Au lycée, des étudiantes en tenues islamiques par leparisien
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Affaire Ménard : les incohérences du totalitarisme français
Personne n’échappe à la traque des talibans de la pensée.
Si Robespierre n’avait pas été guillotiné à son tour, qui aurait échappé à son totalitarisme révolutionnaire ? Il est des dérives qui ne connaissent d’arrêt que par une forte réaction.
Qui ne voit que notre régime est engagé dans une fuite en avant porteuse de dangers ? Alors que notre démocratie vote une loi pour ficher, surveiller et réprimer tous les citoyens, on devient hystérique quand le maire d’une ville veut, pour des raisons pratiques, savoir combien il y a de musulmans dans les classes. Le comptage des musulmans serait donc pire que le fichage des Français ? Tout est dit.
Nos gouvernants veulent faire disparaître la France ethnique et culturelle dans un nouvel ensemble cosmopolite imposé par les immigrations mondialistes et la démographie tiers-mondiste.
Ils veulent faire de la France une sorte de petite Amérique à prétention universelle au nom des valeurs de la Révolution. Or, dans le pays qui a été créé par l’immigration, en passant par le génocide presque réussi des Indiens, les statistiques ethniques sont un instrument majeur du vivre-ensemble. Quand la société a cessé en partie d’être homogène, il faut bien savoir qui est qui et où pour s’adapter.
Dans la société rêvée de Christiane Taubira et de Manuel Valls, la statistique ethnique est indispensable pour établir la discrimination positive et lutter contre les disparités.
Vouloir nier les problèmes liés, dans certaines écoles, à la présence d’une majorité d’enfants de culture musulmane avec tous les problèmes que cela comporte est bien sûr une stupidité. Il ne s’agit certes pas de ficher pour on ne sait quel objectif, mais de savoir. Notre démocratie a horreur de la connaissance des réalités.
Ceux qui ressortent la fameuse Etoile jaune pour diaboliser le maire de Béziers sont des malhonnêtes ou des imbéciles. Le comptage de Ménard n’est même pas ethnique mais religieux, car le problème ce n’est certes pas la race mais bien la religion.
Ce pauvre David Pujadas l’a appris à ses dépens. Ce donneur de leçons si content d’infiltrer ceux qu’il n’aime pas pour les démolir avec des méthodes qui font honte parfois à la déontologie journalistique a été pris à son propre piège.
Dans un sujet voulant dénoncer les méchants Français et l’exclusion des immigrés, il avait pris la défense d’une pauvre femme en butte à bien des obstacles pour se marier. Il l’avait présentée, pour bien insister, comme une musulmane voulant épouser un Français… pauvre David ! Il est depuis harcelé par ceux qui dénoncent un dérapage.
La préférence musulmane des médias malgré le terrorisme islamique n’ est pas toujours un long fleuve tranquille et on trouve toujours plus inquisiteur que soi.
On comprend que dans ce pays, où on ne peut plus rien dire qui heurte l’islamisation et le métissage de la société, les médias haïssent les analyses provocatrices de Le Pen, Jean-Marie pas Marine… Mais elle n’y échappe pas cependant malgré tous ses efforts.
L’affaire Ménard comme l’affaire Pujadas révèlent que le totalitarisme français, sous couvert de démocratie bien sûr, est un régime qui menace la liberté d’expression et la liberté de penser… qui menace même l’intelligence, ce qui est un marqueur, paraît-il, du totalitarisme, non ?
Jean Ansar, 09/05/2015
Source : Metamag.fr
http://www.polemia.com/affaire-menard-les-incoherences-du-totalitarisme-francais/
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Racine, aujourd’hui
À tous ceux qui pensent qu’il est impossible de lire Racine à l’école, je réponds qu’il est en effet plus commode de lire la presse aux ordres, de préférence un journal gratuit, de pianoter sur son ordinateur minuscule ou d’enseigner la théorie du genre. Puisque la littérature ne sert plus à rien, on préfère faire des choses utiles et pratiques. Il s’agit de préparer les animaux libres à la vie réelle, comme on dit, afin de les rendre apte à survivre dans la jungle des sociétés modernes, évolutives, nous dit-on mais avant tout, dominées par l’argent, l’économie, les calculs et les manipulations. Lire Racine ne fait – semble-t-il aucun sens.
Les tragédies raciniennes sont pleines de passion, de violence et de férocité. Elles sont féroces comme sont féroces l’amour et la guerre, la vie et la mort. Dans Iphigénie (1674), l’oracle demande qu’on sacrifie la fille du roi Agamemnon pour que les Grecs puissent continuer leur expédition militaire contre Troie. Déchiré entre l’amour de sa fille et la volonté des dieux, le père prépare officiellement l’hymen de sa fille avec Achille mais en secret, c’est le sacrifice d’Iphigénie qu’il prépare.
