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Leur priorité (anti)nationale
Ils osent décidément tout et s’il était nécessaire d’avoir une énième preuve de l’acharnement de l’institution bruxelloise contre ceux qui ne pensent pas dans les clous de l’euromondialisme béat, laïque et obligatoire, le Parlement européen (PE) vient de la donner. L’avocat pénaliste Français du PE, Patrick Maisonneuve, a choisi BFMTV, la chaîne détenue par le très europhile et soutien d’Emmauel Macron, le milliardaire israélien Patrick Drahi, pour annoncer que « le Parlement européen s’est constitué partie civile » dans la cabale menée contre le FN dans l’affaire dite des assistants parlementaires. «Car, dit Me Maisonnneuve , il (le Parlement, NDLR) ne peut pas rester inactif et absent de cette information judiciaire. Pour une simple raison, c’est qu’il s’agit de l’argent du contribuable européen et d’ailleurs du contribuable français. Cet argent appartient aux contribuables européens, donc aussi aux contribuables français. Pour nous, le but est de le récupérer » (sic). Cet argent, nerf de la guerre, c’est en tout cas ce que comprennent parfaitement beaucoup de Français, citoyens d’un pays qui est contributeur net à l’UE, est aussi employé par les députés frontistes pour travailler en confiance avec des assistants qui mènent, sous leur direction, la résistance contre les oukases bruxelloises et pour la sauvegarde de l’Europe des patries libres.
Et c’est cela le vrai fond de l’affaire: les eurofédérastes ont toujours considéré que la présence d’ élus patriotes, nationaux dans les murs des instances européennes était un crime de lèse-majesté, une aberration. Le refrain est connu, pas de liberté pour les ennemis de la liberté, fusse-t-elle celle du renard dans le poulailler entraînant la paupérisation , voire la destruction de nos patries charnelles européennes.
Présent hier à Bruxelles dans le cadre de l’élection du président du Conseil Européen – l’euroatlantiste Donald Tusk a été nommé sans surprise- François Hollande n’a pas oublié les obligations de sa tournée anti FN élevée au rang de priorité (anti)nationale. Actualité oblige, il s’est fait le relais des partisans de l’Open society (Société ouverte), criant au scandale au motif que le cimentier franco-suisse LafargeHolcim, pourrait répondre à un appel d’offre du gouvernement américain. « Il y a des marchés sur lesquels il faut être prudent avant de déclarer sa candidature » a averti le plus impopulaire des présidents de la République, réagissant à l’éventuelle contribution de ce groupe à l’érection du mur visant à lutter contre l’immigration clandestine le long de la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique. Une frontière qui joue son rôle, alternativement ouverte et fermée selon les besoins et les intérêts d’un pays souverain, c’est en effet la définition même de l’horreur pour certains …
Avec la même logique, il a de nouveau conspué les Français partisans d’une alternance patriotique au chaos euromondialiste. Pour empêcher ladite alternance, pourquoi ne pas soutenir le candidat chouchou de la Caste, Emmanuel Macron ? lui ont demandé les journalistes. « Ça, c’est la réponse en terme électoral qui peut être évoquée mais ce n’est pas ce que je veux souligner en ce moment », a-t-il expliqué. « La réponse qu’il faut faire, c’est une réponse politique au sens d’aller jusqu’au bout dans la dénonciation des propositions du Front National ». « Est-ce qu’il y a de l’inquiétude (vis-à-vis des intentions de vote élevées en faveur de Marine) ? Oui, mais il y a de l’inquiétude parce qu’il y a présence de l’extrême droite partout en Europe à des niveaux élevés, en France en particulier depuis longtemps. Et il ne s’agit pas simplement de déplorer, de s’inquiéter, il faut participer au débat public », a conclu M. Hollande.
Il est révélateur constate Bruno Gollnisch, que le président socialiste fustige les Français qui veulent aller voter parce qu’ils entrevoient une alternative à un monde politicien à bout de souffle, et ne déplore jamais son caractère anti-démocratique. Fin février, une enquête Ipsos confirmait que seuls 17 % de nos compatriotes jugent que le système démocratique fonctionne plutôt bien en France et que leurs idées sont bien représentées. Plus d’un Français sur dix en âge de voter n’est pas inscrit sur les listes électorales ( 11,4 %, contre 3,8 % en 1981, 5,5 % en 1988, 7,5 % en 1995 ), soit presque 5,9 millions de personnes. Quant à l’Ifop, cet institut indique qu’actuellement plus d’un Français sur trois (35%) envisagerait de s’abstenir à l’élection présidentielle. Et ça, ce serait une très bonne nouvelle si elle se confirmait dans quelques semaines, pour les tenants du statu quo que sont les principaux adversaires du FN.
https://gollnisch.com/2017/03/10/leur-priorite-antinationale/
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A quoi bon soutenir un candidat qui n'accorde rien ?
