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  • Forum de la dissidence – Entretien avec Béatrice Bourges, présidente du Printemps Français

    Béatrice Bourges, conseillère d’entreprise, présidente du Printemps Français.

    ♦ Dans la perspective du Forum de la dissidence, nous allons publier une série de courts entretiens sur le site Polémia.
    Pourriez-vous répondre à ces questions ?
    Polémia

    Polémia : Qu’est-ce qu’être dissident aujourd’hui et que risque-t-on?

    Béatrice Bourges : Etre dissident aujourd’hui, c’est se battre avec détermination contre le Système représenté par une oligarchie qui se dissimule sous le terme de démocratie. C’est être contre le mondialisme qui n’a pas de couleur politique.

    Etre dissident aujourd’hui, c’est aller à l’encontre de l’historiquement correct, de l’économiquement correct, du politiquement correct, du religieusement correct. C’est ne pas avoir peur de se faire traiter d’islamophobe, d’homophobe, de xénophobe, d’intégriste et de fasciste !

    Etre dissident aujourd’hui, c’est arrêter de faire acte de repentance par haine de la France, c’est être patriote et en être fier.

    dissidence-2jpg-300x225.pngBéatrice Bourges, présidente du Printemps Français

    Plus les dissidents seront nombreux et visibles, plus la répression sera forte et le régime totalitaire. Le risque ira peut-être même jusqu’à la privation de liberté, en plus de la mort sociale.

    « Etre dissident aujourd’hui, c’est arrêter de faire acte de repentance par haine de la France, c’est être patriote et en être fier. »

    Pensez-vous qu’il faille envisager une  vraie Révolution ?

    Je pense que nous arriverons bientôt dans une période de chaos religieux, politique et économique. Les hommes politiques ne contrôlent plus rien. Ils font seulement semblant. Mais l’effondrement est proche. Etre dans le déni ne fait qu’aggraver les choses et ne prépare pas à la reconstruction à laquelle il faut penser dès maintenant.

    Vous interviendrez dans une table ronde sur « la dissidence sur les valeurs » lors du Premier Forum de la dissidence. Pourquoi ?

    Parce que, d’après moi, tout pays court à sa ruine lorsqu’il fait l’impasse sur les valeurs. Ce sont elles qui permettent d’ancrer un pays et son peuple dans leur identité, de les faire tenir debout et de leur rendre leur fierté.

    http://www.polemia.com/forum-de-la-dissidence-entretien-avec-beatrice-bourges-presidente-du-printemps-francais/

  • Marion Maréchal Le Pen : Le poison islamiste s'est aussi répandu par la faiblesse de notre système immunitaire

    Dans une tribune publiée dans Valeurs Actuelles, Marion Maréchal Le Pen écrit :

    Il ne sera plus possible non plus de faire glisser la responsabilité des bourreaux vers les victimes. Le temps du "les départs au djihâd sont la conséquence de l'islamophobie" est fini. Le retour en force de l'islamisme est un phénomène mondial, soutenu et financé d'ailleurs par un certains nombres de pays "partenaires", comme l'Arabie saoudite, auprès desquels François Hollande et Nicolas Sarkozy aiment tant s'afficher. Et ce poison de l'islamisme a gravement contaminé notre pays, en particulier nos banlieues et une partie de ceux qui y vivent.

    L'ennemi n'a pas de visage, pas de frontière, pas de nationalité. Il est partout, il est chez nous, il est nous. Prospérant sur le terreau favorable de l'immigration de masse, du communautarisme, de la fracture sociale. Mais aussi et surtout, sur l'adhésion béate de la gauche et de la fausse droite au modèle multiculturel. Celui du droit à la différence contre le droit de la France de rester elle-même.

    Un poison qui s'est aussi répandu par la faiblesse de notre système immunitaire. La honte de nous-même, l'auto-culpabilisation, la rupture de la chaîne du temps par la confiscation de notre héritage historique, spirituel et culturel empêchent ce système d'assurer notre survie. 

