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  • KRACH ÉCONOMIQUE AMÉRICAIN ET MONDIAL D’ICI TROIS À CINQ ANS AU PLUS TARD

    Marc Rousset

    Le monde vit dans un système économique où profits et bonus vont aux banquiers alors que les pertes sont assumées par les gouvernements et les clients.

    Le monde occidental vit dans un système économique où les profits et les bonus vont aux banquiers alors que les pertes sont assumées par les gouvernements et les clients. Le NASDAQ à 6.200 est encore plus élevé que son pic précédent en mars 2000, juste avant de dégringoler de 79 % ; la prochaine fois – ce peut être demain matin -, la dégringolade sera de 90 % ! Le Dow Jones n’en finit pas également de monter jusqu’à bientôt 22.000. L’implosion à venir des bulles d’actifs et de dettes à travers le monde est plus que certaine.

    Depuis la suppression de la convertibilité du dollar en or par Nixon, la dette totale publique et privée des États-Unis qui était de 1.700 milliards de dollars en 1971 s’élève, aujourd’hui, à 67.000 milliards de dollars. En 2000, la dette des États-Unis s’élevait encore à seulement 30.000 milliards de dollars ; elle a donc presque doublé au cours des seize dernières années, suite à la perte de compétitivité des entreprises américaines face au libre-échange mondialiste et suite aux folles dépenses militaires impérialistes des États-Unis, qui parlent de paix et de droits de l’homme du matin jusqu’au soir, mais dont le budget militaire représente à lui seul plus de 60 % des dépenses militaires dans le monde – Chine et Russie incluses. La décision toute récente de Trump d’augmenter les effectifs en Afghanistan et les pressions des conservateurs pour continuer à jouer le rôle de gendarme dans le monde auront pour effet de maintenir les dépenses militaires états-uniennes à un niveau stratosphérique. Depuis 1971, la dette totale des États-Unis a ainsi été multipliée par 39, alors que, pendant la même période, le PIB n’était multiplié que par 16. Le dollar ne tient, en fait, que par la confiance accordée à la puissance militaire américaine, nonobstant les fondamentaux économiques qui sont catastrophiques et qui se détériorent continuellement.

    À Wall Street, le ratio cours/bénéfice des actions est de 30, soit exactement au même niveau qu’en 1929. En réalité, tous les actifs (actions, obligations, immobilier) ont atteint des niveaux record car les taux d’intérêt sont manipulés à la baisse par les banques centrales dans le monde, qui pratiquent toutes la folle politique de l’assouplissement monétaire quantitatif, seulement dénoncé à ce jour par Jens Weidmann, président de la Bundesbank, mais minoritaire au Conseil des gouverneurs de la BCE.

    Tandis que les banquiers s’enrichissent d’une façon éhontée, le salaire réel hebdomadaire du travailleur américain, qui était de l’ordre de 800 dollars dans les années 1970, non seulement n’a pas augmenté, mais il a baissé pour se situer autour de 700 dollars depuis les années 1990 jusqu’à nos jours, avec une précarité de plus en plus grande, un grand nombre d’Américains n’étant même plus comptabilisés comme chômeurs car ayant renoncé à trouver un emploi.

    Un indice accusateur qui ne trompe pas : l’Union européenne, après avoir déjà institué officiellement la « chyprisation » et la spoliation des déposants en cas de faillite prononcée des banques, envisage maintenant de prendre des mesures pour empêcher les déposants de retirer leur argent liquide avant la faillite imminente ! Le plan envisagé consisterait à bloquer les retraits pendant cinq à vingt jours, une prolongation étant possible, voire permanente. Cela n’est pas sans nous rappeler les mesures semblables déjà prises en 2016 par Michel Sapin et le législateur français pour bloquer, si nécessaire pendant plusieurs mois, les retraits des comptes d’assurance-vie ! La preuve est faite que les gouvernements savent qu’ils sont en faillite, que le système bancaire est en faillite. La seule solution, pour nos élites incapables depuis quarante ans, c’est la fuite en avant et l’impression de monnaie jusqu’à la catastrophe inévitable et une crise d’hyperinflation comme en Allemagne en 1923 !

