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  • Saint-Martin : La sous-préfète s’est enfuie de l’île, pillage et fusillades sur fond d’effondrement de l’état français

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    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (10/09/2017) cliquez ici Sur l’île de Saint-Martin, l’État Français s’est effondré en moins de 24 heures après le passage de l’ouragan « Irma ». Largement occultée par les médias étatiques hexagonaux, cette réalité a cependant pu être communiquée au plus grand nombre par les gens présents sur place grâce aux réseaux sociaux. Une anarchie qui tranche avec la mobilisation immédiate du gouvernement américain.

    La sous-préfète s’enfuit

    Premier élément de cet effondrement, la fuite de la sous-préfète de l’île, Anne Laubiès. Cette dernière a abandonné les habitants à leur sort et avec son départ précipité, c’est l’organisation politico-administrative française qui s’est évaporée instantanément.

    Cette fuite n’entraînera, bien sûr, aucune poursuite pénale.

    Les nombreux pillards, essentiellement des individus de race africaine, ont rapidement mis à profit cet écroulement du gouvernement pour se livrer à des meurtres et pillages à grande échelle. Les Français de l’île expliquent avoir du organiser, sur conseil d’une gendarmerie totalement dépassée, des milices pour garantir leur sécurité.

    Contrairement aux USA qui ont mis en place un vaste plan d’évacuation en Floride, le gouvernement français est pour l’essentiel resté spectateur malgré les informations dont il disposait au sujet de l’arrivée de l’ouragan. Dès le 31 août, les premières informations sur la venue de l’ouragan étaient connues et ce dernier mettra une semaine complète à atteindre l’île de Saint-Martin.

    Ce délai n’a pour ainsi dire jamais été mis à profit pour évacuer l’île ou préparer un puissant dispositif sécuritaire.

    En Floride, le gouvernement fédéral ainsi que les autorités de cet état ont procédé depuis des jours à l’évacuation préventive des zones potentiellement touchées tandis que tous les services gouvernementaux étaient mobilisés en prévision. Le président Trump détaille depuis des jours les mesures à prendre, donne les adresses des sites internet diffusant les informations indispensables ou supervise la mise en œuvre du dispositif de crise.

    En d’autres termes, l’État Français a été mis à genoux par un ouragan ayant frappé l’équivalent d’une petite ville hexagonale comme Alfortville là où les USA assurent, dans l’ordre, la gestion d’une crise impliquant l’équivalent d’un tiers de la population française.

    Une priorité pour Macron et l’État Français : sauver les apparences

    Face aux images et témoignages communiqués sur les réseaux sociaux, le gouvernement français tente désormais de limiter les retombées politiques. Il s’agit donc d’organiser et de scénariser un déplacement d’Emmanuel Macron sur place. Objectif : faire croire que tout est sous le contrôle de l’état et du président français.

    Cet effondrement rapide du gouvernement représente un avertissement pour la société bretonne : en cas de crise et d’émeutes raciales à grande échelle, elle sera livrée à elle-même. Nul ne doit faire confiance à l’état français, sous peine de s’exposer à de cruelles déconvenues.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/09/11/saint-martin-la-sous-prefete-s-est-enfuie-de-l-ile-pillage-e-5978703.html

  • JEAN-MARIE LE PEN FERA UN DISCOURS LE DIMANCHE 1er OCTOBRE À RUNGIS LORS DE LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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    Le dépliant envoyé la semaine prochaine cliquez ici 

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  • La Droite revient… sous toutes ses formes!

     Laurent Wauquiez l’a annoncé triomphalement à l’université d’été des Républicains à la Baule : « Ils disent que la Droite est morte, qu’il n’y a plus que Jupiter et Mélenchon. Mais qu’ils viennent ici, la Droite est de retour ! » 

    Elle est de retour chez Les Républicains, mais « décentrée », puisque Alain Juppé, Valérie Pécresse et leurs troupes ont décidé qu’ils partiraient si Laurent Wauquiez était élu président…

    Lire la suite sur Causeur

  • LA LOI TRAVAIL AURA-T-ELLE LE MÊME DESTIN QUE LA LOI MACRON ?

