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  • Quand Bruno Roger-Petit, nouveau porte-parole de l’Elysée, rêvait de tuer des militants de la Manif pour tous !

    Décidément, Emmanuel Macron sait s’entourer ! Il vient maintenant de désigner le journaliste Bruno Roger-Petit, comme nouveau porte-parole de l’Elysée.

    Dans la foulée de l’annonce de sa nomination, l’ancien journaliste Bruno Roger-Petit a rapidement supprimé son compte Twitter trop compromettant. Mais c’était sans compter sur l’archivage !

    Il y a par exemple ce tweet de Bruno Roger-Petit, rêvant de tuer des militants de la Manif pour tous ! C’était le 24 mars 2013, lors de la grande manifestation parisienne de la Manif pour Tous  :

    http://www.medias-presse.info/quand-bruno-roger-petit-nouveau-porte-parole-de-lelysee-revait-de-tuer-des-militants-de-la-manif-pour-tous/79400/

  • LE « MEMORIEL », UNE LIGNE DE FRONT A NE PAS LACHER !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Ce mois d’août a été ponctué d’événements divers et variés, dont la criminelle vague d’attaques de nos concitoyens européens par des « détraqués mentaux » n’est pas la moins révoltante… Une curieuse épidémie de folie subite se serait emparée des desservants et des croyants d’une « religion de paix, d’amour et de partage » : attaques au couteau à Levallois, Bruxelles, Londres, ou à la voiture folle comme à Marseille et, surtout, à Barcelone et à Cambrils en Catalogne. La crise des missiles balistiques entre les Etats-Unis et la Corée du Nord tout comme la consécration de la dictature marxiste au Venezuela, ont illustré les pages de politique étrangère de nos journaux. Mais il est un autre événement qui, par sa portée symbolique et, surtout, par ses conséquences, a une répercussion qui va bien au-delà des frontières américaines : je veux parler des manifestations de Charlottesville en Virginie.

    La bannière confédérée est inséparable du pays de « Dixie »

    Il aura fallu qu’un jeune Blanc paniqué par une horde « d’anti-fas » fonce aveuglément pour s’enfuir dans une foule de manifestants et écrase, malheureusement, une jeune femme, pour que la grosse artillerie de tout ce que les Etats-Unis comptent comme progressistes et anti racistes professionnels et stipendiés, rallume la guerre des symboles.

    Il y a déjà des lustres que l’héroïque « southern cross », un rectangle rouge barré de diagonales bleues frappées de 13 étoiles blanches à cinq branches, est pourchassé ici ou là, dans le Sud comme dans le reste des Etats. Déjà, l’actuelle représentante de Donald Trump aux Nations-Unies, ex-gouverneur d’origine indienne de la Caroline du Sud, avait fait enlever ce drapeau du sommet du capitole de Columbia, sa capitale.

    La Géorgie, Etat symbole s’il en est de la résistance sudiste, avait banni cette southern cross du battant de son emblème officiel pour le remplacer par un insipide drapeau sans aucune valeur historique. Curieusement, à contrario, dans un Etat comme le Mississippi où les Noirs frôlent les 50 % de la population, le drapeau « maudit » avait été conservé suite à un référendum populaire !

    Les défenseurs des droits civiques et des personnes de couleur nous rétorqueront que tous ces signes font revivre un passé qui ne passe pas. Mais c’est faire mentir l’histoire avec un grand « H » que de ne pas tenir compte de la charge émotionnelle que représentent pour les Blancs du Sud, même ceux qui ne sont pas engagés politiquement, ces armoiries, drapeaux, plaques mémorielles et autres statues. Il n’y a pas une petite ville où le soldat confédéré statufié ne se dresse sur une place, en général devant le city hall ou le county court house.

    De nombreuses associations font participer leurs adhérents aux reconstitutions historiques des grandes batailles qui ont jalonné la guerre fratricide entre le Sud et le Nord. Même chose en passant, - changeons de continent -, pour les gros bourgs du Transvaal ou de l’Etat libre d’Orange en Afrique du Sud, avec le guerrier Boer immortalisé dans la pierre. Faudrait-il, chez nous, occulter la silhouette familière de nos poilus qui enjolivent bien souvent, nos monuments aux morts ?