    Rappelons-nous la prédiction du grand économiste autrichien puis américain Ludwig von Mises (1881-1973) : « Il n’y a aucun moyen d’éviter l’effondrement final d’un boom provoqué par une expansion du crédit. L’alternative est de savoir si la crise doit arriver plus tôt, par l’abandon volontaire d’une expansion supplémentaire du crédit, ou plus tardivement, comme une catastrophe finale et totale du système monétaire affecté. » Bref, la Charybde de la déflation et de la dépression économique imminente ou la Scylla de l’hyperinflation à venir.

    Et la France, dans tout ça ? Sa situation, suite à son inimaginable laxisme social et migratoire, suite à son gaspillage des ressources publiques avec une administration pléthorique, est aussi grave que celle des États-Unis. Macron sera balayé par la crise économique à venir et il ne lui reste qu’à faire sa prière, d’autant plus qu’au-delà du risque états-unien évoqué ci-dessus, la crise peut prendre naissance également en Europe, au Japon, en Chine, et même dans les pays émergents en cas d’augmentation subite des taux d’intérêt.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 9 septembre : journée d'amitié française

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    Michel Janva

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  • La Pologne demande à Macron de « s’occuper de son pays », ravagé par le chômage et le terrorisme

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    Source Breiz Atao cliquez là

    Fidèle au comportement habituel des dirigeants français, Emmanuel Macron a fait montre d’une débauche d’arrogance à l’endroit du gouvernement polonais.

    Embourbé dans un chômage de masse sans précédent, le président français a cru bon d’accuser la Pologne d’être responsable de la situation économique de la France en pointant du doigt la question des travailleurs détachés. Un dossier qu’il sait largement symbolique mais utile en termes de communication pour rallier l’électorat FN voire mélenchoniste.

    Le nombre de ces travailleurs détachés s’élevait à 285.000 en 2015. Le nombre de chômeurs, toutes catégories confondues, se situe quant à lui à 6,6 millions et à 3,5 millions pour la catégorie « A » (cliquez ici). Autant dire que le rôle de ces Européens sur le marché du travail français est négligeable.

    Pour la présidente polonaise du Conseil des ministres Beata Szydlo, le président français fait preuve d’« arrogance », qu’elle a attribué à son « inexpérience »« Je lui conseille de se concentrer sur les problèmes de son propre pays », a-t-elle déclaré. Et d’ajouter « Il réussira alors peut être à avoir les mêmes résultats économiques et le même niveau de sécurité de ses citoyens que ceux garantis par la Pologne », faisant allusion à la menace terroriste.

    La diversion d’Emmanuel Macron est d’autant plus grossière que son gouvernement continue d’organiser une immigration de masse en provenance d’Afrique, notamment musulmane, malgré le coût net qu’elle engendre pour les contribuables français. Pire, il continue d’exiger des pays d’Europe Centrale qu’ils organisent la colonisation de peuplement afro-islamique chez eux.

    Tout porte donc à croire qu’il est plus aisé, en France, de cibler quelques dizaines de milliers de travailleurs polonais plutôt que les masses de clandestins africains qui servent de variable d’ajustement dans le bâtiment ou l’hôtellerie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • EMMANUEL MACRON, ARROGANT ET IDÉOLOGUE…

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    Le locataire de l’Élysée a fustigé le gouvernement légitime d’un autre État européen.

    La joute verbale entre le Président français et le Premier ministre polonais a atteint un degré d’hostilité rare dans les échanges entre exécutifs de pays membres de l’Union européenne. Au lieu de s’en tenir à la question des travailleurs détachés qui est pleinement justifiée, le locataire de l’Élysée a fustigé le gouvernement légitime d’un autre État européen en le mettant littéralement au ban de l’Europe sur l’ensemble de sa politique.

    Plus intelligemment, Mme Beata Szydło a donné, non sans ironie, une leçon quasi maternelle à un dirigeant dénué d’expérience et de modestie qu’elle a renvoyé aux affaires mal en point de son pays. On aurait pu se passer de cette passe d’armes.

