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  • Islam en France : c'est le moment de dire la vérité

    Entretien de 40 minutes de Philippe de Villiers sur TV Libertés. Il y affirme que la France est en train de perdre son identité. Pour lui, si rien n’est fait, la voix du “muezzin couvrira le son des cloches de nos terroirs”. Philippe de Villiers met de côté son métier d’entrepreneur ou sa passion pour la politique, il se fait lanceur d’alerte. L’auteur a eu accès à de nombreuses informations qu’il divulgue pour que les Français sachent et prennent conscience de l’extrême gravité de la situation.

    Dénonçant une classe politique achetée (comme l'indique un autre livre récent) et qui pratique l’intelligence avec l’ennemi… montrant du doigt des media coupables d’instituer un couvre feu moral, l’auteur parle de remigration, de partition, propose d’inventer un nouveau roman national et lance un cri du coeur : la France doit rester la France. Elle n’a pas vocation à devenir la fille aînée de l’Islam. 

    Michel Janva

  • Revue de presse : le scan du jour du Figaro

    LE SCAN POLITIQUE - Dans la demeure familiale, Jean-Marie Le Pen, épaulé par son directeur de campagne, Lorrain de Saint Affrique, prépare la bataille des prochaines législatives. Visite.

    Dans le parc de Montretout à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), il règne le calme qui précède aux grandes batailles. La maison familiale des Le Pen, un temps l'épicentre de l'extrême droite française, abrite une poignée d'irréductibles. Des cartons empilés dans l'entrée contiennent les éléments d'un futur studio vidéo, les pièces du rez-de-chaussée sont aménagées en local de campagne. Sur un mur s'étale une relique: l'affiche de campagne de la présidentielle de 1988 barrée du slogan «Le Pen le Peuple». Les derniers grognards de Jean-Marie Le Pen préparent leur Waterloo, l'ultime combat politique que le patriarche a promis à sa fille. Il portera la bannière des comités Jeanne à l'occasion des élections législatives, un label politique qu'il réserve aux seuls représentants de «la vraie droite nationale». Une façon de s'insurger dans les urnes face à sa mise pied au sein du parti qu'il a fondé.

    Il n'y aura probablement ni pardon ni prisonnier dans l'affrontement qui s'annonce avec le FN. Lorrain de Saint-Affrique, directeur de campagne et ouvrier de l'ombre de cette aventure, s'en doute bien et ne s'en émeut pas. Âgé de 65 ans, ce vieux compagnon de route de Jean-Marie Le Pen fut son conseiller en communication de 1984 à 1994, avant de se voir frappé «d'exclusion perpétuelle». Le chroniqueur occasionnel des affres de la droite radicale aborde cet impossible défi avec délectation. On ne peut s'empêcher sentir autour de l'ancien conseiller régional, banni du FN pour s'être frontalement opposé à Bruno Mégret, comme un parfum de revanche. Aussi habile que retors, Saint Affrique s'en défend. «Le Pen m'a appelé à la sortie d'un plateau télé, après 20 ans de silence. Je suis venu retrouver une chaleur militante, revoir les vieux amis, les anciens combattants. Ce n'est pas désagréable», assure-t-il.

    La «part de joie cocasse» de la droite nationale

    Vice-président des comités Jeanne, Patrick Hays, est de ceux-là. Vétéran du 1er Régiment Étranger Parachutiste (REP), comme Jean-Marie Le Pen. «Il a quitté l'armée en 1962, ça dit quelque chose du personnage», relève Lorrain de Saint Affrique. Ancien secrétaire national frontiste aux Français de l'étranger, il a accompagné «le président d'honneur» dans son exil politique. Roger Holeindre, 87 ans, a lui aussi repris du service. Membre fondateur du FN en 1972, ancien député, il est passé au Parti de la France (PDF) de Carl Lang, et soutient la démarche de son vieil ami. «Si ce n'est pas drôle au sein la droite nationale, c'est que le chemin n'est pas le bon, qu'on est à côté de la plaque. Il faut que l'on rie, c'est dans notre philosophie. Il y a une part de joie cocasse inattendue dans notre courant, dont Jean-Marie Le Pen n'est pas exempt. Il a souvent le mot pour rire», sourit Lorrain de Saint Affrique. On s'offre donc à Montretout un dernier tour de piste entre vieux baroudeurs qui n'ont plus grand-chose à perdre.

