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  • La justice serbe réhabilite le général Mihailovic

    Le Général Mihailovic fut le chef de la résistance chrétienne et monarchiste serbe aux envahisseurs italiens et allemands pendant la deuxième guerre mondiale. Il fut combattu par les occupants comme par la résistance communiste de Tito. Abandonné par les Anglo-saxons, il fut condamné par la "justice" des libérateurs communistes, et fusillé.

     

    Il vient d’être réhabilité par la justice serbe.

    "La Cour supérieure à Belgrade a réhabilité le commandant de l’Armée royale dans la patrie le général Draza Mihailovic et lui a restitué les droits civiques qui lui ont été levés en 1946 dans le procès politique et idéologique du régime communiste. La Cour a annulé le verdict condamnant Mihailovic le 15 juillet 1946 à mort et Mihailovic a été fusillé deux jours plus tard. La Cour a constaté que le verdict litigieux avait été prononcé dans un procès illégal pour des raisons politiques et idéologiques. La première demande de réhabilitation a été soumise par le grand-fils de Mihailovic Vojsilav Mihailovic en 2006 et plusieurs associations et individus éminents ont rejoint la demande. La décision de la Cour a confirmé les allégations de ceux qui proposaient la réhabilitation que Mihailovic n’a pas eu le droit à la défense au cours du procès, qu’il n’avait pas vu son avocat jusqu’au début du procès, qu’il n’avait pas le droit à un tribunal impartial, alors que l’acte d’accusation lui a été remis sept jours avant le procès. Il n’avait pas de droit à la plainte au verdict et il a été fusillé deux jours plus tard."

    Vu dans le Salon Beige

  • Journal US: déçue par l'Occident, la Géorgie se tourne vers Moscou

    La tendance de l'Occident à se désintéresser de la Géorgie après le départ du président Saakachvili pousse les Géorgiens à envisager la possibilité d'une normalisation des relations avec Moscou.

    L'Union européenne se montre de moins en moins disposée à accueillir la Géorgie, ce qui provoque la déception des Géorgiens et les pousse à envisager la possibilité d'une réconciliation avec la Russie, rapporte le Financial Times. 

    Lors du sommet de l'Otan tenu en septembre dernier à Cardiff, l'Alliance n'a pas proposé à la Géorgie le plan d'action pour l'adhésion (MAP). L'Union européenne n'a pas non plus allégé le régime des visas avec la Géorgie. Bref, les habitants de ce pays du Caucase n'ont jusqu'à présent obtenu aucun des nombreux avantages promis par l'Occident.

    "La politique internationale m'a appris que plus un pays est petit, moins il a droit à la déception", a déclaré au journal le président du parlement géorgien David Usupashvili. "Nous devons rayer le mot «déception» de notre vocabulaire", a-t-il ajouté.

    Ce sentiment est pourtant celui que les Géorgiens éprouvent actuellement et qui crée un terrain propice au renforcement de l'influence russe, constate le Financial Times.

    "Une carotte, c'est ce que nous demandons à l'Occident. Or, nous avons le sentiment de faire tout notre possible, mais de ne rien obtenir en échange, alors que la Russie est là", affirme Eka Metreveli, expert de la Fondation géorgienne pour les études stratégiques et internationales.

    L'Institut national démocratique pour les Affaires internationales des Etats-Unis (NDI) a publié un sondage selon lequel 31% des Géorgiens, soit deux fois plus qu'il y a un an, souhaitent l'adhésion de leur pays à l'Union eurasiatique (Russie, Biélorussie, Kazakhstan, Arménie et Kirghizstan).

    Selon le Financial Times, le conflit en Ukraine a modifié l'attitude des Géorgiens envers la Russie.

    "De nombreux Géorgiens considèrent l'Europe comme faible et indécise. Quant à Poutine, il donne l'impression d'être un homme fort qui parvient toujours à ses fins. Alors, les gens se demandent: l'Europe, quels avantages peut-elle nous offrir? N'est-il pas idiot de résister tellement à la Russie?", estime l'analyste politique Ghia Nodia.

    Le désir de renouer avec Moscou a été stimulé par la victoire de la coalition "Rêve géorgien" aux élections législatives de 2012. Tout en optant pour l'intégration européenne, cette formation politique cherche également à normaliser les relations avec la Russie.