De Cyril Brun sur Liberté Politique :
"[...] Non le Trocadéro n’a pas donné un blanc-seing à François Fillon ! S’il est venu en masse c’est pour ne pas être cocufié par le système qui ne veut pas entendre sa voix. Les 200 000 pèlerins du Trocadéro ne sont pas venus, nostalgiques du Trocadéro de Sarkozy, moins encore clamer l’innocence de François Fillon, ils sont venus rappeler que la droite est à droite ! Mais faudra-t-il à peine 5 jours au candidat sauvé des eaux, par ce peuple de droite de conviction pour montrer son mépris à ceux-là même qui lui ont permis de s’imposer à l’appareil politique qui, depuis le début, ne veut pas de lui. Acceptera-t-il cet accord (antérieur au Troca) signé in extrémis par l’UDI qui a peur tout coup de tout perdre ? Donner 96 circonscriptions à l’UDI serait rien moins que cocufier le peuple du Trocadéro. Que l’équipe de conseilleurs de monsieur Fillon se rappelle de la jurisprudence Jospin qui à moins de 200000 voix a perdu la qualification au second tour de la présidentielle.
Alors que, clairement, l’hémorragie des soutiens Fillon se fait vers Marine Le Pen, il serait bon que celui qui dénonçait les manigances du système se rappelle que ce n’est pas lui que le peuple a soutenu, mais que cette victoire des primaires, ce peuple qui en est l’auteur pourrait la reprendre. Elle est la sienne, il a le droit d’en disposer. J’ai dit ailleurs que le vote utile du premier tour de la primaire avait été non seulement inutile, mais avait réduit les catholiques à néant. Aucune négociation, des investitures qui ne se comptent pas sur les doigts de la main, alors que les médias assurent que Fillon est passé « à cause des catholiques ». Pourquoi un tel mépris de l’assise même de son camp, sinon parce que le candidat Fillon, non seulement se moque des catholiques, mais aussi parce qu’il est persuadé qu’ils lui sont acquis. D’où le soufflet méprisant à l’investiture de Xavier Lemoine. Un mépris pour l’homme et son engagement, un mépris pour le terrain qu’il incarne, balayé pour des calculs d’officines parisiennes, de la part d’un homme qui jure ses grands dieux être de cette France profonde, un mépris enfin des catholiques qui ont répondu nombreux à l’appel du Trocadéro.
Les catholiques vont-ils comprendre, enfin, qu’ils sont les premiers cocus du Trocadéro ? Vont-ils laisser une fois encore passer ce soufflet ? Alors à quoi bon soutenir un candidat qui ne leur accordera rien, pas même les miettes du système dont, s’il ne touche pas à l’accord UDI, il restera un indécrottable représentant. Dans le cadre de la diversité, François Fillon donne des gages à tout le monde. Des gages, il est vrai cohérents avec son programme, lui-même globalement ficelé. Mais alors, pourquoi les catholiques seraient-ils les seuls dindons de la farce à ne pas conditionner leur vote, monnayer leur voix ?
Il va falloir que François Fillon donne des gages aux catholiques, parce que les déçus trouveront aisément à se répartir entre un Macron illusionniste, mais qui les séduits et un Front National qui, bien que n’étant plus celui de Jean-Marie Le Pen, leur a toujours fait de l’œil. Non, le vote catholique n’est pas acquis, mais le déficit militant de la population catholique risque de diluer ce mécontentement dans « le moins pire » du système, plutôt que peser fortement sur un candidat qui ne peut pas gagner sans nos voix. Nous pouvons faire gagner nos convictions comme les faire perdre par le simple jeu de notre poids. François Fillon peut passer sans les voix catholiques, mais ce n’est pas assuré du tout. Mais s’il passe sans que ces voix ne soient explicitement négociées, il aura beau jeu de nous méprise encore. Nous pouvons aussi poursuivre notre route défaitiste et ne rien dire et diluer notre vote… ailleurs. Cela fera peut-être perdre Fillon, mais a peu de chance de faire gagner nos convictions que nous n’avons aucune possibilité de négocier à gauche, Macron, comme Hamon ont été clairs. Et guère plus de l’autre côté, tant que la tendance Philippot sera aux commandes. Laquelle tendance, soit dit en passant, représente la même fracture entre l’appareil frontiste et sa base qu’entre le peuple de France et le système qui les ignore. Les catholiques divisés de part et d’autre du cordon sanitaire établit par la République du médiatiquement correct seront confrontés au même problème de poids que leur émiettement affaiblit d’autant."