    Alors je le dis simplement, je ne serai pas de la génération qui s'excuse. Mais de celle qui revendique son héritage et le défend. 

    Les mots ne suffisent plus, des mesures d'ordre public s'imposent: un contrôle effectif des frontières, le désarmement des banlieues, la fermeture des mosquées radicales et des organisations islamistes, l'interdiction du financement des mosquées par des Etats étrangers, une charte publique de points non négociables imposés aux imams qui souhaitent prêcher en France. Mais aussi, l'expulsion des imams radicaux, la déchéance de nationalité et l’expulsion des étrangers radicalisés liés de près ou de loin à un projet terroriste, l'arrêt des négociations en vue de l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne. Mais surtout, l'arrêt de l'immigration de peuplement et le retour de l’amour de la France dans les manuels scolaires. Nous avons rendez-vous avec l'histoire, elle nous offre le choix: le suicide ou le sursaut. Tâchons de répondre présents."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les Brigandes, charme et convictions

    Les Brigandes ont été une part non négligeable du succès de la journée de Synthèse nationale, le dimanche 11 octobre à Rougis. Créée en 2014, cette formation de jeunes femmes s'est faite rapidement remarquer par ses chansons engagées et mises en scène au point de devenir la meilleure initiative de la mouvance nationale de ces dernières années. Rencontre...

    RIVAROL : Les Brigandes donnent une impression de compétence et de détermination. Comment est né votre projet qui réunit des compétences dépassant largement le simple cadre musical ?

    LES BRIGANDES : Hormis les amies de jeunesse, certaines Brigandes se sont croisées lors d'événements divers dans la mouvance anti-mondialiste. En échangeant nos idées, Le projet musical a germé. Notre détermination provient d'un désir de former des clans de familles à l'écart du système décadent. Pour réussir à nous regrouper, il fallait mettre l'individualisme de côté et s'impliquer comme on s'engage en religion, ou plutôt, dans une armée. Le contrat a fonctionné par l'effet de la Providence, ce qui nous étonne encore.

    Quant à nos compétences, excepté la musique et le jeu théâtral, nous nous sommes astreintes à étudier les doctrines de la Droite, sans sectarisme, en analysant particulièrement les lobbies mondialistes afin de connaître l'ennemi et de lui rentrer dedans avec les mots justes. Notre érudit de service, Antoine, a toujours une lecture sulfureuse à nous conseiller, et c'est grâce à lui qu'autant les jacobins, le judaïsme ou les jésuites avec leurs lourds secrets nous sont mieux connus. Quand le thème d'une chanson à caractère politique nous vient, il vérifie les références et saurait tenir tête aux chiens de garde du mensonge officiel. L'apport de compétences intellectuelles et artistiques fournit aux Brigandes le courage de s'exposer avec témérité, ce qui paraît étonnant venant de jeunes femmes. Nous nous sentons investies d'une mission pour la France.

    R. : Les chanteuses sont masquées, coquetterie qui ajoute à leur charme ou nécessité de se protéger ?

    L. B. : Le nom de Brigandes a été choisi en souvenir des héroïnes de Vendée. Quant au masque, c'est parce que les Brigandes se livrent à du brigandage politiquement incorrect.

    R. : Contrairement à beaucoup de groupes qui choisissent des musiques de violence et de fureur, vous adoptez des compositions modernes, rythmées et claires qui mettent en valeur les voix des choristes et les paroles des chansons ; les textes sont-ils plus importants que leur support musical ?

    L. B. : Les paroles sont l'élément principal. La musique tempère la radicalité des mots. Cette alchimie entre la révolte et ta douceur est notre signature. Nous visons à produire des chansons populaires. La preuve d'une chanson réussie, c'est quand un petit enfant l'entend le matin et qu'il la fredonne le soir.

