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  • Le crétinisme réflexe ou les résidus de stupidité marxiste

    Bernard Plouvier

    C’est un phénomène bien connu en médecine : une grave maladie peut laisser de lourdes séquelles. Il est évident que l’infection marxiste a profondément lésé le cerveau de ses adeptes.

    En 1936, en 1945-46, en 1981, les victoires électorales des marxistes mous (les socialistes) ou réputés « durs » alors qu’ils n’étaient que les hommes et femmes-liges de Moscou, puis de Pékin ou de La Havane, furent l’occasion d’une orgie de nationalisations d’entreprises privées. Pour les historiens modernes, c’est même devenu – crétinisme universitaire oblige – le critère d’un « gouvernement socialiste ».

    La nationalisation n’est, en réalité, que le meilleur moyen de ruiner à terme une entreprise, ce dont on s’aperçoit lorsque l’État, ruiné ou accablé de dépenses sociales, ne peut plus faire face au « gouffre à fric » que sont devenues ces sociétés, saturées de personnel inutile, inefficace, improductif, engagé pour complaire aux amis des partis qu’un vote a gratifié de l’apparence temporaire du Pouvoir et aux affiliés des syndicats les plus démagogiques, dont on redoute la capacité de nuisance.

    Les vieux réflexes reviennent en période de démagogie électorale. La société Alstom a des problèmes (comme en rencontrent presque toutes les grandes sociétés européennes, victimes de la concurrence acharnée nord-américaine et asiatique), aussitôt le pseudo-gauche dure, dirigée par un millionnaire en euros, trouve le « remède miracle » : il faut nationaliser !

    On aperçoit alors le vide intellectuel régnant chez les populistes. Eux savent – du moins en principe, s’ils ont étudié l’histoire européenne du XVIIe au XXe siècles – que le meilleur moyen de stimuler l’économie est d’encourager l’initiative privée, en fermant les portes aux importations et en aidant par tous les moyens les exportations, le but étant de préserver au maximum l’emploi des nationaux.

    Que, pour cela, il faille passer des accords d’État à État en se débarrassant du carcan globalo-mondialiste imposé à la soi-disant Europe Unie par les multinationales, ainsi qu’être maître de sa monnaie comme de ses règlements de fabrication et de commercialisation, c’est une évidence. Pour éviter des pertes d’emploi, que l’on ait même recours au dumping va de soi : les USA, le Japon, la Chine l’ont fait et le font encore.

    Que pour rendre à la Nation française sa puissance, il faille stimuler l’emploi des autochtones et renvoyer dans leurs continents d’origine les millions de parasites sans travail ou qui peuplent prisons et camps de réfugiés, c’est également une évidence. C’était d’ailleurs le discours des Léon Blum et Roger Salengro lors du Front populaire… il serait temps que nos brillants universitaires rappellent quelques vérités occultées par la pseudo-gauche friquée globalo-mondialiste.  

    Pour redresser la France, il faut d’abord rééduquer les Français, non pas à coup de mensonges ou de réflexes grotesques, mais en rappelant l’expérience réelle du passé. Et l’on comprend mieux pourquoi nos maîtres cassent l’enseignement de l’histoire.

    Hélas ! Qui va faire connaître ces vérités ? Étymologiquement, la propagande, c’est l’art de dire ce qui est utile à la Nation et non ce que veulent faire croire de pitoyables représentants de commerce des chapelles religieuses ou politiques. Il est évident que, pour eux, tout se résume à répandre des bobards pour conquérir les postes publics si agréables aux bons à rien, les sinécures si nombreuses et si juteuses de notre Ripoublique.

    Un jour, peut-être, les populistes de France cesseront leur expérience de centre-droit et redeviendront ce qu’ils doivent être : des hérauts de l’honnêteté et de l’efficacité pour que notre Nation retrouve son rang en Europe.

    On peut, pour l’heure, laisser le reste du monde aux requins de New York, Washington, Tokyo et Pékin. Les Européens reviendront civiliser les continents meurtris et ruinés, une fois passé le cyclone de l’économie globale.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/09/16/le-cretinisme-reflexe-ou-les-residus-de-stupidite-marxiste-5848462.html

  • Éditorial de L’Action Française 2939 : BRÛLANTE INACTUALITÉ

    Ils étaient déjà 23 % en 2007 : les Français sont aujourd’hui près de 40 % à estimer que la présence d’un roi au sommet de l’Etat aurait des conséquences positives sur l’unité nationale et la stabilité gouvernementale. Tels sont les chiffes, sans appel, d’un sondage réalisé par BVA pour l’Alliance Royale à la fin du mois d’août, auquel les médias de l’oligarchie, à l’exception notable du Figaro, se sont bien gardé de donner l’importance qu’il méritait à l’aube d’échéances politiciennes dont ils font leurs choux gras.

