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  • LE FAUX CALME ÉCONOMIQUE DE PROSPÉRITÉ ÉTATS-UNIENNE AVANT L’EXPLOSION DU SYSTÈME !

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    Le banquier Macron connaîtra un krach économique mondial et n’est pas sûr de terminer son mandat.

    Selon les médias et la bien-pensance, tout va très bien aux États-Unis ! Le chômage est au plus bas, le Dow Jones qui était à 2.400 en 1990 a dépassé les 20.000, et si le dollar baisse, c’est la faute au bouc émissaire Trump… Certains voient au contraire une bulle financière sur le point d’éclater et estiment que Trump est le dernier sursaut de bon sens blanc face au libre-échange mondialiste catastrophique et suicidaire pour les pays occidentaux, face à l’immigration multiethnique et hispanique qui menace de submerger et faire éclater les États-Unis, comme l’a prédit, à juste titre, Huntington.

    Les signes évidents de la catastrophe économique à venir sont là : l’endettement public des USA est de 20.000 milliards de dollars, soit 100 % du PIB, et l’endettement privé (ménages, entreprises, banques) est trois fois plus élevé, de l’ordre de 60.000 milliards de dollars. Entre 1959 et 1983, il fallait un dollar de dette privée pour créer un dollar d’activité économique ; il en faut donc trois fois plus aujourd’hui.

    La vérité pas bonne à dire, c’est que l’Amérique s’épuise, est en déclin malgré les derniers feux de la rampe de la révolution numérique californienne, des GAFA, des Google, des Apple, des Facebook, des Amazon. Le seul pays qui monte industriellement et économiquement, c’est la Chine, déjà première puissance économique au monde si l’on prend comme taux de change la parité des pouvoirs d’achat. La Russie, que la pensée unique présente comme malade, est au contraire, grâce à Poutine, en plein redressement politique, économique, militaire, sociétal, démographique nonobstant la baisse du prix du pétrole et du gaz. Son PIB avec les parités de pouvoir d’achat est même supérieur à celui de la France !

    Si l’on ajoute à la dette publique et privée américaine les crédits étudiants ainsi que les aides sociales, la situation des États-Unis est encore plus dramatique, tout à fait comparable à celle de la France !

    En 2016, les États-Unis ont importé 500 milliards de plus qu’ils n’ont exporté, et ce déficit atteint même 750 milliards de dollars pour le seul commerce des biens. Quant au bilan de la Fed, il est passé de 800 milliards de dollars en 2007 à 4.500 milliards aujourd’hui.

    La liste est interminable, sauf pour ceux qui ne veulent pas voir la vérité en face. Un dernier chiffre, par exemple, vient de tomber : l’encours global des crédits à la consommation aux États-Unis s’est établi, en juin 2017, à 3.860 milliards de dollars, un niveau jamais observé. La dette « revolving » (renouvelable), qui repose sur les cartes de crédit, a atteint aussi un niveau record de 1.027 milliards de dollars et les taux variables de cette dette peuvent évoluer à tout moment.

    Il faut toujours garder à l’esprit que la consommation intérieure représente 70 % du PIB de l’Amérique. Le banquier Macron connaîtra un krach économique mondial et n’est pas sûr de terminer son mandat. Quant aux Français, ils doivent vendre leurs obligations, leurs actions et acheter de l’or avant que le système économique et financier n’explose !

    http://www.bvoltaire.fr/faux-calme-economique-de-prosperite-etats-unienne-lexplosion-systeme/

  • Immigration: thèse, antithèse, foutaise

    Le plan immigration présenté par Edouard Philippe confirme l’un des principaux aspects de la méthode Macron : sur la forme, on dit tout et son contraire, sur le fond, on se place dans la lignée de son prédécesseur.

    Cela donne un plan « ferme et solidaire » en clair, les vannes restent grandes ouvertes, mais avec fermeté. Tel un Valls expliquant que « les jeunes Français doivent s'habituer à vivre durablement avec la menace d'attentats », Edouard Philippe a ouvert la présentation de son plan immigration par un renoncement. « Compte tenu des causes qui l'explique [...] cette situation est amenée à durer ».

    Une résignation qui n'est pas le seul point commun entre l'action de Philippe et celle de son prédécesseur. Ce qui frappe pourtant d'emblée, c'est que le Premier ministre est bien la voix de son maître, Macron. Dans son discours, le même souci de ménager la chèvre et en même temps le chou. Il a ainsi multiplié l'utilisation du mot « solidarité », à destination de sa gauche, et en même temps les mesures de « fermeté » pour rassurer le Français moyen, du moins celui qui écoute d'une oreille distraite.

    Car au-delà du verbe, c'est le grand flou macronien. Le gouvernement affirme ainsi que « les personnes déboutées feront systématiquement l'objet d'une mesure d'éloignement dès le rejet de leur demande d'asile ». Comment ? Mystère. Pourtant, il admet l'ampleur du problème, reconnaissant que sur 91000 étrangers en situation irrégulière interpellés, moins de 25 000 ont quitté le territoire. Il n'a tout de même pas cité la Cour des comptes, qui a relevé que 96 % des personnes déboutées du droit d'asile restaient en France. Cela aurait été admettre que l'État organise une filière d'immigration clandestine.

    Fermeté verbale...

    En revanche, Edouard Philippe a. aussi insisté sur sa « volonté d'éviter la mise en place de nouveaux campements ».. Sans donner la moindre précision sur la manière d'y parvenir. À ce propos, celui de la porte de la Chapelle, évacué pour la... 34e fois à la veille de son annonce, se remplissait déjà au moment même où il donnait de la voix. Le gouvernement aurait voulu illustrer qu'il entendait vider la mer à la petite cuiller qu'il ne s'y serait pas pris autrement.