    R. : Dans le Ratjèze, vous vous en prenez aux jésuites, les reliant à François, Teilhard de Chardin, Nagasaki et le dalaï-lama, n'est-ce pas un peu ambitieux et réducteur de vouloir tout faire entrer dans une chanson ?

    L. B. : Ah, la question des Jézes ! Rosenberg et Evola avaient insinué que si les causes nationalistes étaient perdues, il fallait regarder du côté des Bons Pères, ce qui semble avoir échappé à Maurras, à moins d'une restriction mentale...

    François est bel et bien « un cadavre entre les mains du maître de l'ordre ». Depuis longtemps déjà, la Compagnie mène une guerre idéologique sous couvert de religion : le mélange des races, des cultures et des religions, jusqu'au point Oméga de la fusion universelle. N'est-ce pas le programme luciférien ?

    Quand Bergoglio le jésuite invite les traditionalistes à revenir dans son giron, on croit rêver. On ignore que les jésuites financent les lamas tibétains. On ignore que des jésuites ayant des grades dans l'armée américaine ont planifié Nagasaki, etc. On n'en finirait jamais de dérouler la liste de leurs coups tordus, au risque de passer pour des conspirationistes, alors que tout ceci est prouvable.

    R. : Le succès rapide de votre formation vient de la qualité de vos compositions, mais aussi de leur mise en scène, vos chansons n'auraient-elles pas le même succès sans vidéo ? Pourquoi avoir sorti un CD et non un DVD ?

    L. B. : Notre modeste succès provient de notre détermination à ouvrir une brèche dans la chanson française. Il faut se réapproprier un espace, en dépit des temps actuels.

    Nous sortons un CD pour répondre à la demande de ceux qui veulent écouter nos chansons au travail ou en voiture. Une chanson, c'est de la musique. Nous produirons une compilation des vidéos si notre CD met du beurre dans les épinards.

    R. : Vous n'allez pas vous arrêter en si bon chemin, quels sont vos projets ?

    L. B. : Nous avons quelques projets concrets que nous préférons garder confidentiels pour le moment, car l'ennemi veille... À court terme, nous allons lancer une nouvelle série de chansons, si toutefois l'inquisition de Youtube ne nous cherche pas de noises.

    Entretien réalisé par Thierry BOUZARD.

    CD Le Grand Remplacement, 23 euros port compris à Barka Productions BP7 34330 La Salvetat-sur-Agout, www.lecomitedesalutpublic.com.

  • Attentats : l’heure du bilan a sonné, par Jacques Sapir

    Source : Sputnik
    Les attentats qui ont endeuillé Paris le vendredi 13 novembre nous horrifient et nous révoltent. Certes, ce n’est pas la première fois que Paris est ainsi ensanglanté. Le souvenir de la tragédie qui s’était déroulée à la rédaction de Charlie-Hebdo et au magasin Hyper-Casher est encore frais dans nos mémoires.

    Cependant, les carnages de ce 13 novembre marquent un saut qualitatif dans l’horreur et l’abjection. Le temps du deuil et du recueillement dû aux victimes et à leurs proches s’impose. Le temps de la réflexion viendra ensuite, et il sera suivi par le temps de l’action. La sourde colère qui anime aujourd’hui le peuple français ne s’éteindra pas. Ce crime exige un châtiment. Cependant, cette colère pourrait aussi se dévoyer ou être manipulée. Encore une fois, oui, la réflexion s’impose.
    Le Président de la République, M. François Hollande, a appelé à l’Union nationale. Il a été suivi en ce discours par le gouvernement et la quasi-totalité de la classe politique. Fort bien ; mais cela ne doit pas nous empêcher de poser certaines questions. Car s’il entend jouer sur l’émotion pour fuir l’exigence légitime d’un bilan de ses actes, qu’il sache que cette Union nationale se déchirera alors rapidement.