    Pour 31 % des Français (contre 24 % en 2007), remplacer le président de la République par un monarque donnerait une meilleure image de la France dans le monde, 29 % d’entre eux étant même prêts à voter pour un candidat royaliste au premier tour de l’élection présidentielle (20 % en 2007), ce qui, si ce chiffre se vérifiait, pourrait compromettre bien des plans tirés sur la comète par ceux qui croient leur présence au second tour inéluctable uniquement parce que les médias officiels le leur font croire.

    Cette progression est évidemment due à la façon dont nos deux derniers présidents ont dévalorisé la fonction présidentielle, ce qui prouve bien, comme l’a judicieusement compris Emmanuel Macron, que les Français n’ont jamais fait leur deuil de la figure royale. Montebourg ou Mélenchon se trompent lorsqu’ils visent, dans une VIe république, une dévalorisation encore plus grande de l’exécutif. C’est au contraire l’autorité que les Français plébiscitent, une autorité non pas stupidement répressive, comme sait l’être la Marianne quand il lui prend de montrer les muscles, mais créatrice de lien social parce que placée au-dessus de partis qui ne représentent que leurs propres intérêts ou les intérêts de ceux dont ils sont la courroie de transmission. Pour Frédéric Rouvillois, professeur de droit constitutionnel à Paris-Descartes, ces chiffres sont « très impressionnants [...]. Dans la mesure où la question de la monarchie est justement d’une brûlante inactualité, ce sondage révèle comme des lames de fond ou des courants en profondeur qui agitent l’opinion publique » [1].

    « Brûlante inactualité » : l’oxymore dit l’essentiel, à savoir l’insatisfaction profonde des Français face à un régime qui, non content de ne pas leur assurer du travail et de se satisfaire d’une gestion sociale du chômage, d’ailleurs de plus en plus onéreuse, ne les protège même plus. Et je ne parle pas seulement des attentats : l’Europe, l’immigration, la perspective d’un traité transatlantique nous livrant pieds et poings liés à l’hégémonie américaine et que Bruxelles négocie toujours, c’est la France dans son être charnel qui est menacée, c’est son unité sociale et culturelle qui est déchirée. Or le quinquennat d’Hollande a fini de déconsidérer une république qui ne semble plus qu’un talisman verbal aux yeux d’une grande majorité de nos compatriotes. Si «  inactuelle », donc, que peut apparaître la question institutionnelle, le malaise des Français est bien « brûlant », tout simplement parce qu’est brûlante la situation du pays. Or, en France, comme par le monde, on a déjà vu les régimes les mieux établis s’effondrer en quarante-huit heures.

    Un autre sondage, réalisé du 30 août au 1er septembre, c’est-à-dire en même temps que le précédent, mais par l’IFOP pour Atlantico, le confirme de manière tout aussi impressionnante : 75 % des Français ne sont pas touchés par l’emploi des termes «  valeurs républicaines » et « république ». Comme l’observe Jérôme Fourquet, directeur du Département opinion publique à l’IFOP, on assiste là à « un phénomène de saturation », « en particulier en ce qui concerne les valeurs républicaines, avec une forte dégradation depuis mai dernier » (ils étaient 65% en mai 2015) [2]. Et on peut prévoir que la campagne électorale ne fera qu’aggraver ce phénomène ! Car on assiste parallèlement à une discrédit croissant de la parole politique : les Français ne se sentent « davantage touchés » qu’à 26 % (contre 38 en mai 2015) quand les politiques leur parlent d’identité nationale. Pourquoi ? En raison, évidemment, « du décalage observable entre les valeurs proclamées et les valeurs déclinées dans la réalité »[2].