    Selon notre cher Président Macron, « les Français détestent les réformes » — un avis qui n’a pas manqué de susciter la polémique dans l’Hexagone. Le chantier auquel s’attaque l’actuel locataire de l’Élysée n’est pas une mince affaire, lui qui a vu la loi El Khomri être clouée au pilori par la rue et les frondeurs. Et en ce qui concerne la capacité de notre Président à réformer le pays, les doutes sont légitimes, lui qui — alors ministre de l’Économie — a fièrement fait passer une loi portant son nom, mais dont l’efficacité n’est toujours pas au rendez-vous.

    En attendant d’évaluer l’ampleur des manifestations des 12 et 23 septembre prochains, Macron est parvenu sans vraiment d’encombres à mettre en orbite le premier étage de la fusée réforme du Code du travail. L’enjeu est de taille, car un échec ou un demi-succès condamnerait l’exécutif à une gestion peu audacieuse qui aurait l’inconvénient de ressembler de trop près aux calamiteuses années Hollande.

    Le gouvernement et le Président savent qu’ils jouent déjà leur quinquennat sur ce texte et font en sorte de déminer le terrain pour un passage en douceur. Mais un atterrissage réussi au niveau politique ne signifie pas toujours un succès économique.

    En témoigne la loi Macron de 2015 — quelque peu chahutée par certains — qui a finalement été adoptée, mais dont la mise en pratique laisse toujours à désirer ; la faute à un exécutif pas assez impliqué dans le travail d’élaboration des décrets et arrêtés d’application.

    Un pouvoir peu regardant laisse place au bon vouloir des acteurs présents sur le terrain. Ainsi, l’intéressante réforme du permis de conduire présente dans la loi Macron n’a fait qu’effleurer les problèmes auxquels elle voulait s’attaquer. La raison ? Des textes d’application très lâches et parfois même en contradiction avec la philosophie et les objectifs de la loi.

    Afin de rendre le permis moins cher, l’accent avait été mis sur la réduction des délais pour passer l’examen pratique. Les différents dispositifs ont porté leurs fruits avec un délai moyen qui est passé de 90 jours, en 2014, à environ 62 aujourd’hui. Mais si le système est plus performant, il n’en reste pas moins parasité par le monopole des auto-écoles traditionnelles.

    En 2016, l’Autorité de la concurrence a d’ailleurs émis un avis dans lequel la méthode d’attribution des places d’examen est sévèrement critiquée. Cette dernière favorise en effet les auto-écoles les plus anciennes au détriment des besoins réels. Le système se perpétue et il est toujours aussi cher de passer le permis, sauf si l’on fait appel aux auto-écoles en ligne.

    Mais à cause d’un passé trop récent, les places destinées à ces auto-écoles sont peu nombreuses. Le cercle vicieux n’est toujours pas brisé. Un rappel utile pour tous les réformateurs quels qu’ils soient. La France peut se réformer, encore faut-il faire appliquer les textes avec efficacité.

    http://www.bvoltaire.fr/loi-travail-aura-t-meme-destin-loi-macron%E2%80%89/

  • Academia Christiana - Vers la reconquête !

    Du 21 au 27 aout 2017 avait lieu à Sées l'université d'été catholique Academia Christiana sur le thème de la reconquête décliné dans différents domaines : école, écologie, politique locale, militantisme, idées... Après cette cinquième Academia Christiana passe véritablement un cap : celui de fédérer une jeunesse autour de la nécessité de l’engagement dans la cité au service du bien commun. Même si la question du nombre est secondaire, car la qualité d’un engagement compte plus que la quantité de partisans, nous tenons néanmoins à souligner que pour la première fois nous avons atteint les 200 participants tout au long de la semaine.

    Photos.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html