    Car il y a surtout des coups à prendre dans cette équipée crépusculaire. «Ce n'est pas de tout repos depuis mon arrivée: j'ai été traité de “charognard obsédé par le fric” par Marine Le Pen. Ce n'est pas très aimable de la part de quelqu'un dont on a si longtemps partagé la table. Mais le plus désagréable reste tout de même les perquisitions de l'Office européen de lutte contre la fraude (Olaf). Ils ont tout fouillé et tout vidé: nos dossiers, nos boîtes mail, nos ordinateurs», déplore-t-il. Officiellement employé comme assistant parlementaire de Jean-Marie Le Pen à Bruxelles, il est visé par l'enquête du parlement Européen portant sur les soupçons de détournement financier au bénéfice du parti.

    Saint Affrique candidat aux législatives

    Peu importent les épreuves pour Lorrain de Saint Affrique, pourfendeur de la «dé-lepénisation» du parti. «Je n'ai surtout pas supporté ce que Marine Le Pen a fait à son père, j'ai eu une réaction physique. Il a été trahi. Je suis un peu inquiet pour elle. Elle était gaie, agréable. J'espère que son père ne nous quittera pas avant un moment sans quoi elle portera ce parricide toute sa vie». Le directeur de campagne sait viser la corde sensible de celle qu'il a connue adolescente: c'est l'une des raisons probables de son recrutement par Jean-Marie Le Pen. Mais pour la forme, il ne revendique aucun esprit de revanche dans la démarche des comités Jeanne. «Notre objectif est de constituer une réserve de voix au sein de la droite nationaliste, celle qui manque encore au FN pour gagner le second tour des élections. Nous voulons dissuader cette partie de la base qui se sent en rupture avec la ligne de Marine Le Pen de sombrer dans l'abstention», soutient-il, avec un brin de malice.

    Fragilisé par son grand âge - malgré sa volonté d'en découdre -, Jean-Marie Le Pen soutiendra ses champions sur le terrain «une à deux fois par mois». Et peut-être même à l'international, puisqu'une rencontre avec Donald Trump est envisagée, «si possible». Sans savoir encore où, Lorrain de Saint Affrique sera quant à lui bien candidat en juin 2017. À Montretout, on espère qu'il pourra compter sur 200 à 300 acolytes. «Je ne peux pas seulement envoyer les autres au feu, chez nous il est d'usage de montrer l'exemple. Et puis qu'ai-je à craindre? J'ai déjà candidaté à presque toutes les élections, et perdu presque à chaque fois», s'amuse-t-il, en ourdissant le coup d'envoi.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • i média S03E36 - Traitement médiatique de la manif pour tous, entre caricature et fausses fenêtres.

  • Sondage présidentielle 2017 : Juppé et Marine Le Pen gagnants, Hollande humilié

    Alain Juppé et Marine Le Pen seraient les deux grands vainqueurs du sondage BVA-Salesforce pour la presse régionale et Orange sur les intentions de vote pour la présidentielle de 2017.

    Marine Le Pen oscillerait entre 25% et 29% des intentions de vote (contre 33% à 39% pour le maire de Bordeaux). Jean-Luc Mélenchon apparait parfois comme le 3e homme – selon les scénarios – avec un résultant évoluant entre 12% et 15%

    François Hollande est complètement décroché. Il ferait 13% dans le meilleur des cas et 9% dans le pire scénario pour lui.


    Sondage présidentielle 2017 : Juppé et Le Pen… par Lopinionfr

    http://fr.novopress.info/201190/sondage-presidentielle-2017-juppe-et-le-pen-gagnants-hollande-humilie/

  • GPA : le gouvernement refuse de faire appel de la décision de la CEDH

    Huit heures après la fin du délai pour faire appel de la décision de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, les Gavroches dénonçaient ce matin, devant le Ministère des Affaires Sociales et de la Santé, l’inaction de notre GouverneMENT concernant la GPA.

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    Michel Janva

  • EXCLU - Sarkozy à Assad : « On va mettre la Syrie à feu et à sang ! » (Rochedy)

  • SURREALISTE...