    Avec la levée par Moscou de l'embargo sur les importations géorgiennes, les agriculteurs de ce pays ont compris que le marché russe était plus prometteur que celui de l'UE.

    Les experts géorgiens soulignent également le renforcement des groupes politiques pro-russes tels que le Choix eurasiatique de la Géorgie. Il s'agit d'une coalition d'organisations non gouvernementales qui compte environ 16.000 membres.

    D'après les analystes politiques, les partis pro-russes ne gagneront visiblement pas les élections législatives de 2016, mais ils pourront former une minorité suffisante pour empêcher les partis pro-occidentaux de prendre le contrôle du parlement.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150518/1016129650.html#ixzz3aZiq4Sma

  • Médias français: le bal des hypocrites

    La mise à l’écart de Caroline Fourest d’une émission phare de l’audiovisuel français, n’est qu’un éclair de lucidité qui ne doit pas faire illusion. Nos médias ont mis à l’index un individu. Ils n’en poursuivront pas moins leur propagande.

    Caroline Fourest est sans doute largement méconnue du grand public russe. Pour les Français, elle est en revanche incontournable. Journaliste de radio (France Culture, France Inter), de télévision (La Chaîne Parlementaire-LCP), de presse écrite (nombreuses publications dans le Monde, Charlie Hebdo…), c'est une cumularde des médias, émargeant dans une foule de rédactions. Figure de proue de la communauté homosexuelle, féministe tendance haineuse, laïcarde jusqu'à « bouffer du curé», cette militante libertaire, affirmant son ancrage à gauche, appartient au petit cercle des leaders d'opinion définissant dans notre pays ce qui est politiquement correct et ce qui ne l'est pas. A ce titre elle a, depuis des années, pris toutes les libertés avec la vérité, y compris vis-à-vis de la Russie et de Vladimir Poutine, le « russian bashing » étant l'un des exercices favoris de la presse française.

    C'est elle qui, il y a un peu plus d'un an, avait affirmé sans aucune preuve que les séparatistes du Donbass avaient arraché les yeux de trois prisonniers ukrainiens. Cela lui avait déjà valu les critiques de quelques journalistes soucieux de vérité et un avertissement du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA), gardien théorique de la déontologie des médias.

    Cette mise en demeure n'avait bien entendu été suivie d'aucun effet du point de vue de la présence médiatique de Caroline Fourest. Dans la mesure où, critiquant la Russie et les séparatistes du Donbass, elle s'inscrivait dans la lutte entre le camp du bien (l'Occident libéral-libertaire) et l'axe du mal (grossièrement un axe supposé unissant la Russie, ses alliés, le Front National et autres « eurosceptiques » de tout poil), elle avait aussitôt bénéficié d'une complète absolution de toutes les rédactions. Personne alors ne relevait que sa proximité avec le leader des FEMEN, l'ukrainienne Inna Shevchenko, à laquelle elle a consacré un livre d'amoureuse transie, était peut-être de nature à influer son jugement. On ne mêle pas, n'est-ce pas, vie privée et vie publique…

    Caroline Fourest est aujourd'hui critiquée pour un péché relativement véniel —elle a encore menti sur une affaire de justice la concernant — comparativement aux énormités qu'elle a tranquillement asséné par le passé sans que personne ne la fasse taire.

    Mais les conditions qui ont présidé à sa mise en accusation sont elles-mêmes révélatrices des règles implicites régissant la liberté d'expression dans les médias français.

    Ceux-ci ont titré sur le « mensonge de trop », de Mademoiselle Fourest. Cela signifie qu'ils étaient parfaitement conscients de tous ceux qui avaient précédé tout en continuant à l'inviter sur leurs plateaux, à leurs micros, dans leurs colonnes.