    On n’en sera pas étonné, c’est au FN que la thématique de l’identité nationale est la plus forte : 48 % s’y sentent « davantage touchés » par cette thématique, contre 10 % par celle de la république. Ce qui se traduit pas un autre décalage croissant : entre le discours officiel du FN et son électorat. Lorsque Marine Le Pen centre son propos sur la république ou les valeurs républicaines, elle délaisse 90 % de ses électeurs ! Un décalage que confirme le sondage sur la monarchie : alors que seuls 4 % des sympathisants de la gauche seraient favorables à l’exercice du pouvoir par un Roi, ils sont 37 % au Front National ; quand à peine 20 % des sympathisants de gauche estiment qu’un roi à la tête de la France peut avoir des conséquences positives sur l’unité nationale, ils sont 55 % au FN ! Comme le commente encore Frédéric Rouvillois, « ce qui est curieux, c’est qu’une partie importante des électeurs du Front national sont d’anciens électeurs de gauche ! Autrement dit, ces anciens électeurs de gauche, en allant vers le Front national, s’aperçoivent qu’une forme monarchique du pouvoir pourrait s’avérer positive »[1].

    Et gageons que ce décalage croissant pourrait même finir par lasser les meilleures volontés si le parti continue d’en rajouter dans la surenchère laïciste pour contrer la surenchère islamiste. Etendre à tout l’espace public l’interdiction du port non seulement du voile islamique mais également des « grandes (sic) » croix et des kippas serait faire preuve d’aveuglement et donc de faiblesse puisque cela reviendrait à tomber dans le piège tendu par les islamistes : amener le législateur français à traiter de la même façon la tradition judéo-chrétienne, qui fait corps avec notre être, et des provocations identitaires étrangères à notre sol. Mais comment en serait-il autrement lorsqu’on ignore la spécificité, tant charnelle que spirituelle, de notre nation pour une conception idéologique, désincarnée de la France — la laïcité, les valeurs républicaines — que, finalement, partagent LR, PS et FN ? François Hollande, le 8 septembre dernier, à la suite de Sarkozy le 8 octobre 2015, ne définissait-il pas la France comme une simple «  idée », évidemment soluble dans cette autre idée qu’est la république ...et, surtout, la conception que se fait de cette même république Terra Nova, le groupe de réflexion socialiste devant lequel il s’exprimait salle Wagram ?

    On a beau jeu, ensuite, de reprocher au maire de Béziers sa reprise, du reste peu originale, de la phrase hypothétique de De Gaulle sur la France, pays de race blanche. Voilà à quelles oppositions stériles entre des définitions de la nation aussi fausses l’une que l’autre aboutit le refus de toute rigueur et formation intellectuelles pour l’électoralisme le plus immédiat. Un jeune campeur d’Action française pourrait, à la fin de sa première université d’été, renvoyer dos à dos tenants d’une conception idéologique et d’une conception ethnique du peuple français, lequel « est un composé. C’est mieux qu’une race. C’est une nation », selon le mot de Bainville. Encore faut-il qu’une laïcité oublieuse de son inspiration chrétienne ne dissolve pas ce composé qui doit être pensé dans son unité culturelle, spirituelle et historique. à la veille d’échéances importantes, ne réduisons pas la France à un ectoplasme conceptuel pour le plus grand bonheur des mondialistes !

    François Marcilhac - L’AF 2939

    [1] Le Figaro du 2 septembre 2016 [2] Sur Atlantico le 5 septembre 2016

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-de-L-Action-Francaise,10896

  • Lutter contre la GPA sans abroger la loi Taubira est un leurre

    Interrogé hier dans l'Emission Politique, Nicolas Sarkozy a répété avoir « évolué » sur la question du mariage et que s’il était élu, il n’abrogerait pas la loi Taubira.

    Néanmoins, il déclare s'opposer à la GPA, mais nous savons bien que c'est la loi Taubira qui a ouvert la porte à la légalisation de la GPA. Lutter contre la GPA sans revenir sur la loi Taubira est là aussi un leurre.

    Michel Janva

  • La sénatrice Lienemann : Faire interdire Zemmour par le CSA au nom de la République !

    Lucette Jeanpierre Riposte laïque cliquez ici

    Marie-Noëlle est aujourd’hui âgée de 65 ans, comme Mélenchon. Elle est sénatrice de Paris et fut députée européenne, ministre déléguée au Logement et au Cadre de vie dans le gouvernement de Pierre Bérégovoy, secrétaire d’État au Logement dans le gouvernement de Lionel Jospin, députée de la septième circonscription de l’Essonne, conseillère régionale de la région Nord-Pas-de-Calais, conseillère générale du canton de Massy, maire d’Athis-Mons, adjointe au maire d’Hénin-Beaumont et de Massy.