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La seule élection de Donald Trump a fait chuter l’immigration clandestine !
Le nombre d’immigrés entrés illégalement aux Etats-Unis depuis le Mexique a chuté avant même l’investiture de Donald Trump. Selon Euronews, « le secrétariat de la Sécurité nationale a enregistré 30 et 40 % d’arrestations en moins en janvier et février par rapport à la même période en 2016 ». L’explication en serait « les promesses de campagne pour le moins radicales du locataire de la Maison Blanche en la matière »…
http://fr.novopress.info/204150/la-seule-election-de-donald-trump-fait-chuter-immigration-clandestine/ -
Repenser le droit pour Désislamiser l'Europe- Philippe Chansay Wilmotte
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Le délire idéologique de fonctionnaires dhimmis qui veulent intégrer nos enfants à l’oumma
Yves Daoudal n'en croit pas ses yeux :
"J’avais vaguement entendu parler du projet de « la » ministre marocaine de l’Education nationale française de donner des cours d’arabe à l’école primaire. En me disant que c’était sans doute pour la progéniture de ses congénères. Mais voici que ça m’arrive dans la figure, dans un petit village du Centre Bretagne.
Mon petit-fils est revenu chez lui avec un formulaire, dont « l’objet » est son « inscription à un enseignement optionnel de langue vivante étrangère dans le premier degré ». Langue vivante étrangère. Vous avez le choix entre… l’arabe, et le turc.
On dirait qu’il y a comme une discrimination, non ? Ou alors l’anglais, l’allemand et l’espagnol sont devenus des langues mortes. Ou moins vivantes que celles de l’islam… Et pourquoi pas le breton, qui est pourtant une langue étrangère pour le ministère jacobin (islamo-jacobin) ?
Et où vont-ils trouver des professeurs d’arabe et de turc par ici ? C’est le délire idéologique de fonctionnaires dhimmis qui veulent déjà intégrer nos enfants à l’oumma…"
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Si Le Pen est élue, l’ambassadeur de France au Japon quittera ses fonctions
Thierry Dana déclare qu’il quittera ses fonctions diplomatiques si l’aventure électorale d’avril et mai devait se conclure par l’élection de Marine le Pen.
Dans une tribune publiée par Le Monde en date du 7 mars 2017, Thierry Dana, actuel ambassadeur de France au Japon, déclare qu’il quitterait ses fonctions diplomatiques si l’aventure électorale d’avril et mai prochains devait se conclure par l’élection de Marine Le Pen. Cette prise de parole publique de la part d’un membre du corps diplomatique en exercice soulève quelques réflexions.
Quel est le rôle d’une pareille tribune ? Contrairement à ce qu’en dit la fable, on ne s’exprime pas dans la presse pour simplement informer le lectorat de ce qu’on a à dire, mais bien pour le convaincre de rejoindre notre combat lorsque c’en est un ou, à défaut, nos idées, nos principes, d’une manière générale notre avis. Quant au journal qui publie la tribune en question, il fait lui aussi œuvre de propagande. C’est de bonne guerre, la question n’est pas celle-là. Le fait est qu’un diplomate a décidé de faire peser sa parole, en usant du poids de la fonction au nom de laquelle il s’exprime, dans une campagne électorale présidentielle, évidemment dans l’espoir que sa parole ait une influence. Elle n’en aura pas auprès de la masse des électeurs, qui n’est sans doute pas le cœur de cible de l’auteur qui s’adresse, ici, plutôt à ses confrères et aux hauts fonctionnaires en général, en utilisant le support médiatique grand public comme pour les mettre au pied du mur et les inciter à prendre position à leur tour.