    Quant à la mise en accusation en elle-même, seule les personnalités des procureurs qui l'ont instruite l'ont rendue possible. Qui sont-ils? Aymeric Caron et Laurent Ruquier, respectivement intervenant et présentateur-producteur de l'émission « On n'est pas couché ». Quel est le concept de cette émission? Simple: il relève de la fosse aux lions. Tous les samedis soirs artistes officiels, tendance bande à Goldman-restos du cœur, chroniqueurs-provocateurs adeptes de « l'esprit Canal », journalistes bien-pensants type Apathie-Quatremer, reçoivent un invité venu défendre ses positions politiques, son livre, son film ou son dernier album. S'ensuit suivant les cas une grand-messe de l'autosatisfaction, grand moment de « vivre ensemble » entre personnes qui pensent tous la même chose, ou, a contrario, une curée impitoyable vis-à-vis de l'invité susdit. On assiste dans ce cas à la résurrection de ce qu'ont dû être les tribunaux populaires du Kampuchéa démocratique ou les procès de Moscou en 1936-1938. L'invité, désormais accusé, est raillé, critiqué, traîné dans la boue. Dans le rôle du procureur général opère Aymeric Caron, journaliste de gauche sélectionné pour ses talents de Vichinsky. Avec un plaisir évident il déchiquette l'adversaire, le condamnant dans le pire des cas à un ostracisme médiatique bien souvent synonyme d'ostracisme professionnel. Laurent Ruquier ponctue cet exercice de sadisme public de ses ricanements complices, de petites blagues assassines ou de jugements péremptoires, soutenant l'accusation, Torquemada d'opérette.

    Disons-le tout net, ceux qui se rendent à cette émission en sachant pertinemment qu'ils ne rentrent pas dans le moule idéologique des animateurs savent ce qui les attend et, à ce titre, n'ont que ce qu'ils méritent.

    C'est pourquoi Caroline Fourest s'y est sans doute rendue en confiance. Entre gens de gauche, personnalités emblématiques des réseaux homosexuels et pontifes de la bien-pensance, on ne s'assassine pas en direct.

    Mais c'est précisément, uniquement, parce que ceux qui l'ont mis en accusation n'étaient en rien soupçonnables d'appartenir au camp des affreux réactionnaires de droite, tendance catholiques homophobes, ou aux ignobles « islamo-gauchistes », avec lesquels Mademoiselle Fourest aime ferrailler, que cette fois-ci le couperet est tombé. Seuls ceux qui pensent dans la ligne du parti sont habilités à juger.

    C'est pourquoi il ne faut pas se faire trop de souci pour Caroline Fourest. Ceux qui condamnent sont aussi ceux qui ont l'autorité pour réhabiliter, a fortiori lorsqu'il s'agit de sauver la tête d'un fidèle militant.

    Car c'est bien de militantisme qu'il faut parler lorsqu'on évoque la presse française, non de journalisme. Il est facile de critiquer le contrôle que le Kremlin exercerait sur tous les médias russes (les lecteurs de Vedomosti, Kommersant, Novaïa Gazeta ou les auditeurs de l'Echo de Moscou n'ont peut-être pas tout à fait cette vision). Il est moins fréquent d'entendre que les médias français n'ont pas besoin de contrôle parce que, hormis une poignée de rédactions, ils défendent tous le même créneau et s'autocensurent fort bien eux-mêmes. Massivement ancrés à gauche, les journalistes français n'ont nul besoin de faire l'objet d'un contrôle gouvernemental. Une telle mesure, vis-à-vis d'une clientèle électorale influente, serait contre-productive de la part d'une administration socialiste. Quant aux journalistes appartenant à des rédactions de droite, ils n'en sont pas moins d'accord sur l'essentiel avec leurs confrères de gauche. Que l'on se proclame social-démocrate ou démocrate-chrétien, le soutien à la nécessité de rester dans l'Euro, au libéralisme du point de vue économique, au libertarisme du point de vue social, à la vision strictement marchande de la construction européenne, à l'amitié transatlantique inconditionnelle, que ce soit dans le cadre de l'OTAN ou du TAFTA, relève du dogme. Ecartez-vous de ce credo et vous serez jugé pour hérésie, condamné, écarté sans ménagement. Les journalistes français n'ont donc pas besoin d'être muselés: ils coupent eux-mêmes les têtes qui dépassent.

    La presse française, si critique vis-à-vis de la presse russe qui serait, à l'en croire, un pur instrument de propagande du Kremlin, agit dans les faits comme l'Union des Ecrivains aux plus beaux jours du stalinisme, pratiquant l'anathème, organisant la marginalisation des hétérodoxes. Nos Pasternak, nos Grossman, s'appellent Zemmour, Onfray, Houellebecq, Michéa… Tous parviennent encore à s'exprimer. Mais tous, peu à peu, voient le cercle de ceux qui sont disposés à leur donner la parole se restreindre.

    - Source : Philippe Migault
  • Congrès du PS : Hollande et Valls redoutent une sanction

    Au travers du score de la motion majoritaire se joue la poursuite ou non de réformes voulues par Hollande et Valls.