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    A Evry mardi soir, le directeur de la Police nationale

    reçu par les policiers en colère... 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Philippe Bilger : « Il y a en France comme un parfum de révolution »

    Depuis quelques semaines, le sentiment d'inquiétude des citoyens s'accroît face aux violences qui frappent la puissance publique, notamment les policiers et les enseignants. Dans cette chronique du Figaro [19.10]  Philippe Bilger commence par constater : la République est aujourd'hui impuissante, la démocratie faible. Puis il énonce son dilemme : « Si j'osais, j'irais jusqu'à soutenir qu'une démocratie, face à un pire multiplié et multiforme de plus en plus violent, sans le moindre frein éthique et humain, est impuissante par principe ». Impuissante par principe ... Incomplétude de la démocratie dirait Macron ... Mais comment et au profit de quel « pouvoir totalitaire » faudrait-il renoncer au « bonheur de vivre en démocratie » ? Et « que proposer d'autre sinon une République qui offrirait moins de garanties aux transgresseurs mais plus de droits aux honnêtes gens ? » Mais Philippe Bilger n'a pas, non plus, grande confiance dans cette possibilité. Une chimère ? Tel est le dilemme de Philippe Bilger. A notre tour, si nous osions, nous lui proposerions de sortir du dilemme suivant l'hypothèse formulée jadis par Eugène Ionesco : « On finira bien par restaurer la monarchie, un jour, contre la dictature et contre l'anarchie. » Autre chimère ? Mais qui sait quelle situation, quels drames, quelles nécessités impérieuses pourraient bien en convaincre,un jour, le peuple français ? Un récent sondage montre déjà qu'une frange non négligeable de Français y seraient hic et nunc favorables. Qui sait demain ? Qui sait ... s'il le fallait ? C'est à promouvoir l'idée de cerecours à quoi nous travaillons, ici.  Lafautearousseau    

    J'ai encore dans l'oreille la pétition de principe du président de la République salle Wagram. La démocratie sera la plus forte, la démocratie vaincra.

    Pour lutter contre le terrorisme, on avait le droit de douter de ce volontarisme du verbe destiné à tenir pour établi ce qui était justement problématique.

    Depuis quelques semaines, l'inquiétude du citoyen s'est déplacée parce que des événements, des manifestations, des agressions, des attaques, un changement radical de la nature du désordre et de la violence ont fait apparaître des bouleversements inédits. Il est clair que, sous ce quinquennat, nous sommes sortis de la normalité évidemment contrastée d'un pays même bien gouverné pour entrer dans la crainte de plus en plus stressante d'une impuissance de la République, d'une faiblesse de notre démocratie.

    Les violences massives, organisées et parfois criminelles, qui s'en prennent notamment aux fonctionnaires de police comme dans l'Essonne, les attaques d'établissements scolaires, les agressions quotidiennes contre le corps enseignant, même un proviseur molesté, la fin de l'impunité des médecins et des pompiers ne relèvent plus des transgressions ordinaires mais mettent directement en cause la capacité de résistance de l'Etat, testent ses aptitudes à la fermeté ou sa propension à laisser s'accomplir ce qu'il ne sait plus, ne peut plus empêcher (Le Figaro).

    Qu'on cesse également de se tromper d'ennemi, par exemple en se demandant « où sont passés les profs » alors que l'une des tragédies actuelles est de les voir si peu respectés et même frappés ! (Le Parisien)

    Qu'une manifestation de 500 policiers sur les Champs-Elysées au cours de la nuit du 17 au 18 octobre se soit déroulée dans l'urgence et l'exaspération est l'un des signes les plus éclatants de cette modification d'atmosphère comme les rassemblements de solidarité et de soutien, à Evry, Paris et Marseille, qui l'ont suivie. Ce n'est plus une simple fronde mais il y a là comme un parfum de révolution (Le Point).

    Il y a des enseignements à tirer de ce qui se dégage des échanges les plus chaleureux comme des controverses les plus vives. Pour les premiers je me rappelle un couple d'amis très chers qui, face au constat accablant d'une réalité nationale angoissante et déprimante, semblait considérer qu'il suffirait d'une exemplaire autorité de l'Etat et d'une implacable et constante sévérité ne laissant rien sans sanction nulle part pour que le redressement s'opère et que la France retrouve la paix.

    Leur intelligence ne s'arrêtait pas à la facilité des « il n'y a qu'à » et ne sous-estimait pas les difficultés de la tâche mais je ne parvenais pas à les approuver tant leur fermeté abstraite semblait oublier tous les obstacles qu'une démocratie représentative accumule sur le chemin d'une rigueur efficace à tout coup et partout.