    Elle fut longtemps, avec Julien Dray et Jean-Luc Mélenchon, la figure de proue de la Gauche socialiste, ce groupuscule d’anciens trotskistes qui choisissaient de faire carrière au PS, tout en faisant semblant de la gauchiser.

    La malheureuse a passé un très mauvais week-end, à cause du très méchant Eric Zemmour.

    « C’est terrible », gémit-elle, sur le plateau de LCI. Incapable de citer les trois phrases qu’elle avait gardée sous le coude, elle bredouille que le journaliste du Figaro aurait sommé les musulmans de choisir entre la France et l’islam. Et selon elle, de tels propos doivent être interdits, rien de moins.

    Elle compte donc saisir le CSA, mais avec d’autres organisations politiques, tout en disant que ce n’est pas politique, mais au nom de la République. Il paraîtrait qu’Eric aurait touché au bien le plus précieux de la grandeur de la France. Et la sentence tombe : le voilà qualifié de « honte nationale », rien de moins.

    Décidément, à l’aile gauche du PS, on paraît avoir un problème avec la liberté d’expression, quand celle-ci se traduit par des propos que les bien-pensants ne partagent pas. Faut-il rappeler que Méluche demandait l’interdiction du FN, rien de moins. Faut-il rappeler que son bras droit, Corbière, a fait interdire de Salon littéraire Pierre Cassen et Christine Tasin, qui devaient exposer le livre « Les Assises internationales sur l’islamisation de nos pays », à la mairie du 16e arrondissement. Faut-il rappeler que c’est à Julien Dray qu’on doit Sos Racisme, et ses multiples plaintes contre tous ceux qui s’opposent à l’invasion migratoire et dénoncent sa réalité.

    Dans la même lignée, Marie-Noëlle Lienemann va donc saisir le CSA. Que signifie cette démarche, et qu’attend-elle ? Si elle est cohérente, elle va sommer cette police politique des médias de faire savoir aux rares chaînes qui osent encore inviter Eric Zemmour de ne plus le faire, puisque ces paroles sont si « terribles » que cela. Elle demande, comme l’avait fait la CGT des médias, l’interdiction du journaliste des médias, rien de moins.

    Marie-Noëlle Lienemann incarne jusqu’à la caricature le Parti millénaire des collabos, que dénonce avec talent l’essayiste. Alors que les soldats d’Allah ont tué près de 250 personnes en France, en moins de 18 mois, et qu’ils prétendent interdire toute critique de l’islam, l’amalgamant à du racisme, l’islamo-collabo Lienemman, en service commandé, accède à leur demande, en demandant des sanctions contre la seule personne publique qui a le courage de dire la vérité sur l’islam. La sénatrice socialiste joue la cerbère de l’ordre islamiste qui se met en place, et applique à la lettre l’article 22 de la déclaration des Droits de l’Homme en Islam », qui conditionne la liberté d’expression au respect de la charia.

    Elle incarne cette gauche totalitaire incapable de débattre sans invectiver, insulter et interdire, au nom du camp du bien. Se disant catholique, elle excommunie tout ce qui la dérange, au nom des idéaux de la République. Bien loin d’un Voltaire qui réclamait la liberté d’expression de ses contradicteurs, elle veut les faire taire, comme l’ont fait avant elle ses ancêtres politiques Staline, Mao ou Pol Pot, chez qui toutes les Marie-Noëlle Lienemann auraient fait merveille.

    Faut-il rappeler à cette grande donneuse de leçons républicaines qu’elle fut maire-adjointe à Hénin-Beaumont, ville rongée par la mafia socialiste locale et l’affairisme, et qu’elle échappa miraculeusement à la Justice, contrairement à d’autres de ses camarades, comme le maire Gérard Dalongeville ?

    Immigrationniste folle, islamo-collabo notoire, Marie-Noëlle a été, tout au long de sa carrière politique, une active militante de la destruction quotidienne de la France et de la République, qui a mangé – fort bien – dans la gamelle socialiste, en essayant de se donner une bonne conscience de gôche.

    Entre Eric Zemmour et elle, il y a toute la différence entre un esprit libre et une pensée dogmatique figée, entre un Résistant et une collabo, entre un Français et une internationaliste, entre un homme courageux et une lâche balance, entre un homme de conviction et une opportuniste, entre un journaliste admirable et une politicarde méprisable.