    Déboulonner la statue du général Robert Lee est un acte « mémoricide » attentatoire à la sensibilité sudiste. D’ailleurs, que peut-on reprocher à ce grand officier, chef de l’Armée de Virginie, que l’on peut qualifier « d’humain », comparé aux « bouchers » du Nord, les Grant et autre Sherman ? Il décrivait l’esclavage comme « un mal moral et politique » et avait affranchi les esclaves vivant sur la propriété de sa femme, quand l’épouse d’Abraham Lincoln, s’était « affranchie », elle, de cet acte d’élargissement, conservant des esclaves jusqu’à la fin de la Guerre de sécession ! Et que dire du père fondateur de l’Union, le célèbre Georges Washington dont on peut voir, à côté de sa maison à Mount Vernon au bord du Potomac, les cases de ses esclaves ? Faudra-t-il le déboulonner, lui aussi, comme « notre » Napoléon en France, coupable d’avoir rétabli – provisoirement – l’esclavage aux Antilles ?

    Au tour de Stone Mountain, près d’Atlanta ?

    Jusqu’où iront-ils, tous ces néo-profanateurs, jusqu’à détruire l’énorme monolithe de 8 Km de périmètre et de 236 m de hauteur, où les silhouettes géantes des héros confédérés gravées dans le granit, le Président Jefferson Davis et les généraux Robert Lee et Stonewall Jackson, semblent chevaucher côte à côte pour l’éternité ? Cette chasse aux sorcières sudistes est nauséabonde, elle creuse encore un peu plus les fossés qui séparent les Américains. Les plaies, pourtant, ne demandent qu’à cicatriser. Ce nouveau champ de bataille historico-culturel tend à imposer la victoire du politiquement correct à toute une frange de la population qui n’en veut pas. C’est la même chose en Europe.

    Pétain et Franco, honnis, relégués aux oubliettes !

    La France est-elle à l’abri de ce genre de haines de soi ? Il y a belle lurette que les plaques de rues au nom du vainqueur de Verdun ont été dévissées et remplacées, ici ou là, par des rues du 19 mars ! A Vichy, devant l’hôtel du Parc qui fut la résidence du Maréchal pendant quatre ans avant que les Nazis ne l’arrêtent brutalement et ne l’internent en Allemagne, une plaque explicative ne brille pas particulièrement par son objectivité. En Espagne, le vainqueur de la croisade anti-communiste de 1936-1939 a vu ses statues disparaitre en même temps que « s’évaporait » son patronyme des places, avenues et autres rues de Castille, d’Aragon et autre Andalousie. On parle même de transférer sa tombe ainsi que celle de José Antonio Primo de Rivera (NDLR : fondateur de la Phalange, assassiné par les rouges le 20 novembre 1936), d’ailleurs, du Vall de los Caïdos pour un banal cimetière galicien. La Galice, entre parenthèses, où El Ferrol «  a oublié » depuis bien longtemps qu’elle s’appelait El Ferrol del Caudillo, et que cette cité portuaire était la ville natale de l’ancien Chef de l’Etat.

    Honorer les grands noms de notre histoire, les grands événements, fussent-ils controversés, n’est pas attentatoire aux fameux « droits de l’homme » mis à toutes les sauces. Vous verrez qu’au train où vont les choses, avec un Président qui insulte la vérité historique, la France ne tardera pas à considérer que, décidément, on en fait trop, aussi, pour Charles De Gaulle ! En attendant chers amis, si vous traversez certaines villes du 9-3 encore aux mains du PC  « F », vous quitterez la rue Maurice Thorez pour emprunter l’avenue Gagarine avant de déboucher sur la place Duclos ! Courage… Douce, mais pauvre France !

    2017 JCR HONGRIE.jpg

    Lire le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat :

    La Hongrie sentinelle de l'Europe cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • « Les Guerres de Vendée pour les Nuls »

    Lu sur Réinformation.tv :

    6a00d83451619c69e201bb09bdd901970d-250wi.png"La collection « Pour les Nuls » se veut une entreprise de vulgarisation, de présentation de manière pédagogique de questions importantes à destination des masses. Les ouvrages sont écrits par des spécialistes des questions évoquées, et s’ils adoptent un ton particulier voulu simple et humoristique, ils sont en général réussis.

