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  • CRIF ? Snif… Ou les grandes manœuvres larmoyantes de Roger Cukierman

    Roger Cukierman a bénéficié dans le Figaro d’une longue tribune larmoyante sur ces Juifs qui quittent la France. Car, même si vous ne vous en apercevez pas, cœurs insensibles, le pays serait en proie à une recrudescence d’antisémitisme. Etonnant, tout de même, quand on pense au poids grandissant du CRIF et de la LICRA dans l’appareil décisionnel de l’Etat. Faudrait-il y voir un lien de cause à effet ? A moins qu’ici encore, ce soit la faute à l’absence de « gouvernance mondiale » plaidée comme remède lors de la convention annuelle du CRIF

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  • L’Allemagne envisagerait encore la sortie de la Grèce de la zone euro

    Le gouvernement allemand est prêt à laisser la Grèce sortir de la zone euro, au cas où la gauche radicale remettrait en cause la politique de rigueur budgétaire dans ce pays, a affirmé samedi 3 janvier le magazine Spiegel.

    « Le gouvernement allemand juge quasiment inévitable une sortie (de la Grèce) de la zone euro, si le chef de l’opposition Alexis Tsipras dirige le gouvernement après les élections (législatives), abandonne la ligne de rigueur budgétaire et ne rembourse plus les dettes du pays », affirme le site web de l’hebdomadaire, en s’appuyant sur « des sources proches du gouvernement allemand ».

    UNE HYPOTHÈSE « SUPPORTABLE »

     

    Angela Merkel et son ministre des finances Wolfgang Schäuble, tous deux conservateurs, « jugent supportable une sortie du pays de la monnaie unique en raison des progrès accomplis par la zone euro depuis le sommet de la crise en 2012 », assure le Spiegel.

    Au sein du gouvernement, la première réaction à cet article est venue du secrétaire d’Etat social-démocrate aux affaires européennes, Michael Roth. « La Grèce est membre de la zone euro. Et doit le rester. Il faut éviter de provoquer, par la parole, des conséquences politiques et économiques qui seraient malvenues », a-t-il déclaré sur son compte Twitter.

    La chancellerie et le ministère allemand des finances n’ont quant à eux ni confirmé ni infirmé les informations du Spiegel. « La Grèce a rempli ses obligations dans le passé », a toutefois tempéré un porte-parole du gouvernement, ajoutant que « le gouvernement allemand part du principe que la Grèce va continuer à l’avenir de remplir ses obligations envers la troïka » de ses créanciers (Union européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international). [....]

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  • La Grande mosquée de Madrid : lieu de recrutement pour le jihad

    L'information n'est pas parue dans la presse française. C'est l'Observatoire de l'islamisation qui révèle l'information :

    "Largement commenté dans la presse espagnole, le démantèlement d'une filière jihadiste au sein même de la grande mosquée de Madrid inaugurée en grande pompe par le roi Juan Carlos d'Espagne et le roi Fadh d'Arabie Saoudite en 1992, fait couler de l'encre outre-pyrénées. Mais ce qui se passe dans la plus grande mosquée d'Europe n'intéresse pas les médias français. Une brigade de l'Etat Islamique dénommée Al-Andalus et dirigée par un ancien prisonnier de Guantanamo vivant en Espagne, Lahcen Ikassrien, a été mise à jour par le juge anti terroriste Pablo Ruz. La très officielle mosquée de Madrid appartenant à la Ligue islamique mondiale, bras prosélyte de l'Arabie Saoudite, était un lieu de rendez-vous privilégié pour endoctriner les recrues dont certaines sont déjà mortes sur le terrain entre la Syrie et l'Irak. [...]"

    Michel Janva

  • Hollande renonce à la proportionnelle et, une fois de plus, à ses promesses

    Ce n’est pas la première fois que François Hollande recule et agit en couard, ce ne sera pas non plus la dernière avant 2017.