    Sans même rêver d'un monde d'où toute transgression serait éradiquée, en demeurant forcément dans le cadre imparfait du nôtre, je suis persuadé que pour les agressions récentes les plus graves, les enquêtes et instructions aboutiront à des interpellations puis, ultérieurement, à certaines condamnations ; mais cet optimisme suppose, outre l'existence de preuves suffisamment précises, une collaboration police-magistrature rien moins qu'assurée, la seconde étant si peu en empathie avec le dur et éprouvant métier de la première prenant le réel de plein fouet.

    Il implique aussi que les oppositions politiques et les doléances médiatiques ne viennent pas sans cesse troubler la vigueur de la chaîne pénale.

    J'admets que ponctuellement un Etat, si beaucoup de conditions sont réunies, a la possibilité de manifester sa force et de réprimer les délits, les crimes ou même les incivilités, terme délicieux donnant l'impression que le vocabulaire est capable de civiliser la réalité brute. Ainsi le Premier ministre est-il dans son rôle quand il affirme que « l'Etat poursuivra sans relâche les auteurs ». Bien le moins !.

    Il y aura des avancées qui rassureront temporairement mais quand, avec des malfaisances collectives, ici ou là on s'ébat dans la France comme si elle était un terrain de jeu livré à la folie destructrice et coupable de minorités qui n'ont plus peur de rien, que peut faire l'Etat ? Le plus souvent, constater, déplorer, bomber le torse, compter sur la police et sur les juges puis attendre la suite. Inéluctable, imprévisible, de la part de voyous et de bandes qui ont pour objectif de saper les moyens même de leur possible identification et de sauver leurs trafics.

    Que pèse, face à ces impunités quasiment et fatalement obligatoires - ces groupes protégés par leur nombre même - l'autorité affichée de l'Etat ? Rien ou presque rien. Comment l'évoquer même au regard de ces cités de non-droit qui la narguent ?

    La démocratie même la plus efficiente, active, réactive, ni naïve ni féroce, ne sera jamais à la hauteur de ce qu'exigerait notre pays. Les fauteurs de troubles, délinquants et criminels sont lestés, à chaque fois davantage, de l'impuissance des services régaliens de l'Etat à les mettre hors d'état de nuire.

    La démocratie, dans la meilleure de ses définitions, est caractérisée par tout ce qu'elle peut se permettre pour se défendre, limitée par tout ce qu'elle doit s'interdire à cause de sa nature. On devine les piètres résultats d'une politique ainsi contrariée.

    Pourtant, que proposer d'autre sinon une République qui offrirait moins de garanties aux transgresseurs mais plus de droits aux honnêtes gens ? Toujours dans l'espace démocratique avec ses valeurs, ses principes et son inévitable passif... Des gouvernants plus compétents, une police mieux armée, pourvue et défendue, une magistrature plus solidaire, des médias moins mécaniquement critiques.

    Si j'osais, j'irais jusqu'à soutenir qu'une démocratie, face à un pire multiplié et multiforme de plus en plus violent, sans le moindre frein éthique et humain, est impuissante par principe parce qu'elle ne peut pas tout se permettre.

    Mais que son contraire, un pouvoir totalitaire impitoyable serait un remède plus dommageable, plus insupportable que la rançon que nous payons pour avoir le bonheur de vivre en démocratie. 

    Philippe Bilger    

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Fronde des policiers : FN à la manœuvre ou lâcheté de l’État ?

    François Hollande l’a récemment admis : la France se divise pour longtemps.

    Se dirigeant vers la place Beauvau, les policiers en colère criaient, mercredi 19 octobre, « Cazeneuve démission ! » Pour Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste, cela ne fait aucun doute : le Front national est à la manœuvre, manipulant les fonctionnaires de police. Aux ordres du pouvoir, Libé a même osé titrer : « Colère policière. Le FN en embuscade. »

    Les propos de l’ancien trotskiste sont d’une extrême gravité, sous-entendant que les policiers ne suivent plus les ordres du ministère de l’Intérieur mais ceux d’une formation politique. Espace dans lequel se sont engouffrés les agitateurs de la sphère marxiste culturelle, au premier rang desquels on retrouve Sihame Assbague, proche du Parti des indigènes de la République, qui s’est fait connaître par son virulent racisme anti-blanc et sa haine viscérale des représentants de l’État.

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