    Elle ne risque pas de faire avancer un problème qui souligne les divergences d’intérêts des États européens. L’Allemagne et les pays du Nord en général tournent à plein régime et connaissent le plein-emploi. L’impact des travailleurs détachés sur le chômage est donc faible mais le dispositif favorise la compétitivité, notamment en pesant à la baisse sur le coût du travail. Mme Merkel est favorable à une révision en douceur, et n’a pas l’intention de braquer son ombrageux voisin de l’Est pour complaire à la cigale française. Les pays de l’Est estiment que l’Europe se doit de leur offrir les conditions du rattrapage et qu’avant de parler de convergence des règles, il faut assurer l’égalité des conditions de vie.

    Ces contradictions apparaissent également sur la question de l’immigration. L’Allemagne en a besoin en raison de son hiver démographique et est embarrassée, à ce sujet, par sa culpabilité historique. Le bloc de Visegrád, qui sert d’auxiliaire à la production germanique et veut brandir ses identités nationales sauvées du communisme, tient à préserver le système du travail détaché et s’oppose même à l’admission des migrants qui tentent de se faire passer pour des réfugiés.

    Comment expliquer l’attitude du chef d’État français dans un contexte aussi complexe ? Est-elle purement tactique dans le but d’isoler Varsovie, déjà en conflit avec Bruxelles ? Si cette interprétation était juste, elle se serait traduite par des soutiens fermes d’autres pays à la position française. Tel n’est pas le cas. Certains, comme l’Allemagne ou l’Autriche, soutiennent mollement. D’autres promettent, comme la République tchèque ou la Slovaquie… de convaincre les partenaires du groupe de Visegrád, c’est-à-dire la Hongrie et la Pologne, qui manifestent une opposition résolue. Une déclaration agressive à l’encontre de la Pologne formulée devant le président bulgare, socialiste jugé pro-russe, n’était pas la manœuvre la plus judicieuse pour obtenir le consensus.

    Cette maladresse peut être mise sur le compte du manque d’expérience et de l’arrogance naturelle de Macron. Elle trahit davantage, selon moi, une position idéologique. En tant que défenseur de l’intérêt national, il a raison de vouloir remettre en cause la directive sur les travailleurs détachés. Attaquer la Pologne en bloc, c’est-à-dire juger la politique nationale d’un État, lorsqu’on est soi-même à la tête d’un autre pays, au nom de la vision idéologique que l’on a de l’Europe, est une ingérence caractérisée qui ne défend pas l’intérêt de la France ni même celui de l’Europe, mais tend à diviser celle-ci. Lorsque Chirac reprochait à la Pologne d’acheter des avions aux États-Unis plutôt qu’à la France, il avait raison car il dénonçait un manque de solidarité continentale. Lorsque Macron, au lieu de s’en tenir aux travailleurs détachés, condamne globalement les orientations politiques de la Pologne, il soulève une tout autre question.

    Mêler à ce débat les questions de l’immigration extra-européenne ou des conceptions nationales en matière de droit et de justice révèle une dérive européenne qui consiste à s’immiscer dans ce qui relève du choix des peuples, en fonction de leur identité nationale. La Pologne ne souhaite pas que son identité catholique, essentielle dans son histoire, soit remise en cause. C’est la raison pour laquelle elle ne désire pas une immigration musulmane et entend sauvegarder une politique familiale fondée sur la différenciation des sexes.

    En élargissant le conflit à ces questions, le Président français est sorti de son rôle et a pris une posture idéologique qui ne peut échapper aux électeurs de droite distraits ou naïfs qu’il a pu séduire. On demande au chef d’État français de défendre l’intérêt national, non sa conception idéologique de l’Europe.

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-arrogant-ideologue/

  • Documentaire Arte : « L’énigme de la tombe celte »

    Un fabuleux voyage en quête de l’ancienne et mystérieuse civilisation celtique, qui part de la découverte, en 2014 dans la banlieue de Troyes, de la tombe du « prince de Lavau ». Qui était ce dignitaire pour mériter une sépulture aussi fastueuse ? Comment des pièces venant d’aussi loin ont-elles pu arriver en Champagne ?

    Arte

    http://www.fdesouche.com/863641-documentaire-arte-lenigme-de-la-tombe-celte

  • La découverte de Lavau : une nouvelle manifestation du phénomène “princier” (Ve s. av. J.-C.)