    Le 20 août dernier, François Hollande s’était exprimé ainsi dans le journal Le Monde : « J’avais indiqué pendant la campagne présidentielle que j’étais favorable à l’introduction d’une part de proportionnelle. J’y suis prêt, si une majorité peut s’accorder sur cette orientation. » Durant cette campagne, François Hollande avait aussi promis qu’il serait « l’ennemi de la finance », qu’il rendrait la France « apaisée », qu’il relancerait la croissance ou que la République serait, avec lui, « exemplaire ». Il avait même avancé l’idée qu’il serait président de cette République. Deux ans et demi plus tard, il est aisé de constater qu’aucune de ses promesses n’a été tenue. François Hollande peut prétendre au titre que détenait son mentor corrézien, Jacques Chirac, celui de « super-menteur » et de président fantoche, tout entier occupé à découper des rubans.

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  • Désintox : la dhimmitude ne protège pas les chrétiens d'Orient

    Le géographe Gérard-François Dumont, professeur à la Sorbonne, a fourni à Atlantico, dans un article paru la veille de Noël, des éléments précis concernant l'annus horibilis des chrétiens d'Orient, notamment sur l'ampleur de l'exode en Irak et en Syrie. Interrogé sur le statut de "dhimmis" ("protégés"), qui assurerait aux chrétiens une protection des musulmans en échange du versement d'un impôt, il égratigne la définition officielle (voir sur Wikipedia par exemple) :

    "Selon le Coran, les chrétiens sont "des gens du Livre", c'est-à-dire des monothéistes, les musulmans leur doivent donc un certain respect. Dans quelle mesure les chrétiens d'Orient ont-ils été préservés des exactions des djihadistes, par rapport à d'autres minorités comme les yézidis par exemple ?

    Il faut d'abord préciser que le principe appelé de "dhimmitude" consiste certes à ne pas tuer les chrétiens, mais à les traiter, comme les adeptes des autres religions du Livre, de manière nettement inférieure. Les chrétiens subissent donc un certain nombre de vexations, juridiques, fiscales ou autres, qui ont d’ailleurs conduit, au fil des siècles, nombre de chrétiens à être contraints de se convertir à l’islam. Il faut en effet rappeler que, lors de la conquête islamique du VIIe siècle, la Mésopotamie était très majoritairement chrétienne, et l’est restée encore quelques siècles jusqu’à ce que les conversions à l’islam modifient le rapport de force.

    En outre, l'histoire de l'islam dans cette région du Moyen-Orient montre qu'il y a des variations dans l’interprétation de la "dhimmitude". A certaines périodes, la "dhimmitude" consiste à seulement imposer aux chrétiens des impôts spécifiques, à leur interdire certaines charges, à les obliger à porter certains signes distinctifs… ; à d'autres périodes, cela se traduit par des violences contre les chrétiens, notamment lorsque cela arrange le pouvoir politique en place. Vivre comme dhimmis, c’est-à-dire comme sujets à statut inférieur dans un pays où le pouvoir politique est musulman, c’est donc non seulement subir des règles implacables d’infériorité, mais  aussi avoir une épée de Damoclès au-dessus de sa tête, car les règles de la "dhimmitude" peuvent toujours se trouver durcies sans préavispar les autorités politiques. La "dhimmitude" signifie toujours une politique d’exclusion vis-à-vis de ceux considérés comme dhimmis.

    En 2014, les chrétiens ont subi le même sort que les Yézidis dans les régions prises sous la férule de l’état islamique. Toutefois, il est vrai que les Yézidis, également monothéistes, ont particulièrement souffert à l’été 2014 parce que le territoire sur lequel ils vivaient, les monts Sinjar, dans la province irakienne de Ninive, est stratégique d’un point de vue militaire. C’était donc une priorité pour le groupe Etat Islamique de s'en emparer."

    Louise Tudy http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un jour, un texte ! Le soldat et sa famille, par le Père Michel Gasnier, O.P (2/3)

    « La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c'est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d'entrer dans le Paradis des Robots. »

    Georges Bernanos, La France contre les robots

    Cette nouvelle rubrique a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d'actualité, aujourd'hui, à l'heure où le pouvoir politique incapable de gouverner le pays, déclenche une guerre tous les 6 mois, tout en coupant à l'armée française ses moyens: le soldat et sa famille (5)

    « Quatre fillettes vinrent m'ouvrir… » (2/3)

    (Capitaine Gérard de Cathelineau, Parrain de la Promotion de Saint-Cyr 
    "Capitaine de Cathelineau", 1976 – 78.)

