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Attaque terroriste au Parlement britannique à Londres
Une attaque terroriste vient d’avoir lieu devant le Parlement britannique. Selon les premiers éléments rapportés par la presse britannique, un homme armé d’un couteau, qui serait de type pakistanais ou indien, a été abattu devant le Parlement britannique, après qu’il a attaqué et blessé un policier à l’intérieur du Parlement.
Dans le même temps, un véhicule de type 4×4 a fauché volontairement une dizaine de piétons et de cyclistes sur le pont de Westminster, trois d’entre eux au moins étant blessés et ayant été vus gisant au sol.
Le premier ministre Theresa May, qui se trouvait au Parlement, a été exfiltré par la sécurité et a fait savoir qu’elle allait bien.
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Marine Le Pen vous répond ! #04 | « Sur les bas salaires » | Marine 2017
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Le collectif Tout sauf Macron est en marche !
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
Le collectif Tout sauf Macron est né ! C’est ce que l’un de ses fondateurs, le militant souverainiste Pierre Charron, a révélé à nos confrères du site Parisvox.
Le point de départ de ce collectif est que les propos du candidat Macron sont un peu trop bien relayés par les médias du système, sans analyse critique. Cet ancien ministre de François Hollande, donc partiellement responsable du bilan de celui-ci, est présenté par la classe politico-médiatique comme un homme neuf et porteur d’espoir.
Quel est le but de ce collectif ? Il est dit des Français qu’ils auraient la mémoire courte. Ce collectif entend la leur rendre. Tout d’abord en leur présentant Macron comme le digne héritier du social-libéral Hollande. En leur rappelant également qu’ayant travaillé pour la banque Rothschild et ayant fait siennes des revendications du Medef, Macron est également l’homme du système dans toute son expression. En témoignent ses déclarations sur l’identité et la culture française ou le colonialisme.
Quels moyens seront mis en œuvre par ce collectif ? Tous ceux qu’il sera possible de mettre en œuvre, à savoir la prévention, la sensibilisation et le militantisme, notamment via les réseaux sociaux, seul véritable espace de liberté. L’occasion de mettre notamment en lumière les affaires qui touchent le candidat d’En Marche !Pour Pierre Charron, le mot d’ordre « Tout sauf Macron » ne doit pas connaître de limites : il se dit prêt à voter Mélenchon s’il le faut, ce dernier ayant au moins pour lui de ne pas être inféodé « aux grandes puissances mondiales et à l’Allemagne ».
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Marine Le Pen rencontre Idriss Déby, Président de la République du Tchad | Marine 2017
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Les libéraux contre le peuple libéré
L’Afp le rapportait le 14 mars, lors d’une conférence organisée par les Amis du Crif, François Fillon expliquait qu’il n’était pas mort, que « compte tenu du désordre dans cette campagne, les choses se cristalliseront dans les derniers jours, dans la dernière semaine quasiment (…) au moment où les Français ont le sentiment qu’ils ont une responsabilité en mettant un bulletin dans l’urne »; d’autant ajoutait-il, que « Emmanuel Macron est très surestimé ( dans les sondages) », et « Marine Le Pen terriblement dangereuse »… pour qui? Yves Thréard n’est pas le journaliste le plus hostile à la droite libérale mais désespère comme beaucoup de voir le candidat de LR et de l’UDI remonter la pente. Il le disait de nouveau ce matin dans son éditorial sur Europe 1, alors que la justice soupçonne M. Fillon d’escroquerie aggravée et de faux et usage de faux. « Pour Fillon, dit-il, c’est mission quasi impossible. Il est à 17 % dans les sondages, ce qui fait l’os de l’électorat de droite, moins que Chirac en 1995 et 2002, qui était déjà très bas. Sauf à écraser ses adversaires dans les deux débats du 4 et 20 avril, sauf à ce qu’une énorme tuile tombe sur Macron ou Le Pen, il ne peut plus guère espérer. Ce n’est pas la présence des Balkany dans ses meetings, comme hier soir à Courbevoie, qui va améliorer son image.» Ni ajouterons-nous, d’accepter de se faire offrir des costumes par le très trouble avocat libanais Robert Bourgi, que Jean-Marie Le Pen avait rudement taclé en 2011 quand cet ami de Chirac et de Sarkozy l’avait inconsidérément attaqué et accusé…
Un François Fillon qui fut rudement dénoncé par le cacique socialiste Bruno Le Roux, successeur de M. Cazeneuve place Beauvau, ex président du groupe PS à l’Assemblée, lorsqu’il a commenté il y a quelques semaines sur RTL l’affaire Pénélope, les déboires du candidat de LR. Il évoquait une affaire « très très grave aux yeux des Français s’il n’y avait pas la réalité d’un véritable travail ». Patatras!, le jour même de l’annonce des décès du socialiste Henri Emmanuelli et du mondialiste David Rockfeller, il a lui même été contraint à la démission de son poste de ministre de l’Intérieur. A peine vingt-quatre heures après les révélations lundi soir portant sur l’emploi comme collaboratrices parlementaires de ses deux filles alors mineures, pour un total cumulé de 24 CDD et des salaires se montant au total à 55 000 euros.