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l’État islamique est entré dans la cité antique de Palmyre
Les djihadistes de l’État islamique ont réussi à prendre le contrôle de plusieurs secteurs du nord de la ville, qui abrite les ruines de la cité antique de Palmyre.
La plupart des ruines monumentales, qui comportent notamment des colonnades torsadées romaines, des temples et des tours funéraires, se trouvent au sud-ouest de la ville. Le site, qui fut l’un des plus importants foyers culturels du monde antique, est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.
Une éventuelle prise de Palmyre permettrait à l’État islamique d’étendre son influence au-delà de l’est et du nord de la Syrie où les djihadistes sont bien implantés. En terme de propagande, la présence de l’EI dans ce lieu historique ne peut qu’attirer l’attention du monde entier. La directrice générale de l’Unesco à d’ailleurs appeler le Conseil de sécurité de l’ONU à agir pour la préserver la ville de Palmyre.
Nombreux sont ceux qui craignent un nouveau saccage culturel. Le directeur des Antiquités et des musées syriens, Maamoun Abdelkarim, a confié sa peur de voir Palmyre tomber et la cité antique rasée par les djihadistes, qui ont déjà détruit des sites archéologiques dans le nord de l’Irak, notamment Nimroud et Hatra
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Réforme du collège : les raisons de la rébellion
Un exposé de la réforme et des raisons de s'y opposer, par François-Xavier Bellamy.
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Turreau et les colonnes infernales
Malgré les préparatifs fébriles en vue de commémorer le 200ème anniversaire de la Révolution Française, malgré l'unanimisme des partis politiques français autour des "acquis" de 1789, un certain nombre de travaux tentent encore et toujours de cerner l'histoire de cette révolution, non d'une point de vue républicain, partisan et politicien mais d'un point de vue analytique, objectif et historique. L'ouvrage d'Elie FOURNIER, que nous évoquons ici, tente de nous expliquer ce que fut réellement, sur le plan du vécu, la Révolution française, après les brèches ouvertes ces dernières années par des historiens comme François FURET ou Pierre CHAUNU. Il ne s'agit pas de la Révolution de Paris ni de celle des membres du Club des Jacobins ni celle des "représentants du peuple" à la Convention, mais celle des peuples qui constituaient alors l'ancien royaume de France, présentement transformé en "République une et indivisible".
Le cas de la Vendée est exemplaire. Mais il n'est pas unique. D'autres provinces connurent alors des mouvements de révoltes populaires face aux exigences et à la tyrannie des comités de gouvernement. La révolution fut en effet transformée en révolte sous-tendue par les intérêts d'une certaine classe, la bourgeoisie. Et le pouvoir parisien, appuyé sur des forces armées recrutées dans les grandes capitales (Paris mais aussi Marseille, Grenoble, Lyon, Toulouse, etc...) exerça une répression féroce contre des citoyens qui refusaient le vieux principe jacobin de la "République ou la mort!".
Des hommes et des femmes, pour la plupart attachés à leurs prêtres, mais aussi aux premières réformes de la révolution (notamment la suppression d'un certain nombre de privilèges) furent massacrés au nom des valeurs neuves de la "Liberté" et de "l'Egalité". FOURNIER prend ici comme exemple le véritable génocide (le mot n'est pas trop fort!) perpétré par les généraux républicains au nom du pouvoir central sur les populations de la Vendée et des territoires limitrophes. Le décor est planté: 23 décembre 1793, juste après la défaite des troupes royalistes, accompagnée de 100.000 morts sur les routes de Normandie et de Bretagne. Pour réduire définitivement les séditions royalistes, la Convention prend la décision, sur la proposition des "patriotes" vendéens représentés à cette même Conven- tion, de supprimer froidement et systémati- quement tous les "brigands" vendéens. D'ailleurs, pour mieux marquer cette volonté d'en finir, on modifie le nom de cette région en "Vengé"...
Effacement des gens, effacement des souvenirs. Il faut extirper toute trace de vie sur ces terres, interdire par la terreur toute révolte contre la République. De fait, la République peut puiser dans le passé récent: l'exemple est là, celui des grandes répressions opérées par les troupes de l'Ancien Régime en Corse. Dans une lettre écrite le 14 juin 1794 par le Général VIMEUX au Comité de Salut Public, on peut lire à propos de la campagne de Vendée: "La guerre et le brigandage de Vendée finiront, mais comment et avec quels moyens? Avec ceux qu'on employa en Corse, après de grosses dépenses et bien des années d'erreur"... Déclaration qui rejoint par ailleurs celle du Général HUCHE, l'un des organisateurs les plus "consciencieux" et les plus patriotes de la guerre de Vendée.