    L'auteur, le Père Gasnier, ne connaissait rien du capitaine de Cathelineau lorsqu'on le pria d'écrire sa vie. Il accepta et se rendit donc chez les parents de l'officier, puis chez sa femme. Voici le récit de ses visites.

     

    Deuxième séjour en Indochine

    Dans l'avion qui l'emporte, il est sans doute sensible à la féerie des paysages qu'il survole. Mais sa plume cherche surtout à consoler sa femme par ces lignes empreintes de pensées à la fois grandes et exquises : « Vos préoccupations sont les miennes et les miennes sont les vôtres. Votre vie est la mienne et la mienne est la vôtre. Vos gestes sont les miens et les miens sont les vôtres. Beauté indicible du sacrement de mariage ! Ainsi nos gestes s'unissent dans l'espace, et cette unité est offerte à Dieu, d'autant plus belle que notre peine d'être séparés est plus grande. Plus unis parce que plus éloignés l'un de l'autre. Plus aimés parce que plus unis, et plus fidèles dans la séparation et l'affliction... Si vous vous sentez triste et découragée, appelez Michèle, Béatrice et Odile, demandez-leur de déposer un baiser sur votre front bien doucement, bien tendrement. Ainsi réconfortée, pensant que je suis présent dans ces baisers, levez-vous, allez chercher le quatrième auprès de Guillemette. Si elle dort, donnez-lui ce baiser de maman dans lequel vous aurez mis toute votre tendresse. Dites-vous que ce baiser m'est destiné. Offrez-le à notre Mère du ciel, et croyez que j'en aurai l'ineffable joie... Le ciel a inventé la famille. Demandons-lui toutes les bénédictions qu'il y a attachées. »

    Ses diverses activités d'ordre militaire et sa vie mystique portée à ce sommet ne l'empêchent pas de demeurer en contact continuel avec sa famille, plus spécialement avec son épouse à qui il expédie une lettre quotidienne.

    « Si courte que soit la lettre journalière,écrit-il à sa femme en septembre 1954, elle traduit en quelques mots des flots d'affection éprouvés au cours de la journée à un instant ou à un autre. Elle est le bonjour et le bonsoir quotidiens, elle est — si insignifiante ou banale soit-elle — le réconfort qui ne manquera pas en cas de découragement ou de fatigue. La lettre quotidienne me met tous les jours face à mon bonheur de te savoir ma femme, au même titre que la prière quotidienne nous remplit de joie par la pensée de l'amour infini de Dieu ».

    Nous n'avons que l'embarras du choix pour puiser des textes dans l'abondant courrier. Le 2 février, par exemple, venant de recevoir une photo de sa femme et de ses enfants, il trace ces lignes : « Sous mes yeux, ma famille entière me regarde de ses cinq paires d'yeux intelligents, dynamiques et caressants. Que d'insondables et charmants mystères dans ces regards !... Ma Colette et moi nous avons uni nos deux volontés, nos deux cœurs, nos deux âmes pour toujours, pour cette oeuvre de vie que le Créateur a voulu de nous, pour cette œuvre de vie qui nous émeut ensemble et nous ravit au delà de nous-mêmes, pour cette œuvre de vie qui s'appelle Michèle, Béatrice, Odile, Guillemette, et la liste n'est pas close... Voilà que l'idée de Guillemette effectuant ses premiers pas m'est comme un soutien ».

    Il multiplie d'autant plus ses lettres d'affection que la santé de sa femme à cette époque lui donne de lourds soucis. Un certificat médical, signé du Val de Grâce où elle est soignée, lui parvient, qui provoque en sa conscience un dramatique débat. « Il n'est pas douteux, déclare le médecin traitant, que la présence de son mari auprès d'elle contribuerait à apaiser les inquiétudes de Madame de Cathelineau et faciliterait le repos physique et moral qui est indispensable à son rétablissement ».