Bruno Le Roux était une sorte de synthèse et ne fut pas choisi au hasard par François Hollande, nous l’avions dit ici. Interdit de territoire russe , très en pointe dans le combat contre le FN - ce qui le qualifiait certainement pour superviser le déroulement élections en tant que ministre de l’Intérieur… - M. Le Roux est aussi un Young Leader. En l’espèce l’un des programmes phares de la French-American Foundation (FAF) qui a recruté et formé des agents et des relais au PS comme au sein de la droite atlanto-libérale. D’ailleurs, le binational Mathias Fekl jusqu’alors secrétaire d’Etat chargé du commerce extérieur, soutien de Bernoit Hamon, qui a été nommé pour remplacer M. Le Roux à la tête du ministère de l’Intérieur, est lui aussi un Young Leader campant sur des positions très immigrationnistes.
Le Figaro rapporte sa méconnaissance de l’histoire des idées (ou une volonté de déni?) puisque M. Fekl affirme notamment, contrairement à Emmanuel Macron qui là pour le coup assume et ne se trompe pas, que « Le libéralisme n’est pas de gauche». Or cette doctrine (qui n’est pas simple et saine acceptation de l’économie de marché) est née à gauche, s’est déplacée à droite et est largement revenue dans sa famille d’origine. La candidature Macron a cet avantage de matérialiser clairement cet état de fait, d’acter la rupture nette et définitive entre un peuple conscient de l’entourloupe et les élites mondialisées, une gauche libérale-libertaire, hors sol, bruxelloise, transnationale, les partisans de l’open society.
Ce peuple Français attaché à ses racine, à ses traditions, à sa souveraineté , à son identité physique, culturelle, spirituelle place ses espoirs dans la candidature de Marine et ne désespère pas de voir une recomposition politique s’opérer autour du Front National, de l’idée de préservation du fait national. Souverainisme national qui fait enrager nos adversaires, notamment ceux qui sont élus au Parlement européen et qui ne reculent devant aucune méthode pour tenter de museler les fortes têtes qui refusent de penser dans les clous progressistes.
Bruno Gollnisch s’en est inquiété auprès du président Parlement européen dans une question écrite dont nous nous sommes fait l’écho hier, suite aux agissements de Pervenche Bérès. Une élue socialo-européiste qui s’était déjà signalée en signant un appel contre les mouvements nationaux et souverainistes, pour la mise en place d’un apartheid politique visant à couper les vivres aux eurosceptiques au motif qu’« il est quand même schizophrène de donner de l’argent européen à des partis antieuropéens ! ».
En fait de schizophrénie, la gauche cosmopolite, celle de toutes les trahisons, de tous les reniements, dans ses différents avatars , costumes, et transmutations est toujours là pour nous rappeler qu’elle reste finalement fidèle au mot d’ordre des sectaires aux mains ensanglantées dont elle est l’héritière: pas de liberté pour les ennemis de la liberté...et à sa déclinaison plus moderne: le peuple vote mal, changeons de peuple!
https://gollnisch.com/2017/03/22/liberaux-contre-peuple-libere/
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La folle semaine euro turque
Il faut hélas revenir, d'abord, sur la décision française d'autoriser l'organisation, à Metz le 12 mars, d'une importante réunion politique communautariste où le ministre turc des affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu est venu exhorter ses compatriotes résidant en France et dans les pays frontaliers de voter "evet" (oui) à la transformation autoritaire de la constitution.
Examinons d'abord cette décision du point de vue de la politique intérieure française.
En elle-même cette affaire révèle l'attitude capitularde de la gauche parisienne devant un électorat qu'elle entend rallier à tout prix. Ceci résulte de la stratégie imposée depuis plusieurs années par Terra Nova. Ce prétendu laboratoire d'idées progressistes remonte à 2008. Il se coule sur le modèle du Parti Démocrate des États-Unis, que la loi autorise désormais à financer les partis de l'Internationale socialiste.