    Fin 2014, à Lavau en Champagne, près de Troyes, une équipe d’archéologues de l’Inrap met au jour une ancienne nécropole dans laquelle ils font une découverte extraordinaire : sous un tumulus immense, dans une chambre funéraire de 14 mètres carrés, git un squelette paré de magnifiques bijoux. Son corps est entouré d’objets luxueux dont un char et un service de vaisselle qui contient de magnifiques pièces grecques et étrusques. La tombe de ce riche celte mort au Ve siècle avant notre ère, désormais surnommé « le prince de Lavau », constitue l’une des découvertes les plus importantes que l’archéologie européenne ait connues ces dernières années.

    http://www.fdesouche.com/874215-la-decouverte-de-lavau-une-nouvelle-manifestation-du-phenomene-princier-ve-s-av-j-c

  • Mosquées radicales : Joachim Véliocas invité de radio Méridien Zéro

  • L'islam tolérant existe-t-il ?

    Rien que cette question peut vous attirer une fatwa... François Billot de Lochner pose sur Liberté Politique des questions qui fâchent :

    "La question est fondamentale : si l’islam est tolérant, il peut tenir sa place sur l’échiquier mondial ; s’il ne l’est pas, il doit être contenu, voire combattu, car risquant de mettre en péril le fragile équilibre du monde.

    Depuis 14 siècles environ, une telle question fait encore débat, ce qui est tout de même surprenant : comment peut-elle être encore posée au terme d'une période de réflexion aussi longue ?

    Pour savoir si l'islam offre une possibilité de tolérance ou non, il suffit de se poser les quatre questions suivantes, qui permettent de se faire une idée précise sur ce système politico-religieux, de ses origines à nos jours : le concept de tolérance fut-il développé par son concepteur, se trouve-t-il valorisé dans le livre qui résume sa pensée, est-il appliqué dans les pays islamiques, est-il mis en exergue dans les communautés musulmanes des pays non islamiques ?

    Première question : le créateur de l'islam fut-il un adepte de la tolérance ?

    6a00d83451619c69e201b7c9195868970b-800wi.jpgL’histoire nous l’enseigne : Mahomet fut un homme animé par une violence extrême ; un homme de guerre, de sang, de conquête et de sexe à outrance ; un homme qui fut à la tolérance ce qu’Attila fut à l’amour du prochain ; un homme dont l'intolérance fut la marque de fabrique.

    - Seconde question : le Coran, sur lequel repose l’islam, laisse-t-il une place à la tolérance ?

    Le Coran est un livre politico-religieux de combat qui fait l'apologie de la violence et de la haine ; un livre qui justifie l'esclavage, le meurtre, le viol, la torture, le mensonge, la dissimulation ; un livre qui doit être au chevet de tout musulman, pour application obligatoire sous peine de damnation éternelle ; un livre d'une rare intolérance.

    Troisième question : les régimes fondés sur l'islam sont-ils tolérants ?

    Dans le monde entier, les régimes se réclamant de l'islam sont des pays de dictature. Ils font preuve, vis-à-vis des populations non musulmanes, au mieux d'un traitement inégalitaire, scandaleux et honteux, au pire de persécutions dont l'ampleur peut être terrifiante. L'épouvantable génocide de la population arménienne par les Turcs, au siècle dernier, en est une des illustrations éclatantes. Les paradisiaques îles Maldives en sont une autre preuve : la passion des touristes pour cet endroit mythifié cache une impitoyable et sanglante dictature islamique, les ignorants touristes enrichissant et perpétuant sans le savoir un système dictatorial dramatique. Ne parlons pas de l’Arabie Saoudite, du Soudan, du Pakistan, de l’Algérie, de l’Indonésie et de tant d’autres pays islamisés et donc objectivement invivables pour un non musulman.

    Quatrième question : l'islam installé en Occident est-il marqué par la tolérance ?

    Il suffit de se renseigner sur ce que professent la quasi-totalité des dirigeants politiques ou des intellectuels musulmans, les milliers d'imams sévissant dans les mosquées occidentales, les milliers de formateurs musulmans exerçant dans les centres de formation musulmans, les habitants des fameuses zones islamisées de non-droit qui prolifèrent en Occident, pour savoir que l'intolérance constitue l'une des armes principales du développement de l'islamisation du monde. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html