    Appartenir à une telle collection est certainement un avantage pour un ouvrage, puisqu’il assure distribution et publicité. Or, les Guerres de Vendée, justement, ont eu très peu de publicité en France, et ce dès l’hiver 1794-1795. Les Révolutionnaires au pouvoir à Paris, connus sous le nom postérieur de « Thermidoriens » et qui ont fait guillotiner Robespierre et ses partisans à l’été 1794, n’en sont pas moins des révolutionnaires et ont tout fait occulter de notre histoire le drame des Guerres de Vendée (1793-95 pour la principale). En effet, de manière fort peu glorieuse et indéfendable moralement dont les Thermidoriens ont fini par se rendre compte après-coup, des populations civiles ont été massacrées en masse dans la « Vendée militaire », c’est-à-dire le département actuel de la Vendée, moins sa frange la plus méridionale, et les parties frontalières des départements voisins, Loire-Inférieure (Loire-Atlantique depuis), Maine-et-Loire, Deux-Sèvres… Aussi parle-t-on parfois de Vendée bretonne – dans la Loire-Inférieure -, de Vendée angevine – dans le Maine-et-Loire. Toute la terminologie, complexe, est expliquée dans l’ouvrage. Les codes imposés par la collection « Pour les nuls » sont exploités très intelligemment par l’auteur, Michel Chamard. Comme il se doit dans cette collection, M. Chamard est un spécialiste du sujet, directeur du Centre vendéen de recherches historiques de 2011 à 2014, et professeur à l’ICES – Institut Catholique d’Etudes Supérieures-

    « Les Guerres de Vendée pour les Nuls » fait effectivement le tour de la question. L’ouvrage est solide, avec plus de 400 pages à lire. Il a été écrit dans un esprit excellent, avec un souci de grande rigueur historique et d’hommage aux martyrs de la Vendée.Dans sa préface l’auteur avoue que lors de son départ pour la Vendée en 1989, bien que largement adulte, universitaire et historien, il était « nul » sur l’histoire des Guerres de Vendée. Aujourd’hui, grâce à des personnalités militantes comme Reynald Sécher ou Philippe de Villiers, les Guerres de Vendée ne sont plus totalement inconnues, du moins de qui fait l’effort de vouloir les connaître, ce n’est pas si fréquent. L’ouvrage propose aussi une riche bibliographie, de qualité, pour approfondir les questions évoquées dans le livre.

    L’ouvrage n’oublie certes pas, exhaustivité nécessaire, les autres « Guerres de Vendée », d’où le pluriel du titre, comme la Petite Guerre de Vendée tentée par Charrette en 1796, la Vendée de 1815 contre le Napoléon des Cent-Jours, la tentative manquée d’insurrection vendéenne lancée par la Duchesse de Berry en 1832. Mais, il se consacre, pour l’essentiel et à juste titre, à la « Grande Guerre de Vendée », celle de mars 1793 à avril-mai 1795. Les dates exactes, à quelques jours près, sont l’objet de conventions discutées et discutables et tout sauf innocentes, car dans une guerre civile il n’y a pas eu de repères simples comme une déclaration de guerre et un armistice concernant toutes les armées impliquées."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Et si l’on donnait la parole aux Français (XVII)

    Chronique de Michel Geoffroy, essayiste.

    LES INSTITUTIONS ET LES PARTIS INSTITUTIONNELS

    77% des personnes interrogées (+14 points) pensent que la démocratie fonctionne de moins en moins bien en France (sondage Ipsos-Sopra Steria-l’Institut Montaigne, Sciences Po et Le Monde du 21 au 25 octobre 2016).

    74% citent comme principales raisons des « élus trop souvent corrompus », les élections qui « ne changent rien » (70%) et « trop d’insécurité, de zones de non-droit » (67%). Pour 65%, les préoccupations des citoyens ne sont pas prises en compte et pour 62% ces derniers sont mal représentés

    59% des personnes interrogées déclarent ne se sentir en sécurité nulle part. Ce chiffre est à mettre en relation avec le fait que 69% des Français jugent les personnels de police et de gendarmerie en sous-effectifs dans le pays. Cette opinion a d’ailleurs d’autant plus de résonance que les interviewés expriment majoritairement une bonne image de leurs forces de l’ordre (90% pour la Gendarmerie, 84% pour la Police nationale et 73% pour la Police municipale) (sondageIFOP Fiducial Public Sénat Sud Radio – Public Sénat du 17 mars 2017

    78% estiment que les partis politiques constituent un frein à l’amélioration de la situation, devant les syndicats (62%), les médias (57%), les intellectuels (44%) et les chefs d’entreprise (40%).