    Autre point non détaillé dans ce plan gouvernemental, la préservation des moyens liés à l'hébergement et à l'accompagnement d'urgence. Est-ce parce que la pilule des économies passe mal, notamment auprès des armées (cf. pp. 24-23) - que le Premier ministre n'a pas souhaité en chiffrer le coût ?

    Il a pourtant été plus précis sur d'autres éléments du volet « solidarité », quand il a annoncé la création de 12 500 places d'hébergement pour les clandestins d'ici à 2019 7 500 places pour les demandeurs d'asile et 5 000 autres pour aider les « réfugiés » à accéder au logement. Naturellement, penser que de telles mesures puissent créer un appel d'air, comme l'a démontré la même politique menée par Hollande, serait inconvenant.

    Laxisme factuel

    Inconvenant aussi de se dire que les mesures en faveur de « l'intégration », puis de cours de français, de dispositifs de formation, ne semblent pas à la hauteur des enjeux. L'intégration ne consiste-t-elle pas pour l'immigré à adopter les valeurs du pays d'accueil, et pas seulement sa langue et ses emplois ?

    Inconvenant enfin de constater que le « passeport-talent », repris mot pour mot d'une mesure annoncée par Hollande, ressemble à un gadget rive droite et que les mesures d'accélération des procédures d'octroi du droit d'asile s'enliseront dans le flot sans cesse croissant des clandestins, à l'instar de celles de son prédécesseur.

    Car le contrôle de l'immigration est largement resté au niveau des vœux pieux. Si le premier a affirmé vouloir « mieux maîtriser les flux migratoires en Europe et en France », cette maîtrise repose pour lui sur le contrôle aux frontières françaises jusqu'en novembre. Les niçois, qui voient passer chaque jour des dizaines de clandestins en provenance d'Italie, apprécieront l'ironie de la chose. Au-delà, ce sera la finalisation de la transformation de Frontex en agence européenne des garde-frontières qui devra permettre un meilleur contrôle des limes de l'UE. Quand on sait que cette dernière favorise l'immigration et que les navires de Frontex acheminent les clandestins sur nos rives, on mesure l'hypocrisie toute macronienne du propos d'Edouard Philippe.
    Richard Dalleau monde&vie  26 juillet 2017

  • Pologne : des manifestations manipulées depuis l'étranger

    Décryptage d'Olivier Bault sur Réinformation.tv :

    "Les manifestations « populaires » contre la réforme de la justice en Pologne au mois de juillet ne l’étaient peut-être pas autant qu’il a été dit. En Pologne, on accuse George Soros, l’Allemagne et la France d’avoir fomenté ces rassemblements d’opposition en définitive peu représentatifs de l’opinion polonaise.

    On sait ainsi qu’Akcja Demokracja (Action Démocratie), principale organisation derrière les manifestations de juillet contre la réforme de la justice en Pologne (partiellement bloquée par le président Andrzej Duda), est financée depuis deux ans par la Fondation européenne pour le climat dirigée par Laurence TubianaLaurence Tubiana, qui a donc indirectement contribué à défendre une institution judiciaire encore jamais décommunisée en Pologne, avait commencé sa carrière politique en France à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Elle a plus tard été, entre autres fonctions politiques, conseillère pour l’environnement du premier ministre Lionel Jospin puis ambassadrice chargée des négociations sur le changement climatique et représentante spéciale du gouvernement français pour la COP 21.

    On évooque également un autre dirigeant de la Fondation européenne pour le climat (European Climate Foundation, ECF) : il s’agit de son directeur exécutif pour les politiques mondiales Emmanuel Guérinancien conseiller spécial de Laurence Tubiana au ministère des Affaires étrangères.

    La Fondation européenne pour le climat, sous influence de la France, de l’Allemagne et de George Soros, finance les manifestations contre le PiS

    Mais il n’y a pas que les intérêts français qui soient représentés au sein des instances du principal bailleur de fonds d’Akcja Demokracja, puisque le président du Conseil de surveillance de l’EFC est un Allemand. Il s’agit de Caio Koch-Weser, qui était secrétaire d’Etat au ministère des Finances du gouvernement fédéral en Allemagne de 1999 à 2005, après avoir été vice-président de la Banque mondiale. D’après l’hebdomadaire polonais Gazeta Polska (proche du PiS) qui a dévoilé le premier les financements d’Akcja Demokracja, c’est justement Koch-Weser qui a signé, en tant que secrétaire d’Etat et homme de confiance du chancelier Gerard Schröder, la garantie de l’Etat allemand pour le crédit de la Deutsche Bank en faveur de Gazprom, aux fins de la construction du gazoduc Nord Stream qui relie la Russie à l’Allemagne par la mer Baltique. Koch-Weser est d’ailleurs au conseil d’administration de la Deutsche Bank depuis 2006.

    Quant au fondateur et premier président de l’EFC, George Polk, c’est un ami et collaborateur de l’omniprésent milliardaire américain George Soros.

    Autre « parrain » étranger d’Akcja Demokracja, c’est l’ONG allemande Campact !. Campact ! est membre du réseau international OPEN dirigé par l’organisation américaine MoveOn, qui est financée par George Soros et qui était derrière les manifestations violentes contre Donald Trump après sa victoire aux élections présidentielles. Ce n’est pas un hasard si les méthodes et les slogans de la gauche libertaire et immigrationniste se ressemblent tant en Pologne (depuis les élections législatives gagnées par le PiS en novembre 2015) et aux Etats-Unis (depuis l’élection de Trump en novembre 2016). [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html