    C'est assurément une bonne nouvelle pour l'exécutif qui défend bec et ongles ses réformes et revendique depuis de longs mois le maintien du cap économique. Mais c'est une nouvelle qui arrive bien tardivement et semble encore trop fragile pour changer la donne du prochain congrès du PS, du 5 au 7 juin à Poitiers, modifier les équilibres et les rapports de forces au sein du parti. À entendre nombre de socialistes, le regain de croissance de 0,6 % enregistré par l'économie française au premier trimestre, sans conséquence à ce stade sur le niveau de chômage, n'aura pas de réel impact jeudi, lorsque les adhérents socialistes se rendront dans les sections PS pour départager les quatre motions en lice.

    Un élu socialiste, proche du chef de l'État, estime ainsi que «les militants ne vont pas changer d'avis». «Jean-Christophe Cambadélis (le premier secrétaire du PS et premier signataire de la motion A, à vocation majoritaire, NDLR) est très lent. Ces chiffres sur la croissance ne sont pas l'argument de la dernière minute du congrès», affirme-t-il. Ce que confirme le député PS Christophe Borgel, en charge des élections au sein du PS. «S'il doit y avoir un effet sur les votes des militants, il sera assez marginal. Quand un parti perd des adhérents, beaucoup de ceux qui restent ont un avis déjà formé, une réelle inclinaison.»

    À l'Élysée aussi, on ne se berce pas d'illusions. «Tout ce qui montre que la politique que l'on mène donne des résultats aide au rassemblement de tous les Français et de la gauche. Cela permet d'apaiser les choses, cela crée de l'entraînement», analyse un proche conseiller du chef de l'État. «Mais je ne pense pas du tout que cela aura un effet sur le vote du congrès», ajoute-t-il toutefois. Le vote n'a lieu que jeudi. Mais tout se passe comme si, au sommet de l'État, les dés étaient déjà jetés pour ce congrès qui intervient après trois années d'une présidence socialiste marquée par quatre échecs électoraux successifs et une dégradation sans précédent de l'emploi. François Hollande et Manuel Valls savent déjà que le score de la motion majoritaire sera, cette fois, bien en deçà de celui du congrès de Toulouse, organisé dans la foulée de la présidentielle de 2012 (68 %).

    Loin du plébiscite

    Benoît Hamon et Arnaud Montebourg ayant quitté le bateau amiral pour faire alliance avec les frondeurs, beaucoup jugent que la motion A réaliserait un score de 54 % à 56 %, toutes choses égales par ailleurs. Autant dire que l'on est bien loin du plébiscite. Est-ce pour cette raison que le président et le premier ministre ont choisi de se tenir à l'écart de la grand-messe socialiste, après être parvenus à sauver les meubles en réussissant à convaincre Martine Aubry de rallier la motion A? C'est en tout cas l'impression que souhaitent donner les deux têtes de l'exécutif. «Aubry, c'était il y a plusieurs semaines. Maintenant, on est dans une phase du congrès qui appartient aux militants, pas au président et à l'exécutif», souligne un proche de Hollande, en faisant valoir que celui-ci «s'est concentré sur ses déplacements présidentiels en France et à l'étranger», depuis le ralliement de la maire de Lille à la motion majoritaire. Valls s'emploie aussi à apparaître comme détaché. Si le premier ministre «militant» a participé la semaine dernière à un meeting à Cenon (Gironde), il n'en a pas fait d'autre. Et, à ce stade, aucune autre réunion militante n'est inscrite à son agenda.

    Ce n'est pas vraiment une surprise. Matignon répète depuis des semaines que son statut de chef de la majorité place Valls au-dessus du grand rendez-vous socialiste. «Il ne met pas les mains dans le cambouis du congrès. Il ne passe pas son temps à négocier ceci ou cela», résume Francis Chouat, le successeur du premier ministre à la mairie d'Évry. Un élu socialiste ironise: «Il ne pouvait pas non plus rester totalement à l'écart. Il doit montrer qu'il a aussi contribué au résultat.» Ou, si le résultat est mauvais pour la motion A, ne pas être celui qui s'est le plus investi… C'est donc à Jean-Christophe Cambadélis «d'assurer le succès de la motion majoritaire et la réussite du congrès», souffle un socialiste.