    78% des personnes interrogées jugent le bilan de François Hollande négativement. 81% estiment qu’il n’a pas été fidèle à ses promesses de campagne. La loi travail est la plus critiquée, avec seulement 23% de réponses positives (sondage OpinionWay Le Figaro des 2 et 3 décembre 2016).

    LES MÉDIAS

    64% des personnes interrogées estiment que les médias ne sont pas indépendants vis-à-vis des partis et du pouvoir ; 58% estiment que les médias ne sont pas indépendants vis-à-vis des pressions de l’argent (sondage TNS Sofres La Croix des 7 au 11 janvier 2016).

    91% des internautes interrogés en ligne le 13 décembre 2016 depuis son compte Twitter par Jean-Jacques Bourdin, l’animateur de RMC et BFMTV, estiment que « les médias nous mentent ».

    57% des personnes interrogées estiment que les médias présentent la campagne et le programme de François Fillon avec un parti pris négatif. 55% pensent de même s’agissant de Marine Le Pen. Et 46% des personnes interrogées estiment que les médias présentent la campagne et le programme d’Emmanuel Macron avec un parti pris positif (sondage Harris-Interactive, c/o Fdesouche du 20 mars 2017).

    LA PRÉFÉRENCE NATIONALE

    41% des téléspectateurs ont jugé Marine Le Pen « convaincante » lors de l’émission politique du 9 février 2017 de France 2 (sondage Harris-Interactive effectué le 9 février 2017).

    80% des personnes interrogées se déclarent favorables à la « clause Molière », mesure adoptée récemment par plusieurs conseils régionaux, obligeant les ouvriers à parler français sur les chantiers engagés par la commande publique et 39% répondent « très favorable » (sondage Ifop Valeurs actuelles réalisé du 15 au 17 mars 2017).

    Michel Geoffroy, 20/03/2017

    Voir ou revoir :

    https://www.polemia.com/et-si-lon-donnait-la-parole-aux-francais-xvii/

  • Clarification : Juppé et Darmanin partiront si LR vire à droite

    Alain Juppé a rappelé ce week end les deux "lignes rouges" à ne pas dépasser pour le voir encore participer activement au mouvement : le FN et la loi Taubira

    "La première de ces lignes rouges, c'est l'incompatibilité de ce à quoi nous croyons avec les idées du Front national. (...) Lorsqu'on veut faire battre la candidate du Front national, on n'a pas d'autre choix que de voter pour son adversaire. C'est pour cela que j'ai appelé à voter pour M. Macron [au second tour de la présidentielle]".

    "Nous ne souhaitons pas que, petit à petit, la ligne dominante de LR soit celle de la partie la plus conservatrice, et même la plus rétrograde en termes de société. (...) Je jugerai [rester ou pas au sein du parti, NDLR] en fonction, s'il gagne, de ce qu'il proposera". "Je crois que le débat sur le Mariage pour tous est derrière nous et je ne souhaite pas que LR perde son temps à s'enliser dans ce genre de questions."

    Idem que Valérie Pécresse, selon laquelle Wauquiez incarne “la France d'hier”, ce qui signifie qu'elle court vers la gauche.

    Ce matin, le ministre de l'Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, a suivi la voie ouverte par Alain Juppé :

    "Si [pour la présidence du parti] je vois qu'il y a le choix entre Laurent Wauquiez et Daniel Fasquelle, j'ai plutôt envie de partir des Républicains".

    Qu'ils partent, cela clarifiera les choses. Ou pas : Laurent Wauquiez, s'il est élu, pourrait aussi s'entourer de juppéistes...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Samedi et dimanche prochains, 2 et 3 septembre, journées chouannes à Chiré en Montreuil (86)

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