Son propos, désormais bien connu et bien repérable, consiste à substituer aux anciens électorats ouvriers, qui constituaient historiquement le socle des partis socialistes, sociaux démocrates et communistes, les masses fédérées des minorités, toujours présentées comme opprimées. On réfute officiellement avec horreur la dénonciation du remplacement de peuple, thèse d'un Renaud Camus stigmatisée pour raciste. Mais les disciples de la gauche caviar la pratiquent allègrement. Le peuple de gauche, pour eux, ne se recrute plus chez les travailleurs, mais chez les étrangers, tous les étrangers. L'Arlette Laguillier de demain devrait ainsi ouvrir ses discours non plus par son célèbre "travailleurs, travailleuses" mais par un "étrangers, étrangères".
Or, parmi ceux-ci un certain nombre ne se sentent aucune vocation à rejoindre les rangs de la gauche.
Les partisans d'Erdogan en Europe en donnent sans doute le plus éclatant exemple. Militant pour une renforcement des pouvoirs constitutionnels de leur président, ils se recrutent dans deux partis : d'une part, l'AKP créé par Erdogan lui-même sur la base d'un retour méthodique de la Turquie à l'islam, et à la tradition ottomane, et d'une répression plus intransigeante vis-à-vis des revendications kurdes, tout en mettent en œuvre une économie d'apparence plus libérale ; et d'autre part le MHP, parti des Loups-Gris nationalistes, dont le fondateur Alparslan Türkes (1)⇓ considérait : "le corps de notre politique est le nationalisme turc, et son âme est l'Islam". (2)⇓
On se trouve ici en présence d'un cas d'école
L'objet de la campagne référendaire aurait de quoi faire réfléchir même un François Hollande, même un Ayrault qui parle "d'apaisement" et qui fait mine de considérer que rien ne justifierait l'interdiction de meetings où des ministres turcs viennent enflammer la diaspora et intimider au sein de celle-ci les représentants de l'opposition politique ou des minorités ethniques (notamment kurdes) et religieuses (notamment alévies). Toutes sont d'ores et déjà opprimées par le régime turc, caricature du jacobinisme français, et il est à craindre qu'elles le soient encore plus si le projet gouvernemental est adopté.
Le 16 avril en effet le referendum constitutionnel portera sur une réforme renforçant outrageusement les pouvoirs du président de la république Recep Tayyip Erdogan. Ceci remplacerait le système actuellement parlementaire par un régime présidentiel quasi dictatorial. Ceci déterminerait une inversion de toute l'évolution des institutions turques depuis la fondation de la République par Mustafa Kemal Atatürk. Le caractère répressif du projet, a été rappelé aux Européens, avec éloquence, par l'actuel premier ministre Binali Yildirim venu en Allemagne faire campagne pour le oui. Le 18 février en effet il a promis une traque impitoyable de tous les partisans qu'il dénonçait, en vrac, comme des putschistes et des terroristes, aux applaudissements de plusieurs milliers de sympathisants rassemblés. "L'époque où certains pouvaient donner des leçons à la Turquie est révolue. La Turquie n'est pas un pays que l'on peut intimider", a-t-il lancé dans le grand stade d'Oberhausen, salué au cri de allahou akbar.
Il se trouve que, sans le vote des 39 députés du MHP le projet de révision constitutionnelle proposé par Erdogan et les 317 députés de son parti n'aurait pas passé le cap des 330 voix sur 550 à l'Assemblée nationale nécessaire pour être soumis à referendum.
Difficile dans ces conditions d'agréger à la gauche française les amis de cette coalition, d'autant que la gauche turque est clairement identifiée aux deux autres partis et que les adversaires du projet ne manquent pas de caractériser comme de nature à renforcer une situation d'oppression.
Enfin, on doit regarder cette affaire du point de vue européen. Étant de ceux qui ont toujours mis en garde contre la candidature d'Ankara (3)⇓, je ne puis que me féliciter de voir que des gens qui, jusque-là semblaient indifférents à l'idée qu'un pays extra-européen puisse entrer dans ce qui s'appelle l'Union européenne aient largement pris conscience du danger.