    À ce stade, Hollande et Valls, à l'instar de nombreux socialistes, sont perplexes sur les résultats à venir. C'est, à n'en pas douter, une source d'inquiétudes au sommet de l'État. Les enjeux sont, il est vrai, cruciaux. Le parti qui sortira de ce congrès est celui qui accompagnera le président sortant en 2017. C'est également ce parti, aux contours et au centre de gravité différents de ceux qui étaient sortis du congrès de Toulouse, qui soutiendra ou non les réformes que compte bien poursuivre l'exécutif. «Si la motion A faisait 60 %, Hollande et Valls seraient vraiment très contents», glisse un élu. Le président et le premier ministre se gardent bien évidemment de tout pronostic. «Il nous faut une majorité claire» pour la motion A de Cambadélis, martèle-t-on à l'Élysée, sans plus de précision.

    Que faut-il entendre par «majorité claire»? «Plus de 50 % des voix pour la motion A», répondent bon nombre de socialistes engagés dans cette motion aux côtés de Valls. Cet objectif manque bien évidemment de souffle et d'ambition. Comme si l'exécutif voulait se prémunir d'un trou d'air dans le parti. Ou jouait à se faire peur pour mieux se réjouir une fois les résultats connus.

    Anne Rovan Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFEAuplkAdSkayNqS.shtml

  • Parlez-vous le Valls ?

    Yves Daoudal nous propose un exercice de traduction sur son blog :

    Manuel Valls :

    « La République a fait l’école, et l’école a fait la République. »

    Si l’on quitte la mythologie et le négationnisme pour se tourner vers l’histoire vraie, cela donne :

    « La Troisième République a fait l’école laïque et laïciste, et a expulsé les congrégations enseignantes qui faisaient l’école depuis très longtemps, et l’école laïque a perpétué une République laïcarde qui ne cesse de s’écrouler au fur et à mesure qu’elle bafoue davantage l’identité française qu’elle méprise et détruit. »

    Philippe Carhon

  • Sophie Marceau : être aimée par les Français lui suffit

    Quand on a une Sophie Marceau, on la protège comme une espèce en péril, on ne risque pas de la faire fuir.

    […] Si Sophie Marceau n’est pas de droite, elle pourrait l’être. Tant elle tranche dans un univers où seul l’intelligent et brillant acteur qu’est Christian Clavier lui tient compagnie. Si on oublie les anciens Jean-Paul Belmondo et l’évolutif Alain Delon.

    La gauche, dans les milieux artistiques, fait partie de la panoplie et il serait inconcevable que dans la multitude des entretiens où on demande aux acteurs de donner leur avis sur ce qu’ils ne connaissent pas, des poncifs mais progressistes, des banalités lourdes de sens, des dénonciations faciles et des propos convenus ne soient pas formulés. Avec toujours un zeste de révolte et de revendication. Cela fait toujours bien dans le confort et le luxe.

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  • Jean-Claude Valla : L’Histoire, un enjeu et des leçons (video)


    JEAN-CLAUDE VALLA : L’Histoire, un enjeu et des... parterreetpeuple

  • Réforme du collège : Vallaud-Belkacem contre-attaque

    À l’avant-veille d’une journée de grève dans le monde enseignant, le ministre de l’Éducation nationale a défendu sa très controversée réforme du collège, d’inspiration bourdieusienne et pédagogiste. En proie aux critiques de l’opposition de droite, Najat Vallaud-Belkacem a dénoncé « Leur malhonnêteté intellectuelle ». Le Premier ministre Manuel Valls a volé au secours de son ministre en lançant à ses détracteurs une injonction aux accents orwelliens « Que l’on m’explique en quoi excellence et égalité sont inconciliables ! ».
    Décidément, la défense de notre culture ne fait vraiment pas partie de l’ADN socialiste, à l’image du premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis qui a déclaré dans une émission de radio de Frédéric Haziza « Je ne sais pas ce qu’est l’identité française. Je connais l’identité de la République ».

    Le Grand Rendez-Vous avec Najat Vallaud… par Europe1fr

    http://fr.novopress.info/

  • 21 mai : conférence de Béatrice Bourges à Chantilly

    Béatrice Bourges, porte-parole du « Printemps Français », Fondatrice du « Collectif pour l’enfant » donnera une conférence sur « Le Printemps de l’Espérance » Jeudi 21,Mai 2015 à 20H00 A l’Hôtel de Ville, salle des conférences, 60500 - CHANTILLY.

    Michel Janva