Et cette terreur que connut la Vendée, terreur dont les pouvoirs centraux furent les inspirateurs, déléguant par décrets et proclamations (le plus célèbre de ces décrets étant celui du 1er août 1793) aux généraux et aux représentants du peuple le soin d'accomplir "l'extermination" (mot utilisé dans les textes légaux) des "brigands" vendéens (entendez non seulement les combattants chouans sous les ordres des chefs royalistes Charette, Stofflet, de la Rochejacquelain, etc. mais aussi tous les habitants de la Vendée sans considération d'âge ou de sexe). Cette "extermination" fut une réédition de celle qu'avait appliquée un MARBEUF à la république paoline corse quelques décennies auparavant. La tactique était simple: détruire systématiquement tous les "repaires" des habitants de la région révoltée. Autrement dit, la politique de la terre brûlée, pratiquée à une échelle collective.
Un arrêté du Général Louis Marie TURREAU donne d'ailleurs la liste, non exhaustive, des communes proscrites. Les deux "colonnes agissantes" seront responsables du massacre de plusieurs dizaines de milliers de paysans, de citoyens des villes accusés de mollesse ou de modération patriotique et même d'élus communaux pourtant favorables à la République. Ainsi, le 28 février 1794 eut lieu le massacre des Lucs, au cours duquel furent assassinés 110 enfants âgés de 7 ans et moins!
Le livre de FOURNIER nous dévoile d'autre part les causes réelles de cette politique de génocide perpétrée par les comités parisiens. Le règne de la Terreur est moins une période républicaine au sens politique du terme qu'une période morale, celle du règne de la vertu robespierriste!
Les personnages de ROBESPIERRE et de SAINT JUST, relayés en province par les délégués CARRIER à Nantes ou TALLIEN à Bordeaux symbolisent ce passage de la révolution à la construction d'une cité vertueuse. Il s'agit ici d'une nouvelle guerre de religion, au cours de laquelle s'opposent les partisans minoritaires du culte de l'Etre Suprême, ersatz de l'ancien culte catholique accomodé aux valeurs nouvelles de 1789 et les anciens tenants du culte chrétien, catholique apostolique et romain. D'ailleurs le levier des révoltes populaires paysannes en Vendée fut beaucoup moins la défense du trône que celle de l'autel. Le royalisme militant resta le fait d'une minorité consciente et l'attachement aux rites catholiques le principe de la dynamique chouanne.
Une fois de plus, il était utile de rappeler une certaine réalité de la révolution française. L'image idyllique colportée par les institutions républicaines d'éducation nationa- le, appuyée sur les travaux de MICHELET, est aujourd'hui de plus en plus remise en cause. Moins par des historiens partisans de l'Ancien Régime que par des universitaires désireux de mieux reconnaître, derrière les masques de la propagande et des idées toutes faites, la réalité historique. Au total, le livre de FOURNIER est un excellent ouvrage. A lire pour apprendre que l'histoire ne se déroule pas selon un mécanisme manichéen mais consiste en un choc perpétuel de contradictions.
Ange SAMPIERU.
Elie FOURNIER, Turreau et les colonnes infernales, Albin Michel, Paris, 1985, 89 FF.
http://vouloir.hautetfort.com/archive/2015/05/01/turreau-et-les-colonnes-infernales-5593614.html
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Immigration : Marine Le Pen tacle Valls et Sarkozy
Marine Le Pen renvoie dos à dos Valls et Sarkozy, tous deux accusés d’être immigrationnistes en raison de leur européisme
Dans un communiqué publié ce dimanche, Marine Le Pen a affirmé que « derrière leur agitation médiatique, Valls et Sarkozy sont soumis à la politique d’immigration massive » de l’Union Européenne, qui est favorable à l’instauration de quotas de migrants dans les pays membres.
« En étant intégralement soumis à l’Union européenne comme l’UMP et le PS le sont, ils ne peuvent que s’aplatir devant les ordres venus de Bruxelles. Manuel Valls reste dans le flou, évoquant une répartition plus équitable des étrangers qui déferlent sur les côtes de l’Europe, et donc un nouvel alourdissement de la charge migratoire qui pèse déjà de tout son poids sur la France », ajoute-t-elle.
Mme Le Pen affirme refuser « catégoriquement toute idée de quotas de migrants et demande aux autorités françaises d’agir maintenant en toute urgence, pour faire face à la déferlante migratoire : restauration immédiate de nos frontières nationales, reconduite systématique des bateaux de migrants vers les ports d’origine, gel de la politique de l’asile totalement encombrée, suppression des aides sociales destinées aux demandeurs d’asile et aux clandestins pour les dissuader de venir, reconduite à la frontière des clandestins déjà arrivés en France ».
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"Républicains et patriotes furent longtemps de parfaits synonymes", rappelle Éric Zemmour
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Radio Courtoisie : J.-M. Le Pen reçu par H. de Lesquen, suite à sa suspension du FN (11.05.15)