    Un bilan de la politique de sécurité
    Il faut d’abord faire le bilan des actes de ces dernières années en matière de sécurité intérieure. Une priorité a été donnée aux moyens d’écoute et d’interception électroniques, et ceci au détriment du renseignement humain. Or, la collecte des informations ne vaut que si l’on se donne les moyens de les exploiter et de les corréler.

    Il n’est pas sûr que même si un effort plus important avait été fait dans le domaine du renseignement humain, on aurait pu éviter la tragédie du 13 novembre. Il convient de savoir qu’en matière de renseignement il n’est jamais de certitudes à 100 %. Cependant, le fait que l’on ait sacrifié l’humain à l’électronique a probablement été une erreur. Les moyens du Parquet antiterroriste, le nombre et la formation des enquêteurs de terrain ont été insuffisants.
    De ce point de vue, la « loi sur les écoutes » qui a été votée ce printemps dans la foulée des attentats de janvier dernier a probablement été un pas dans la mauvaise direction. Il faut entendre ce qu’a dit, sur diverses antennes et dans divers médias, le juge Trevidic. Les moyens humains n’ont pas été développés à la mesure des moyens de collecte électronique, et ce déséquilibre a fragilisé l’ensemble de la structure de notre renseignement.
    Ceci peut être étendu à l’ensemble de notre effort de défense, comme l’indique le général Desportes. Sur ce dossier, il est clair que des réponses convaincantes devront être données par le gouvernement s’il veut espérer que se maintienne cette union nationale. Bien sûr, le présent gouvernement ne porte pas l’entière responsabilité de la situation. Les coupes drastiques ont commencé sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Mais le gouvernement est le gouvernement, et il assume, s’il n’a pu ou voulu les renier, les politiques de ses prédécesseurs.

    Un bilan de la politique étrangère
    Il faut, ensuite, tirer le bilan de notre politique extérieure. Elle a clairement failli. Non seulement la France est aujourd’hui largement isolée sur le dossier syrien, mais on voit que cet isolement a clairement compromis la sécurité des personnes sur le territoire. Il ne s’agit pas ici de chanter les louanges de Bachar El-Assad. Il est clair que le peuple syrien est fondé à lui reprocher bien des choses. Mais, la politique consiste à établir quel est le danger principal et quel est le danger secondaire. Très clairement, le danger principal était la montée en puissance du groupe dit « État islamique », appellation qui contient un double mensonge. Or, ce groupe résulte directement de l’intervention américaine en Irak. Il a été, par la suite, encouragé, armé et financé, soit par les États-Unis soit par leurs alliés, pour affaiblir le pouvoir qui se mettait en place à Bagdad, et qui donnait des signes d’indépendance vis-à-vis de Washington. Ici encore, il convient d’écouter les propos tenus par le Général Desportes lors de l’audition du 17 décembre 2014 devant la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Parlement français :
    « Quel est le docteur Frankenstein qui a créé ce monstre ? Affirmons-le clairement, parce que cela a des conséquences : ce sont les États-Unis. Par intérêt politique à court terme, d’autres acteurs — dont certains s’affichent en amis de l’Occident — d’autres acteurs donc, par complaisance ou par volonté délibérée, ont contribué à cette construction et à son renforcement. Mais les premiers responsables sont les États-Unis ».

    Il est donc clair qu’il faudra réviser la politique étrangère de la France d’urgence. Des voix nombreuses, tant à droite qu’à gauche, y appellent. Mais cette révision devra être cohérente avec nos intérêts. Il importe donc que l’on abandonne les tentatives d’isolement de la Russie, tentatives qui n’ont produit que des malheurs dans notre pays, que ces malheurs soient économiques comme ceux qui ont frappé nos agriculteurs, ou qu’ils concernent la sécurité du pays, comme nous avons pu le mesurer le 13 novembre. Le gouvernement devra donc rendre des comptes sur sa politique étrangère comme il le devra sur sa politique de sécurité intérieure.

