de la société qui permet aux plus faibles d’exister face aux forts. Une politique rendue possible par l’institution d’un serviteur du bien commun, ce dont la démocratie se montre incapable : le roi, censeur des puissants, protecteur des faibles, arbitre des Français.

    Action francaise

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Assemblee-a-vote-un-texte

  • Collectif des Maires de France en colère

    A l'occasion du salon des maires 2014, Philippe Brillault présente le collectif des maires de France en colère. Des maires courageux ont décidé d'exprimer ouvertement et publiquement leur colère de ne pas pouvoir administrer leur commune pour le bien commun de tous :

     

    Marie Bethanie

  • Les djihadistes de l’Etat Islamique continuent à éradiquer toute trace de christianisme en Irak…

    Lundi dernier, des miliciens djihadistes de l’Etat Islamique ont fait sauter le couvent des Sœurs Chaldéennes du Sacré Cœur, qui était au préalable occupé comme logement militaire et base logistique. Des sources locales affirment que les djihadistes l’ont abandonné et fait explosé après l’avoir considéré comme un objectif imminent des attaques aériennes de la coalition menée par les Américains contre le « Califat »…

    Pour le moment le monastère adjacent de Saint George ne semble pas avoir été touché.

    Le couvent du Sacré Cœur, connu comme le couvent de la Victoire, avait été construit grâce à une donation faite par Saddam Hussein, le président iraquien exécuté en décembre 2006.

    Une nouvelle trace du christianisme qui disparaît dans le berceau de la Chrétienté. Il y a quelques jours, c’est l’évêque syriaque de Mossoul qui s’effondrait en larmes, racontant que pour la première fois depuis 1500 ans, les chrétiens Irakiens fêtaient la Saint Simon hors de leur église de Mossoul…

    http://www.contre-info.com/

  • Une mère afghane venge son fils et tue 25 talibans

    Une femme afghane a tué au moins 25 talibans pour venger l’assassinat de son fils, abattu d’une balle dans la tête sous les yeux de sa mère dans la province de Farah, dans l’ouest du pays.

    Cette femme, qui se nomme Reza Gul, a pris les armes après l’assassinat de son fils, qui dirigeait un petit groupe de forces de police dans le village de Farah avant d’être tué par des talibans.

    Cinq talibans ont également été blessés au cours de la fusillade, qui a duré près de 7 heures. La mère du policier assassiné était secondée par sa fille et sa belle-fille dans son combat contre les militants.

    Le groupe terroriste n’a pas encore commenté l’incident.

     

    Le porte-parole du ministère de l’intérieur d’Afghanistan, Sediq Siddiqui, a déclaré que la lutte armée de cette femme est un symbole de révolution majeure et de révolte publique contre les militants talibans.

    Traduit d’après l’article de Press TV par Fabio Coelho pour Croah.fr

    http://www.contre-info.com/une-mere-afghane-venge-son-fils-et-tue-25-talibans#more-35627