     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Réfugiés en vacances : la presse n'en parle pas

    Hier, le Salon Beige relayait cette enquête du Welt am Sonntag qui montrait que des migrants retournaient dan leurs pays... pour les vacances, et avec des aides sociales.

    Les médias allemands en parlent beaucoup

    Ainsi que la presse anglaise

    Et en France ?

    Michel Janva

  • À la demande de l’UOIF, l’État renonce à la liberté de changer de religion

    D’un coté, la république pour les Français non musulmans, et de l’autre, pour les Français musulmans les règles de la charia.

    Avec le rapport d’information n° 757, session extraordinaire de 2015-2016, enregistré à la présidence du Sénat le 5 juillet 2016 sur l’organisation, la place et le financement de l’islam en France et de ses lieux de culte – de même qu’avec la création, en 2005, du CFCM (Conseil français du culte musulman) -, il a été répondu à une fonction symbolique :« Assurer la visibilité du culte musulman au même titre que les autres cultes. »

    Il s’agissait, selon la formule reprise autant par M. Jean-Pierre Chevènement que M. Nicolas Sarkozy (en son temps),« d’asseoir l’islam à la table de la République ». Dans ce sens, les organisations voulant participer à sa création devaient accepter un texte rappelant les principes de la laïcité.

    En introduction de ce rapport, on peut lire : « La situation nationale et internationale de ces derniers mois, de ces dernières années, a placé – bien malgré elle – la communauté musulmane vivant en France au cœur de débats et d’interrogations provoqués par l’amalgame trop fréquent entre l’islamisme radical et l’islam. »

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  • Second colloque Réveil Français le 8 Octobre

    Le Réveil Français, est le fruit de la rencontre de quelques « militants » de la cause française, issues d’horizons variés , Parmi lesquels, Michel Michel ,sociologue, Axel Tisserand, essayiste , Elie Hatem, avocat international, pour ne citer que ceux là.Le but, de ce groupe de réflexion est de sortir de la théorie générale spéculative, pour aborder prioritairement les conséquences concrètes d’une politique menée par un gouvernement de salut public, libéré des lobbies et de tous groupes de pression qui ne seraient pas directement motivés par le redressement du pays.

    Le second colloque du Réveil Français se tiendra le 8 octobre à Paris (école des mines), sur les deux thèmes de l’économieet de la culture.S’agissant de la partie économique pure sur fond de « Brexit », nous bénéficierons de la la contribution de Pierre de Lauzunspécialiste de la finance, écrivain, Henri Temple universitaire (droit économique) , Jean Claude George, patron d’une PME qui place dans sa conception l’économie au service de l’homme et non l’inverse, François Guillaume ancien ministre de l’agriculture et Hervé Juvin économiste.S’agissant de la partie « culturelle », nous aurons la contribution d’Olivier Dazat, scénariste de cinéma, Aude de kerros, artiste graveur et sculpteur, engagée dans la controverse autour de l’art contemporain, David Gattegno écrivain et musicologue, Albert Salon, ancien diplomate, combattant de la langue française et de la francophonie et Michel Chantegrel , artiste (spectacle vivant) et dirigeant d’un groupe d’intérêt économique au service des professionnels du spectacle.Le thème de la journée : « Culture de l’économie et économie de la culture » se traduira de la façon suivante :« Où est passé le bien commun ? » se demande le prix Nobel d’économie, Jean Tirole. Cette question, nous la posons à notre tour, car il apparaît que tout se rapporte de plus en plus à une vision du tout libéral qui l’aurait emporté sur le tout social. Peut-être qu’au-delà des idéologies dogmatiques, il conviendrait de replacer les femmes et les hommes, les familles de France, qui constituent le tissu historique et géographique de nos solidarités nationales, au centre de nos préoccupations. La financiarisation de l’économie est-elle une fatalité ?L’Etat et la politique ont-ils un rôle à jouer en matière de justice économique et sociale ? Au moment où la Grande Bretagne s’apprête à quitter l’Union Européenne, la grande marche qui nous est présentée comme inéluctable vers la mondialisation signifie-t-elle la disparition à terme des nations au profit d’un gouvernement mondial ? Le rayonnement de la France dans le monde, en matière culturelle est encore aujourd’hui au tout premier plan, même s’il tend à s’effacer tout doucement.[....]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Second-colloque-Reveil-Francais-le