    Ses chefs, auxquels il s'en remet pour prendre une décision, se montrent compréhensifs et tout en exprimant leurs très vifs regrets de le perdre, lui conseillent de faire une demande pour regagner la métropole. Sa demande est agréée et, au début de juillet 1955, il prenait l'avion qui le ramenait en France. Il avait écrit à ses parents : « Pour vous rassurer, je puis vous dire que proposable dès cette année pour le grade de chef de bataillon, j'ai eu droit à d'excellentes paroles du Général Gandoët qui m'a assuré que je partirai sur la liste des proposables avec un numéro, c'est-à-dire désigné plus spécialement, ce qui me met en bonne place pour les années suivantes... Au 1er juillet 1955, ma présence en Indochine aura été de 42 mois, dont 27 du premier séjour et 15 du second. » […]

    Père Michel Gasnier, o.p.

    Extrait de : "Un officier français, Gérard de Cathelineau".

    Nouvelles Éditions Latines – 1960.

    Lois Spalwer  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un jour, un texte ! Le soldat et sa famille, par le Père Michel Gasnier, O.P (1/3)

    « La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c'est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d'entrer dans le Paradis des Robots. »

    Georges Bernanos, La France contre les robots

    Cette nouvelle rubrique a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d'actualité, aujourd'hui, à l'heure où le pouvoir politique incapable de gouverner le pays, déclenche une guerre tous les 6 mois, tout en coupant à l'armée française ses moyens : le soldat et sa famille (4)

    « Quatre fillettes vinrent m'ouvrir… » (1/3)

    (Capitaine Gérard de Cathelineau, Parrain de la Promotion de Saint-Cyr 
    "Capitaine de Cathelineau", 1976 – 78.)

    L'auteur, le Père Gasnier, ne connaissait rien du capitaine de Cathelineau lorsqu'on le pria d'écrire sa vie. Il accepta et se rendit donc chez les parents de l'officier, puis chez sa femme. Voici le récit de ses visites.

    Je rendis visite à ses parents et je réalisai en les écoutant ce qu'un deuil comme celui qu'ils venaient de subir peut apporter à la fois de souffrance et de fierté dans le cœur d'un père et d'une mère. Je m'imprégnai de l'atmosphère de l'appartement qu'il venait, semblait-il, de quitter, tant les objets parlaient tous encore de lui...

    J'allai, quelques jours, après rue Antoine Chantin. Je sonnai. Quatre fillettes — celles qu'il avait tant aimées et à qui il avait adressé tant de lettres exquises dont j'ai songé, un moment, à faire un chapitre spécial de ce livre — vinrent m'ouvrir. Elles me sourirent, sachant que je venais pour celui qui n'était plus là, et chacune, avec innocence, me déclina son nom, que je connaissais déjà. Elles me conduisirent à leur maman.

    La conversation dura longtemps. Il ne fut question que de lui. Madame de Cathelineau me dit : « Je ne sais pourquoi on évite habituellement de me parler de Gérard. On craint, je pense, d'aviver ma douleur. Mais n'est-ce pas au contraire ma consolation d'entendre prononcer son nom et de me rappeler ce qu'il fut ?... »

    Ses photos étaient épinglées au mur, le fanion de son régiment étalait dans la pièce ses couleurs éclatantes. A la place d'honneur, je regardais le portrait de l'aïeul illustre, promoteur de l'insurrection vendéenne le drapeau dans une main, l'arme au côté, il montrait du doigt tendu, à ses troupes, le chemin de la victoire... ou de la mort.

    L'aînée des fillettes, devant une table, studieusement, préparait pour la rentrée des classes, qui se faisait proche, livres et cahiers. Une autre était venue s'asseoir non loin de sa maman et, le visage grave, les yeux grands ouverts brillant d'une flamme de tristesse poignante et d'amour, nous écoutait avec avidité...

    Les deux petites, sur le large balcon, jouaient et couraient...