    Comment lutter contre la radicalisation ?
    Au-delà, il est clair que les processus de radicalisation d’une petite fraction de notre jeunesse n’ont pas été abordés avec le sérieux et la cohérence nécessaires. Il est bien beau de parler de « dé-radicalisation », même s’il convient d’essayer de la faire. Mais il est toujours plus difficile et plus coûteux de « dé-radicaliser » quelqu’un que de prévenir sa radicalisation.
    Empêcher la radicalisation de cette petite fraction de la jeunesse doit être un objectif commun à tous les Français. Il impose que l’on rappelle un certain nombre de principe. Et tout d’abord qu’il n’est pas de loi divine supérieure à la loi de la République dans le débat public. Si un individu veut se donner des principes plus contraignants que ce qu’exige de lui de la société, c’est son droit (dans les limites du Droit) et c’est son choix. Mais, il n’a pas à chercher à imposer ni à faire propagande de cela. Les différents lieux de culte, et ceux qui y prêchent, se doivent donc d’observer cette règle sous peine de fermeture et d’expulsion. C’est un principe fondamental de la laïcité. La religion appartient à l’espace privé et ne doit pas envahir l’espace public. Et ce principe est la condition de la concorde dans une société qui est hétérogène.

    Mais empêcher la radicalisation ne passera pas uniquement par ce type de mesure. Il importe de reconstruire un discours intégrateur qui permette à toute personne de participer de la France, de sa culture politique et des principes qui la fondent. Or, c’est là le point faible, on pourrait même dire le point d’inexistence, du gouvernement actuel, tout comme de ces prédécesseurs. Telle devrait pourtant être la tache de l’Éducation nationale. Que l’on se souvienne donc des vers de l’Affiche Rouge :
    « Nul ne semblait vous voir Français de préférence
    Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant
    Mais à l’heure du couvre-feu des doigts errants
    Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE
    (…)Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent
    Vingt et trois qui donnaient le cœur avant le temps
    Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant
    Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir
    Vingt et trois qui criaient la France en s’abattant »

    Mais il est vrai que pour s’intégrer, il faut avoir quelque chose à quoi s’intégrer. Il faudra donc revenir sur la politique menée depuis plus de vingt années qui a progressivement nié la souveraineté du pays. Alors que de manière visible les accords de Schengen sont moribonds, alors qu’en décidant de décréter l’état d’urgence, le Président de la République a fait un acte de souverain, c’est toute la politique de la construction européenne, de cette dangereuse folie qu’est l’Euro et des pouvoirs que s’arrogent désormais chaque mois les institutions européennes, qu’il faudra réviser au plus vite.

    La guerre civile peut encore être évitée. Mais cela exige de nos femmes et de nos hommes politiques le courage de reconnaître que, sur bien des points, ils ont erré et ils nous ont trompés.

    http://fr.novopress.info/195031/attentats-lheure-du-bilan-sonne-jacques-sapir/#more-195031

  • C’était un 16 novembre : la fin de la Cagoule

    Dans la nuit du 15 au 16 novembre 1937, le CSAR (Comité secret d’action révolutionnaire), dit « la Cagoule » mais originellement nommé l’OSARN (Organisation secrète d’action révolutionnaire nationale), mobilise secrètement ses effectifs en région parisienne, les tenant prêts à intervenir, dissimulés à côté de différents dépôts d’armes.
    S’appuyant sur des notes du 2e Bureau, ils attendent un coup d’Etat communiste pour la nuit.

    Provocation ou reculade : rien n’arrive.
    L’équipe dirigeante du CSAR renonce finalement à son contre-putsch.
    Dès le 16, la police va démanteler cette véritable armée secrète nationaliste.

    Pour découvrir l’histoire de la Cagoule, vous trouverez un excellent article dans la revue L’Héritage n°8, sur cette « aventure nationaliste hors du commun ».

    http://www.contre-info.com/