Il est faux en effet de présenter cette affaire comme l'ont fait les médias hexagonaux lesquels n'ont guère mis l'accent que sur le contentieux avec les Pays-Bas. Ce faisant ils ont préemptés le résultat des élections néerlandaises du 15 mars : patatras les sondages se sont encore trompés. Ce n'est pas le parti de Wilders qui l'a emporté, mais le parti libéral. Or, l'affaire de la campagne intrusive du gouvernement turc en Europe avait entraîné la réaction de plusieurs pays: Hollande, certes, mais aussi Autriche, Suisse, Danemark et surtout en Allemagne où l'immigration turque est la plus forte. Depuis plusieurs semaines cette question faisait la Une des sites internet des plus sérieux parmi les journaux d'outre-Rhin. Les responsables politiques allemands se sont tous prononcés, s'indignant des provocations. Et, une fois de plus, la presse parisienne ne s'en préoccupait pas. Il lui était beaucoup plus agréable de mettre en cause la xénophobie néerlandaise et de laisser entendre qu'il s'agit seulement d'une retombée du Brexit, dont se réclame Wilders.
On est rarement déçu avec le mégalomane d'Ankara Recep Tayyip Erdogan. Ses injures déplacées en direction des Allemands et des Hollandais restent dans la droite ligne d'un discours récurrent plein de mépris et de rancœur envers les Européens. On ne doit donc plus accepter qu'en réponse, nos pays ne se situent pas sur une même ligne, celle de la fermeté.
En choisissant, quand les autres européens font face, de singulariser en s'aplatissant, pour des raisons électorales internes, et de surcroît illusoires, Hollande et les socialistes ont délibérément choisi d'affaiblir et de discréditer la France.
JG Malliarakis
Apostilles
- Ce nom, trop beau pour être vrai s'agissant d'un nationaliste turc (un peu comme si un nationaliste français s'appelait Clovis Lefranc) est un pseudonyme. La véritable identité du personnage reste mystérieuse.
- L'un des exploits des Loups Gris peut être visionné avec les images de la mise à sac et du massacre de Sivas du 2 juillet 1993 à Sivas, une ville du centre de la Turquie. Il a entraîné la mort de 37 personnes, dont 33 intellectuels alévis. .
- cf. Mon livre La Question turque et l'Europe.
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La petite histoire : La légende noire des Gaulois
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Samedi dernier, beaucoup de monde au colloque de l'Institut Iliade à Paris
Source Réinformation cliquez ici
1200 personnes ont assisté au colloque annuel de l’Institut de la longue mémoire européenne. Un colloque dédié au thème : « Européens – transmettre ou disparaître ». Pour transmettre des valeurs, il faut d’abord résister à la déconstruction de notre culture. Pour ce faire, Philippe Conrad a rappelé la nécessité des médias de reinformation, citant notamment Radio Courtoisie.
Le focus a ensuite été mis sur l’éducation.
François Bousquet a dénoncé l’égalitarisme de l’Education nationale et ses effets délétères sur le niveau d’instruction des élèves français. Une table ronde a mis en évidence l’impasse de l’école républicaine actuelle. Une faillite délibérée.
L’après-midi a embrayé sur la « paideia », l’éducation du corps, de l’âme et de l’esprit.
Un auditeur de l’Iliade a présenté un film sur le « kalos kagatos », l’homme accompli des Grecs. Une table ronde a ensuite réuni un chef scout, un maître artisan et une spécialiste de la littérature jeunesse. Autant de vecteurs d’éducation.
Par un éloge de l’entreprise, Philippe Christèle a rappelé la nécessité de convertir dans l’action les valeurs et savoirs transmis.
Une troisième table ronde a réuni deux « Antigones » pour parler de la transmission féminine. Le rapport particulier des femmes au temps à été souligné, ainsi que la nécessité de résister à la dénaturation par la contraception hormonale.
L’art a également été mis à l’honneur.
Thibaud Cassel, auteur d’une anthologie poétique, a superbement déclamé « la mort du loup » d’Alfred de Vigny. Un film de l’Iliade a ensuite mis en scène la fraternité des peuples européens et la renaissance espérée de la civilisation européenne.
Jean-Yves le Gallou a conclu la journée en proposant le recours à la civilisation face au risque du « dernier homme ».
Dans l’histoire européenne, il n’y a pas de fatalité a-t-il affirmé. C’est aux Européens de puiser dans leurs racines pour construire un nouveau monde sur les ruines de celui qui s’achève. Quoi qu’il advienne, « le temps de l’homme européen reviendra ! ».
Vous retrouverez les interventions de ce colloque dans le numéro spécial de la revue Livr’arbitres et sur le site de l’institut Iliade.
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