    Madame de Cathelineau, avec une simplicité qui m'émut, me confia, sans en exclure aucune, toutes les lettres qu'elle avait reçues de lui et qui commençaient par ces mots de tendresse : « Colette chérie... »

    Avant que je ne parte, par la fenêtre ouverte, elle me montra, barrant la ligne d'horizon, les hauteurs boisées de Meudon : « C'est là, me dit-elle, qu'il repose, et, d'ici, à chaque instant, je puis le saluer. Quand il me fit visiter pour la première fois cet appartement qu'il venait d'acheter : "Regarde ! Regarde ! Insista-t-il avec une sorte d'exaltation étrange qui me surprit, on aperçoit Meudon !" »

    Père Michel Gasnier, o.p.

    Extrait de : "Un officier français, Gérard de Cathelineau".

    Nouvelles Éditions Latines – 1960.

    Lois Spalwer

  • Chronique des temps présents : l’Ukraine en 2 chiffres et 3 questions

    Rien n’incarne mieux les profondes contradictions que traverse l’Ukraine, ainsi que l’alliance contre-nature entre les nationaux-révolutionnaires et les libéraux à la tête du pays aujourd’hui, que l’image de Vladimir Hroisman, nouveau président du parlement, siégeant à côté de son vice-président Andrei Parubiy.

    L’antagonisme indépassable entre l’ancien maire de Vinnitsa, proche de Porochenko, d’origine juive, et le cofondateur du Parti Social-Nationaliste d’Ukraine est tel que l’on serait tenté de ne voir dans « ce couple » qu’un simple alibi, voire un argument politique à l’attention de ceux qui pourraient, légitimement, s’inquiéter de la montée en puissance des éléments radicaux au sein des structures intimes du pouvoir.

    Alors que le pays s’apprête à célébrer le premier anniversaire des évènements de « Maidan » et du coup d’état qui renversa Viktor Yanukovich en février dernier, la situation de l’Ukraine semble inextricable. Cette situation peut se résumer en 2 chiffres et 3 questions.

    20% des échanges commerciaux, la Russie incontournable et centrale

    Malgré la crise, malgré le conflit ou la stigmatisation systématique du Kremlin – responsable aux yeux de l’Occident de tous les maux de la planète – malgré les sanctions, la Russie représente encore aujourd’hui près d’un cinquième des échanges commerciaux de l’Ukraine. En dehors de toute considération morale ou éthique, ce chiffre indique en substance une seule chose : la Russie demeure incontournable dans le processus de sortie de crise du pays et cela, malgré les efforts incessants pour la marginaliser ou la sanctionner à chaque fois que l’amorce d’une négociation s’esquisse. Alors que l’équipe gouvernementale de Kiev étudie sérieusement la possibilité d’ériger un mur physique à la frontière des deux pays, on est en droit de s’interroger sur la crédibilité de sa politique générale [....]

    La suite sur realpolitik.tv

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Chronique-des-temps-presents-l

  • Le SIEL appelle à marcher pour la vie le 25 janvier

    Communiqué du SIEL :

    "En 2015, le sort des personnes âgées, des malades et des handicapées est clairement menacé.

    Les forces libérales-libertaires s’apprêtent à lancer cette année une offensive majeure en direction des personnes vulnérables : François Hollande avait incorporé la promotion de l’euthanasie à son programme présidentiel (proposition 21) et de puissants intérêts se manifestent régulièrement pour modifier la loi Léonetti sur la fin de vie afin de  légaliser insidieusement les gestes euthanasiques.

    La Marche pour la vie 2015 appelle les citoyens à manifester le dimanche 25 janvier à Paris de 14 heures à 18 heures pour dire non à l’euthanasie et préserver la dignité des personnes vulnérables.

    Le SIEL soutient cette initiative salutaire et invite des adhérents et tous nos compatriotes à y participer massivement afin d’organiser une opposition durable aux dérives bioéthiques (industrie procréatique, recherche sur l’embryon, GPA, euthanasie etc..) inaugurées par la loi sur l’avortement.

    Cette manifestation sera une formidable occasion pour les Français de rappeler avec force que le respect de la vie humaine, de la conception à la mort naturelle, est un principe intangible qui fonde notre civilisation."

    Michel Janva