Thierry Dana, dans son billet, redit son amour de la France et évoque le pincement au cœur qu’il ressent lorsque « La Marseillaise » retentit. Il parle de la beauté du métier de diplomate qui voue sa vie à représenter son pays et, surtout, à en défendre les intérêts.Toutefois, lorsqu’il motive son projet de démission par son refus de « représenter » Marine Le Pen, il laisse le militant prendre le dessus sur le diplomate. S’il a réellement à cœur de servir son pays, il doit considérer que c’est un honneur de le faire, quelle qu’en soit la personne à sa tête. Les Présidents passent, disparaissent au gré des humeurs électorales, le pays reste et doit sa solidité, en partie, au travail des diplomates. Dans les périodes troublées de changements répétés de régimes, des serviteurs du pays ont continué de le servir malgré le défilé des chefs. Ainsi un Talleyrand a-t-il servi sous l’Ancien Régime, aux États généraux, sous le Directoire, le Consulat, le Premier Empire, la Restauration et la monarchie de Juillet.
La fidélité du diplomate ne doit pas aller à un homme ni à un parti – sinon, c’est préfet ou député qu’il faut être -, ni à une idéologie politique ; elle doit aller à ce qui leur est supérieurement important, supérieurement préférable : elle doit aller à la France. Sinon, c’est se condamner à servir le gland plutôt que le chêne, et ce n’est pas faire honneur à son métier.
Libre à monsieur l’ambassadeur de présenter sa démission en temps voulu si sa conscience le lui commande. Au moins a-t-il l’honnêteté d’associer ses actes à ses pensées. Qu’il fasse de son état de conscience et du projet qui en découle un moment médiatique est, toutefois, révélateur d’une certaine tendance, de plus en plus partagée chez « les élites » qui s’affolent devant la perspective d’un score historique de leur ennemie préférée, qui ne devrait pas manquer d’inquiéter ou de réjouir selon qu’on est adversaire ou électeur de Marine Le Pen. -
Zoom - Daniel Auguste : "Marine Le Pen ne s'est jamais trompée"
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François Fillon donne des signes d’accommodements avec le conformisme qu’il dénonce
"[...] Fillon n’a rien à gagner à renouer avec les faux frères et les faux alliés qui ont voulu le dégager au profit d’Alain Juppé. Un traitre ou un fuyard restera toujours un traitre ou un fuyard. Or le candidat de la droite donne actuellement des signes d’accommodements avec le conformisme qu’il dénonce. "J’invite solennellement et amicalement nos partenaires centristes à rejoindre ma campagne", a-t-il ainsi déclaré mardi soir à Orléans. Cette génuflexion contredit sa posture d’insoumis. C’est elle qui a été applaudie par la foule du Trocadéro.
Fillon, si mal en peine, ne peut espérer gagner en mai qu’en s’émancipant une fois pour toute d’un parti sclérosé et habité de courants irréconciliables. Jean-Louis Borloo a raison de prédire une rupture entre le centre et la droite. Elle est souhaitée, sur ce blog, depuis longtemps déjà. La place de l’UDI et de nombreux juppéistes est avec Macron, qui incarne le nouveau centrisme. François Bayrou l’a bien compris. Jean-Pierre Raffarin (LR), lui, refuse de constater la recomposition en cours de la droite. Ce mercredi, sur Europe 1, il a conseillé à Fillon d’"écarter tout risque de proximité avec le FN", en appelant paradoxalement à "respecter la diversité". Mais il faut ouvrir les yeux : une partie de l’électorat de Fillon cousine avec celui de Marine Le Pen, en tout cas sur les grandes questions sociétales liées à l’immigration et à l’islam politique. Inviter Fillon à se démarquer du FN revient à l’inciter à abandonner ces thèmes, qui sont au centre des préoccupations des gens. Cette stratégie politiquement correcte assure de la défaite. Pourtant, Fillon tombe lui-même dans la facilité quand il déclare, dimanche soir sur France 2 : "Ma principale adversaire, c’est Madame Le Pen, qui s’approche du pouvoir". Son électorat est loin d’en être convaincu. Non, le premier adversaire de Fillon reste Macron, qui peut lui ravir la deuxième place au second tour. Si le candidat LR renoue avec ceux qui lui conseillent de raser les murs, il laissera à Le Pen, seule, le soin de rebâtir la droite."
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